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Vidéo - Page 92

  • France Culture - Fin du mois, fin du monde : les énergies du désespoir

    Fin du mois, fin du monde", on l’entendait déjà pendant la crise des gilets jaunes dont on a récemment fêter les trois ans et on l’entendra ce soir au Collège de France lors de la leçon inaugurale de Christian Gollier, qui occupera désormais la chaire annuelle Avenir Commun Durable. Trois ans après, les enjeux sont les mêmes : comment répondre à l'urgence climatique tout en soutenant le pouvoir d’achat des citoyens ? Christian Gollier est économiste, directeur général de la Toulouse School of Economics et membre du GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat). Il donne sa leçon inaugurale au Collège de France le jeudi 9 décembre “Entre fin du mois et fin du monde : économie de nos responsabilités envers l'humanité”. Auteur de l’ouvrage "Le climat après la fin du mois" (PUF 2019). L'invité des Matins de France Culture. Comprendre le monde c'est déjà le transformer(07h40 - 08h00 - 9 Décembre 2021) Retrouvez tous les invités de Guillaume Erner sur www.franceculture.fr
  • Le pari fou d'Hidalgo - Reportage #cdanslair 09.12.2021

    Au terme d’une journée à rebondissements, la socialiste Anne Hidalgo a appelé hier soir à l'organisation d'une primaire pour désigner un candidat unique à gauche pour la présidentielle. "Cette gauche fracturée, qui aujourd’hui désespère nos concitoyens, doit se retrouver et se rassembler pour gouverner", a déclaré la maire de Paris sur le plateau du 20h de TF1. "Le temps est venu de ce rassemblement", a estimé la candidate du PS, à la peine dans les sondages depuis plusieurs semaines. Mais sa proposition à quatre mois de l’élection a déjà fait flop. Hormis le partisan de la Remontada Arnaud Montebourg qui avait fait un peu plus tôt dans la journée un appel similaire, en "offrant" sa candidature à "un projet commun", l’idée d’une primaire est loin de faire l’unanimité à gauche. "Anne Hidalgo ne peut pas nous proposer la machine à perdre que le PS a inaugurée en 2016", a déclaré sur franceinfo Eric Coquerel, député La France Insoumise de Seine-Saint-Denis. C'est la "proposition de la dernière chance pour elle", a également raillé la députée Insoumise Danièle Obono à l'AFP. "Participer à une primaire pour poser la question des personnes, ce n’est pas le choix que nous voulons faire", a réagi Fabien Roussel, le candidat du PCF. Même refus net aussi chez les écologistes. "Elle prend acte de l’impasse de sa candidature. Il y a une volonté de sortir de l’impasse par une proposition surprise, mais ce n’est pas le choix des écologistes", a déclaré le candidat écologiste sur Europe1. "Je ne participerai pas à une primaire de la gauche parce que l’élection c’est dans quatre mois et demi et il faut être sérieux", a-t-il ajouté. Difficile dans ces conditions d’imaginer un rassemblement. Pour autant, du côté des organisateurs de la Primaire populaire, on veut encore y croire. Lancée en juillet, cette primaire citoyenne vise à départager les différents candidats de gauche via un vote des citoyens et citoyennes initialement prévu du 13 au 16 janvier. Longtemps balayé, par les prétendants à l’Elysée et la candidate socialiste elle-même, malgré les appels du pied et la force fournie par les plus de 240 000 soutiens récoltés par l’initiative (dont 30 000 depuis le 1er décembre), ce projet, espèrent ses organisateurs, pourrait connaître un nouveau souffle après les déclarations de la candidate PS. Et ce alors que la gauche se retrouve aujourd’hui à un niveau très faible dans les sondages. L’addition des intentions de vote de tous les candidats situés à la gauche d’Emmanuel Macron atteindrait à peine 25 % dans les enquêtes d’opinion. Une réalité qui désole nombre de sympathisants de gauche, désabusés, mais que l’on entend bien exploiter du côté de la macronie. Pas encore officiellement candidat, le chef de l’Etat multiplie les déplacements ces dernières semaines pour répondre aux procès en déconnexion et en arrogance qui lui sont intentés depuis quatre ans et demi. Il s’est ainsi rendu mardi dans le Cher pour deux jours consacrés aux "problèmes du quotidien", notamment dans les villes petites et moyennes des départements ruraux. Une campagne dans les territoires avant de présenter ce jeudi les priorités de la présidence française du Conseil de l'Union européenne qui débutera le 1er janvier 2022, lors d’une conférence de presse. Sa deuxième, seulement, en quatre ans. Difficile, dans ce contexte, d’imaginer les journalistes ne pas saisir cette rare occasion pour interroger Emmanuel Macron sur des questions sanitaires et de politiques, notamment sur sa propre candidature. Invités : - Christophe Barbier, éditorialiste politique, directeur de la rédaction - Franc-Tireur - Carl Meeus, rédacteur en chef - Le Figaro Magazine - Soazig Quéméner, rédactrice en chef du service politique - Marianne - Frédéric Sawicki, politologue

  • La Primaire Populaire

  • Olivier Faure | Le 7/9 sur France Inter

    Suite à l'annonce d' Anne Hidalgo en faveur d'une primaire de la gauche, Olivier Faure était ce matin l'invité de Yaël Goosz dans la matinale de France Inter. Retrouvez cet entretien en intégralité !

  • L'inflation va se réduire : voilà les raisons politiques et géostratégiques [Olivier Passet]

    L’inflation est pour partie affaire de mécanique. A l’instar d’un moteur en surchauffe. Elle résulte de frictions, de phénomènes de résistance entre les mouvements de l’offre et de la demande, générant des pénuries et des enchères qui se diffusent de l’amont à l’aval. [...]

  • Comment la France tire le marché du travail vers le bas au détriment du travail qualifié [O. Passet]

    C’est le fil rouge des politiques de l’offre depuis des décennies…. Faire baisser les cotisations employeur sur les bas salaires. Une politique toute entière vouée à la lutte contre le chômage et dont on perçoit mieux aujourd’hui les résultats [...]

  • Fondation Jean Jaurès - Entre déclin et grandeur. Regards des Français sur leur pays

    La Fondation Jean-Jaurès accueille Thierry Keller et Arnaud Zegierman, auteurs de "Entre déclin et grandeur" (Éditions de l'Aube, 2021), pour un échange avec Zoé Reyners. Ils évoquent l’incroyable décalage entre le portrait du pays sinistré dépeint par la plupart des commentateurs et la vision bien plus positive qu’en a la majorité silencieuse.

  • THOMAS PIKETTY, GAËL GIRAUD : LE CAPITALISME EST-IL RÉFORMABLE ?

    Dans le cadre d'un partenariat entre la revue Études et l'institut Rousseau, les économistes Gaël Giraud et Thomas Piketty se sont rencontrés pour débattre de leurs critiques du capitalisme et mieux discerner leurs points d'accord et de désaccord. Dans le contexte actuel de menace de désastre écologique et social, le capitalisme est-il réformable ? Quelles sont vos propositions respectives ? Deux thèmes principaux ont été abordés : le traitement des inégalités et la critique de la sacralisation de la propriété privée.