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actualité - Page 184

  • Après laMarianne - Guadeloupe et la Guyane, les Comoriens : c'est quoi le problème de Macron avec les Dom Tom ?

    Le trait d'humour malvenu d'Emmanuel Macron à propos "du Comorien" embarquant - au péril de sa vie - dans des "kwassa-kwassa" pour rejoindre Mayotte, s'ajoute à une série de gaffes sur les territoires français d'outre-mer.

    Mais que se passe-t-il entre Emmanuel Macron et les Dom Tom ? La question se pose, tant le nouveau président de la République multiplie les gaffes plus ou moins graves sur les territoires français d'outre-mer. Dernière bourde en date, une boutade très malvenue sur le "kwassa-kwassa", embarcation de fortune largement utilisée par les migrants de l’archipel des Comores pour tenter de rejoindre Mayotte, 101e département de France, dans l'océan Indien.

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  • Le JDD - Bernard Cazeneuve sur les législatives : "On est là pour faire mentir les projections"

    REPORTAGE - Vendredi, l’ancien Premier ministre est venu apporter son soutien à deux candidats investis par le Parti socialiste : Jean-Christophe Cambadélis à Paris et Emmanuelle Cosse en Seine-Saint-Denis.

    Même le jour de son anniversaire, Bernard Cazeneuve mouille la chemise. Vendredi, l’ex-Premier ministre, qui fêtait ses 54 ans le même jour, est allé sur le terrain soutenir deux candidats aux législatives : le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis, dans la 16e circonscription de Paris et l’ancienne ministre Emmanuelle Cosse dans la 3e de Seine-Saint-Denis. "Je suis sur le terrain tous les jours", assure l’ancien chef du gouvernement. "Pour un quinquennat de réussite, il fait faire élire des députés de la gauche de gouvernement", répète-t-il à l’envi. Des "sentinelles" en quelque sorte qui empêcheront qu’Emmanuel Macron reste "en tête à tête avec la droite qui veut le cerner" et qui éviteront que "le quinquennat prenne un mauvais chemin".

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  • Le Point - Législatives : les 25 points chauds à surveiller

    Ministres à l'épreuve des urnes, tauliers en difficulté, nouveaux venus en politique... Voici la liste - non exhaustive - des circonscriptions à surveiller.

    Attaquer sans attendre Camba... C'était l'un des signaux forts envoyés par Emmanuel Macron lorsqu'il annonça ses 14 premiers candidats le 7 avril dernier. Mounir Mahjoubi, président du Conseil national du numérique pendant un an, devenu conseiller numérique de Macron pendant la campagne, a été investi dans la 16e circonscription de Paris, territoire du premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis. Alors que le Parti socialiste est plus que jamais à l'agonie, ce jeune entrepreneur de 33 ans, désormais habitué aux plateaux télévisés, pourrait bien priver le taulier de Solférino d'un cinquième mandat consécutif.

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  • L'actualité des socialistes du 26 mai au 1er juin

    INEGALITES

    La Tribune - Les pauvres sont... de plus en plus pauvres, alerte l'Observatoire des inégalités

    L'Observatoire des inégalités a publié son second rapport. Il dresse un état des lieux complet sur les inégalités en France en matière de revenus, de patrimoine, d'éducation, etc. Il met en exergue un phénomène inquiétant: depuis quelques années, la pauvreté ne régresse plus. Au contraire, les pauvres ont tendance à s'appauvrir davantage.

    Observatoire des inégalités - Inégalités : une hypocrisie française

    30 mai 2017 - Les inégalités de revenus progressent parce que les plus favorisés en veulent toujours plus. Soit on assume le phénomène, soit on se donne les moyens d’une plus grande solidarité. Par Anne Brunner et Louis Maurin de l’Observatoire des inégalités. Extrait du « Rapport sur les inégalités en France, édition 2017 ».

    Observatoire des inégalités - Inégalités : le débat n’a toujours pas eu lieu

    23 mai 2017 - Le sentiment d’injustice croît dans notre pays. Pourtant, le débat politique ne peut se résumer à l’alternative proposée par les deux finalistes de l’élection présidentielle : protection identitaire dans un camp, libéralisme individualiste dans l’autre. Le point de vue de Patrick Savidan, professeur de philosophie politique et président de l’Observatoire des inégalités. Extrait du quotidien Libération.

    DEMOCRATIE PARTICIPATIVE

    Slate - «La démocratie participative est une tentative de réponse à la contestation de la légitimité des décisions publiques»

    De plus en plus d'initiatives visent à redonner la parole au peuple. Jusqu'où peuvent-elles s'imposer? Avec quelle efficacité? Rencontre avec le chercheur Loïc Blondiaux, spécialiste du sujet.

    Professeur de science politique à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, chercheur au Centre européen de sociologie et de science politique (CESSP/CNRS), Loïc Blondiaux est un spécialiste reconnu de la démocratie participative en France, mais aussi en Finlande, en Italie, au Canada, au Chili et aux États-Unis (autant de pays où il a enseigné).

    Il a publié notamment La Fabrique de l'opinion. Une histoire sociale des sondages (Seuil, 1996) et Le Nouvel esprit de la démocratie. Actualité de la démocratie participative (Seuil, 2008). Il s'entretient ici avec Damien Augias, responsable du pôle politique de Nonfiction, à propos des pratiques actuelles et à venir de démocatie participative, en particulier au niveau local.

    PS

    France 3 - Politique : le Parti socialiste au plus bas

    Les élections législatives s'annoncent tendues pour le PS. France 3 fait le point sur la situation.

    Depuis la défaite de Benoît Hamon au premier tour de l'élection présidentielle 2017, le Parti socialiste ne parvient pas à se relever. Avec 6,35% des voix, l'un des plus faibles scores de son histoire, le parti est même menacé de disparition. Pour les législatives, Bernard Cazeneuve, sans être candidat, mène la bataille pour son parti. Pour lui, la gauche ne doit pas se résumer à celle de Jean-Luc Mélenchon.

    L'Express - Législatives: pris en tenaille, le PS menacé d'une déroute historique

    Les élections législatives s'annoncent périlleuses pour le PS, qui pourrait bien connaître son pire résultat de la Ve République, dans le sillage de son score à la présidentielle de 6,3%.

    Que restera-t-il du Parti socialiste le 18 juin prochain? Au lendemain d'un échec cuisant à l'élection présidentielle, le PS est promis à une déroute historique aux législatives. La "Bérézina" de 1993 - seuls 57 postes de députés avaient été sauvés - pourrait même être largement amplifiée.  

    RTL - Jean-Christophe Cambadélis doit quitter la direction du PS, selon Thierry Mandon

    L'ancien secrétaire d'État plaide pour une "direction collégiale", et cite plusieurs noms pour la composer : Najat Vallaud-Belkacem, Matthias Fekl ou encore Olivier Faure.

    "Tout changer, cela passe aussi par un changement de direction, pour pouvoir passer le relais à une nouvelle génération". Les mots de Thierry Mandon, ancien secrétaire d'État pendant le mandat de François Hollande sont clairs : Jean-Christophe Cambadélis, actuel Premier secrétaire du Parti socialiste doit abandonner la direction du PS

    Libé - Se mobiliser aujourd’hui pour réinventer la gauche demain

    L’avenir ne peut être le simple retour au projet social-démocrate porté par le PS depuis vingt ans. Il faut défendre désormais une social-écologie réformiste qui transforme la société en profondeur et réponde aux nouveaux défis du XXIe siècle.

    Signataires :

    Nathalie Appéré Députée-maire de Rennes Olivier Bianchi Maire de Clermont-Ferrand, président de Clermont Auvergne Métropole Jean-François Debat Maire de Bourg-en-Bresse, président du groupe socialiste et démocrate au conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes Carole Delga Ancienne ministre, présidente du conseil régional d’Occitanie Olivier Dussopt Député-maire d’Annonay Olivier Faure Député de Seine-et-Marne, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale Matthias Fekl Ancien ministre, député du Lot-et-Garonne Estelle Grelier Ancienne ministre, députée de Seine-Maritime Mathieu Klein Président du conseil départemental de Meurthe-et-Moselle Johanna Rolland Maire de Nantes Najat Vallaud-Belkacem Ancienne ministre André Viola Président du conseil départemental de l’Aude

    TRAVAIL

    Fondation Jean Jaurès - Comment travaillerons-nous demain ? Pierre-Yves Gomez, Cécile Jolly

    Robots et révolution numérique redessinent le travail. Sera-t-il plus rare ou riche en nouveaux emplois, plus envahissant ou moins pénible ? Saurons-nous inventer de nouvelles protections pour les salariés et les indépendants ? Le magazine Alternatives économiques et la Fondation Jean-Jaurès ont fait débattre plusieurs experts autour de questions clés touchant à l’avenir du travail, pendant que Pôle Emploi, grâce à ses vastes études et enquêtes, propose huit tendances pour l’emploi de demain. Présentes sous forme de dossier dans le numéro de mai du magazine, ces contributions sont à retrouver durant tout le mois de juin sur les sites de deux partenaires. 
    Pour entamer ce cycle de publications, Cécile Jolly et Pierre-Yves Gomez exposent leur conception du travail et des principales tendances aujourd’hui à l’œuvre. La première de nos cinq controverses sur le travail de demain. 

    PRELEVEMENT A LA SOURCE

    La Tribune - Prélèvement à la source : une expérimentation progressive plutôt qu'un report à perpétuité

    Le projet de retenue à la source de l'impôt conçu par Bercy parait condamné par ses choix insensés. Il faut sans attendre relancer un schéma de synchronisation progressive entre les revenus courants et le paiement des acomptes de l'impôt sur le revenu. Des solutions simples existent, qui permettraient, en s'appuyant sur les investissements réalisés, de réussir sur la durée du quinquennat cette modernisation attendue de notre gestion fiscale. Par Marc Wolf, avocat fiscaliste et ancien directeur adjoint à la Direction Générale des Impôts.

    LEGISLATIVES

    Libé - Le PS défaitiste face au «député des fraises et des moutons»

    Des élus bretons pointent un effet de sidération dans leur région après les révélations sur Richard Ferrand, mais leur espoir de battre cette célébrité locale est mince.

    «En Bretagne, nous sommes sur des terres granitiques : tout infuse lentement mais sûrement.» A moins de deux semaines du premier tour des législatives, la gauche du Finistère, déjà bien sonnée par la recomposition politique au niveau national, se retrouve déboussolée par la tourmente Ferrand. Elu du cru, ancien représentant local d’Henri Emmanuelli (dans une fédération rocardienne) puis proche de Martine Aubry (dans un département hollandais), le député de la 6e circonscription du Finistère était au cœur de tous les réseaux socialistes locaux avant de passer avec armes et bagages chez Macron, pour le compte duquel il a levé une petite armée de candidats bretons chargés de faire la peau aux socialistes.

    L'Obs - "Aux législatives, le parachutage est légitime !"

    Les députés sont des élus de la nation, et non des élus locaux, explique le politiste Michel Hastings.

    Selon la liste officielle publiée par le ministère de l’Intérieur, il y aura au total 7.882 candidats le 11 juin prochain, lors du premier tour des législatives. C’est nettement plus qu’il y a cinq ans – ils étaient alors 6.541 – pour un nombre de sièges inchangés à l'Assemblée nationale (577). Soit une moyenne de 14 prétendants par circonscription.

    Libé - Un jour, une circo : Haro sur Cambadélis, le roi des éléphants
     
    Une nouvelle fois candidat dans la 16e circonscription de Paris, le premier secrétaire du PS est cerné par les jeunes pousses de Macron et de Mélenchon, qui rêvent de le faire tomber.
     
    En difficulté dans son fief du XIXe arrondissement de Paris, Jean-Christophe Cambadélis fait figure de cible idéale. Dans ce nouveau monde, où il n’est question que de «renouveau» et de «société civile», le premier secrétaire du Parti socialiste, élu en 1988 lors du second mandat de François Mitterrand, incarne le temps qui passe. Les adversaires sont nombreux et viennent de partout. A l’extérieur du parti, comme à l’intérieur de son propre camp.
     
    L'Obs - Avec la loi de moralisation de la vie publique, 58 candidats aux législatives auraient dû renoncer
     
    Sur les 7.882 candidats, 58 n'auraient pas pu se présenter aux prochaines élections législatives si la nouvelle loi était déjà entrée en vigueur...
     
    Des candidats en sursis ? Si les douze propositions du député apparenté PS René Dosière au ministre de la Justice, François Bayrou, qui pourraient être intégrées à la future loi sur la moralisation de la vie politique étaient déjà en vigueur, 58 parlementaires n'auraient pas pu se représenter aux élections législatives des 11 et 18 juin prochains, assure "Le Parisien".

    Libé - En Marche, l'éthique élastique

    Outre les très médiatisées polémiques touchant les ministres Ferrand et Sarnez, le mouvement d'Emmanuel Macron doit trancher sur une série de candidatures problématiques.

    Pas facile de faire advenir «un nouveau monde, un monde de règles précises qui rétablissent la confiance dans les acteurs publics», dixit le Premier ministre Edouard Philippe mardi soir sur France 2. Surtout quand au sein de l’armada de pèlerins estampillés La République En Marche (LREM) censés porter le «renouvellement» des visages et des pratiques, un petit groupe trimballe quelques bruyantes casseroles de l’ancien monde.

    Libé - Un jour une circo - Nord de Paris : «Nous aussi, on est deux à défendre le même projet»
     
    Dans la 18e circonscription de la capitale, deux lignes radicalement opposées s’affrontent… à travers quatre candidats : alors que Myriam El Khomri (PS) et Pierre-Yves Bournazel (LR) soutiennent tous deux la majorité présidentielle, Caroline De Haas (EE-LV, Ensemble, PCF) et Paul Vannier (FI) sont en pointe contre les réformes du code du travail.
     
    MACRON
     
    Slate - Avec Emmanuel Macron, le Parti du Moindre Mal risque de faire très mal, Eric Dupin
     
    L'Obs - Comment les Français voient Macron : le bénéfice du doute
     
    Quels sont les ressorts de la popularité d'Emmanuel Macron ? L'institut BVA a recueilli les paroles de Français, Adrien Abecassis, l'ex-"monsieur opinion" de François Hollande, les décortique.
     
    "Le sursis bienveillant". C'est ainsi que l'on pourrait résumer le regard des Français envers leur nouveau Président. 62% des Français ont une bonne opinion de lui, selon l'Observatoire de la politique nationale BVA-Orange-La Tribune (terrain les 22 et 23 mai). C'est un niveau équivalent à ses prédécesseurs : immédiatement après son arrivée, François Mitterrand était crédité de 61% de bonnes opinions, Jacques Chirac 62%, Nicolas Sarkozy 63%, François Hollande 61%.
     
    Telos - De quel libéralisme Emmanuel Macron est-il le nom? Jérôme Perrier
     
    À en croire ses pourfendeurs, campés aux deux extrémités de notre échiquier politique, Emmanuel Macron ne serait que l’incarnation hexagonale du libéralisme, ce virus venu de l’étranger et qui, sous diverses formes (néo- ; ultra- ; sauvage ou rampante), aurait irrémédiablement infecté la mondialisation actuelle, pour le plus grand malheur des plus démunis. L’intéressé quant à lui s’est toujours montré prudent lorsqu’on l’interrogeait sur son rapport au libéralisme ; ce qui peut fort bien se comprendre dans un pays comme le nôtre, où cette école de pensée est si volontiers caricaturée – et si largement méconnue. Pour autant, lorsqu’on lit le programme d’En Marche ! et plus encore le livre Révolution, il est difficile de ne pas pleinement inclure le nouveau Président de la République française dans ce que l’historien anglais Michael Freeden appelle la « famille libérale » ; soit une vaste nébuleuse idéologique à l’intérieur de laquelle peuvent se manifester de substantielles divergences, mais dont les membres partagent néanmoins une « structure conceptuelle stable », fondée sur quelques principes intangibles, comme la défense intransigeante de la liberté, de l’initiative et de la responsabilité individuelles, ou encore le goût prononcé du pluralisme et de la tolérance, contre toutes les formes de dogmatisme.
     
    HULOT
     
    Slate - Sur le nucléaire, les décisions non radicales de Nicolas Hulot
     
    Après les reports en tous genres qui ont marqué le quinquennat de François Hollande dans le désengagement français du nucléaire, le choix du nouveau président de proposer à Nicolas Hulot le ministère de la transition écologique et solidaire, avec le titre de ministre d’État, laisse supposer que le temps du passage à l’acte est arrivé. Ainsi Emmanuel Macron, qui n’a pas vraiment donné de gages aux écologistes pendant sa campagne, compterait-il sur son nouveau ministre pour tenir des promesses largement médiatisées mais non tenues par son prédécesseur.

    GOUVERNEMENT

    Le Monde - Pêche, jeunesse, immigration, famille… Les nouveaux périmètres des ministères dévoilés

    Les décrets d’attribution de chaque portefeuille ont été publiés au « Journal officiel » jeudi. Le premier ministre y précise par ailleurs sa méthode de travail.

    Le premier ministre, Edouard Philippe, a précisé la méthode de travail qu’il souhaite imposer à son gouvernement dans une circulaire publiée jeudi 25 mai au Journal officiel. Les décrets d’attribution de chaque ministère y ont également été publiés.

    Acteurs Publics - J.-M. Eymeri-Douzans : “La politisation fonctionnelle de la haute administration française tendra à s’accroître”

    Réduction de la taille des cabinets ministériels, question de confiance posée aux directeurs d’administration, nouvelle gouvernance au sommet… Pour Jean-Michel Eymeri-Douzans, professeur des universités à Sciences-Po Toulouse, cette volonté de faire travailler les ministres et les directeurs en “comité de direction” pose la question du rôle de l’Élysée dans les nominations.

    MELENCHON

    Le Monde - Qui est vraiment Jean-Luc Mélenchon ? Par Ariane Chemin

    Retour sur le parcours romanesque du leader des insoumis, qui a permis à la gauche de la gauche d’obtenir un score historique. Un homme romanesque, pour lequel vie politique et vie personnelle se confondent.

    Chambre 523 du St Christopher’s Inns, une auberge de jeunesse proche de la gare du Nord, dimanche 23 avril 2017. « Jean-Luc » s’est replié au dernier étage de cet hôtel pour routards, badges à tous les étages et tarifs spécial « backpackers », juste au-dessus du Belushi’s, le bistrot qui accueille les invités.

    ANALYSES

    L’université Paris Diderot en partenariat avec la Fondation Jean-Jaurès, le Panorama des idées et Slate.fr lance une nouvelle émission en ligne, Disputes, dédiée à l’actualité éditoriale des idées.

    Aux côtés de l’animateur, Jean-Marie Durand, chef de rubrique Idées aux Inrocks, les chroniqueurs de l’émission sont : Jean-Laurent Cassely, (Slate.fr), Emmanuel Lemieux (revue Panorama des idées/lesinfluences.fr), le politologue Laurent Bouvet (revue Esprit critique de la Fondation Jean Jaurès) et Catherine Coquio, professeure de littérature comparée (Université Paris Diderot).

    Disputes #8 / 4 mai 2017
    La société écologique et ses ennemis – Serge AUDIER – La Découverte
    Socialisme et sociologie- Bruno KARSENTI & Cyril LEMIEUX – Éditions EHESS
    Les citoyens qui viennent, Vincent TIBERJ – PUF
    Sans oublier les coups de cœur de nos critiques.

  • Jean-Christophe Cambadélis : "La décision de Donald Trump est une agression contre notre planète"


    Jean-Christophe Cambadélis : "La décision de... par Europe1fr

  • Le Figaro - Législatives : le PS désigne six porte-parole

    Le PS a nommé six porte-parole nationaux pour la campagne des législatives. L'ancien vallsiste Luc Carvounas, sénateur-maire PS d'Alfortville, en fait partie, aux côtés de Julien Dray, proche de François Hollande. Le premier secrétaire fédéral de la fédération du Val d'Oise Rachid Temal, qui s'était chargé de l'organisation de la primaire, est également nommé

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  • PS - Accords de Paris : rester à la hauteur des enjeux

    02 juin 2017

    Le Parti socialiste partage la stupéfaction du monde sur la décision confirmée jeudi 1er juin par Donald Trump, de sortir les États-Unis des accords de Paris.

    Il salue le discours très ferme du président de la République prononcé, hier soir, s’opposant à toute renégociation à la baisse des engagements arrachés de haute lutte en décembre 2015 sous le quinquennat de François Hollande. Il se félicite aussi des nombreuses réactions, notamment aux États-Unis, appelant à rester fidèle aux ambitions de cet accord universel pour le climat.

    Cette décision du Président américain appelle à une mobilisation supplémentaire de l’ensemble des autres acteurs, et au premier chef de l’Europe pour répondre aux enjeux du changement climatique.

    Il en va notamment du devenir du fonds vert de l’ONU pour le climat lancé en 2011 et dont la COP21 a fixé l’ambition d’une dotation de 100 milliards de dollars par an à partir de 2020.

    Au-delà, il appartient effectivement à la France – en lien avec ses partenaires européens – de prendre sa pleine part dans les initiatives qui permettraient non seulement d’empêcher toute remise en cause des accords de Paris mais aussi de relancer la mobilisation de tous face au défi climatique.

    Ce nouvel élan doit s’appuyer sur la communauté des acteurs de la transition écologique à qui il faudra garantir des moyens massifs pour la recherche comme pour les investissements. Dans cet esprit, l’annonce d’un plan d’accueil des scientifiques et entrepreneurs américains travaillant sur les questions climatiques et environnementales est une première réponse. Il convient aussi de s’assurer de la mise en œuvre de la loi de transition énergétique et d’amplifier les investissements dans les énergies renouvelables.

    Ce nouvel élan doit aussi se fonder sur le dynamisme de la société civile et du réseau des villes qui, aux quatre coins de la planète, partagent la pleine conscience des enjeux du réchauffement climatique et sont déterminés à y apporter les réponses nécessaires.

    Oui, il n’y a pas de plan B, ni de planète B et oui nous devons être à la hauteur, dans nos actes, du moment historique que nous traversons. Le Parti socialiste sera pleinement engagé dans ce combat essentiel.

  • Marianne - Égalité manquée Législatives : le PS et la France Insoumise s'assoient sur leur promesse de parité

    Le PS et la France Insoumise ne respectent pas leurs objectifs de parité pour leurs investitures aux législatives. Un échec pour ces partis qui en avaient fait un cheval de bataille.

    Le PS ferait bien d'éradiquer ce communiqué de son site internet : "Pour les élections législatives de 2017, le PS présentera autant de femmes que d'hommes. C'est un acte fort pour la parité en politique comme s'y était engagé le Premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis". Raté. Selon les chiffres du ministère de l'Intérieur, le Parti socialiste a investi 44% de femmes et 56% d'hommes. Du côté de la France Insoumise, le constat est à peine plus reluisant avec 47% de femmes et 53% d'hommes

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  • L'actualité des socialistes du 26 mai au 1er juin

    INEGALITES

    La Tribune - Les pauvres sont... de plus en plus pauvres, alerte l'Observatoire des inégalités

    L'Observatoire des inégalités a publié son second rapport. Il dresse un état des lieux complet sur les inégalités en France en matière de revenus, de patrimoine, d'éducation, etc. Il met en exergue un phénomène inquiétant: depuis quelques années, la pauvreté ne régresse plus. Au contraire, les pauvres ont tendance à s'appauvrir davantage.

    Observatoire des inégalités - Inégalités : une hypocrisie française

    30 mai 2017 - Les inégalités de revenus progressent parce que les plus favorisés en veulent toujours plus. Soit on assume le phénomène, soit on se donne les moyens d’une plus grande solidarité. Par Anne Brunner et Louis Maurin de l’Observatoire des inégalités. Extrait du « Rapport sur les inégalités en France, édition 2017 ».

    Observatoire des inégalités - Inégalités : le débat n’a toujours pas eu lieu

    23 mai 2017 - Le sentiment d’injustice croît dans notre pays. Pourtant, le débat politique ne peut se résumer à l’alternative proposée par les deux finalistes de l’élection présidentielle : protection identitaire dans un camp, libéralisme individualiste dans l’autre. Le point de vue de Patrick Savidan, professeur de philosophie politique et président de l’Observatoire des inégalités. Extrait du quotidien Libération.

    DEMOCRATIE PARTICIPATIVE

    Slate - «La démocratie participative est une tentative de réponse à la contestation de la légitimité des décisions publiques»

    De plus en plus d'initiatives visent à redonner la parole au peuple. Jusqu'où peuvent-elles s'imposer? Avec quelle efficacité? Rencontre avec le chercheur Loïc Blondiaux, spécialiste du sujet.

    Professeur de science politique à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, chercheur au Centre européen de sociologie et de science politique (CESSP/CNRS), Loïc Blondiaux est un spécialiste reconnu de la démocratie participative en France, mais aussi en Finlande, en Italie, au Canada, au Chili et aux États-Unis (autant de pays où il a enseigné).

    Il a publié notamment La Fabrique de l'opinion. Une histoire sociale des sondages (Seuil, 1996) et Le Nouvel esprit de la démocratie. Actualité de la démocratie participative (Seuil, 2008). Il s'entretient ici avec Damien Augias, responsable du pôle politique de Nonfiction, à propos des pratiques actuelles et à venir de démocatie participative, en particulier au niveau local.

    PS

    France 3 - Politique : le Parti socialiste au plus bas

    Les élections législatives s'annoncent tendues pour le PS. France 3 fait le point sur la situation.

    Depuis la défaite de Benoît Hamon au premier tour de l'élection présidentielle 2017, le Parti socialiste ne parvient pas à se relever. Avec 6,35% des voix, l'un des plus faibles scores de son histoire, le parti est même menacé de disparition. Pour les législatives, Bernard Cazeneuve, sans être candidat, mène la bataille pour son parti. Pour lui, la gauche ne doit pas se résumer à celle de Jean-Luc Mélenchon.

    L'Express - Législatives: pris en tenaille, le PS menacé d'une déroute historique

    Les élections législatives s'annoncent périlleuses pour le PS, qui pourrait bien connaître son pire résultat de la Ve République, dans le sillage de son score à la présidentielle de 6,3%.

    Que restera-t-il du Parti socialiste le 18 juin prochain? Au lendemain d'un échec cuisant à l'élection présidentielle, le PS est promis à une déroute historique aux législatives. La "Bérézina" de 1993 - seuls 57 postes de députés avaient été sauvés - pourrait même être largement amplifiée.  

    RTL - Jean-Christophe Cambadélis doit quitter la direction du PS, selon Thierry Mandon

    L'ancien secrétaire d'État plaide pour une "direction collégiale", et cite plusieurs noms pour la composer : Najat Vallaud-Belkacem, Matthias Fekl ou encore Olivier Faure.

    "Tout changer, cela passe aussi par un changement de direction, pour pouvoir passer le relais à une nouvelle génération". Les mots de Thierry Mandon, ancien secrétaire d'État pendant le mandat de François Hollande sont clairs : Jean-Christophe Cambadélis, actuel Premier secrétaire du Parti socialiste doit abandonner la direction du PS

    Libé - Se mobiliser aujourd’hui pour réinventer la gauche demain

    L’avenir ne peut être le simple retour au projet social-démocrate porté par le PS depuis vingt ans. Il faut défendre désormais une social-écologie réformiste qui transforme la société en profondeur et réponde aux nouveaux défis du XXIe siècle.

    Signataires :

    Nathalie Appéré Députée-maire de Rennes Olivier Bianchi Maire de Clermont-Ferrand, président de Clermont Auvergne Métropole Jean-François Debat Maire de Bourg-en-Bresse, président du groupe socialiste et démocrate au conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes Carole Delga Ancienne ministre, présidente du conseil régional d’Occitanie Olivier Dussopt Député-maire d’Annonay Olivier Faure Député de Seine-et-Marne, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale Matthias Fekl Ancien ministre, député du Lot-et-Garonne Estelle Grelier Ancienne ministre, députée de Seine-Maritime Mathieu Klein Président du conseil départemental de Meurthe-et-Moselle Johanna Rolland Maire de Nantes Najat Vallaud-Belkacem Ancienne ministre André Viola Président du conseil départemental de l’Aude

    TRAVAIL

    Fondation Jean Jaurès - Comment travaillerons-nous demain ? Pierre-Yves Gomez, Cécile Jolly

    Robots et révolution numérique redessinent le travail. Sera-t-il plus rare ou riche en nouveaux emplois, plus envahissant ou moins pénible ? Saurons-nous inventer de nouvelles protections pour les salariés et les indépendants ? Le magazine Alternatives économiques et la Fondation Jean-Jaurès ont fait débattre plusieurs experts autour de questions clés touchant à l’avenir du travail, pendant que Pôle Emploi, grâce à ses vastes études et enquêtes, propose huit tendances pour l’emploi de demain. Présentes sous forme de dossier dans le numéro de mai du magazine, ces contributions sont à retrouver durant tout le mois de juin sur les sites de deux partenaires. 
    Pour entamer ce cycle de publications, Cécile Jolly et Pierre-Yves Gomez exposent leur conception du travail et des principales tendances aujourd’hui à l’œuvre. La première de nos cinq controverses sur le travail de demain. 

    PRELEVEMENT A LA SOURCE

    La Tribune - Prélèvement à la source : une expérimentation progressive plutôt qu'un report à perpétuité

    Le projet de retenue à la source de l'impôt conçu par Bercy parait condamné par ses choix insensés. Il faut sans attendre relancer un schéma de synchronisation progressive entre les revenus courants et le paiement des acomptes de l'impôt sur le revenu. Des solutions simples existent, qui permettraient, en s'appuyant sur les investissements réalisés, de réussir sur la durée du quinquennat cette modernisation attendue de notre gestion fiscale. Par Marc Wolf, avocat fiscaliste et ancien directeur adjoint à la Direction Générale des Impôts.

    LEGISLATIVES

    Libé - Le PS défaitiste face au «député des fraises et des moutons»

    Des élus bretons pointent un effet de sidération dans leur région après les révélations sur Richard Ferrand, mais leur espoir de battre cette célébrité locale est mince.

    «En Bretagne, nous sommes sur des terres granitiques : tout infuse lentement mais sûrement.» A moins de deux semaines du premier tour des législatives, la gauche du Finistère, déjà bien sonnée par la recomposition politique au niveau national, se retrouve déboussolée par la tourmente Ferrand. Elu du cru, ancien représentant local d’Henri Emmanuelli (dans une fédération rocardienne) puis proche de Martine Aubry (dans un département hollandais), le député de la 6e circonscription du Finistère était au cœur de tous les réseaux socialistes locaux avant de passer avec armes et bagages chez Macron, pour le compte duquel il a levé une petite armée de candidats bretons chargés de faire la peau aux socialistes.

    L'Obs - "Aux législatives, le parachutage est légitime !"

    Les députés sont des élus de la nation, et non des élus locaux, explique le politiste Michel Hastings.

    Selon la liste officielle publiée par le ministère de l’Intérieur, il y aura au total 7.882 candidats le 11 juin prochain, lors du premier tour des législatives. C’est nettement plus qu’il y a cinq ans – ils étaient alors 6.541 – pour un nombre de sièges inchangés à l'Assemblée nationale (577). Soit une moyenne de 14 prétendants par circonscription.

    Libé - Un jour, une circo : Haro sur Cambadélis, le roi des éléphants
     
    Une nouvelle fois candidat dans la 16e circonscription de Paris, le premier secrétaire du PS est cerné par les jeunes pousses de Macron et de Mélenchon, qui rêvent de le faire tomber.
     
    En difficulté dans son fief du XIXe arrondissement de Paris, Jean-Christophe Cambadélis fait figure de cible idéale. Dans ce nouveau monde, où il n’est question que de «renouveau» et de «société civile», le premier secrétaire du Parti socialiste, élu en 1988 lors du second mandat de François Mitterrand, incarne le temps qui passe. Les adversaires sont nombreux et viennent de partout. A l’extérieur du parti, comme à l’intérieur de son propre camp.
     
    L'Obs - Avec la loi de moralisation de la vie publique, 58 candidats aux législatives auraient dû renoncer
     
    Sur les 7.882 candidats, 58 n'auraient pas pu se présenter aux prochaines élections législatives si la nouvelle loi était déjà entrée en vigueur...
     
    Des candidats en sursis ? Si les douze propositions du député apparenté PS René Dosière au ministre de la Justice, François Bayrou, qui pourraient être intégrées à la future loi sur la moralisation de la vie politique étaient déjà en vigueur, 58 parlementaires n'auraient pas pu se représenter aux élections législatives des 11 et 18 juin prochains, assure "Le Parisien".

    Libé - En Marche, l'éthique élastique

    Outre les très médiatisées polémiques touchant les ministres Ferrand et Sarnez, le mouvement d'Emmanuel Macron doit trancher sur une série de candidatures problématiques.

    Pas facile de faire advenir «un nouveau monde, un monde de règles précises qui rétablissent la confiance dans les acteurs publics», dixit le Premier ministre Edouard Philippe mardi soir sur France 2. Surtout quand au sein de l’armada de pèlerins estampillés La République En Marche (LREM) censés porter le «renouvellement» des visages et des pratiques, un petit groupe trimballe quelques bruyantes casseroles de l’ancien monde.

    Libé - Un jour une circo - Nord de Paris : «Nous aussi, on est deux à défendre le même projet»
     
    Dans la 18e circonscription de la capitale, deux lignes radicalement opposées s’affrontent… à travers quatre candidats : alors que Myriam El Khomri (PS) et Pierre-Yves Bournazel (LR) soutiennent tous deux la majorité présidentielle, Caroline De Haas (EE-LV, Ensemble, PCF) et Paul Vannier (FI) sont en pointe contre les réformes du code du travail.
     
    MACRON
     
    Slate - Avec Emmanuel Macron, le Parti du Moindre Mal risque de faire très mal, Eric Dupin
     
    L'Obs - Comment les Français voient Macron : le bénéfice du doute
     
    Quels sont les ressorts de la popularité d'Emmanuel Macron ? L'institut BVA a recueilli les paroles de Français, Adrien Abecassis, l'ex-"monsieur opinion" de François Hollande, les décortique.
     
    "Le sursis bienveillant". C'est ainsi que l'on pourrait résumer le regard des Français envers leur nouveau Président. 62% des Français ont une bonne opinion de lui, selon l'Observatoire de la politique nationale BVA-Orange-La Tribune (terrain les 22 et 23 mai). C'est un niveau équivalent à ses prédécesseurs : immédiatement après son arrivée, François Mitterrand était crédité de 61% de bonnes opinions, Jacques Chirac 62%, Nicolas Sarkozy 63%, François Hollande 61%.
     
    Telos - De quel libéralisme Emmanuel Macron est-il le nom? Jérôme Perrier
     
    À en croire ses pourfendeurs, campés aux deux extrémités de notre échiquier politique, Emmanuel Macron ne serait que l’incarnation hexagonale du libéralisme, ce virus venu de l’étranger et qui, sous diverses formes (néo- ; ultra- ; sauvage ou rampante), aurait irrémédiablement infecté la mondialisation actuelle, pour le plus grand malheur des plus démunis. L’intéressé quant à lui s’est toujours montré prudent lorsqu’on l’interrogeait sur son rapport au libéralisme ; ce qui peut fort bien se comprendre dans un pays comme le nôtre, où cette école de pensée est si volontiers caricaturée – et si largement méconnue. Pour autant, lorsqu’on lit le programme d’En Marche ! et plus encore le livre Révolution, il est difficile de ne pas pleinement inclure le nouveau Président de la République française dans ce que l’historien anglais Michael Freeden appelle la « famille libérale » ; soit une vaste nébuleuse idéologique à l’intérieur de laquelle peuvent se manifester de substantielles divergences, mais dont les membres partagent néanmoins une « structure conceptuelle stable », fondée sur quelques principes intangibles, comme la défense intransigeante de la liberté, de l’initiative et de la responsabilité individuelles, ou encore le goût prononcé du pluralisme et de la tolérance, contre toutes les formes de dogmatisme.
     
    HULOT
     
    Slate - Sur le nucléaire, les décisions non radicales de Nicolas Hulot
     
    Après les reports en tous genres qui ont marqué le quinquennat de François Hollande dans le désengagement français du nucléaire, le choix du nouveau président de proposer à Nicolas Hulot le ministère de la transition écologique et solidaire, avec le titre de ministre d’État, laisse supposer que le temps du passage à l’acte est arrivé. Ainsi Emmanuel Macron, qui n’a pas vraiment donné de gages aux écologistes pendant sa campagne, compterait-il sur son nouveau ministre pour tenir des promesses largement médiatisées mais non tenues par son prédécesseur.

    GOUVERNEMENT

    Le Monde - Pêche, jeunesse, immigration, famille… Les nouveaux périmètres des ministères dévoilés

    Les décrets d’attribution de chaque portefeuille ont été publiés au « Journal officiel » jeudi. Le premier ministre y précise par ailleurs sa méthode de travail.

    Le premier ministre, Edouard Philippe, a précisé la méthode de travail qu’il souhaite imposer à son gouvernement dans une circulaire publiée jeudi 25 mai au Journal officiel. Les décrets d’attribution de chaque ministère y ont également été publiés.

    Acteurs Publics - J.-M. Eymeri-Douzans : “La politisation fonctionnelle de la haute administration française tendra à s’accroître”

    Réduction de la taille des cabinets ministériels, question de confiance posée aux directeurs d’administration, nouvelle gouvernance au sommet… Pour Jean-Michel Eymeri-Douzans, professeur des universités à Sciences-Po Toulouse, cette volonté de faire travailler les ministres et les directeurs en “comité de direction” pose la question du rôle de l’Élysée dans les nominations.

    MELENCHON

    Le Monde - Qui est vraiment Jean-Luc Mélenchon ? Par Ariane Chemin

    Retour sur le parcours romanesque du leader des insoumis, qui a permis à la gauche de la gauche d’obtenir un score historique. Un homme romanesque, pour lequel vie politique et vie personnelle se confondent.

    Chambre 523 du St Christopher’s Inns, une auberge de jeunesse proche de la gare du Nord, dimanche 23 avril 2017. « Jean-Luc » s’est replié au dernier étage de cet hôtel pour routards, badges à tous les étages et tarifs spécial « backpackers », juste au-dessus du Belushi’s, le bistrot qui accueille les invités.

    ANALYSES

    L’université Paris Diderot en partenariat avec la Fondation Jean-Jaurès, le Panorama des idées et Slate.fr lance une nouvelle émission en ligne, Disputes, dédiée à l’actualité éditoriale des idées.

    Aux côtés de l’animateur, Jean-Marie Durand, chef de rubrique Idées aux Inrocks, les chroniqueurs de l’émission sont : Jean-Laurent Cassely, (Slate.fr), Emmanuel Lemieux (revue Panorama des idées/lesinfluences.fr), le politologue Laurent Bouvet (revue Esprit critique de la Fondation Jean Jaurès) et Catherine Coquio, professeure de littérature comparée (Université Paris Diderot).

    Disputes #8 / 4 mai 2017
    La société écologique et ses ennemis – Serge AUDIER – La Découverte
    Socialisme et sociologie- Bruno KARSENTI & Cyril LEMIEUX – Éditions EHESS
    Les citoyens qui viennent, Vincent TIBERJ – PUF
    Sans oublier les coups de cœur de nos critiques.

  • "La dernière année du quinquennat de François Hollande a été catastrophique" Julien Dray (01/06/2017)


    "La dernière année du quinquennat de François... par radioclassique