Pour François Rebsamen, François Hollande "est... par franceinfo
actualité - Page 310
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Pour François Rebsamen, François Hollande "est le seul capable de rassembler la gauche"
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Le Figaro - Christian Paul veut «tourner la page du PS»
Dans Les Îles et l'Archipel : pourquoi la gauche (re)vivra, le chef de file des frondeurs se projette dans l'après-2017. Il juge que «le fil s'est rompu entre le monarque républicain et le peuple souverain».
Les grandes manœuvres peuvent commencer. Alors que de nombreux cadres socialistes se consacrent pleinement à leurs ambitions présidentielles, d'autres à gauche semblent avoir déjà assimilé l'idée d'une défaite et paraissent plus préoccupés par l'après-2017. C'est notamment le cas du député de la Nièvre et chef de file des frondeurs, Christian Paul, qui publie ce mardi un livre intitulé Les Îles et l'Archipel: pourquoi la gauche (re)vivra, où il étrille François Hollande et esquisse l'avenir de son parti.
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Retrouvez l'intervention de Johanna Rolland à l'Université de l'Engagement du Mans - Samedi 5 novembre
Retrouvez l'intervention de Johanna Rolland à l... par PartiSocialiste -
L'actualité des socialistes du 28 octobre au 3 novembre
A LA UNE : ALAIN TOURAINE
Bibliobs - Alain Touraine, cet optimiste qui veut réconcilier Manuel Valls et Nuit debout
Dans son dernier essai, le sociologue dénonce le gauchisme autant que le capitalisme rentier. Et rêve d'un projet moderniste.
« Le Nouveau Siècle politique», le dernier livre d'Alain Touraine, est une analyse en forme de plaidoyer. Le sociologue appartient aux fondateurs de la sociologie française de l'après-guerre, issue d'un savant mélange d'excellence académique, d'immersion sur le terrain et de fréquentation de la sociologie américaine. A 91 ans, il rappelle que sa génération a toujours son mot à dire sur les évolutions contemporaines.
LAURENT BOUVET
Le Figaro - La gauche survivra-t-elle à François Hollande ?
Avec 4% d'opinions favorables, François Hollande chute lourdement dans les sondages. Pour Laurent Bouvet, le président de la République a précipité dans l'abîme toute la gauche française de gouvernement.
FIGAROVOX. - Avec 4% d'opinions favorables, le chef de l'État est en passe de redevenir «Monsieur 3%», comme en 2011. Au-delà du personnage de François Hollande, que dit ce chiffre sans précédent sur l'état de la gauche de gouvernement?
Laurent BOUVET. - Le fait que François Hollande, président de la République, soit quasiment redescendu au score dans l'opinion qui était le sien avant qu'il devienne le favori pour la présidentielle en 2011 - c'est-à-dire avant la sortie de la course de Dominique Strauss-Kahn en mai à New York - est un symbole très fort de ce qu'il a fait de la responsabilité que lui ont confié les Français. Le sentiment de gâchis, à gauche, et sans doute au-delà, est terrible. Et évidemment, il a précipité avec lui dans l'abîme, même s'il n'en est assurément pas le seul responsable, toute la gauche de gouvernement française. Il a sans doute aussi achevé le PS tel qu'il était jusqu'ici et dont il a été le premier secrétaire pendant 11 ans.
PAUL ALLIES
Paul Alliès- Les limites des Primaires
Le débat en cours sur et dans la Primaire de la Droite porte sur leurs limites politiques: doivent-elles aller jusqu'à l'électorat de gauche et de l'extrême-droite ? Ce faisant ce débat occulte un autre type de limite, celle sociale, de la population qui s'intéresse à elle et y participe.La polémique sur l'espace politique est assez vaine. Les Primaires ouvertes partent du principe qu'elles ne sauraient se fonder sur une discrimination idéologique quelconque. Tous les citoyens inscrits sur les listes électorales (et parfois quelques autres catégories) peuvent librement y participer. Les partis organisateurs ont trouvé une formule pour limiter les risques de leur instrumentalisation par leurs adversaires. C'est la déclaration de principe préalable au vote lui-même par laquelle l'électeur dit partager "les valeurs républicaines de la droite et du centre" ou se reconnaitre "dans les valeurs de la Gauche et des écologistes" (formulation officielle des deux Primaires de 2016).SONDAGESelon notre sondage Kantar Sofres OnePoint pour Le Figaro, LCI et RTL, François Hollande est éliminé dans tous les cas de figure dès le premier tour de la présidentielle, systématiquement devancé par les candidats de la droite et du FN, mais aussi par Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon. Manuel Valls, quant à lui, ne fait pas mieux que le chef de l'État.RASSEMBLEMENTValls, Le Foll ou encore Cambadélis ont appelé leur famille politique à ne pas se diviser. Le refrain pourrait s’entendre si l’exécutif n’était pas le premier responsable de cet éclatement de la gauche à quelques mois de la présidentielle.MARIANNEIl a vu partir sa sœur pour les terres de l’Etat islamique (EI) et, après deux années de silence, Amine Elbahi prend la parole pour dire cette colère que la République n’a pas su ou pas pu retenir. Bonne élève, elle s’ennuyait à la faculté de droit et a choisi la radicalisation. Pourquoi Marianne n’a-t-elle pas su ou pas pu la retenir? La panne de l’ascenseur social, les barrières à franchir quand on vient des «quartiers» et que l’on porte un nom qui dit que l’on n’est pas «gaulois», la volonté de dénoncer clairement ou subrepticement «eux» par rapport à «nous», comme le soulignent Karim Amellal et Béligh Nabli ? Tout cela y concourt. L’EI mène une offensive idéologique violente et les valeurs de la République se trouvent menacées. Amine Elbahi, 20 ans, va dans les écoles expliquer aux enfants et adolescents les raisons pour lesquelles il faut aujourd’hui se battre pour défendre la liberté, l’égalité et la fraternité, auxquelles Karim Amellal et Béligh Nabli proposent d’ajouter la laïcité comme valeur fondatriceREVENU DE BASEUn revenu versé à tous, sans condition ni contrepartie ? Longtemps cantonnée aux débats intellectuels, l'idée séduit désormais de plus en plus de partis politiques ou de mouvements citoyens en Europe. La plupart des partis Verts européens la défendent, en Espagne, elle figure sur la plateforme de Podemos. En avril 2015, en Finlande, la victoire du parti du Centre aux élections législatives a amené au pouvoir une formation dont le programme prévoit l'expérimentation d'un revenu de base. En revanche, en Suisse, l'initiative populaire qui a conduit à un référendum sur la question en juin 2016 s'est soldée par un rejet, à 76,9%, du revenu inconditionnel.PIKETTYLe fondateur de la Nouvelle Gauche a interpellé l’économiste sur son intention d’aller voter Alain Juppé à la primaire de la droite. Ce dernier lui répond et l’interroge sur les intentions de Mélenchon, que Hoang-Ngoc soutient.NATHALIE PERRIN-GILBERTCNILLa CNIL a épinglé le Parti socialiste en raison de manquements graves à la protection des données personnelles, après avoir constaté que les mesures élémentaires de sécurité n'avaient pas été mises en oeuvre sur la plateforme gérant les primo-adhésions au parti. Une faille du système pouvait entraîner une fuite sur les coordonnées de plusieurs dizaines de milliers d'adhérents.USA -
L'édito de Jean-Christophe Cambadélis - épisode 16 : "Le nationalisme xénophobe est en marche"
L'édito de Jean-Christophe Cambadélis - épisode... par PartiSocialisteDans ce nouvel édito, Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti socialiste, décrypte les enjeux de l'élection présidentielle américaine où va se jouer "une part du destin des nations". Il relève que le discours de Trump avec ses outrances, un nationalisme exacerbé et des relents de sexisme et de racisme est majoritaire dans une partie des Etats-Unis, un phénomène à rapprocher du Brexit, où la question de l'immigration était plus en cause que la question de l'adhésion ou non à l'Europe.
Ce mouvement, que l'on constate aussi en Allemagne, en Hongrie et dans le nord de l'Europe, pourrait se retrouver en France avec le nationalisme xénophobe de Marine Le Pen. C'est pour cette raison qu'il faut scruter avec attention le résultat des élections américaines de cette semaine. -
Retrouvez l'intervention de Jean-Christophe Cambadélis à l'Université de l'Engagement du Mans - Samedi 5 novembre
Retrouvez l'intervention de Jean-Christophe... par PartiSocialiste -
Le débat - La rigueur : l'éternelle parenthèse ? - Un monde en docs (29/10/2016)
1983, la France prend le tournant de la rigueur. Une parenthèse, selon les termes employés à l'époque. Pourtant, la France est-elle jamais sortie de la rigueur ? Comment les politiques oscillent-ils aujourd'hui encore entre promesses de réformes et réalité de gouvernement ? Comment la gauche se heurte-t-elle aujourd'hui à l'exercice du pouvoir ? Les règles budgétaires imposées par l'Union Européenne nous laissent-elles les moyens de nos ambitions ?
Avec :
Eric COQUEREL : Porte-parole et coordinateur politique du Parti de Gauche,
Corinne NARASSIGUIN : Porte-parole du Parti socialiste,
Jean ARTHUIS : Député européen (groupe centriste), Ancien ministre de l'économie et des finance.
Présenté par Nora HAMADI.
le débat - La rigueur : l'éternelle parenthèse... par publicsenat -
Benoît Hamon était l'invité de RTL le 7 novembre 2016
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Libé - Primaire PS : les pro-Hollande, mauvais perdants en devenir ?
La primaire de la Belle Alliance populaire approche et les sondages se multiplient : le match s’annonce serré entre François Hollande - s’il est candidat - et Arnaud Montebourg, déjà en lice. Pour le moment, le troisième homme, Benoît Hamon, est à la traîne. Mais il reste du chemin, et les imprévus ne sont pas impossibles : les candidats ont jusqu’au 15 décembre pour se déclarer et le vote aura lieu les 22 et 29 janvier. Ces derniers jours, on a interrogé les membres du PS afin de prendre la température.
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Libé - Le programme commun de la droite menace la république sociale Par Guillaume BACHELAY, Député de Seine-Maritime , Frédérique Espagnac, Sénatrice des Pyrénées-Atlantiques et Sébastien Denaja , Député de l'Hérault
Dans le sillage du deuxième débat de la primaire à droite, une cinquantaine d'élu.e.s socialistes, notamment du premier cercle de François Hollande, dénoncent un projet commun inégalitaire, autoritaire, ainsi qu'une absence de préoccupation écologique.
Il faut reconnaître aux débats de la primaire de la droite un mérite réel quoique non désiré par ses participants : ils dévoilent, par-delà les ego déchaînés et les postures surjouées, leur projet commun, libéral et anti-social. On nous avait promis une confrontation de visions pour l’avenir, on nous propose un grand bond en arrière. La primaire de la droite, c’est «la caméra explore le temps» : à chaque émission, les téléspectateurs ont l’impression d’assister à un conseil des ministres de 1986, 1993, 1995 ou 2007.
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L'actualité des socialistes du 28 octobre au 3 novembre
A LA UNE : ALAIN TOURAINE
Bibliobs - Alain Touraine, cet optimiste qui veut réconcilier Manuel Valls et Nuit debout
Dans son dernier essai, le sociologue dénonce le gauchisme autant que le capitalisme rentier. Et rêve d'un projet moderniste.
« Le Nouveau Siècle politique», le dernier livre d'Alain Touraine, est une analyse en forme de plaidoyer. Le sociologue appartient aux fondateurs de la sociologie française de l'après-guerre, issue d'un savant mélange d'excellence académique, d'immersion sur le terrain et de fréquentation de la sociologie américaine. A 91 ans, il rappelle que sa génération a toujours son mot à dire sur les évolutions contemporaines.
LAURENT BOUVET
Le Figaro - La gauche survivra-t-elle à François Hollande ?
Avec 4% d'opinions favorables, François Hollande chute lourdement dans les sondages. Pour Laurent Bouvet, le président de la République a précipité dans l'abîme toute la gauche française de gouvernement.
FIGAROVOX. - Avec 4% d'opinions favorables, le chef de l'État est en passe de redevenir «Monsieur 3%», comme en 2011. Au-delà du personnage de François Hollande, que dit ce chiffre sans précédent sur l'état de la gauche de gouvernement?
Laurent BOUVET. - Le fait que François Hollande, président de la République, soit quasiment redescendu au score dans l'opinion qui était le sien avant qu'il devienne le favori pour la présidentielle en 2011 - c'est-à-dire avant la sortie de la course de Dominique Strauss-Kahn en mai à New York - est un symbole très fort de ce qu'il a fait de la responsabilité que lui ont confié les Français. Le sentiment de gâchis, à gauche, et sans doute au-delà, est terrible. Et évidemment, il a précipité avec lui dans l'abîme, même s'il n'en est assurément pas le seul responsable, toute la gauche de gouvernement française. Il a sans doute aussi achevé le PS tel qu'il était jusqu'ici et dont il a été le premier secrétaire pendant 11 ans.
PAUL ALLIES
Paul Alliès- Les limites des Primaires
Le débat en cours sur et dans la Primaire de la Droite porte sur leurs limites politiques: doivent-elles aller jusqu'à l'électorat de gauche et de l'extrême-droite ? Ce faisant ce débat occulte un autre type de limite, celle sociale, de la population qui s'intéresse à elle et y participe.La polémique sur l'espace politique est assez vaine. Les Primaires ouvertes partent du principe qu'elles ne sauraient se fonder sur une discrimination idéologique quelconque. Tous les citoyens inscrits sur les listes électorales (et parfois quelques autres catégories) peuvent librement y participer. Les partis organisateurs ont trouvé une formule pour limiter les risques de leur instrumentalisation par leurs adversaires. C'est la déclaration de principe préalable au vote lui-même par laquelle l'électeur dit partager "les valeurs républicaines de la droite et du centre" ou se reconnaitre "dans les valeurs de la Gauche et des écologistes" (formulation officielle des deux Primaires de 2016).SONDAGESelon notre sondage Kantar Sofres OnePoint pour Le Figaro, LCI et RTL, François Hollande est éliminé dans tous les cas de figure dès le premier tour de la présidentielle, systématiquement devancé par les candidats de la droite et du FN, mais aussi par Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon. Manuel Valls, quant à lui, ne fait pas mieux que le chef de l'État.RASSEMBLEMENTValls, Le Foll ou encore Cambadélis ont appelé leur famille politique à ne pas se diviser. Le refrain pourrait s’entendre si l’exécutif n’était pas le premier responsable de cet éclatement de la gauche à quelques mois de la présidentielle.MARIANNEIl a vu partir sa sœur pour les terres de l’Etat islamique (EI) et, après deux années de silence, Amine Elbahi prend la parole pour dire cette colère que la République n’a pas su ou pas pu retenir. Bonne élève, elle s’ennuyait à la faculté de droit et a choisi la radicalisation. Pourquoi Marianne n’a-t-elle pas su ou pas pu la retenir? La panne de l’ascenseur social, les barrières à franchir quand on vient des «quartiers» et que l’on porte un nom qui dit que l’on n’est pas «gaulois», la volonté de dénoncer clairement ou subrepticement «eux» par rapport à «nous», comme le soulignent Karim Amellal et Béligh Nabli ? Tout cela y concourt. L’EI mène une offensive idéologique violente et les valeurs de la République se trouvent menacées. Amine Elbahi, 20 ans, va dans les écoles expliquer aux enfants et adolescents les raisons pour lesquelles il faut aujourd’hui se battre pour défendre la liberté, l’égalité et la fraternité, auxquelles Karim Amellal et Béligh Nabli proposent d’ajouter la laïcité comme valeur fondatriceREVENU DE BASEUn revenu versé à tous, sans condition ni contrepartie ? Longtemps cantonnée aux débats intellectuels, l'idée séduit désormais de plus en plus de partis politiques ou de mouvements citoyens en Europe. La plupart des partis Verts européens la défendent, en Espagne, elle figure sur la plateforme de Podemos. En avril 2015, en Finlande, la victoire du parti du Centre aux élections législatives a amené au pouvoir une formation dont le programme prévoit l'expérimentation d'un revenu de base. En revanche, en Suisse, l'initiative populaire qui a conduit à un référendum sur la question en juin 2016 s'est soldée par un rejet, à 76,9%, du revenu inconditionnel.PIKETTYLe fondateur de la Nouvelle Gauche a interpellé l’économiste sur son intention d’aller voter Alain Juppé à la primaire de la droite. Ce dernier lui répond et l’interroge sur les intentions de Mélenchon, que Hoang-Ngoc soutient.NATHALIE PERRIN-GILBERTCNILLa CNIL a épinglé le Parti socialiste en raison de manquements graves à la protection des données personnelles, après avoir constaté que les mesures élémentaires de sécurité n'avaient pas été mises en oeuvre sur la plateforme gérant les primo-adhésions au parti. Une faille du système pouvait entraîner une fuite sur les coordonnées de plusieurs dizaines de milliers d'adhérents.USA