bruno le roux - Page 5
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Bruno Le Roux invité de l'association des journalistes parlementaires
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Bruno Le Roux : "La droite a des problèmes de calculette"
Bruno Le Roux : "La droite a des problèmes de... par FranceInfo -
Bruno Le Roux, député PS de Seine-Saint-Denis, président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale
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Interactiv' : Bruno Le Roux, président du groupe PS à l’Assemblée (2)
Interactiv' : Bruno Le Roux, président du... par franceinter -
Bruno Le Roux réagit à la venue de François Hollande
Bruno Le Roux réagit à la venue de François... par GroupeSRC -
L'actualité des socialistes du 22 au 28 avril
A la une
Le JDD - Comment le PS a adouci sa critique de Merkel
Ciblant trop Merkel, le projet de texte du PS pour sa convention Europe a été adouci. Les attaques ad hominem visant la chancelière ont disparu.L’intervention de Jean-Marc Ayrault n’y est pas pour rien. Mais le ton anti-austérité, lui, reste.
27 et 28 avril
Le JDD - Vers une "confrontation" Hollande-Merkel?
Dans un document de travail, le PS pousse François Hollande à un "affrontement démocratique" avec l'Allemagne d'Angela Merkel, jugée responsables des politiques d'austérité en Europe. Une perspective qui inquiète la droite française, qui juge déplorable les relations actuelles entre les deux pays.
Le Monde - Le PS dénonce "l'intransigeance égoïste de la chancelière Merkel"
L'Europe de la rigueur est une nouvelle fois attaquée. Après des premiers coups venus de l'aile gauche du Parti socialiste, puis, encore plus fortement, du président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, dans un entretien au Monde, c'est désormais le parti qui pointe du doigt cette Europe des conservateurs.
Le Monde - La gauche et ses vieux démons
En plaidant, comme il vient de le faire dans Le Monde, pour une "confrontation" avec l'Allemagne, là où François Hollande préfère parler de "tension amicale", Claude Bartolone remet en scène de façon spectaculaire la tentation de "l'autre politique" récurrente depuis 1983.
La sénatrice et porte-parole du PS Laurence Rossignol maintient son soutien à la loi d’amnistie sociale, malgré la ferme opposition du gouvernement. « Nous sommes fiers de notre vote », affirme-t-elle. Les députés PS ont pour consigne de voter contre le 16 mai. Mais plusieurs voteront pour.
Le Monde - Les promesses brisées de la présidence "normale"
Il avait promis que lui, président de la République, il ne "rencontrerai[t] pas de parlementaires de la majorité à l'Elysée". Un an à peine après le débat de l'entre-deux-tours de la présidentielle, lors duquel il avait égrené ses engagements dans une anaphore restée célèbre, François Hollande est pris à son propre piège à promesses.
Le Monde - Transparence : "Les mesures Hollande n'auraient pas permis d'éviter l'affaire Cahuzac"
Dans un chat sur LeMonde.fr, Éric Halphen, magistrat et président d'honneur d'Anticor, une association de lutte contre la corruption, estime que le contrôle des lobbies est "le problème important" de la vie parlementaire.
Libé - Hollande rentre de Chine, les rumeurs aussi
Par Grégoire Biseau, envoyé spécial en Chine, et Philippe Grangereau, correspondant à PékinLe chef de l’Etat avait entamé jeudi matin sa première visite dans le pays. Récit des grandes et petites histoires de ce voyage.
Le Monde - La colère du MoDem, exclu des primaires PS à Aix et Marseille
Les responsables du MoDem de Marseille ont qualifié vendredi de "totalement irrationnelle" la décision des instances locales du Parti socialiste (PS) de refuser leur participation aux primaires citoyennes de l'opposition organisées pour les prochaines municipales à Aix-en-Provence et Marseille.
Député de la Haute-Garonne, Christophe Borgel, secrétaire national du PS en charge des élections, ne craint pas l'influence du climat national sur le résultat des élections municipales.
Les Echos - Claude Bartolone veut devenir l'homme fort de la majorité
Omniprésent dans les médias, le président PS de l’Assemblée nationale entend s’imposer dans le système Hollande. Le lancement de sa croisade contre la publication du patrimoine des parlementaires au lendemain de l'intervention télévisée du chef de l’Etat sur la transparence de la vie politique avait fortement déplue au « Château ». L’interview de Claude Bartolone au « Monde » ce jeudi suscite cette remarque amusée d’un conseiller de l’Elysée : « C’est je suis prêt au cas où... » Prêt pour Matignon même si - prudent - le président PS de l’Assemblée s’en défend. « Premier ministre, c’est pas une fonction que vous pouvez inscrire dans votre plan de carrière car votre nomination dépend totalement de la situation politique et du choix du président de la République », confiait-il fin février. Peu de gens le croiront.
26 avril
Le Figaro - Le PS veut amender la transparence de Hollande
Le projet de loi sur la moralisation de la vie politique a été adopté en Conseil des ministres. Mais il ne sera pas voté en l'état. L'initiative est sans précédent: les deux présidents PS des commissions des lois de l'Assemblée nationale et du Sénat, Jean-Jacques Urvoas et Jean-Pierre Sueur, ont publié mercredi un communiqué commun pour réaffirmer leur volonté d'élaborer «un mécanisme permettant de concilier transparence, contrôle et respect de la vie privée auquel a droit tout individu». C'est dire la méfiance des parlementaires, qui vont tout faire pour encadrer la publication de leurs déclarations de patrimoine, que le gouvernement les incite à faire.
Acteurs Publics - Scepticisme des élus locaux sur les métropoles
Les 23 et 24 avril, les sénateurs ont auditionné les élus des grandes villes de France sur le premier projet de loi de décentralisation. À la différence des parlementaires, ils ont émis des réserves sur les futures métropoles..... Même son de cloche chez les maires du Rhône. Jean-Paul Bret, édile PS de Villeurbanne, estime qu’“on rend les choses plus compliquées et moins efficaces”, alors que les parlementaires défendent la métropole lyonnaise.
Le Nouvel Obs - Amnistie sociale : Boutih veut un vote interne au PS
La loi votée au Sénat et qui n'a pas été soutenue par le gouvernement "ne peut engager automatiquement les parlementaires socialistes", estime le député de l'Essonne.
Les Echos - Le PS referme la porte à toute amnistie sociale
Gouvernement et députés PS rejettent la proposition de loi communiste. Les tensions liées au mariage gay ont poussé l'exécutif à jouer la fermeté.
Marsactu - Au PS 13, la rénovation se résume aux primaires
Le Monde - Bartolone : "Nous devons envisager le deuxième temps du quinquennat"
Après s'être fortement opposé à la publication du patrimoine des députés, le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, émet de nouveau des réserves sur le projet de loi sur la moralisation de la vie publique, présenté mercredi 24 avril en conseil des ministres. Il plaide également pour un rassemblement de toute la gauche et pour l'engagement du "deuxième temps" du quinquennat, plus centré sur le social.
25 avril
L'Express - Amnistie sociale: le gouvernement dit "non" après avoir dit "bravo"
Au gouvernement ou au PS comme parmi les parlementaires socialistes, l'opposition au texte sur l'amnistie sociale n'est pas aussi unanime que la majorité le souhaiterait. Exemples.
Le Monde - Hollande "abordera certainement" la question des droits de l'homme en Chine
Le président François Hollande "abordera certainement" la question des droits de l'homme au cours de sa visite en Chine jeudi et vendredi, a déclaré le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, mercredi 24 avril. "Mais il le fera avec le souci de l'efficacité et sans esprit de provocation", a-t-il précisé.
FranceTVinfo - Finalement, Hollande reçoit des parlementaires PS à l'Elysée
Lui président de la République, il ne devait pas recevoir les parlementaires de la majorité à l'Elysée. Finalement, entre l'affaire Cahuzac, le dossier moralisation de la vie politique et le contexte économique troublé, les doutes des députés socialistes sont tels que François Hollande a cédé. Selon Le Canard Enchaîné et Europe 1, mercredi 24 avril, le président a reçu une dizaine d'élus socialistes la semaine dernière au palais et devrait faire de ces "apéros du mardi" un rendez-vous régulier.
Le Monde - Affaire Cahuzac : les députés vont enquêter sur l'action du gouvernement
L'Assemblée nationale a décidé de créer une commission d'enquête sur l'action du gouvernement "entre le 4 décembre 2012 et le 2 avril 2013 dans la gestion d'une affaire qui a conduit à la démission d'un membre du gouvernement", à savoir l'affaire Cahuzac.
L'Express - Les députés et sénateurs PS veulent éviter la publication des patrimoines
Dans un communiqué, les présidents PS des commissions des Lois du Sénat et de l'Assemblée nationale appellent à concilier "transparence et respect de la vie privée". Une manière d'échapper à la publication des patrimoines.
Tribune de Lyon - Municipales. La bourgeoisie lyonnaise tentée par le centre gauche
C’est la thèse défendue par un ouvrage qui s’appuie sur des centaines d’entretiens approfondis avec des Lyonnais. Ce qui pourrait avoir des conséquences en 2014 sur le vote dans les 2e et 6e arrondissements....
Le Monde - "Pour un choc de vérité au sein du PS, à gauche et pour la France" Par Jean-Marie Le Guen, Jean Besson, Jean-Pierre Caffet, Christophe Caresche, Jean-David Ciot, Marc Goua, Gilles Savary, Pascal Terrasse (Députés et sénateurs PS)
Nous avons été choqués par l'intervention musclée, au Conseil national du Parti socialiste, de militants d'extrême gauche qui n'ont cessé de refuser tout compromis et tout dialogue social dans leur entreprise. Et nous avons été stupéfaits de voir leurs propos véhéments, déraisonnables et de mauvaise foi contre la politique gouvernementale applaudis par une partie de l'assistance.
24 avril
Le Monde - Lancement de l'opération d'assainissement de la vie publique
Le Conseil des ministres doit déclencher mercredi 24 avril une opération "mains propres" qui ne dit pas son nom, en arrêtant une panoplie de mesures d'assainissement de la vie publique sur laquelle François Hollande joue son autorité face à la fronde des parlementaires, socialistes en tête. La transparence et le contrôle du patrimoine des responsables et la lutte contre la fraude et les paradis fiscaux forment le cœur du dispositif en préparation, trois semaines après les aveux de l'ex-ministre du budget Jérôme Cahuzac sur son compte caché à l'étranger.
Libé (abonnés) - L’exécutif affiche une petite moralisation
Fraude . Les mesures anticorruption annoncées par le Président sont insuffisantes pour certains magistrats. Par Violette Lazard
Il y a eu l’affaire Cahuzac. Puis, en chaîne, une foule d’annonces, la publication par les ministres de leur patrimoine et des grandes promesses sur la lutte judiciaire contre la corruption. Alors qu’un projet de loi sur la moralisation de la vie politique doit être présenté ce matin en Conseil des ministres, une quarantaine de magistrats spécialisés dans la lutte contre la grande délinquance financière lancent un appel au président de la République (lire p. 23).Le JDD - Ayrault propose un deal aux députés PS
Après avoir entendu leurs frustrations la veille, Jean-Marc Ayrault s'est engagé mardi devant les députés socialistes à leur donner davantage de considération. Un geste pour lequel il a réclamé une contrepartie.
Le Monde (abonnés) - Le manifeste "anti-aile gauche" de plusieurs élus PS
Après la grogne de l'aile gauche du PS, la réaction de l'aile droite ? Une dizaine de parlementaires socialistes, dont les députés Jean-Marie Le Guen, Pascal Terrasse, Christophe Caresche ou encore le sénateur Jean-Pierre Caffet, se fendent d'une tribune acerbe sur Lemonde.fr pour plaider "un choc de vérité au sein du PS, à gauche et pour la France". Et, dans le même mouvement, fustiger ceux de leurs camarades qui ces jours-ci accentuent leur critique de la politique gouvernementale.
Le Monde (abonnés) - Bruno Le Roux, le "jeune vieux briscard" face aux turbulences du groupe PS
Ces derniers jours, un court article du Point circulait entre les mains des ministres. A lire, une "confidence" du président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, agacé de "la panique à l'Elysée", où "ils ne contrôlent plus rien !". Fidèle parmi les fidèles "hollandais", Bruno Le Roux serait-il, lui aussi, gagné par le doute? Si l'intéressé a officiellement démenti ces propos, une des nouvelles figures de l'Assemblée l'assure : "En ce moment, il tire vraiment la tronche."
Maintenant la Gauche - Retrouvez le plan de relance écologique et social
23 avril
Libé (abonnés) - Séminaire de réfection entre les députés socialistes et le gouvernement
Une journée de réflexion visait hier à ressouder des élus PS divisés sur plusieurs dossiers. Par Lilian Alemagna et Laure Bretton
Acent sur un divan. Les députés socialistes ont passé la journée d’hier en thérapie de groupe à l’Assemblée nationale - une première depuis le début du quinquennat. De quoi déballer ressentis et ressentiments après onze mois de gauche au pouvoir.Com'c'est bizarre - Crise de popularité et menace de la rue : comment reprendre la main ?
Désormais au fond de la piscine de la popularité, François Hollande peut-il espérer un rebond automatique ? Ou doit-il craindre, au contraire, ce «mai 2013» que l’opposition appelle de ses voeux ? Si le déficit de confiance s’explique avant tout par la montée du chômage et la peur de la crise, il est désormais suffisamment prononcé pour justifier les dérapages extrémistes dans la rue.
Le président de la République (photo Reuters) pourrait utilement méditer l’expérience de deux de ses prédécesseurs, François Mitterrand et Nicolas Sarkozy, qui, confrontés à la même crise d’opinion, ont réagi par la reprise en main de l’agenda.Le Nouvel Obs - Boutih : "Copé est dangereux pour la droite républicaine"
Après que certains élus UMP ont manifesté dimanche aux côtés de membres du FN contre le mariage pour tous, le député PS de l'Essonne analyse les fractures de la droite.
LE PLUS. Tout le monde se souvient d'un François Hollande mince, déterminé, candidat à la présidence de la République. Aujourd'hui chef d'État, il semblerait que l'ex-président du conseil général de la Corrèze se soucie beaucoup moins de son poids. Et si ce yo-yo des kilos en disait long sur sa politique ? Analyse du communicant Claude Posternak.
Le Monde - Au PS, un séminaire pour atténuer le mécontentement des troupes
Près de la moitié des 293 députés du groupe PS, le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, et "la moitié du gouvernement" ont passé la journée de lundi 22 avril à l'Assemblée nationale pour un "séminaire de réflexion" à huis clos afin de discuter de la manière dont travaillent le parti et l'exécutif. Cette rencontre, la première du type depuis l'élection de François Hollande il y a près d'un an, a lieu alors que les relations entre les parlementaires et l'exécutif sont particulièrement tendues.
L'Express - Séminaire: les députés PS avaient beaucoup de choses à dire à Ayrault
Au terme d'une journée d'échanges "francs, loyaux et lucides" avec le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, les élus socialistes ont le sentiment d'avoir vidé leur sac. A voir maintenant comment l'exécutif va digérer tout cela.
Le Monde - Le Sénat adopte le projet de loi sur l'emploi malgré un coup d'éclat des communistes
Le Sénat a adopté, dans la nuit de samedi à dimanche, le projet de loi sur l'emploi, au terme d'un débat agité. Le gouvernement avait en effet décidé d'utiliser un vote bloqué pour faire accélérer les débats ce qui a déclenché la fureur des sénateurs communistes qui ont retiré tous leurs amendements et quitté l'hémicycle.
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L'actualité des socialistes du 18 au 25 mars (mise a jour)
A la une :
Le document se veut un "corps de pensée globale sur l'écologie", un "texte de référence" pour les socialistes. Sa principale rédactrice, Laurence Rossignol, secrétaire nationale du PS à l'écologie et au développement, ambitionne de repositionner au cœur du projet socialiste la transition écologique. L'intention constitue une forme de rupture, car les socialistes ont délaissé jusque-là ces thématiques, préférant les déléguer aux partis écologistes, leurs alliés.
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Le Parisien - Les attaques de Mélenchon contre Moscovici révulsent le PS
«Qu'ils dégagent tous», «salopards», «échec du gouvernement»"... Le vocabulaire utilisé samedi lors du 3e Congrès, à Bordeaux (Gironde), du Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon a traduit une radicalisation provoquant de vifs échanges avec le PS. Le secrétaire national du PG, François Delapierre, s’est ainsi attaqué au ministre de l'Économie, Pierre Moscovici, avec cette phrase : «Dans ces 17 salopards, il y a un Français, il a un nom, il a une adresse, il s'appelle Pierre Moscovici et il est membre du Parti socialiste»
Libé - Le Parti socialiste débat en vue de réussir sa «transition écologique»
Le Parti socialiste a débattu samedi à Paris de sa «transition écologique», à partir d’un texte qui soutient la politique du gouvernement, notamment sur le nucléaire, invite à repenser le rapport à la croissance, et se montre ferme sur les gaz de schiste.
Le Nouvel Obs - "La seule constance de Mélenchon, c'est sa dérive"
Le socialiste Luc Carvounas revient sur les relations du PS avec la formation de Jean-Luc Mélenchon à l'occasion du congrès du Parti de Gauche. Interview.
Le Monde - Affaire Bettencourt : Taubira monte au créneau pour défendre les magistrats
Alors que les proches de Nicolas Sarkozy ont mis en cause le juge qui l'a mis en examen pour abus de faiblesse, la ministre de la justice, Christiane Taubira, a soutenu publiquement les magistrats, soulignant "que l'indépendance de l'autorité judiciaire est garantie par la Constitution". Elle regrette également "tout propos qui porterait atteinte à l'honneur des juges et assure les magistrats qui seraient mis en cause de son soutien". "Les juges d'instruction sont des magistrats du siège qui assurent leur mission en toute indépendance et conformément au droit", souligne-t-elle.
Le Monde (blog) - La fin des 75 % : tout un symbole !
Finie ! Enterrée ! Il n’y aura pas de taxe à 75 % sur les très hauts revenus. Cela ne veut pas dire que le gouvernement a renoncé à imposer les plus riches le temps du redressement. Simplement, il le fera avec un peu plus de modération qu’annoncé, et dans le respect des institutions.
Dix mois après le retour de la gauche au pouvoir, les juristes du Conseil d’Etat peuvent bicher. Ils ont retrouvé un rôle politique. Ils sont redevenus le conseil du roi. C’est eux qui tiennent la plume du roi Hollande, eux qui lui disent que 66,66 % serait un taux maximum.
Le Monde - Hollande interviendra sur France 2 le 28 mars
Le chef de l'Etat sera l'invité exceptionnel de France 2, jeudi 28 mars à 20 h 15, et répondra pendant environ quarante-cinq minutes aux questions du journaliste David Pujadas.
Cette intervention télévisée, évoquée depuis plusieurs jours, est très attendue, notamment dans la majorité socialiste, alors que les sondages sont mauvais pour l'exécutif, sur fond de crise économique, de rigueur budgétaire et de chômage endémique.
France 24 - Cambadélis: "La pluralité des mises en cause provoquera la colère de l'opinion"
Le député PS de Paris Christophe Cambadélis a averti vendredi que "la pluralité des mises en cause" d'hommes politiques risquait de provoquer "la colère de l'opinion".
MarsActu - Les métropolitains font leur GAM pour les municipales
Dans la foulée du succès de leur manifeste métropolitain, le tandem Viard-Boulesteix lance des groupes d'actions métropolitains (GAM) en vue des prochaines élections locales. Calqués sur des expériences similaires des années 60/70, ils visent à développer le débat - notamment via le numérique - et plus si affinités.
Le Monde - L'Elysée, bastion de sérénité dans une France à cran
Evidemment, il a eu l'air "agacé". Comme tout un chacun l'aurait fait, il a demandé "qui a bien pu dire ça". Mais, mardi 5 mars au soir, quand il a lu à la une du Canard Enchaîné ce gros titre en lettres rouges, ""Pépère", le surnom de Hollande à l'Elysée", le président de la République n'a pas paru plus ébranlé que ça. "Une fois de plus, il m'a impressionné par son équanimité, raconte un conseiller présent ce soir-là. Vous imaginez le psychodrame que ça aurait fait sous Sarkozy ?"
22 mars
Libé- Impôt à 75% : la douloureuse est pour Hollande
La promesse de campagne devrait rester lettre morte après un avis du Conseil d’Etat. Un nouveau revers pour l’Elysée. Par Grégoire Biseau
Elle était déjà moribonde, la voilà définitivement enterrée : la taxe des 75% pour les revenus de plus d’un million d’euros est morte. Le décès n’est certes pas encore officialisé. Ni l’Elysée ni Matignon n’ont souhaité publier de faire-part. Hier, c’était Bercy qui devait s’y coller. Mais finalement, il n’y aura pas de communiqué.Libé (abonnés) - Le casse-tête d’une nouvelle taxe
Décryptage L’adoption d’un taux moins important ne changerait que faiblement le niveau d’imposition actuel. Par christophe Alix
Après l’avis du Conseil d’Etat, le gouvernement est loin d’être sorti du casse-tête juridico-politique de sa taxe exceptionnelle sur les très hauts revenus.Le Figaro - Sarkozy : "grave" (Assouline, PS)
David Assouline, porte-parole du Parti socialiste, a jugé jeudi soir que l'objet de la mise en examen de Nicolas Sarkozy était "grave pour un ancien président de la République" tout en appelant à respecter la "présomption d'innocence".
Lyon Capitale - Décentralisation : Queyranne dénonce un projet "ringard"
Après Gérard Collomb, qui brocarde la "connerie" de taxe à 75%, c’est autour d’un autre socialiste régional de premier plan de monter au créneau contre un projet du gouvernement Hollande : le président de la première Région (hors Paris) de France, Jean-Jack Queyranne, n’est pas du tout en phase avec les arbitrages annoncés sur "l’acte III de la décentralisation". Si la virulence de Collomb ne surprend plus personne, celle de Queyranne est en revanche très inhabituelle. Car l’ancien ministre de l’Intérieur est au contraire réputé pour son flegme et son sens de la mesure… Mais là, il est fâché. Et tient à le faire savoir.
La Croix - Comment les socialistes voient la famille
Depuis plusieurs années déjà, le Parti socialiste a tenu à s’approprier le thème de la famille. Teintée d’un fort libéralisme culturel, sa vision diverge de celle de l’UMP, sans être toujours consensuelle. Il préfère suivre les évolutions de société que de défendre un principe normatif durable.
Libé - Taxe à 75% : le casse-tête continue
Décryptage Le Conseil d'Etat pourrait préconiser une taxation sous la barre des 68% pour les très hauts revenus, nouvel accroc à la promesse de François Hollande. Le point. Par DOMINIQUE ALBERTINI
Le feuilleton de la taxe à 75% continue. Après la censure d'une première version du texte par le Conseil constitutionnel en décembre, le gouvernement attend l'avis du Conseil d'Etat avant de produire une nouvelle mouture de cette promesse de campagne.Le Monde - Le PS met sa fédération des Bouches-du-Rhône sous tutelle
C'est son premier acte d'autorité et il ne sera pas sans conséquences. Mardi 19 mars, le premier secrétaire du PS, Harlem Désir, souvent accusé d'immobilisme, a décidé de frapper fort en mettant sous tutelle la direction de la puissante fédération socialiste des Bouches-du-Rhône, estimant que ses "divisions" et ses "dysfonctionnements" sont "un obstacle à la bonne préparation" des élections municipales à Marseille et à Aix-en-Provence en 2014. M. Désir a pris sa décision seul avec sa garde rapprochée, sans en informer au préalable les instances locales, avant de faire voter la mise sous tutelle par le bureau national du parti.
21 mars
Public Sénat - Le cas Cahuzac tranché en "trois heures", indique Bruno Le Roux
Bruno le Roux, chef de file des députés PS, a souligné mercredi qu'il n'avait fallu que trois heures pour trancher le cas de Jérôme Cahuzac, voulant marquer une différence avec le départ du ministre UMP Eric Woerth. "C'est une affaire très personnelle, elle n'engage pas le gouvernement", a fait valoir l'élu de Seine-Saint-Denis, interrogé par Canal + sur l'affaire du présumé compte suisse de l'ex-ministre du budget et sur sa démission.
L'Humanité - Motion de censure: l'aile gauche du PS souhaite "un grand plan de relance"
"Maintenant la Gauche", l'aile gauche du PS, a invité Jean-Marc Ayrault, à "annoncer au plus vite un grand plan de relance, de croissance et de l'emploi". Le courant rejoint la position du Front de gauche et des Verts, qui ne voteront pas la censure mais profitent de cette tribune pour appeler à rompre avec les logiques d’austérité
La mise sous tutelle de la fédération socialiste des Bouches-du-Rhône satisfait largement le vice-président du conseil général Michel Pezet. Les secrétaires nationaux Alain Fontanel et Christophe Borgel dirigeront la structure jusqu'au 21 mars 2014. De quoi garantir une primaire "non pipée" pour les municipales, estime l'élu.
Le Monde - Jérôme Cahuzac démissionne du gouvernement en réaffirmant son "innocence"
Quelques heures après l'annonce par le parquet de Paris de l'ouverture d'une information judiciaire contre X, notamment pour blanchiment de fraude fiscale, le ministre du budget, Jérôme Cahuzac, a démissionné du gouvernement. "François Hollande a mis fin aux fonctions de Jérôme Cahuzac à sa demande", a indiqué un communiqué de l'Elysée.
POLÉMIQUE - La filiale immobilier du groupe Vinci construira une tour de 170 mètres à la Part-Dieu. L'annonce en a été faite lors du salon de l'immobilier d'entreprises, le MIPIM, à Cannes. Cette annonce confirme la mainmise du groupe de BTP sur la ville.
Lyon Capitale - Collomb : l'impôt à 75 % ? "Une connerie à oublier !"
"On ne relancera pas l'économie sans un minimum d'empathie pour les entreprises." Gérard Collomb appelle le président Hollande à "être clair" avec les entreprises, dans une interview au "Monde" de mercredi. A ses yeux, François Hollande fait face aux problèmes de compétitivité de la France "à la façon hollandaise". Trop prudemment.
Le 20 mars
Jérôme Cahuzac n’avait pas le choix. Certes, aucun magistrat, aucun journaliste ne pouvait le pousser à démissionner. Aucune règle ni aucun usage ne pouvaient le contraindre à abandonner son maroquin. Sa responsabilité politique et morale lui commandait simplement de quitter Bercy. Pour que son fardeau judiciaire ne soit pas celui du gouvernement et qu’il n’impose pas à François Hollande et Jean-Marc Ayrault les tourments des affaires qu’ont connus les pouvoirs successifs depuis trois décennies
Le Monde, Françoise Fressoz - La gauche et le devoir de probité
Jérôme Cahuzac a démissionné pour "se défendre", en clamant son innocence et en ayant évité les lazzis de l'opposition qui, jusqu'à présent, aura été d'une discrétion exemplaire à son égard. C'est sa seule consolation. Car pour le reste, quelle déflagration ! Le départ du gouvernement du ministre du budget, quelques heures à peine après l'annonce par le parquet de Paris de l'ouverture d'une information judiciaire contre X, notamment pour blanchiment de fraude fiscale, ne pouvait plus mal tomber pour François Hollande.
Libé - Cahuzac : Hollande tranche dans le vif
Le ministre du Budget a été poussé à la démission, hier, après l’ouverture d’une information judiciaire sur un éventuel compte en Suisse. Par Grégoire Biseau et Laure Bretton
Trois petites heures. C’est exactement le temps qu’il a fallu pour scier la branche Cahuzac. C’est-à-dire la période qui s’est écoulée entre l’annonce hier en milieu d’après-midi de l’ouverture d’une information judiciaire et celle d’un remaniement qui scelle le débarquement du ministre du Budget.France Info - Le PS met sous tutelle sa fédération des Bouches-du-Rhône
Le bureau national du PS a approuvé ce mardi la mise sous tutelle de la fédération des Bouches-du-Rhône. Une décision prise "en raison des grandes divisions qu'elle connaît", notamment plusieurs affaires de corruption. La proposition émanée du Premier secrétaire, Harlem Désir
Le Monde - Le PS va voter la mise sous tutelle de sa fédération des Bouches-du-Rhône
Selon nos informations, Harlem Désir, le premier secrétaire du PS, va proposer au bureau national du parti, mardi 19 mars, "la mise sous tutelle de la direction de la fédération socialiste des Bouches-du-Rhône en raison du grave climat de division qui existe dans cette fédération", explique un de ses proches. Cette proposition doit être soumise au vote.
Libé - Ayrault à la recherche du ton perdu
Décryptage Si la motion de censure UMP n’a aucune chance d’être adoptée à l’Assemblée mercredi, le Premier ministre peine toujours à s’imposer, auprès des Français comme dans son propre camp. Par LAURE BRETTON
Une illusion d’optique. Débattue mercredi à l’Assemblée, la motion de censure déposée par l’UMP va offrir un joli moment de paradoxe politique à la majorité et à son chef, Jean-Marc Ayrault. «Les communistes vont la rejeter, les verts vont lui tresser des lauriers : le Premier ministre va avoir enfin toute la gauche unie derrière lui alors qu’on est retombés en plein doute», observe un parlementaire PS.19 mars
Le Monde - Vers une baisse des allocations familiales pour les ménages aisés
Le rapporteur du budget de la Sécurité sociale à l'Assemblée Gérard Bapt (PS) préconise de diviser par deux les allocations familiales des ménages aisés, dans le cadre d'économie sur les prestations familiales, au cours d'un entretien publié mardi 19 mars dans Les Echos.
Le Monde - Les peines plancher seront abrogées selon Taubira
"Les peines plancher seront abrogées. Si on me donne un ordre contraire, j'aviserai à ce moment-là. Pour l'instant, je ne l'ai pas !", répond la garde des sceaux à une question sur ce sujet dans un entretien à Libération mardi.
Libé (abonnés) - «Mon souci, faire utile et efficace»
Interview Invitée de «Libération» hier, la garde des Sceaux, Christiane Taubira, a évoqué la cohésion gouvernementale, ses convictions ou la réforme de la justice pénale.
Hier à Libération. «Je suis disciplinée visàvis de ce gouvernement», assure la ministre. (Photo Jérôme Bonnet pour Libération) Après le ministre de l’Education, Vincent Peillon, Christiane Taubira était hier l’invitée de Libération. La ministre du mariage pour tous, nouvelle icône de la gauche, définit un subtil équilibre entre ses convictions «vieilles de trente ans» et la nécessaire solidarité gouvernementale.
Libé - Au gouvernement, la théorie du chahut
Les difficultés d’Ayrault à asseoir sa légitimité favorisent la guerre des ego observée parmi les ministres. Par LAURE BRETTON
Les mots sortent de la bouche d’un ministre qui assume le risque de «parler comme un vieux con» : «Nous sommes arrivés au moment où chaque membre du gouvernement doit se poser une question à la Kennedy : "Qu’est ce que je peux faire pour la cohérence et la réussite collective ?"» Une pause et puis : «La première réponse, c’est peut-être se taire…»Les députés s’apprêtent à adopter le projet de loi sur l’école
Les députés devraient adopter mardi en première lecture, après plus de quarante heures de débats la semaine dernière, le projet de loi pour la «refondation de l’école de la République» porté par Vincent Peillon et traduisant plusieurs promesses de François Hollande.
Le Monde, Les Décodeurs - Dette, retraites, Bundesrat allemand : Gérard Collomb passé au décodeur
Le sénateur et maire de Lyon, Gérard Collomb, était l’invité, dimanche 17 mars, de Tous Politiques, sur France Inter. Comme à chaque édition, nous avons vérifié quelques-uns de ses propos.
Libé - Le PS éliminé de la législative partielle dans l'Oise
La candidate du Parti socialiste a été éliminée dimanche au premier tour de la législative partielle dans la 2e circonscription de l’Oise, laissant la voie libre au FN pour un duel avec le député sortant de l’UMP Jean-François Mancel, alors que l’exécutif est au plus bas dans les sondages. Le PS a réagi dans la soirée, disant «(prendre) acte» de l’élimination de sa candidate, Sylvie Houssin, et a appelé «sans hésitation à faire barrage au Front national» lors du second tour.
Le Monde - Rythmes scolaires : Aubry repousse l'application de la réforme à Lille à 2014
Le conseil municipal de Lille vote, lundi 17 mars, sur le calendrier de la réforme des rythmes scolaires. Martine Aubry, maire PS, explique au Monde pourquoi elle attendra 2014 pour l'appliquer. Après Lyon et Montpellier, c'est une nouvelle grande ville de gauche qui souhaite reporter la réforme du ministre de l'éducation nationale, Vincent Peillon.
A perdre la raison - Une soirée chez Arnaud Montebourg
Mercredi 13, Arnaud Montebourg nous a reçu à Bercy, une dizaine de blogueurs et twittos étaient présents, pour un échange forcément trop court d'à peine une heure là où il en aurait fallu deux fois plus. Nous avons fait un tour d'horizon assez large mais rapide, trop rapide, de son activité, on a pu évoquer : Renault, le Made in France, le diesel, le french bashing, le pacte de compétitivité, les relocalisations, la BCE, les voitures électriques, l'implantation en France des sociétés étrangères.
18 mars
Le Monde - Hollande défend la décentralisation, "facteur de développement"
A l'occasion de l'inauguration d'un pont sur la Garonne à Bordeaux, François Hollande a fait l'éloge de la décentralisation, "facteur de développement et d'aménagement", pour développer les infrastructures de transport.
"Nous changeons d'époque, non pas parce qu'il y a la crise mais parce que nous sommes face à une mutation du monde et que la France a tous les atouts pour réussir. C'est aussi la signification de ce pont", a déclaré le chef de l'Etat, samedi 16 mars.Libé - Montebourg affirme avoir sauvé 60.000 emplois
Arnaud Montebourg espère que la hausse de l’euro ne pénalisera pas la France et affirme, dans un entretien au Journal du dimanche (JDD), que son ministère du Redressement productif a permis de préserver près de 60.000 emplois en moins d’un an.
Rue 89 - Dans un troisième mandat, Gérard Collomb imagine faire de Lyon la « ville du futur »
Quand on vous parle de ville intelligente, hyperconnectée, ça vous excite ? Gérard Collomb pose la question en présentant une série de projets (GPS pour esquiver les bouchons, méga haut débit partout…), qui mêle ce que l’actuel maire PS de Lyon, en quête d’un troisième mandat, veut mettre en avant dans sa prochaine campagne : économie, innovation…
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Motion de censure : Bruno Le Roux
Motion de censure : Bruno Le Roux dénonce une... par GroupeSRC -
Bruno Le Roux : conférence de presse du 12 mars 2013
Bruno Le Roux : conférence de presse du 12 mars... par GroupeSRC -
BFM Politique : l'After RMC, Bruno Le Roux
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BFM Politique : l’interview BFM business, Bruno Le Roux
BFM Politique : l’interview BFM business, Bruno... par BFMTV