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Vidéo - Page 88

  • Agression de Salman Rushdie : "On veut vivre dans une société avec l'esprit libre", réagit Riss

    Le directeur de Charlie Hebdo, Riss, réagit à la tentative d'assassinat de Salman Rushdie, alors que le journal lui consacre sa Une du mercredi 17 août. Pour lui, "silencieusement, on a l'impression que le périmètre de liberté d'expression se restreint".

  • Taxer les superprofits ? - 28 Minutes - ARTE (1er août)

    18,5 milliards d’euros de bénéfices pour Total Energies, 6,5 milliards d’euros pour le groupe LVMH… Et combien pour les Français ? Si ces résultats semestriels relancent le débat sur la répartition des valeurs et la taxation de ces “profiteurs de crise”, le gouvernement n’a pas encore décidé de taxer les superprofits. Pourquoi ?

  • A quoi correspond la sobriété énergétique ? | ARTE Info plus

    La guerre en Ukraine a clairement rebattu les cartes dans notre rapport à l'approvisionnement en énergie et à sa consommation, particulièrement le gaz russe dont dépendent de nombreux pays européens. La Commission européenne a fixé un cap pour préparer l'hiver à venir, et les suivants : réduire de 15% la consommation de gaz d'ici au printemps 2023. Décryptage.

  • Inondations : une menace planétaire | ARTE

    Les mégapoles côtières sont de plus en plus exposées aux inondations. Comment prévenir ces catastrophes, aux conséquences humaines et économiques désastreuses ? De New York à Bangkok en passant par Tokyo, une ambitieuse enquête. 29 octobre 2012 : la moitié de New York, envahie par les eaux, est plongée dans l'obscurité suite aux ravages de l’ouragan Sandy. Après Katrina et ses 1 800 morts, ce nouveau cataclysme alerte sur la vulnérabilité des mégapoles côtières face aux ondes de tempête (raz-de-marée) et aux inondations. Dans le monde, quelque 136 villes portuaires, riches ou pauvres, sont menacées, en particulier celles situées sur des deltas. À l’origine de ce phénomène : le dérèglement climatique et la montée des eaux bien sûr, mais aussi l’affaissement des sols (la subsidence) et leur liquéfaction, liés à l’urbanisation chaotique et au pompage excessif des nappes phréatiques, ainsi que la multiplication des barrages (45 000 à la surface du globe). Shanghai, Bangkok, Tokyo, Dacca ou Djakarta... : les cités asiatiques, à la croissance foudroyante, sont les plus exposées. Repenser l'urbanisme Comment prévenir ces catastrophes, aux conséquences humaines et économiques désastreuses ? Faudra-t-il un jour abandonner ces grandes métropoles qui sombrent inexorablement ? Aujourd’hui, les habitants du littoral fuient ou s’adaptent, en surélevant leurs maisons, tandis que des digues édifiées dans l’urgence tendent à protéger les quartiers des nantis, au détriment des plus démunis. À Tokyo, le pompage des eaux souterraines est interdit et des zones rurales tampons ont été aménagées. Shanghai, dont les gratte-ciel ne cessent de s’élever toujours plus haut, met en œuvre un ambitieux programme de surveillance de la subsidence. Mais la prise en compte du phénomène relève en réalité du choix de société. Repenser l’urbanisme et vivre avec l’eau plutôt que la combattre : le modèle séculaire des Pays-Bas inspire désormais d’autres démarches de "résilience urbaine". Ainsi, à Hambourg, l'audacieuse "HafenCity" revisite le concept de pilotis, tandis qu'à New York un programme collaboratif, "Rebuild by design", reconstruit dans le respect de la nature. À travers témoignages sur le terrain et avis d’experts, cette passionnante enquête fait le point sur les inondations et les solutions qui s’ébauchent pour y répondre. Inondations : une menace planétaire Documentaire de Marie Mandy (France, 2015, 1h33mn) Disponible jusqu'au 15/10/2022

  • Le Monde - Qui réchauffe le climat (et comment) ? Ft. Le Réveilleur

    Les vagues de chaleur et les canicules sont de plus en plus intenses et nombreuses.

  • Le Monde - Les individus peuvent-ils sauver le climat grâce à la sobriété ?

    Transport, alimentation, consommation… nos activités quotidiennes consomment de l’énergie et produisent des gaz à effets de serre, trop. En France, chaque individu émet en moyenne 10 tonnes d’équivalent CO2 par an. Pour atteindre les objectifs de neutralité carbone posés par les accords de Paris en 2015 et limiter l’impact sur le climat de la planète, il faudrait descendre à 2 tonnes par personne. Ce qu’on entend beaucoup, c’est que nos gestes quotidiens pourraient aider à réduire cette empreinte carbone. Mais jusqu’où pouvons-nous aller ? Et est-ce suffisant ? Dans ce nouvel épisode de notre série vidéo Plan B, nous allons la rencontre de deux personnes engagées dans un mode de vie bas carbone pour comprendre l’impact de ces gestes, et leurs limites.

  • "Le seul compromis qui a eu lieu, c’est avec la droite" déplore le socialiste Jérôme Guedj

    Jérôme Guedj, le député Parti Socialiste de l'Essonne, revient sur les premières semaines agitées de débats à l'Assemblée nationale, et reproche au gouvernement son rapprochement, selon lui, avec la droite pour adopter des textes

  • L'Obs - "Il va falloir s'habituer" à la sécheresse, aux canicules : la nouvelle rhétorique du gouvernement

    Confrontés à la sécheresse qui dure et à la canicule qui s'installe, des ministres du gouvernement Borne reprennent un argument de communication politique déjà bien rodé en temps de Covid. "Il va falloir s'habituer" et "on va vivre avec". Faute de pouvoir annoncer des mesures concrètes, François Braun à la Santé et Christophe Béchu à la Transition écologique s'emparent de ces formules déjà largement utilisées par Edouard Philippe ou Jean Castex.

  • On ne gagne pas tout seul : les leçons des héros de séries [Christophe Hannezo]

    Xerfi Canal a reçu Christophe Hannezo, Fondateur et associé, Virtu'Oz Seven, pour parler des séries. Une interview menée par Jean-Philippe Denis.

  • Idées d'été - RAISON versus EMOTION -- TenL#107 le 20 décembre à 20h, en direct

    La rationalité est-elle une dimension de l'humain orthogonale à son émotivité ? On entend tous et son contraire : mettre du sentiment, de l'affect, de la morale dans une analyse c'est trahir la zététique. Ou bien à l'inverse on accuse les sceptiques d'être sans âme, incapables de comprendre que la vie n'est pas explicable par la seule logique dans chaque contexte. La vérité n'est pas mystérieuse : nous pensons avec nos émotions. Elles sont partie prenantes dans nos choix, dans ce qui nous intéresse, nous passionne, nous révulse, attire notre attention.

    On ne fait aucune analyse rationnelle d'une situation si l'on est pas motivé à le faire. On ne fait pas le tour d'une question si on ne s'interroge pas sur ce qu'elle nous fait ressentir. Tout réduire aux émotions est une recette catastrophique, mais prétendre les ignorer, c'est occulter une partie du réel qui nous manquerait cruellement s'il était en notre pouvoir de l'amputer (ce qui n'est pas le cas). Ensemble, pour le live de Noël, allons plus loin que l'opposition raison versus émotion.