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BFMTV - Qui figure dans le nouvel organigramme de campagne de Benoît Hamon?
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Investiture de Hamon: « Un mouvement est en marche » assure Luc Carvounas
Investiture de Hamon: « Un mouvement est en... par publicsenat -
Luc Carvounas (PS) : « Manuel Valls a raison, il n’est pas le favori de cette primaire »
Luc Carvounas, sénateur PS, maire d’Alfortville, proche de Manuel Valls était ce lundi l'invité du matin de RFI. Il répond aux questions de Frédéric Rivière. « J’aimerais connaitre la position de Ségolène Royal, de Stéphane Le Foll dans la primaire, cette forme de mutisme ou d’ambiguïté n’est pas saine. »
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Luc Carvounas (PS) : « C’est la chronique d’un 49-3 annoncé » (1)
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Luc Carvounas (PS) : « C’est la chronique d’un 49-3 annoncé » (2)
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Pour Carvounas (PS), "Macron veut être candidat à l'élection présidentielle"
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Luc Cavournas sur Public Sénat
Invité : Luc Carvounas - Territoires d'infos... par publicsenat -
Luc Cavournas sur Public Sénat
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Luc Carvounas: «Il faut que le congrès du PS ait lieu début 2016» Lefigaro.fr
Luc Carvounas: «Il faut que le congrès du PS... par lefigaro -
L'actualité des socialistes du 15 au 27 juillet (mise à jour)
A La une
Paris Match - JEAN-CHRISTOPHE CAMBADÉLIS "LE CENTRE NOUS REJOINDRA"
Paris Match. Vous fêtez cette semaine vos 100 jours à la tête du PS et l’on parle déjà de «Cambamania». Vous voulez «tout changer». Souhaitez-vous en finir avec l'appellation de social-démocratie?
Jean-Christophe Cambadélis. Oui, il faut tout changer mais avant de s’occuper de la vitrine, il faut s’occuper du fond de commerce. Les socialistes sont confrontés à une nouvelle époque et ils doivent fonder leur socialisme moderne. Après on verra s’il faut rompre avec telle ou telle formule.24, 25, 26 et 27 juillet
Libé - Yann Galut (PS): «Le combat est pris en otage par une minorité radicale»
Le député socialiste Yann Galut a participé ce mercredi à la manifestation pro-palestinienne qui s'est déroulée à Paris. Il déplore comme nombre de ses collègues les réajustements successifs de la position française.
Libé - François Hollande, illico texto
Le Président, accro aux SMS, n’hésite pas à en user auprès des ministres. Quitte à bousculer le protocole.
Ce vendredi 4 avril au matin, le nouveau gouvernement Valls a rendez-vous au salon Murat du palais de l’Elysée pour son tout premier Conseil des ministres. Ils sont seize autour de la table. Seize pour incarner ce «gouvernement de combat»,dont la mission principale est de faire oublier le temps des couacs de l’ère Ayrault. François Hollande entre. Un silence solennel s’installe. Le Président prend la parole. Et annonce… l’interdiction des portables en Conseil des ministres.24 et 25 juilletLibé - Les députés adoptent la France à 13 régionsLe premier volet du projet de réforme territoriale a été voté et doit désormais repartir en seconde lecture au Sénat, à l'automne.Les députés ont adopté mercredi le premier volet de la réforme territoriale, qui prévoit une nouvelle carte de France à 13 régions et le report des élections départementales et régionales de mars à décembre 2015.Libé - L’obsession économique du Président
Aller plus vite. Si la politique est l’art de gérer le temps, quel est le sens de l’accélération décrétée hier par François Hollande et jusqu’ici créditée par les Français à son Premier ministre ? S’il a nommé Manuel Valls à Matignon, c’est parce qu’il met «de l’efficacité, de l’organisation et de la rapidité», a-t-il reconnu. Façon de souligner en creux les manques du gouvernement Ayrault et de tenter de récupérer une part de la popularité de son Premier ministre, deux fois plus importante que la sienne. Pour ne pas se retrouver dans le rôle de l’«hypoprésident» face à un «hyperpremier ministre», François Hollande a rappelé que c’est lui qui tient le levier de vitesse.
Le premier volet du projet de réforme territoriale a été voté et doit désormais repartir en seconde lecture au Sénat, à l'automne.
Les députés ont adopté mercredi le premier volet de la réforme territoriale, qui prévoit une nouvelle carte de France à 13 régions et le report des élections départementales et régionales de mars à décembre 2015.
22 et 23 juilletL'ancien ministre, favori et adoubé par l'actuel président de l'Association des maires de France, va affronter un probable candidat socialiste... ce qui ne devrait néanmoins pas trop perturber son élection.Le Figaro - Gaza : des députés PS demandent à Hollande de suivre Chirac et d'écouter Fabius
Plusieurs députés socialistes ne comprennent pas la position de François Hollande sur le conflit israélo-palestinien. «Des diplomates français sont atterrés», confie un parlementaire de la majorité.20 et 21 juillet
Le Monde - La bataille d'un député PS du Nord contre la fusion avec la Picardie
Quelques jours après l’adoption par l’Assemblée nationale de la loi sur la réforme territoriale, la fusion des régions du Nord-Pas-de-Calais et de laPicardie, prévue par le texte, n’en finit pas de faire des mécontents. Alors que la maire de Lille, Martine Aubry, est sortie de son long silence, vendredi 18 juillet, pour critiquer ce rapprochement, le député socialiste du Nord Bernard Roman revient à la charge lundi 21 juillet.
Libé - Christophe Léonard. A fond la fronde
Costume repassé, lunettes noires à monture lisse, sourire urbain, Christophe Léonard a l’apparence du gendre idéal. C’est pourtant le seul jusqu’au-boutiste des députés frondeurs socialistes. Pas la grande gueule que l’on voit partout dans les médias, non. Méconnu du grand public, le député de la 2e circonscription des Ardennes, celle de Charleville-Givet, maîtrise mal sa com. Pourtant, il affirme qu’«au sein du groupe PS, tout le monde sait qui il est». Dernièrement, il a beaucoup montré sa tête sur les sites d’info. L’élu s’est abstenu sur le vote du budget rectificatif de 2014, alors que ses collègues socialistes se sont tous rangés.
Il est, pour le moment, le seul candidat déclaré. En duo avec un élu socialiste qui plus est. François Baroin, qui va tenter de devenir sénateur en septembre prochain, est le candidat adoubé par le sortant Jacques Pélissard pour lui succéder à la présidence de la puissance Association des maires de France
Le Midi Libre - Comment la tutelle veut sortir la fédération PS du Gard de l’ornière
Jeudi, à Nîmes, Émeric Bréhier, député de Seine-et-Marne, Rachid Temal, premier fédéral du Val d'Oise, et Jules Joassard, membre du conseil national du PS, ont plongé dans le chaudron bouillant du PS gardois. Ils en ont profité pour s'afficher en patrons d'une fédération qui sombre dans la guerre des clans.
Libé - «Le couple Elysée-Matignon, c’est du Feydeau»
Pour Bastien François, la Ve République a rendu le rôle présidentiel impossible à exercer.
Bastien François, 52 ans, est professeur de science politique à l’université Panthéon-Sorbonne. Elu régional Europe Ecologie-les Verts d’Ile-de-France, il a cofondé avec Arnaud Montebourg la Convention pour la VIe République (C6R).19 et 20 juilletLe Monde - Aubry à Hollande : « Il n'est pas trop tard pour réussir le quinquennat »
Depuis que les députés socialistes ont redessiné une carte de France à treize régions où le Nord - Pas-de-Calais et la Picardie sont fusionnés, Martine Aubry ne décolère pas. Après la publication d'un communiqué, mardi, la maire de Lille a tenu une conférence de presse entourée de huit élus du Nord - Pas-de-Calais, vendredi 18 juillet.
Libé - Martine Aubry : il n'est «pas trop tard pour réussir le quinquennat»
La maire de Lille Martine Aubry (PS) a jugé vendredi qu’il n’était «pas trop tard»pour «réussir le quinquennat», notamment la réforme sur les régions. «On a fait de belles choses, on en a loupé d’autres», a déclaré, lors d’une conférence de presse à Paris, Martine Aubry, très discrète au plan national depuis qu’elle a quitté la direction du PS en septembre 2012. «Si depuis deux ans dans tous les domaines, on avait eu une grande vision et une méthode, on aurait eu un peu moins de problèmes», a-t-elle jugé.
Libé - Aubry profite de la réforme territoriale pour monter au créneau
Qui touche à son bastion récolte la baston. Astreinte à une diète médiatique depuis la victoire de François Hollande, Martine Aubry a craqué. Vendredi, lors d’une conférence de presse avec plusieurs élus socialistes du Nord, la maire de Lille a laissé éclater sa colère après que l’Assemblée nationale a acté vendredi au petit matin le principe d’une fusion entre «son» Nord-Pas-de-Calais et la Picardie. Une charge à portée nationale : «Si nous avions eu une plus grande vision dans tous les domaines depuis deux ans, il y aurait moins de problèmes», a-t-elle taclé. Avant d’ajouter qu’«il est encore temps de réussir» un quinquennat au cours duquel «on a fait de belles choses [et] on en a loupé d’autres.»
Martine Aubry est en colère, et cela commence à inquiéter le gouvernement. Mardi 15 juillet, la maire de Lille avait qualifié d'« aberration » l'idée de fusionner les régions Nord - Pas-de-Calais et Picardie. Jeudi matin, Jean-Marie Le Guen, secrétaire d'Etat aux relations avec le Parlement, s'est chargé de répondre sur RTL à l'ancienne candidate aux primaires socialistes :
Le Monde - Réforme territoriale : quelles tractations derrière la nouvelle carte ?
Les députés socialistes ont proposé, mardi 15 juillet, leur propre carte des régions françaises, en ramenant leur nombre de 22 à 13 au lieu des 14 initialement prévues. Mais la carte est loin d'être finalisée.
18 juillet
Le Lab - "Meccano", "Monopoly", "Sims" : les métaphores des élus PS du Nord pour critiquer l’idée d’une fusion Picardie/Nord-Pas-de-Calais
Dans le paysage politique, il y a certaines saillies qui piquent plus que d’autres. Tenue à une certaine réserve depuis sa mairie de Lille, Martine Aubry fait partie de cette catégorie. Alors, quand elle signe, avec de nombreux élus PS du Nord, un communiqué pour dénoncer "l’aberration" que constitue selon elle la fusion de la Picardie et du Nord-Pas-de-Calais, ça ne passe pas inaperçu.
Les Echos - Didier Guillaume (PS) candidat à la présidence du Sénat
Le président du groupe socialiste au Sénat se dit convaincu d’une victoire de la gauche aux sénatoriales de septembre. Il compte prendre la succession de Jean-Pierre Bel à la présidence de la haute assemblée.
Le Monde - Bagarre entre la France et l’Allemagne sur le poste de Moscovici à Bruxelles
Pierre Moscovici n’est pas encore tout à fait fixé sur son sort de commissaire européen. François Hollande pourrait certes confirmer, mercredi 16 juillet, en marge d'un Conseil européen extraordinaire, le choix de son ancien ministre des finances pour la Commission européenne. Mais en raison des réserves de l’Allemagne, il va devoir se battre pour obtenir le portefeuille discrètement espéré par la France : les affaires économiques et monétaires.
17 juillet
Le Monde - Claude Sérillon quitte son poste de conseiller à l'Elysée
Entamé il y a trois mois, le remaniement du cabinet de François Hollande se poursuit, à petites touches. Claude Sérillon vient ainsi de quitter ses fonctions de « conseiller à la présidence de la République », mardi 15 juillet, jour où l'ancien secrétaire général adjoint Emanuel Macron organisait par ailleurs son pot de départ. Cette sortie était envisagée depuis plusieurs semaines dans le cadre de la réorganisation du staff élyséen. Mais l'ancien journaliste s'étant révélé dans un premier temps réticent à quitter sesfonctions, le décret, signé vendredi, n'a été publié au Journal officiel que ce mercredi 16 juillet.
Libé - Aurélie Filippetti chassée du Off par des intermittents
Plus tôt dans la journée, des représentants du mouvement de protestation réunis en collectif ont refusé de rencontrer la ministre, estimant que de «véritables négociations» étaient nécessaires dans le conflit sur la nouvelle convention d'assurance chômage.
Libé - La fusion Nord-Pas-de-Calais - Picardie, une «aberration» pour Aubry
La nouvelle carte concoctée par les députés ne plaît pas à Martine Aubry, qui fustige la fusion de sa région avec la Picardie, «deux régions en grandes difficultés», selon elle
Libé - Réforme territoriale : les députés PS s'accordent sur une nouvelle carte de France
Les responsables socialistes du texte suggèrent désormais de fusionner Poitou-Charentes, Aquitaine et Limousin.
16 juillet
Libé - Hollande : «Tout est sur la table, rien ne sera modifié»
Lors de la traditionnelle interview du 14 Juillet, François Hollande a préféré aux effets d’annonce la réaffirmation de ses choix et une clarification du calendrier des deux années à venir.
14-Juillet : revivez l'interview de François Hollande
Le président de la République répond, lundi 14 juillet, aux questions de Gilles Bouleau (TF1) et de David Pujadas (France 2).
Les décodeurs, Le Monde - 14-Juillet : ce qu'a dit François Hollande
Comme le veut la tradition, le président de la République a donné un entretien télévisé, lundi 14 juillet, répondant aux questions des journalistes de France 2 et TF1, David Pujadas et Gilles Bouleau. François Hollande y a été interrogé sur son bilan mais également sur les prochaines réformes. Florilège de ses réponses.
15 juillet
Libé - Droit de vote des étrangers, Hollande «ne renonce pas»
Le chef de l'Etat a répondu à l'interview du 14 Juillet, après un défilé placé sous le signe des commémorations du centenaire de 14-18.
Le Parti socialiste fait ouvrir son université d'été par un maire dissident
PAS RANCUNIER - Il faut savoir tourner la page, et Jean-Christophe Cambadélis l'a bien compris. Le Premier secrétaire du Parti socialiste ouvrira, le 29 août prochain, l'université d'été du Parti socialiste, en présence de Jean-François Fountaine, maire socialiste de La Rochelle. Jusqu'ici, tout est normal. Sauf que l'édile rochelais s'était présenté, en mars dernier, contre la candidate officiellement choisie par le parti, et était donc ce qu'on appelle un dissident
TOUT COMPTE FAIT - C'est un engagement qu'il avait pris en réaction aux petites habitudes de Nicolas Sarkozy: ne pas recevoir les députés socialistes à l'Elysée. Et finalement, François Hollande n'a plus l'air si convaincu que ça de la nécessité d'une telle règle. Le Parisien raconte le dîner du président dans le 18e arrondissement, le 11 juillet dernier, avec certains de ses amis socialistes