actualité - Page 309
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Lyon Capitale - Montebourg : "L'Europe est la passoire de la mondialisation"
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Le #17h épisode 59 - Emeric Bréhier fait le bilan des Universités de l'Engagement à mi-parcours
Le #17h épisode 59 - Emeric Bréhier fait le... par PartiSocialiste -
Libé - La «taxe Google» tente une percée à l’Assemblée
Le député PS Yann Galut propose de mieux taxer le bénéfice des multinationales adeptes du nomadisme fiscal sous prétexte de mondialisation. Mais Michel Sapin, ministre de l'Economie, s'oppose à cet amendement adopté jeudi en commission.
Le Royaume-Uni et l’Australie, pays peu réputés pour leur gauchisme, sont déjà passés à l’acte. Pourquoi pas la France, officiellement dirigée par un gouvernement de gauche ? Yann Galut, député socialiste du Cher, a fait adopter jeudi après-midi en commission un amendement au projet de loi de finances, visant à taxer les multinationales adeptes de l’optimisation fiscale (la frontière avec la fraude étant parfois ténue). Les plus réfractaires à l’impôt sur les bénéfices sont les Gafa (Google, Apple, Facebook, Amazon), d’où le terme Google Tax.
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L'actualité des socialistes du 4 au 10 novembre
TRUMP
La Tribune - Quels "populismes" en Europe ? Par Romaric Godin
En Europe, la victoire de Donald Trump a été saluée par les mouvements autoritaires d'extrême-droite qui espèrent profiter de ce précédent. De fait, ces mouvements ont actuellement le vent en poupe en Europe.
..... La crise débutée en 2007, la plus violente depuis 1929, a naturellement laissé des traces politiques. Dix ans après, les effets s'en font encore sentir, en termes d'inégalités de revenus et de territoire, mais aussi en termes de richesses créées. Partout, les classes moyennes se sentent menacées d'une paupérisation que les classes les plus modestes éprouvent déjà au quotidien. Ceux qui ont géré cette crise, et qui sont pour la plupart issus des grands partis traditionnels de l'après-guerre, sont naturellement sur la sellette. Dès lors, des partis alternatifs utilisent cet échec des élites en place pour tenir un discours contre « l'establishment » et promettent de « rendre le pouvoir au peuple » pour effacer les erreurs d'élites qui seraient coupées de la réalité. Ces mouvements sont souvent qualifiés de « populistes » en ce qu'ils opposent une élite qu'ils rejettent à un peuple qu'ils entendent incarner. Mais ils représentent aussi une alternative à un jeu politique traditionnel qui, en donnant l'impression de « tourner à vide », se montre incapable de répondre aux attentes de l'opinion.
Jean Gadrey - Trump, Brexit : les naufragés du « libre-échange »
La victoire de Trump annonce un futur recul des droits humains, des droits des femmes, des droits des minorités, des droits environnementaux et de la protection sociale dans un pays où cette dernière est déjà d’une grande faiblesse et où l’ère Obama n’a pas vu de recul des inégalités en dépit d’une croissance plus ou moins retrouvée. Mais à la question de savoir comment une majorité de votants a choisi ce candidat, il ne suffit pas de répondre en mettant en avant un réflexe « populiste » ou « anti establishment ». Il faut aussi se demander quels facteurs ont pu l’encourager.
CHRISTIAN PAUL
Le Parisien - Christian Paul : « Il faut tourner la page du PS »
Dans le livre qu'il publie aujourd'hui, le chef de file des frondeurs Christian Paul étrille François Hollande qui se « noie dans l'exercice du pouvoir ».
Cette plume-là a été trempée dans le vitriol. Bien qu'il se défende d'avoir écrit un livre à charge, Christian Paul dresse un inventaire abrasif des années Hollande dans « les Iles et l'Archipel », qu'il publie ce mardi. Excepté de rares bons points (la priorité donnée à l'éducation, le mariage pour tous, le tiers payant généralisé), son réquisitoire est implacable.
LCI - Le député frondeur Christian Paul pense déjà à la fin du Parti socialiste
Le député PS frondeur Christian Paul publie mardi un essai dans lequel il appelle à une recomposition des forces de gauche. Actant l'échec du PS, il propose un nouveau mouvement politique.
2017, et après ? Pour certaines voix à la gauche du Parti socialiste, le mouvement politique né à Epinay en 1971 ne sortira pas indemne du quinquennat écoulé et des élections à venir, quelqu'en soit le résultat. C'est notamment la position du député frondeur de la Nièvre Christian Paul, qui publie mardi un essai pronostiquant tout simplement... la disparition du PS.
HOLLANDE
L'Obs - L'erreur économique de François Hollande, par Daniel Cohen
Bien que "la croissance et l'emploi aient fini par repartir", l'économiste estime que "les Français ont perdu leurs illusions sur le mérite des politiques menées."
La publication d'une centaine d'heures d'entretiens entre le président et des journalistes du "Monde" a créé un sentiment étrange. Loin d'en éclairer l'action, elle en a épaissi le mystère. "Pourquoi cet homme, intelligent, affable et, jusqu'à preuve du contraire, intègre, a-t-il pu devenir le président le plus impopulaire de la Ve République ?" (Gérard Davet et Fabrice Lhomme, "Un président ne devrait pas dire ça…") Pourquoi, en effet ?
Europe 1 - 2017 : l'idée du "candidat naturel" empoisonne le Parti socialiste
Que ce soit François Hollande en premier choix ou Manuel Valls en second, personne n'est d'accord pour dire qu'une figure se détache pour représenter le PS à la présidentielle.
"Il n'y a pas de candidat naturel" à gauche. Prononcée par un frondeur socialiste, Jean-Luc Mélenchon ou un communiste, cette phrase serait passée inaperçue. Mais elle émane de Ségolène Royal, ministre de l'Environnement.
Le Point - Présidentielle : le PS cherche-t-il à dissuader Hollande d'y aller ?
Les socialistes déboussolés, un président contesté, un Premier ministre qui prend ses distances... Et si Manuel Valls se lançait.
L'idée fait son chemin. Un Premier ministre plus populaire qu'un président peut-il se présenter à la présidentielle et ainsi supplanter le chef de l'État ? Dans les couloirs du PS, cette hypothèse grandit : faire « prendre acte » à François Hollande qu'il n'est pas le meilleur candidat PS pour 2017 et qu'il doit passer la main à Manuel Valls.
Le Figaro - Hollande aux députés PS : «Nous devons installer l'idée que c'est possible»
Le chef de l'État s'est exprimé mardi soir devant une centaine de parlementaires réunis au ministère de l'Agriculture. Son discours n'a laissé aucune place au doute quant à ses intentions pour 2017.
Il semble plus prêt que jamais. Malgré la véritable déflagration provoquée par le livre-confessions Un président ne devrait pas dire ça..., et alors que les ambitions se libèrent peu à peu à gauche, François Hollande se place plus que jamais dans la perspective d'une candidature. Il a ainsi renoué avec le terrain ces derniers jours, multiplié les interviews dans la presse quotidienne régionale, mais aussi, et surtout, décidé de rétablir le dialogue avec les élus et parlementaires socialistes, longtemps délaissés pendant le quinquennat.
HAMON
France Info - Pour Benoît Hamon, "Il y a une coupure entre une partie des élites et le peuple"
Le député PS Benoît Hamon -candidat à la primaire de gauche- était l'invité de franceinfo samedi 12 novembre. Pour lui "les politiques libérales en Europe et aux USA conduisent toutes au même résultat."
Le JDD - Primaire de la gauche : Benoit Hamon cherche sa place
Candidat à la primaire de la gauche, le socialiste Benoit Hamon est officiellement en campagne depuis lundi. Grandes idées et communication 2.0, l’ex-ministre de l’Education cherche à se positionner à gauche, entre Yannick Jadot et Jean-Luc Mélenchon. Mais la concurrence est rude.
MONTEBOURG
Le Progrès - Arnaud Montebourg : « La gauche est prévenue depuis le 21 avril 2002 »
« La gauche est prévenue depuis le 21 avril 2002 », a répondu mercredi à Lyon l’ancien ministre de l’Economie, Arnaud Montebourg (PS), interrogé par « Le Progrès » après un tweet diffusé le matin même par le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis.
Le parti communiste a refusé de s'allier avec le candidat de la "France insoumise", laissant ainsi du champ à l'ancien ministre.
"Par délicatesse", Arnaud Montebourg s'est refusé de commenter le résultat de la conférence nationale du PCF ayant écarté samedi 5 novembre l'hypothèse d'une alliance avec Jean-Luc Mélenchon. Reste que depuis que les tensions sont connues entre le chantre de la "France insoumise" et les cadres de la place du Colonel Fabien, l'ancien ministre ne rate pas une occasion de se présenter comme celui qui œuvre à "l'union des gauches
MACRON
Marianne - Un programme ? Quel programme ? Le jeune loup Macron s’enfonce dans le flou
Dans un entretien fleuve à "L’Obs" de ce jeudi 10 novembre, Emmanuel Macron disserte sur son potentiel programme à coups de formules vagues et de "pourquoi pas". Accentuant l’impression que plus il parle, moins il en dit...
POLICE
Terra Nova - Police et population : pour des relations de confiance
La confiance que les citoyens ont dans la police est une condition de sa légitimité et donc de son efficacité. Présidé par Jacques de Maillard, ce groupe de travail propose quatre postulats et six axes de réformes qui pourront redonner du sens à l’action policière et réconcilier durablement les Français avec leur police.
Ce rapport de Terra Nova, issu d’un groupe de travail présidé par Jacques de Maillard, porte sur la police du quotidien, la police de tranquillité et de sécurité publique. Il renvoie aux missions essentielles des policiers, celles qui, tous les jours, touchent la majeure partie de la population : assurer la protection des biens et des personnes, prévenir la délinquance et les troubles à l’ordre public, veiller à la tranquillité publique et à l’exécution des lois.
CONTROLE AU FACIES
Les opposants aux contrôles d’identité abusifs, qui attendaient cette décision, espérent qu’elle fasse jurisprudence.
C’est une décision de principe inédite que la Cour de cassation a rendue, mercredi 9 novembre, en matière de contrôle d’identité. C’est la première fois que la plus haute juridiction était amenée à se prononcer sur ce sujet, sur la base de recours contre l’Etat portés par treize personnes – d’origine africaine ou nord-africaine – qui estimaient avoir fait l’objet de contrôles « au faciès ».ECONOMIE
Le Monde - L’économie française a créé 52 200 emplois au 3e trimestre, du jamais-vu depuis la crise
Il s’agit d’une performance inédite depuis la crise de 2008. Le secteur n’avait plus créé autant d’emplois en un trimestre depuis le 3e trimestre 2007.
L’économie française a enregistré un sixième trimestre d’affilée de créations nettes d’emplois marchands, avec 52 200 nouveaux postes (+ 0,3 %) au 3e trimestre, selon une estimation de l’Insee publiée jeudi 10 novembre. Il s’agit d’une performance inédite depuis la crise de 2008. Le secteur n’avait en effet plus créé autant d’emplois en un trimestre depuis le 3e trimestre 2007.Hausse d’impôts et réduction des déficits ont cassé la reprise. Une hausse de la dette peut être un signal positif pour les marchés... à condition d’en débattre, explique l’économiste Xavier Ragot.
Le débat économique en France oscille entre deux positions, sans s’arrêter à un point d’équilibre : l’économiste s’inquiète du chômage massif et des dettes publiques, qui atteignent des sommets historiques ; le scientifique observe la nouvelle forme numérique du progrès technique, qui bouscule les entreprises et l’administration.
Si le cadre conceptuel et comptable du PIB n’apparaît pas déficient, le numérique et l’internationalisation des activités économiques posent des problèmes de mesure auxquels il est important de répondre si l’on veut suivre les évolutions et comprendre les économies d’aujourd’hui, explique l’économiste Martine Durand.
L’été dernier, l’Institut national de la statistique irlandais a publié les chiffres de croissance annuelle du produit intérieur brut (PIB) pour 2015, montrant que l’économie irlandaise avait progressé à un rythme de 26,3 % par rapport à 2014, de loin la plus forte croissance de tous les pays de l’OCDE.
L’« ubérisation » contraint à revoir les instruments de la solidarité et de la protection sociale. La réforme n’aura pas lieu sans débat idéologique, selon l’économiste Dana Filipova.
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Quand le Parti socialiste mise sur l'effet Trump pour... remporter 2017
Les socialistes français espèrent que l'élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis permettra de réunifier la gauche, dont la division actuelle obère selon eux toute chance de remporter la présidentielle en 2017.
"La gauche est prévenue! Continuons nos enfantillages irresponsables et ça sera Marine Le Pen", a réagi sur Twitter le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, alors que les candidatures à gauche se multiplient
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L'actualité des socialistes du 4 au 10 novembre
TRUMP
La Tribune - Quels "populismes" en Europe ? Par Romaric Godin
En Europe, la victoire de Donald Trump a été saluée par les mouvements autoritaires d'extrême-droite qui espèrent profiter de ce précédent. De fait, ces mouvements ont actuellement le vent en poupe en Europe.
..... La crise débutée en 2007, la plus violente depuis 1929, a naturellement laissé des traces politiques. Dix ans après, les effets s'en font encore sentir, en termes d'inégalités de revenus et de territoire, mais aussi en termes de richesses créées. Partout, les classes moyennes se sentent menacées d'une paupérisation que les classes les plus modestes éprouvent déjà au quotidien. Ceux qui ont géré cette crise, et qui sont pour la plupart issus des grands partis traditionnels de l'après-guerre, sont naturellement sur la sellette. Dès lors, des partis alternatifs utilisent cet échec des élites en place pour tenir un discours contre « l'establishment » et promettent de « rendre le pouvoir au peuple » pour effacer les erreurs d'élites qui seraient coupées de la réalité. Ces mouvements sont souvent qualifiés de « populistes » en ce qu'ils opposent une élite qu'ils rejettent à un peuple qu'ils entendent incarner. Mais ils représentent aussi une alternative à un jeu politique traditionnel qui, en donnant l'impression de « tourner à vide », se montre incapable de répondre aux attentes de l'opinion.
Jean Gadrey - Trump, Brexit : les naufragés du « libre-échange »
La victoire de Trump annonce un futur recul des droits humains, des droits des femmes, des droits des minorités, des droits environnementaux et de la protection sociale dans un pays où cette dernière est déjà d’une grande faiblesse et où l’ère Obama n’a pas vu de recul des inégalités en dépit d’une croissance plus ou moins retrouvée. Mais à la question de savoir comment une majorité de votants a choisi ce candidat, il ne suffit pas de répondre en mettant en avant un réflexe « populiste » ou « anti establishment ». Il faut aussi se demander quels facteurs ont pu l’encourager.
CHRISTIAN PAUL
Le Parisien - Christian Paul : « Il faut tourner la page du PS »
Dans le livre qu'il publie aujourd'hui, le chef de file des frondeurs Christian Paul étrille François Hollande qui se « noie dans l'exercice du pouvoir ».
Cette plume-là a été trempée dans le vitriol. Bien qu'il se défende d'avoir écrit un livre à charge, Christian Paul dresse un inventaire abrasif des années Hollande dans « les Iles et l'Archipel », qu'il publie ce mardi. Excepté de rares bons points (la priorité donnée à l'éducation, le mariage pour tous, le tiers payant généralisé), son réquisitoire est implacable.
LCI - Le député frondeur Christian Paul pense déjà à la fin du Parti socialiste
Le député PS frondeur Christian Paul publie mardi un essai dans lequel il appelle à une recomposition des forces de gauche. Actant l'échec du PS, il propose un nouveau mouvement politique.
2017, et après ? Pour certaines voix à la gauche du Parti socialiste, le mouvement politique né à Epinay en 1971 ne sortira pas indemne du quinquennat écoulé et des élections à venir, quelqu'en soit le résultat. C'est notamment la position du député frondeur de la Nièvre Christian Paul, qui publie mardi un essai pronostiquant tout simplement... la disparition du PS.
HOLLANDE
L'Obs - L'erreur économique de François Hollande, par Daniel Cohen
Bien que "la croissance et l'emploi aient fini par repartir", l'économiste estime que "les Français ont perdu leurs illusions sur le mérite des politiques menées."
La publication d'une centaine d'heures d'entretiens entre le président et des journalistes du "Monde" a créé un sentiment étrange. Loin d'en éclairer l'action, elle en a épaissi le mystère. "Pourquoi cet homme, intelligent, affable et, jusqu'à preuve du contraire, intègre, a-t-il pu devenir le président le plus impopulaire de la Ve République ?" (Gérard Davet et Fabrice Lhomme, "Un président ne devrait pas dire ça…") Pourquoi, en effet ?
Le Point - Présidentielle : le PS cherche-t-il à dissuader Hollande d'y aller ?
Les socialistes déboussolés, un président contesté, un Premier ministre qui prend ses distances... Et si Manuel Valls se lançait.
L'idée fait son chemin. Un Premier ministre plus populaire qu'un président peut-il se présenter à la présidentielle et ainsi supplanter le chef de l'État ? Dans les couloirs du PS, cette hypothèse grandit : faire « prendre acte » à François Hollande qu'il n'est pas le meilleur candidat PS pour 2017 et qu'il doit passer la main à Manuel Valls.
Le Figaro - Hollande aux députés PS : «Nous devons installer l'idée que c'est possible»
Le chef de l'État s'est exprimé mardi soir devant une centaine de parlementaires réunis au ministère de l'Agriculture. Son discours n'a laissé aucune place au doute quant à ses intentions pour 2017.
Il semble plus prêt que jamais. Malgré la véritable déflagration provoquée par le livre-confessions Un président ne devrait pas dire ça..., et alors que les ambitions se libèrent peu à peu à gauche, François Hollande se place plus que jamais dans la perspective d'une candidature. Il a ainsi renoué avec le terrain ces derniers jours, multiplié les interviews dans la presse quotidienne régionale, mais aussi, et surtout, décidé de rétablir le dialogue avec les élus et parlementaires socialistes, longtemps délaissés pendant le quinquennat.
MONTEBOURG
Le parti communiste a refusé de s'allier avec le candidat de la "France insoumise", laissant ainsi du champ à l'ancien ministre.
"Par délicatesse", Arnaud Montebourg s'est refusé de commenter le résultat de la conférence nationale du PCF ayant écarté samedi 5 novembre l'hypothèse d'une alliance avec Jean-Luc Mélenchon. Reste que depuis que les tensions sont connues entre le chantre de la "France insoumise" et les cadres de la place du Colonel Fabien, l'ancien ministre ne rate pas une occasion de se présenter comme celui qui œuvre à "l'union des gauches
POLICE
Terra Nova - Police et population : pour des relations de confiance
La confiance que les citoyens ont dans la police est une condition de sa légitimité et donc de son efficacité. Présidé par Jacques de Maillard, ce groupe de travail propose quatre postulats et six axes de réformes qui pourront redonner du sens à l’action policière et réconcilier durablement les Français avec leur police.
Ce rapport de Terra Nova, issu d’un groupe de travail présidé par Jacques de Maillard, porte sur la police du quotidien, la police de tranquillité et de sécurité publique. Il renvoie aux missions essentielles des policiers, celles qui, tous les jours, touchent la majeure partie de la population : assurer la protection des biens et des personnes, prévenir la délinquance et les troubles à l’ordre public, veiller à la tranquillité publique et à l’exécution des lois.
CONTROLE AU FACIES
Les opposants aux contrôles d’identité abusifs, qui attendaient cette décision, espérent qu’elle fasse jurisprudence.
C’est une décision de principe inédite que la Cour de cassation a rendue, mercredi 9 novembre, en matière de contrôle d’identité. C’est la première fois que la plus haute juridiction était amenée à se prononcer sur ce sujet, sur la base de recours contre l’Etat portés par treize personnes – d’origine africaine ou nord-africaine – qui estimaient avoir fait l’objet de contrôles « au faciès ».ECONOMIE
Le Monde - L’économie française a créé 52 200 emplois au 3e trimestre, du jamais-vu depuis la crise
Il s’agit d’une performance inédite depuis la crise de 2008. Le secteur n’avait plus créé autant d’emplois en un trimestre depuis le 3e trimestre 2007.
L’économie française a enregistré un sixième trimestre d’affilée de créations nettes d’emplois marchands, avec 52 200 nouveaux postes (+ 0,3 %) au 3e trimestre, selon une estimation de l’Insee publiée jeudi 10 novembre. Il s’agit d’une performance inédite depuis la crise de 2008. Le secteur n’avait en effet plus créé autant d’emplois en un trimestre depuis le 3e trimestre 2007.Hausse d’impôts et réduction des déficits ont cassé la reprise. Une hausse de la dette peut être un signal positif pour les marchés... à condition d’en débattre, explique l’économiste Xavier Ragot.
Le débat économique en France oscille entre deux positions, sans s’arrêter à un point d’équilibre : l’économiste s’inquiète du chômage massif et des dettes publiques, qui atteignent des sommets historiques ; le scientifique observe la nouvelle forme numérique du progrès technique, qui bouscule les entreprises et l’administration.
Si le cadre conceptuel et comptable du PIB n’apparaît pas déficient, le numérique et l’internationalisation des activités économiques posent des problèmes de mesure auxquels il est important de répondre si l’on veut suivre les évolutions et comprendre les économies d’aujourd’hui, explique l’économiste Martine Durand.
L’été dernier, l’Institut national de la statistique irlandais a publié les chiffres de croissance annuelle du produit intérieur brut (PIB) pour 2015, montrant que l’économie irlandaise avait progressé à un rythme de 26,3 % par rapport à 2014, de loin la plus forte croissance de tous les pays de l’OCDE.
L’« ubérisation » contraint à revoir les instruments de la solidarité et de la protection sociale. La réforme n’aura pas lieu sans débat idéologique, selon l’économiste Dana Filipova.
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Climat - Laurent Fabius : "la majorité du peuple américain veut passer à une énergie décarbonée"
Climat - Laurent Fabius : "la majorité du... par franceinter -
Le #17h épisode 60 - Jean-Christophe Cambadélis réagit au résultat de l'élection américaine
Le #17h épisode 60 - Jean-Christophe Cambadélis... par PartiSocialiste -
Trump président : “Il faut que le PS arrête de se regarder le nombril”
David Kimelfeld, secrétaire fédéral du PS et premier vice-président de la métropole de Lyon, est “consterné” par la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine. Il invite le PS à “arrêter de se regarder le nombril” pour avancer “des propositions concrètes, avec de vrais dispositifs et plus de professions de foi”. Entretien.
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Libé - Christian Paul propose de «sortir» du PS... «sans partir»
L'un des porte-voix de l'aile gauche socialiste étrille dans un ouvrage le quinquennat Hollande et milite pour un «nouveau parti».
C’était en fin d’été, au bord de l’Atlantique, dans une petite salle rochelaise. Christian Paul, chef de file de l’aile gauche socialiste appelait les siens à «un nouveau parti et un parti d’un type nouveau après 2017». «Je ne crois pas possibles, plus possibles les tentatives de rénovation "intra-muros" du Parti socialiste. […] Les partis de la gauche française devront trouver le courage de faire tomber les murs», lançait alors le député de la Nièvre. Dans un ouvrage (1) à paraître cette semaine à la Fondation Jean-Jaurès, Christian Paul donne de nouveaux indices sur cette «prochaine gauche» qu’il imagine après l’élection présidentielle : «Il faudra tourner la page du PS dans sa forme actuelle.»
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L'actualité des socialistes du 28 octobre au 3 novembre
A LA UNE : ALAIN TOURAINE
Bibliobs - Alain Touraine, cet optimiste qui veut réconcilier Manuel Valls et Nuit debout
Dans son dernier essai, le sociologue dénonce le gauchisme autant que le capitalisme rentier. Et rêve d'un projet moderniste.
« Le Nouveau Siècle politique», le dernier livre d'Alain Touraine, est une analyse en forme de plaidoyer. Le sociologue appartient aux fondateurs de la sociologie française de l'après-guerre, issue d'un savant mélange d'excellence académique, d'immersion sur le terrain et de fréquentation de la sociologie américaine. A 91 ans, il rappelle que sa génération a toujours son mot à dire sur les évolutions contemporaines.
LAURENT BOUVET
Le Figaro - La gauche survivra-t-elle à François Hollande ?
Avec 4% d'opinions favorables, François Hollande chute lourdement dans les sondages. Pour Laurent Bouvet, le président de la République a précipité dans l'abîme toute la gauche française de gouvernement.
FIGAROVOX. - Avec 4% d'opinions favorables, le chef de l'État est en passe de redevenir «Monsieur 3%», comme en 2011. Au-delà du personnage de François Hollande, que dit ce chiffre sans précédent sur l'état de la gauche de gouvernement?
Laurent BOUVET. - Le fait que François Hollande, président de la République, soit quasiment redescendu au score dans l'opinion qui était le sien avant qu'il devienne le favori pour la présidentielle en 2011 - c'est-à-dire avant la sortie de la course de Dominique Strauss-Kahn en mai à New York - est un symbole très fort de ce qu'il a fait de la responsabilité que lui ont confié les Français. Le sentiment de gâchis, à gauche, et sans doute au-delà, est terrible. Et évidemment, il a précipité avec lui dans l'abîme, même s'il n'en est assurément pas le seul responsable, toute la gauche de gouvernement française. Il a sans doute aussi achevé le PS tel qu'il était jusqu'ici et dont il a été le premier secrétaire pendant 11 ans.
PAUL ALLIES
Paul Alliès- Les limites des Primaires
Le débat en cours sur et dans la Primaire de la Droite porte sur leurs limites politiques: doivent-elles aller jusqu'à l'électorat de gauche et de l'extrême-droite ? Ce faisant ce débat occulte un autre type de limite, celle sociale, de la population qui s'intéresse à elle et y participe.La polémique sur l'espace politique est assez vaine. Les Primaires ouvertes partent du principe qu'elles ne sauraient se fonder sur une discrimination idéologique quelconque. Tous les citoyens inscrits sur les listes électorales (et parfois quelques autres catégories) peuvent librement y participer. Les partis organisateurs ont trouvé une formule pour limiter les risques de leur instrumentalisation par leurs adversaires. C'est la déclaration de principe préalable au vote lui-même par laquelle l'électeur dit partager "les valeurs républicaines de la droite et du centre" ou se reconnaitre "dans les valeurs de la Gauche et des écologistes" (formulation officielle des deux Primaires de 2016).SONDAGESelon notre sondage Kantar Sofres OnePoint pour Le Figaro, LCI et RTL, François Hollande est éliminé dans tous les cas de figure dès le premier tour de la présidentielle, systématiquement devancé par les candidats de la droite et du FN, mais aussi par Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon. Manuel Valls, quant à lui, ne fait pas mieux que le chef de l'État.RASSEMBLEMENTValls, Le Foll ou encore Cambadélis ont appelé leur famille politique à ne pas se diviser. Le refrain pourrait s’entendre si l’exécutif n’était pas le premier responsable de cet éclatement de la gauche à quelques mois de la présidentielle.MARIANNEIl a vu partir sa sœur pour les terres de l’Etat islamique (EI) et, après deux années de silence, Amine Elbahi prend la parole pour dire cette colère que la République n’a pas su ou pas pu retenir. Bonne élève, elle s’ennuyait à la faculté de droit et a choisi la radicalisation. Pourquoi Marianne n’a-t-elle pas su ou pas pu la retenir? La panne de l’ascenseur social, les barrières à franchir quand on vient des «quartiers» et que l’on porte un nom qui dit que l’on n’est pas «gaulois», la volonté de dénoncer clairement ou subrepticement «eux» par rapport à «nous», comme le soulignent Karim Amellal et Béligh Nabli ? Tout cela y concourt. L’EI mène une offensive idéologique violente et les valeurs de la République se trouvent menacées. Amine Elbahi, 20 ans, va dans les écoles expliquer aux enfants et adolescents les raisons pour lesquelles il faut aujourd’hui se battre pour défendre la liberté, l’égalité et la fraternité, auxquelles Karim Amellal et Béligh Nabli proposent d’ajouter la laïcité comme valeur fondatriceREVENU DE BASEUn revenu versé à tous, sans condition ni contrepartie ? Longtemps cantonnée aux débats intellectuels, l'idée séduit désormais de plus en plus de partis politiques ou de mouvements citoyens en Europe. La plupart des partis Verts européens la défendent, en Espagne, elle figure sur la plateforme de Podemos. En avril 2015, en Finlande, la victoire du parti du Centre aux élections législatives a amené au pouvoir une formation dont le programme prévoit l'expérimentation d'un revenu de base. En revanche, en Suisse, l'initiative populaire qui a conduit à un référendum sur la question en juin 2016 s'est soldée par un rejet, à 76,9%, du revenu inconditionnel.PIKETTYLe fondateur de la Nouvelle Gauche a interpellé l’économiste sur son intention d’aller voter Alain Juppé à la primaire de la droite. Ce dernier lui répond et l’interroge sur les intentions de Mélenchon, que Hoang-Ngoc soutient.NATHALIE PERRIN-GILBERTCNILLa CNIL a épinglé le Parti socialiste en raison de manquements graves à la protection des données personnelles, après avoir constaté que les mesures élémentaires de sécurité n'avaient pas été mises en oeuvre sur la plateforme gérant les primo-adhésions au parti. Une faille du système pouvait entraîner une fuite sur les coordonnées de plusieurs dizaines de milliers d'adhérents.USA