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Revue de presse - Page 35

  • L'actualité des socialistes du 23 au 29 décembre

    A LA UNE

    Libé - Lawrence Lessig: «On doit s’inquiéter de la manière dont Internet nourrit la polarisation»

    Les réseaux et les algorithmes cantonnent les individus à leur propre bulle d’information. Il y a urgence, selon le grand spécialiste du droit sur le Net, à construire un espace où discuter des mêmes questions politiques, base de la démocratie. Et contrer ainsi le pouvoir des nouveaux souverains (Facebook, Twitter, Google…).

    «Nous sommes à l’âge du cyberespace. Il possède lui aussi son propre régulateur, qui lui aussi menace les libertés. […] Ce régulateur, c’est le code.» En 2000, lorsque l’Américain Lawrence Lessig publie un article qui deviendra l’une des références de la littérature consacrée à Internet, Code Is Law («le Code fait loi»), le développement du réseau est encore porteur de toutes les utopies. Aujourd’hui, à l’heure où le code a pénétré toutes les dimensions de nos vies, et où se pose en tout domaine la question des conséquences politiques des choix technologiques, l’avertissement sonne comme une urgence. Professeur de droit à Harvard, constitutionnaliste réputé, Lessig est aussi, de longue date, un fervent promoteur des «biens communs numériques» - il a créé les licences Creative Commons, qui permettent depuis quinze ans aux créateurs de partager leurs œuvres - et de l’ouverture des données publiques.

    MONTEBOURG/HAMON

    France Info - Primaire de la gauche : Hamon et Montebourg sont-ils vraiment si semblables ?

    Arnaud Montebourg et Benoît Hamon ont souvent fait cause commune : au PS au début des années 2000, où ils ont milité dans le même courant. Ou encore dans le gouvernement de Manuel Valls, dont ils ont été remerciés en même temps. Aujourd'hui, ils sont tous deux des prétendants de la primaire de la gauche. Montebourg revendique une candidature "sociale républicaine", "au cœur des gauches", quand Hamon se situe à la gauche du PS. Qu'est-ce qui les différencie aujourd'hui dans leurs programmes ? Franceinfo s'est penché sur leurs propositions : ce qui les rapproche et ce qui les différencie.

    PS

    France Inter, Renaud Dély - 2017: la fin du PS?

    A l’approche des fêtes, une grande peur qui commence à planer sur le Parti Socialiste pour l’année prochaine.

    Et cette angoisse se résume en une question à la fois simple et assez cruciale: et si 2017 était la dernière année ? Et si 2017 marquait la fin du PS. Alors, vous me direz, on peut sûrement vivre après le Parti socialiste. D’autant qu’on a déjà vécu, et plutôt pas mal, avant… Il n’empêche que ce serait quand même un sacré événement politique. Parce que le PS n’est plus tout jeune. Dans sa forme actuelle, il a quand même bientôt 46 ans. Il est né, ou plutôt il a ressuscité, en juin 1971, lors du fameux congrès d’Epinay marqué par la prise du pouvoir de François Mitterrand. Depuis, avec ses congrès, ses courants, ses déchirements et ses motions de synthèse, le parti socialiste, c’est un véritable art de vivre.

    PRIMAIRE

    Le JDD - Primaire de la gauche : Bertrand Delanoë ne soutiendra personne

    INDISCRET - Betrand Delanoë a confié à ses amis qu'il ne soutiendra personne dans la primaire de la gauche. Ce qui ne l'empêche pas de juger, souvent durement, les candidats en lice.

    France Info - Pourquoi la primaire de gauche pourrait se jouer... très à gauche !

    Comme pour la primaire de droite, sept postulant-e-s sont en lice dans la primaire de gauche. Comme à droite, une seule femme est sur la ligne de départ. Et comme à droite, sauf le respect qui est dû à deux anciennes ministres, aucune chance pour elle de l'emporter : Nathalie Kosciusko-Morizet était "trop à gauche" dans la primaire de droite, Sylvia Pinel est trop "Radical de gauche", parti qu'elle préside, dans cette primaire... du PS.

    REVENU UNIVERSEL

    Libé - A gauche, «revenu minimum décent» ou «revenu universel d’existence» ?

    Alors que Benoît Hamon propose la création d’un «revenu universel d’existence», Manuel Valls préfère envisager un «revenu minimum décent». On fait le point pour s’y retrouver entre les visions des candidats à la primaire socialiste.

    «La première proposition [de Manuel Valls], ça a été d’avoir un revenu décent. Ça a été de faire en sorte que les Françaises et les Français aient un revenu qui leur permette de vivre le plus décemment possible.» Ce mardi matin sur RTL, le président du groupe socialiste au Sénat – et directeur de campagne de Manuel Valls pour la primaire – Didier Guillaume a évoqué une proposition en vogue à gauche, celle d’expérimenter une nouvelle forme d’allocation, qui, selon ses différentes versions, serait dépendante ou non des ressources et remplacerait ou non les autres allocations et aides sociales. Pour vous y retrouver, suivez le guide

    MONTEBOURG

    La Croix - Présidentielle 2017 : les 70 propositions d’Arnaud Montebourg

    Occupant une place originale au sein de la primaire du PS, l’ancien ministre de l’économie qui plaide pour une nouvelle Europe et une politique de relance de la croissance, a mis en ligne l’ensemble de ses propositions pour 2017

    Libé - Montebourg invente le «remade in France»

    L'ancien ministre de l'Economie a publié une compilation de ses 70 propositions présentées au fil de l'automne. Une façon de prouver qu'il en a plus sous le pied qu'un Manuel Valls ou un Vincent Peillon.

    La Croix - Arnaud Montebourg, franc-tireur de la gauche

    LES CANDIDATS À LA PRIMAIRE DE LA GAUCHE (2/7). Adepte des coups d’éclats, l’ancien ministre de l’économie et du redressement productif a mené un parcours solitaire au PS. Avec son « projet France », il se positionne comme un candidat anti-système et anti-austérité.

    HAMON

    Libé - Edouard Martin : «Benoît Hamon n'est pas le vilain gaucho qui est contre tout»

    L'eurodéputé, proche d'Arnaud Montebourg avec qui il avait planché sur le dossier Florange, explique pourquoi il a choisi de soutenir Benoît Hamon, dont il apprécie le projet social et le discours sur le travail.

    Le Figaro - Cafés interdits aux femmes : accusé de déni, Hamon se justifie

    LE SCAN POLITIQUE - Invité à commenter des scènes filmées par France 2 démontrant l'absence de mixité dans certains établissements de banlieue, le candidat à la primaire a relativisé.

    C'est un reportage qui a beaucoup fait couler d'encre. Diffusé la semaine dernière sur France 2, il montre les l'absence de mixité dans certains cafés de banlieue, comme dans un établissement de Sevran (Seine-Saint-Denis). «On est à Sevran, on n'est pas à Paris. T'es dans le 93 ici. C'est des mentalités différentes, c'est comme au bled», commente le gérant du café dans le sujet.

    Muslim Post - A gauche, Benoît Hamon est-il le candidat naturel des musulmans de France ?

    Il est l’un des seuls, à gauche, à ne pas vouloir que l’Islam soit l’un des enjeux de la présidentielle. Hamon s’impose-t-il naturellement comme le candidat des musulmans de France ?

    Direct Matin - Présidentielle 2017 : le programme de Benoît Hamon

    Il est souvent décrit comme le «troisième homme» de la campagne de la primaire socialiste. Avec un programme qui le situe à gauche du PS, Benoît Hamon peut espérer peser sur l'élection. 

    L'ancien ministre de l'Education a dévoilé les grandes lignes de son programme, qui vise notamment, selon ses propres termes, à «inventer une société où l'accomplissement n'est pas dans le travail». 

    PEILLON

    Libé - Vincent Peillon : «Je suis le candidat de la jeunesse de France»

    Sans tracts mais entouré de micros, l'ancien ministre de l'Education et candidat à la primaire à gauche était en campagne dans le XIIe arrondissement de Paris. Au marché de Daumesnil, pas de petites phrases, des poignées de main et des regards intrigués.

    REVENU UNIVERSEL

    Le Temps - «Un jour, nous nous demanderons comment nous avons pu vivre sans revenu universel de base»

    Philippe Van Parijs, professeur à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’Université catholique de Louvain, est à Zurich ce jeudi pour parler du revenu inconditionnel de base

    Les Suisses voteront le 5 juin sur une initiative populaire réclamant la création d’un revenu de base inconditionnel. L’idée? Attribuer à chaque citoyen, pauvre ou riche, une somme de base, sans contrepartie. Philippe Van Parijs, professeur ordinaire à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’université de Louvain, observe le débat naissant en Suisse avec enthousiasme. Pour le philosophe qui a fondé le BIEN (Basic income earth network) dans les années 1980, le revenu de base est un vecteur d’émancipation. Il est de passage à Zurich ce jeudi pour croiser le fer avec un opposant à ce projet, l’économiste Reiner Eichenberger*

    PODEMOS

    Mediapart - Podemos: le déchirement?

    En février prochain se tiendra à Madrid l'Assemblée "refondatrice" de Podemos. Une crise sans précédent oppose au sein du mouvement deux stratégies politiques mais surtout les deux principales personnalités du parti: Iglesias et Errejon.

    99 162 personnes viennent de voter pour définir les règles selon lesquelles se déroulera la prochaine « Assemblée de refondation du Parti » dite Vistalegre II, (deux ans après la première Vistalegre fondatrice). Il s’agissait de trancher entre  les deux principales propositions, celle de Pablo Iglesias et  celle de ĺñigo Errejón. Le premier proposait que les motions présentées à l’Assemblée et la désignation de leurs auteurs à la direction (Consejo ciudadano) ne soient l’objet que d’un seul scrutin. Errejón quant à lui proposait deux scrutins séparés l’un concernant les documents l’autre les personnes aspirant à la direction.

  • L'actualité des socialistes du 23 au 29 décembre

    A LA UNE

    Libé - Lawrence Lessig: «On doit s’inquiéter de la manière dont Internet nourrit la polarisation»

    Les réseaux et les algorithmes cantonnent les individus à leur propre bulle d’information. Il y a urgence, selon le grand spécialiste du droit sur le Net, à construire un espace où discuter des mêmes questions politiques, base de la démocratie. Et contrer ainsi le pouvoir des nouveaux souverains (Facebook, Twitter, Google…).

    «Nous sommes à l’âge du cyberespace. Il possède lui aussi son propre régulateur, qui lui aussi menace les libertés. […] Ce régulateur, c’est le code.» En 2000, lorsque l’Américain Lawrence Lessig publie un article qui deviendra l’une des références de la littérature consacrée à Internet, Code Is Law («le Code fait loi»), le développement du réseau est encore porteur de toutes les utopies. Aujourd’hui, à l’heure où le code a pénétré toutes les dimensions de nos vies, et où se pose en tout domaine la question des conséquences politiques des choix technologiques, l’avertissement sonne comme une urgence. Professeur de droit à Harvard, constitutionnaliste réputé, Lessig est aussi, de longue date, un fervent promoteur des «biens communs numériques» - il a créé les licences Creative Commons, qui permettent depuis quinze ans aux créateurs de partager leurs œuvres - et de l’ouverture des données publiques.

    MONTEBOURG/HAMON

    France Info - Primaire de la gauche : Hamon et Montebourg sont-ils vraiment si semblables ?

    Arnaud Montebourg et Benoît Hamon ont souvent fait cause commune : au PS au début des années 2000, où ils ont milité dans le même courant. Ou encore dans le gouvernement de Manuel Valls, dont ils ont été remerciés en même temps. Aujourd'hui, ils sont tous deux des prétendants de la primaire de la gauche. Montebourg revendique une candidature "sociale républicaine", "au cœur des gauches", quand Hamon se situe à la gauche du PS. Qu'est-ce qui les différencie aujourd'hui dans leurs programmes ? Franceinfo s'est penché sur leurs propositions : ce qui les rapproche et ce qui les différencie.

    PS

    France Inter, Renaud Dély - 2017: la fin du PS?

    A l’approche des fêtes, une grande peur qui commence à planer sur le Parti Socialiste pour l’année prochaine.

    Et cette angoisse se résume en une question à la fois simple et assez cruciale: et si 2017 était la dernière année ? Et si 2017 marquait la fin du PS. Alors, vous me direz, on peut sûrement vivre après le Parti socialiste. D’autant qu’on a déjà vécu, et plutôt pas mal, avant… Il n’empêche que ce serait quand même un sacré événement politique. Parce que le PS n’est plus tout jeune. Dans sa forme actuelle, il a quand même bientôt 46 ans. Il est né, ou plutôt il a ressuscité, en juin 1971, lors du fameux congrès d’Epinay marqué par la prise du pouvoir de François Mitterrand. Depuis, avec ses congrès, ses courants, ses déchirements et ses motions de synthèse, le parti socialiste, c’est un véritable art de vivre.

    PRIMAIRE

    Le JDD - Primaire de la gauche : Bertrand Delanoë ne soutiendra personne

    INDISCRET - Betrand Delanoë a confié à ses amis qu'il ne soutiendra personne dans la primaire de la gauche. Ce qui ne l'empêche pas de juger, souvent durement, les candidats en lice.

    France Info - Pourquoi la primaire de gauche pourrait se jouer... très à gauche !

    Comme pour la primaire de droite, sept postulant-e-s sont en lice dans la primaire de gauche. Comme à droite, une seule femme est sur la ligne de départ. Et comme à droite, sauf le respect qui est dû à deux anciennes ministres, aucune chance pour elle de l'emporter : Nathalie Kosciusko-Morizet était "trop à gauche" dans la primaire de droite, Sylvia Pinel est trop "Radical de gauche", parti qu'elle préside, dans cette primaire... du PS.

    REVENU UNIVERSEL

    Libé - A gauche, «revenu minimum décent» ou «revenu universel d’existence» ?

    Alors que Benoît Hamon propose la création d’un «revenu universel d’existence», Manuel Valls préfère envisager un «revenu minimum décent». On fait le point pour s’y retrouver entre les visions des candidats à la primaire socialiste.

    «La première proposition [de Manuel Valls], ça a été d’avoir un revenu décent. Ça a été de faire en sorte que les Françaises et les Français aient un revenu qui leur permette de vivre le plus décemment possible.» Ce mardi matin sur RTL, le président du groupe socialiste au Sénat – et directeur de campagne de Manuel Valls pour la primaire – Didier Guillaume a évoqué une proposition en vogue à gauche, celle d’expérimenter une nouvelle forme d’allocation, qui, selon ses différentes versions, serait dépendante ou non des ressources et remplacerait ou non les autres allocations et aides sociales. Pour vous y retrouver, suivez le guide

    MONTEBOURG

    La Croix - Présidentielle 2017 : les 70 propositions d’Arnaud Montebourg

    Occupant une place originale au sein de la primaire du PS, l’ancien ministre de l’économie qui plaide pour une nouvelle Europe et une politique de relance de la croissance, a mis en ligne l’ensemble de ses propositions pour 2017

    Libé - Montebourg invente le «remade in France»

    L'ancien ministre de l'Economie a publié une compilation de ses 70 propositions présentées au fil de l'automne. Une façon de prouver qu'il en a plus sous le pied qu'un Manuel Valls ou un Vincent Peillon.

    La Croix - Arnaud Montebourg, franc-tireur de la gauche

    LES CANDIDATS À LA PRIMAIRE DE LA GAUCHE (2/7). Adepte des coups d’éclats, l’ancien ministre de l’économie et du redressement productif a mené un parcours solitaire au PS. Avec son « projet France », il se positionne comme un candidat anti-système et anti-austérité.

    HAMON

    Libé - Edouard Martin : «Benoît Hamon n'est pas le vilain gaucho qui est contre tout»

    L'eurodéputé, proche d'Arnaud Montebourg avec qui il avait planché sur le dossier Florange, explique pourquoi il a choisi de soutenir Benoît Hamon, dont il apprécie le projet social et le discours sur le travail.

    Le Figaro - Cafés interdits aux femmes : accusé de déni, Hamon se justifie

    LE SCAN POLITIQUE - Invité à commenter des scènes filmées par France 2 démontrant l'absence de mixité dans certains établissements de banlieue, le candidat à la primaire a relativisé.

    C'est un reportage qui a beaucoup fait couler d'encre. Diffusé la semaine dernière sur France 2, il montre les l'absence de mixité dans certains cafés de banlieue, comme dans un établissement de Sevran (Seine-Saint-Denis). «On est à Sevran, on n'est pas à Paris. T'es dans le 93 ici. C'est des mentalités différentes, c'est comme au bled», commente le gérant du café dans le sujet.

    Muslim Post - A gauche, Benoît Hamon est-il le candidat naturel des musulmans de France ?

    Il est l’un des seuls, à gauche, à ne pas vouloir que l’Islam soit l’un des enjeux de la présidentielle. Hamon s’impose-t-il naturellement comme le candidat des musulmans de France ?

    Direct Matin - Présidentielle 2017 : le programme de Benoît Hamon

    Il est souvent décrit comme le «troisième homme» de la campagne de la primaire socialiste. Avec un programme qui le situe à gauche du PS, Benoît Hamon peut espérer peser sur l'élection. 

    L'ancien ministre de l'Education a dévoilé les grandes lignes de son programme, qui vise notamment, selon ses propres termes, à «inventer une société où l'accomplissement n'est pas dans le travail». 

    PEILLON

    Libé - Vincent Peillon : «Je suis le candidat de la jeunesse de France»

    Sans tracts mais entouré de micros, l'ancien ministre de l'Education et candidat à la primaire à gauche était en campagne dans le XIIe arrondissement de Paris. Au marché de Daumesnil, pas de petites phrases, des poignées de main et des regards intrigués.

    REVENU UNIVERSEL

    Le Temps - «Un jour, nous nous demanderons comment nous avons pu vivre sans revenu universel de base»

    Philippe Van Parijs, professeur à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’Université catholique de Louvain, est à Zurich ce jeudi pour parler du revenu inconditionnel de base

    Les Suisses voteront le 5 juin sur une initiative populaire réclamant la création d’un revenu de base inconditionnel. L’idée? Attribuer à chaque citoyen, pauvre ou riche, une somme de base, sans contrepartie. Philippe Van Parijs, professeur ordinaire à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’université de Louvain, observe le débat naissant en Suisse avec enthousiasme. Pour le philosophe qui a fondé le BIEN (Basic income earth network) dans les années 1980, le revenu de base est un vecteur d’émancipation. Il est de passage à Zurich ce jeudi pour croiser le fer avec un opposant à ce projet, l’économiste Reiner Eichenberger*

    PODEMOS

    Mediapart - Podemos: le déchirement?

    En février prochain se tiendra à Madrid l'Assemblée "refondatrice" de Podemos. Une crise sans précédent oppose au sein du mouvement deux stratégies politiques mais surtout les deux principales personnalités du parti: Iglesias et Errejon.

    99 162 personnes viennent de voter pour définir les règles selon lesquelles se déroulera la prochaine « Assemblée de refondation du Parti » dite Vistalegre II, (deux ans après la première Vistalegre fondatrice). Il s’agissait de trancher entre  les deux principales propositions, celle de Pablo Iglesias et  celle de ĺñigo Errejón. Le premier proposait que les motions présentées à l’Assemblée et la désignation de leurs auteurs à la direction (Consejo ciudadano) ne soient l’objet que d’un seul scrutin. Errejón quant à lui proposait deux scrutins séparés l’un concernant les documents l’autre les personnes aspirant à la direction.

  • L'actualité des socialistes du 23 au 29 décembre

    A LA UNE

    Libé - Lawrence Lessig: «On doit s’inquiéter de la manière dont Internet nourrit la polarisation»

    Les réseaux et les algorithmes cantonnent les individus à leur propre bulle d’information. Il y a urgence, selon le grand spécialiste du droit sur le Net, à construire un espace où discuter des mêmes questions politiques, base de la démocratie. Et contrer ainsi le pouvoir des nouveaux souverains (Facebook, Twitter, Google…).

    «Nous sommes à l’âge du cyberespace. Il possède lui aussi son propre régulateur, qui lui aussi menace les libertés. […] Ce régulateur, c’est le code.» En 2000, lorsque l’Américain Lawrence Lessig publie un article qui deviendra l’une des références de la littérature consacrée à Internet, Code Is Law («le Code fait loi»), le développement du réseau est encore porteur de toutes les utopies. Aujourd’hui, à l’heure où le code a pénétré toutes les dimensions de nos vies, et où se pose en tout domaine la question des conséquences politiques des choix technologiques, l’avertissement sonne comme une urgence. Professeur de droit à Harvard, constitutionnaliste réputé, Lessig est aussi, de longue date, un fervent promoteur des «biens communs numériques» - il a créé les licences Creative Commons, qui permettent depuis quinze ans aux créateurs de partager leurs œuvres - et de l’ouverture des données publiques.

    MONTEBOURG/HAMON

    France Info - Primaire de la gauche : Hamon et Montebourg sont-ils vraiment si semblables ?

    Arnaud Montebourg et Benoît Hamon ont souvent fait cause commune : au PS au début des années 2000, où ils ont milité dans le même courant. Ou encore dans le gouvernement de Manuel Valls, dont ils ont été remerciés en même temps. Aujourd'hui, ils sont tous deux des prétendants de la primaire de la gauche. Montebourg revendique une candidature "sociale républicaine", "au cœur des gauches", quand Hamon se situe à la gauche du PS. Qu'est-ce qui les différencie aujourd'hui dans leurs programmes ? Franceinfo s'est penché sur leurs propositions : ce qui les rapproche et ce qui les différencie.

    PS

    France Inter, Renaud Dély - 2017: la fin du PS?

    A l’approche des fêtes, une grande peur qui commence à planer sur le Parti Socialiste pour l’année prochaine.

    Et cette angoisse se résume en une question à la fois simple et assez cruciale: et si 2017 était la dernière année ? Et si 2017 marquait la fin du PS. Alors, vous me direz, on peut sûrement vivre après le Parti socialiste. D’autant qu’on a déjà vécu, et plutôt pas mal, avant… Il n’empêche que ce serait quand même un sacré événement politique. Parce que le PS n’est plus tout jeune. Dans sa forme actuelle, il a quand même bientôt 46 ans. Il est né, ou plutôt il a ressuscité, en juin 1971, lors du fameux congrès d’Epinay marqué par la prise du pouvoir de François Mitterrand. Depuis, avec ses congrès, ses courants, ses déchirements et ses motions de synthèse, le parti socialiste, c’est un véritable art de vivre.

    PRIMAIRE

    Le JDD - Primaire de la gauche : Bertrand Delanoë ne soutiendra personne

    INDISCRET - Betrand Delanoë a confié à ses amis qu'il ne soutiendra personne dans la primaire de la gauche. Ce qui ne l'empêche pas de juger, souvent durement, les candidats en lice.

    France Info - Pourquoi la primaire de gauche pourrait se jouer... très à gauche !

    Comme pour la primaire de droite, sept postulant-e-s sont en lice dans la primaire de gauche. Comme à droite, une seule femme est sur la ligne de départ. Et comme à droite, sauf le respect qui est dû à deux anciennes ministres, aucune chance pour elle de l'emporter : Nathalie Kosciusko-Morizet était "trop à gauche" dans la primaire de droite, Sylvia Pinel est trop "Radical de gauche", parti qu'elle préside, dans cette primaire... du PS.

    REVENU UNIVERSEL

    Libé - A gauche, «revenu minimum décent» ou «revenu universel d’existence» ?

    Alors que Benoît Hamon propose la création d’un «revenu universel d’existence», Manuel Valls préfère envisager un «revenu minimum décent». On fait le point pour s’y retrouver entre les visions des candidats à la primaire socialiste.

    «La première proposition [de Manuel Valls], ça a été d’avoir un revenu décent. Ça a été de faire en sorte que les Françaises et les Français aient un revenu qui leur permette de vivre le plus décemment possible.» Ce mardi matin sur RTL, le président du groupe socialiste au Sénat – et directeur de campagne de Manuel Valls pour la primaire – Didier Guillaume a évoqué une proposition en vogue à gauche, celle d’expérimenter une nouvelle forme d’allocation, qui, selon ses différentes versions, serait dépendante ou non des ressources et remplacerait ou non les autres allocations et aides sociales. Pour vous y retrouver, suivez le guide

    MONTEBOURG

    La Croix - Présidentielle 2017 : les 70 propositions d’Arnaud Montebourg

    Occupant une place originale au sein de la primaire du PS, l’ancien ministre de l’économie qui plaide pour une nouvelle Europe et une politique de relance de la croissance, a mis en ligne l’ensemble de ses propositions pour 2017

    Libé - Montebourg invente le «remade in France»

    L'ancien ministre de l'Economie a publié une compilation de ses 70 propositions présentées au fil de l'automne. Une façon de prouver qu'il en a plus sous le pied qu'un Manuel Valls ou un Vincent Peillon.

    La Croix - Arnaud Montebourg, franc-tireur de la gauche

    LES CANDIDATS À LA PRIMAIRE DE LA GAUCHE (2/7). Adepte des coups d’éclats, l’ancien ministre de l’économie et du redressement productif a mené un parcours solitaire au PS. Avec son « projet France », il se positionne comme un candidat anti-système et anti-austérité.

    HAMON

    Libé - Edouard Martin : «Benoît Hamon n'est pas le vilain gaucho qui est contre tout»

    L'eurodéputé, proche d'Arnaud Montebourg avec qui il avait planché sur le dossier Florange, explique pourquoi il a choisi de soutenir Benoît Hamon, dont il apprécie le projet social et le discours sur le travail.

    Le Figaro - Cafés interdits aux femmes : accusé de déni, Hamon se justifie

    LE SCAN POLITIQUE - Invité à commenter des scènes filmées par France 2 démontrant l'absence de mixité dans certains établissements de banlieue, le candidat à la primaire a relativisé.

    C'est un reportage qui a beaucoup fait couler d'encre. Diffusé la semaine dernière sur France 2, il montre les l'absence de mixité dans certains cafés de banlieue, comme dans un établissement de Sevran (Seine-Saint-Denis). «On est à Sevran, on n'est pas à Paris. T'es dans le 93 ici. C'est des mentalités différentes, c'est comme au bled», commente le gérant du café dans le sujet.

    Muslim Post - A gauche, Benoît Hamon est-il le candidat naturel des musulmans de France ?

    Il est l’un des seuls, à gauche, à ne pas vouloir que l’Islam soit l’un des enjeux de la présidentielle. Hamon s’impose-t-il naturellement comme le candidat des musulmans de France ?

    Direct Matin - Présidentielle 2017 : le programme de Benoît Hamon

    Il est souvent décrit comme le «troisième homme» de la campagne de la primaire socialiste. Avec un programme qui le situe à gauche du PS, Benoît Hamon peut espérer peser sur l'élection. 

    L'ancien ministre de l'Education a dévoilé les grandes lignes de son programme, qui vise notamment, selon ses propres termes, à «inventer une société où l'accomplissement n'est pas dans le travail». 

    PEILLON

    Libé - Vincent Peillon : «Je suis le candidat de la jeunesse de France»

    Sans tracts mais entouré de micros, l'ancien ministre de l'Education et candidat à la primaire à gauche était en campagne dans le XIIe arrondissement de Paris. Au marché de Daumesnil, pas de petites phrases, des poignées de main et des regards intrigués.

    REVENU UNIVERSEL

    Le Temps - «Un jour, nous nous demanderons comment nous avons pu vivre sans revenu universel de base»

    Philippe Van Parijs, professeur à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’Université catholique de Louvain, est à Zurich ce jeudi pour parler du revenu inconditionnel de base

    Les Suisses voteront le 5 juin sur une initiative populaire réclamant la création d’un revenu de base inconditionnel. L’idée? Attribuer à chaque citoyen, pauvre ou riche, une somme de base, sans contrepartie. Philippe Van Parijs, professeur ordinaire à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’université de Louvain, observe le débat naissant en Suisse avec enthousiasme. Pour le philosophe qui a fondé le BIEN (Basic income earth network) dans les années 1980, le revenu de base est un vecteur d’émancipation. Il est de passage à Zurich ce jeudi pour croiser le fer avec un opposant à ce projet, l’économiste Reiner Eichenberger*

    PODEMOS

    Mediapart - Podemos: le déchirement?

    En février prochain se tiendra à Madrid l'Assemblée "refondatrice" de Podemos. Une crise sans précédent oppose au sein du mouvement deux stratégies politiques mais surtout les deux principales personnalités du parti: Iglesias et Errejon.

    99 162 personnes viennent de voter pour définir les règles selon lesquelles se déroulera la prochaine « Assemblée de refondation du Parti » dite Vistalegre II, (deux ans après la première Vistalegre fondatrice). Il s’agissait de trancher entre  les deux principales propositions, celle de Pablo Iglesias et  celle de ĺñigo Errejón. Le premier proposait que les motions présentées à l’Assemblée et la désignation de leurs auteurs à la direction (Consejo ciudadano) ne soient l’objet que d’un seul scrutin. Errejón quant à lui proposait deux scrutins séparés l’un concernant les documents l’autre les personnes aspirant à la direction.

  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    BMFMTV - Le Grand Oral de Gilles Keppel, spécialiste du monde arabe, le 26 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PEILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PEILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PEILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PËILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PEILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PËILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PËILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • L'actualité des socialistes du 9 au 15 décembre

    A LA UNE

    Le Parisien - Débat : le Parti socialiste est-il fini ?

    Le quinquennat de François Hollande sonnera-t-il le glas du Parti socialiste ? Un président sortant décrédibilisé qui renonce à se représenter, des législatives qui se profilent comme la chronique d'une déroute annoncée... Et, surtout, une ligne idéologique tellement distendue que la primaire, qui s'ouvre le 17 décembre, n'aura jamais été aussi riche ou encombrée (selon les points de vue) de projets et d'ambitions en marche. Du social-libéralisme de Manuel Valls au patriotisme économique d'Arnaud Montebourg, en passant par l'encore indéfinissable Vincent Peillon... sans compter ceux qui, aux deux extrêmes du spectre à gauche, briguent l'Elysée en sautant la case primaire, comme Jean-Luc Mélenchon ou Emmanuel Macron. Quelle famille ! A n'en pas douter, le Parti socialiste de Mitterrand et de Jospin, pôle fédérateur de toutes les gauches, a vécu. Peut-il donner naissance à un autre PS ?

    INEGALITES

    L'Observatoire des inégalités - Les inégalités de niveau de vie continuent à augmenter

    15 décembre 2016 - Depuis une vingtaine d’années, les inégalités de revenus augmentent. Un changement profond.

    Si l’on prend comme point de comparaison le début des années 1970, les inégalités de revenus ont baissé. Depuis une vingtaine d’années, changement de cap : les inégalités repartent à la hausse. D’abord, les niveaux de vie des très riches se sont envolés. Depuis une dizaine d’années, ceux des plus pauvres diminuent. Le jugement que l’on peut porter sur les inégalités de revenus dépend de l’échelle de temps et de l’instrument de mesure que l’on utilise.

    PRIMAIRE

    Le Monde - Sept candidats retenus pour la primaire de la gauche par la haute autorité

    La candidature du militant socialiste Gérard Filoche et celle du conseiller municipal de Châteaudun (Eure-et-Loir) Fabien Verdier n’ont pas été validées par la haute autorité.

    Sept candidats, quatre socialistes et trois membres d’autres partis, ont été définitivement retenus pour la primaire de la gauche, a annoncé samedi 17 décembre la haute autorité de la « primaire citoyenne », lançant officiellement le début de la campagne. Il s’agit des socialistes Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls. La seule femme en lice, Sylvia Pinel (Parti radical de gauche), Jean-Luc Bennahmias (Front démocrate) et François de Rugy (Parti écologiste) participeront eux aussi à cette primaire qui se tiendra les 22 et 29 janvier.

    Le Monde - Primaire à gauche : qui sont les neuf candidats déclarés ?

    Ils sont neuf, dont une femme, à avoir déposé, jeudi, les parrainages nécessaires pour participer au scrutin organisé par le Parti socialiste les 22 et 29 janvier 2017.

    Ils sont donc neuf, dont une seule femme, sur la ligne de départ pour la primaire à gauche organisée par le Parti socialiste (PS) les 22 et 29 janvier 2017. Les prétendants socialistes avaient jusqu’à jeudi 15 décembre, 18 heures, pour déposer les parrainages nécessaires.

    20 minutes - Le PS parviendra-t-il à diviser le coût de la primaire par deux?

    FINANCEMENT Le PS mise sur un coût global de 3,5 millions d'euros pour la primaire, une opération qui avait coûté 6 millions d'euros en 2011...

    Diviser le coût de la primaire par deux. C’est apparemment l’objectif affiché par le Parti socialiste. Christophe Borgel, le président du Comité d’organisation des primaires, a estimé mercredi que le coût de ce scrutin serait de 3,5 millions d’euros, bien moins que les 6 millions consacrés à la première opération en 2011. Mais comment comptent-ils faire pour réduire les coûts de près de moitié ?

    L'Obs - Le suicide des baleines du PS

    EDITO. Le renoncement de François Hollande a provoqué une forme de "burn out", comme un trou noir, chez les éléphants socialistes. Leurs divisions, dignes des Atrides, les conduisent tout droit dans le gouffre.

    Le Point - Présidentielle : les désespérés du PS

    VIDÉO. Des députés socialistes ne croient ni au rassemblement post-primaire ni à une victoire en mai. Un marasme où le seul espoir... s'appelle Macron !

    Huffington Post - Vincent Peillon candidat: la primaire de la gauche éparpillée façon puzzle

    Avec la candidature de l'ancien ministre, quatre candidats se disputent le leadership de deux camps antagonistes au Parti socialiste....

    Avec la candidature de Vincent Peillon, confirmée ce dimanche 11 décembre sur le plateau de France2, pas moins de quatre anciens ministres de François Hollande se disputent désormais l'investiture à la prochaine élection présidentielle. Outre l'ancien titulaire à l'Education, grand promoteur de la réforme des rythmes scolaires, sont également en lice son éphémère successeur Benoît Hamon,

    Le Figaro - Primaire PS: 3 débats prévus avant le 1er tour

    La Parti socialiste a précisé aujourd'hui les modalités d'organisation de sa primaire pour l'élection présidentielle de 2017, à deux jours de la clôture des candidatures pour ce scrutin interne prévu les 22 et 29 janvier. Environ 7400 bureaux de vote, sur les 8000 prévus au final, étaient validés, selon les informations données lors d'une réunion du Comité national d'organisation de la primaire (Cnop) organisée ce soir au siège du parti, à Paris

    CAZENEUVE

    Libé - Oui, les frondeurs PS votent Bernard Cazeneuve

    .... Pour les deux mois de débats qui restent à l’Assemblée nationale, ces parlementaires ont donc choisi, ce mardi, d’enterrer la hache de guerre parlementaire qui a usé la majorité jusqu’à contraindre l’exécutif à utiliser le 49.3 sur la loi travail. Preuve supplémentaire de ce «changement de période», comme le qualifie l’un de leurs chefs de file, le député de la Nièvre Christian Paul : ils ont accompagné leurs camarades dans la standing ovation qui a suivi son discours de quarante-cinq minutes. Tous les socialistes debout dans l’hémicycle : une première depuis bien longtemps.

    HOLLANDE

    L'Obs - François Hollande renonce : 4 économistes liquident son bilan

    Chômage, impôts, croissance... Thomas Piketty, Philippe Aghion, Thomas Porcher et Daniel Cohen dressent le bilan du quinquennat de François Hollande. C'est sévère.

    Au lendemain du renoncement de François Hollande à se représenter à l'élection présidentielle, "l'Obs" a interrogé les économistes Philippe Aghion et Thomas Porcher sur le bilan économique du quinquennat. Verdict : "un échec", "il a raté l'occasion de réformer le pays". Nous republions également des extraits des entretiens avec Thomas Piketty et Daniel Cohen, déjà parus dans "l'Obs", dans lesquels eux aussi jugeaient sévèrement l'action du président.

    SONDAGE

    Paris Match - Baromètre Ifop : Cazeneuve en tête, Fillon s'effrite

    Le nouveau Premier ministre Bernard Cazeneuve détrône Alain Juppé dans le baromètre Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio. Derrière, les cartes sont redistribuées. Arnaud Montebourg monte sur le podium devant Emmanuel Macron tandis que François Fillon recule de 6 points. 

    OLIVIER FAURE

    Libé - Cinq choses à savoir sur Olivier Faure, nouveau patron des députés PS

    Olivier Faure, 48 ans, député de Seine-et-Marne, a été élu mardi à la tête du groupe socialiste, écologiste et républicain à l’Assemblée. Il succède à Bruno Le Roux, nommé au ministère de l’Intérieur. Portrait en cinq points.

    MONTEBOURG

    L'Express - Montebourg propose une "relance keynésienne de nature écologique"

    Arnaud Montebourg a proposé jeudi une "relance keynésienne de nature écologique", estimant que la transition écologique était porteuse d'"activité vertueuse" donc de croissance, et a fait de la lutte contre le carbone une priorité sur la sortie du nucléaire qu'il a décrite comme "une décroissance naturelle de long terme".

    Le Monde - Arnaud Montebourg conteste « formellement » devoir 80 000 euros au PS

    D’après deux sites d’information, le candidat à la primaire de la gauche aurait une dette envers le Parti socialiste, à qui il n’aurait pas versé les cotisations dues quand il était député entre 2007 et 2012.

    Libé - La primaire du Hollande bashing (1/5) : Montebourg et le pouvoir d'achat

    La candidat socialiste impute à la politique de François Hollande une baisse de 1 650 euros du pouvoir d'achat des Français. Un peu vite.

    Haro sur le quinquennat Hollande. Sans surprise, la primaire de la gauche a tendance à virer en jeu de massacre à l’évocation de la politique menée depuis cinq ans. C’est un exercice qui se prête rarement à la nuance. Pendant une semaine, Désintox vient corriger les affirmations un peu trop sévères et les tableaux un peu trop noirs. Premier épisode avec Arnaud Montebourg et le pouvoir d’achat des ménages

    HAMON

    La Croix - Benoît Hamon, l’anti-homme providentiel

    Candidat à la primaire organisée par le parti socialiste, le député des Yvelines a tenu son premier grand meeting, mercredi 14 novembre au soir à Paris.

    Dans un discours fleuve, il a balayé les différents thèmes de son programme tout en attaquant à plusieurs reprises l’action de l’exécutif.

    L'Obs - Ce que contient le programme (vert fluo) de Benoît Hamon

    Il récuse "l'option sociale-libérale, sociale-démocrate, présentée par Manuel Valls et Vincent Peillon". Il reconnaît "incontestablement des valeurs communes" avec Arnaud Montebourg, mais se veut "moins productiviste, moins souverainiste, plus européen, attaché à un modèle de développement plus tempérant" que son ancien collègue du gouvernement. Benoît Hamon, député socialiste des Yvelines, est l'un des

    Les Inrocks - Benoît Hamon ou l’homme qui commençait à y croire

    Une semaine après sa prestation remarquée dans “L’Emission politique” sur France 2, l’outsider à la primaire de gauche Benoît Hamon tenait hier soir son premier grand meeting de campagne à Paris. Un rassemblement où le député des Yvelines a voulu affirmer sa stature de présidentiable et se faire le porte-parole d’une gauche résolument décomplexée.

    Huffington Post - Comment Benoît Hamon espère vous surprendre

    Donné loin derrière les favoris, le candidat à la primaire de la gauche cultive ses réseaux et une candidature atypique en phase avec l'époque.

    Il n'est pas aussi connu que Valls, moins central que Peillon, son créneau est parasité par Montebourg, les petits candidats refusent de le rallier, les sondages le donnent loin derrière. Et pourtant... A quarante jours du premier tour, Benoît Hamon sent qu'il a les cartes en main pour renverser la table de la primaire de la gauche.

    FILOCHE

    L'Obs - Filoche, le troll de la primaire : "Les dirigeants du PS ne veulent pas de moi"

    Une primaire "open bar". C’était la grande crainte des dirigeants socialistes. Devant le trop-plein de candidatures, Jean-Christophe Cambadélis a sifflé la fin de la récréation, le 8 décembre dernier. Exit les Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne), Sébastien Nadot (Mouvement des progressistes) et Bastien Faudot (Mouvement républicain et citoyen).

    Libé - La primaire du Hollande bashing (2/5) : le CICE n'a pas profité qu'au grand patronat

    Haro sur le quinquennat Hollande. Sans surprise, la primaire de la gauche a tendance à virer en jeu de massacre à l’évocation de la politique menée depuis cinq ans. C’est un exercice qui se prête rarement à la nuance. Pendant une semaine, Désintox vient corriger les affirmations un peu trop sévères et les tableaux un peu trop noirs. Deuxième épisode avec Gérard Filoche et le CICE.

    PEILLON

    Slate - Vincent Peillon est le seul personnage intéressant de la primaire socialiste

    De tous les personnages du theâtre socialiste, Vincent Peillon est le seul susceptible de nous faire réfléchir. L’agacement que lui inspire le jeu politique ne doit pas le masquer: cela fait partie de l’attrait de cet homme qu’une colère habite, dont on ne sait si elle est dirigée contre la médiocrité du temps, ou contre la part qu’il prend à cette médiocrité. Il a lâché un mot, hier soir sur France 2, «éthique», dans une interview qui lui déplaisait par ailleurs, où il n’était guère; il ne prise plus la lumière, ni la gymnastique soyeuse des plateaux. Il s’était retiré de ce monde sans regret et ses yeux clignaient: il faisait violence à son corps d’en être à nouveau. Il a dit «éthique», donc, il sera «le candidat de l’éthique politique», et le mot est piégeux, qui fait aussitôt sourire. Le sourire et la moquerie sont la plaie de ce monde, pour ceux qui prennent les mots au sérieux.

    Le Figaro - Vincent Peillon a réglé ses dettes auprès du PS

    Contactée par Le Figaro, l'équipe de campagne du candidat confirme l'information de BFMTV selon laquelle il a bien remboursé ses arriérés ce mercredi. On refuse toutefois d'en préciser le montant exact. «L'affaire est close, c'est fini. Tout est calé, il n'y a pas de sujet», balaie-t-on, avant de regretter que «certains jouent un mauvais jeu». «Nous nous sommes là pour faire gagner la gauche, pas pour nous faire perdre entre nous. Mais cela prouve que notre candidature fait peur...», sourit-on.

    ECONOMIE

    AlterEco - Sur le toboggan néo-libéral, Michel Husson

    Il y a un mois, Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne recommandait « une orientation budgétaire positive pour soutenir la reprise » (voir le commentaire de Gilles Raveaud). Dans ses dernières Perspectives économiques, l’OCDE vient de lui emboîter le pas en suggérant de « lancer des initiatives budgétaires efficaces » pour « sortir du piège de la croissance molle ». Ces prises de position révèlent une inquiétude croissante, voire un véritable effroi. En témoigne aussi une tribune récente, passée inaperçue, mais qui est proprement hallucinante.

    AlterEco - Faut-il supprimer l’ISF ?, Guillaume Duval

    A droite, tous les candidats à la primaire entendaient réduire la fiscalité dans quasiment tous les domaines. Mais un impôt concentre particulièrement leurs critiques : l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Pour l’opposition, il ne s’agit pas de le réduire, mais de le supprimer purement et simplement. Un mauvais procès.

    Remplacer des cotisations salariales par la CSG, erreur ou projet caché  - Par Henri Sterdyniak

    Monsieur Emmanuel Macron propose de remplacer les cotisations salariales maladie et chômage par des points de CSG. Actuellement, un salarié du privé paye 2,4 points de cotisations chômage et 0,75 point de cotisation maladie. Ces cotisations seraient remplacées par 1,75 point de CSG, de sorte que les salariés gagneraient 1,4 % de salaire de plus, tandis que les retraités, les chômeurs (sauf les allocataires les plus pauvres dispensés de CSG) et les bénéficiaires de revenus du capital perdraient 1,75% de  pouvoir d’achat.

    OFCE - Renouveler le mix : réaliser la transition énergétique, enfin !

    Le quinquennat qui s’achève aura été marqué par le succès de la COP21, qui a conduit à la signature en décembre 2015 de l’Accord de Paris visant à limiter la hausse des températures mondiales à 2°C d’ici la fin du siècle. Pourtant, les questions climatiques et de politique énergétique ne semblent pas figurer parmi les priorités du débat présidentiel qui s’ouvre.

    Cette question mériterait pourtant d’être traitée en profondeur tant les décisions nécessaires engagent la France à long terme.  Afin d’atteindre les objectifs que la France s’est fixée dans la loi relative à la Transition Energétique et pour la Croissance Verte (LTECV), il est nécessaire d’engager au plus vite les transformations nécessaires de notre mix énergétique, et d’en améliorer l’efficacité afin de modérer la demande des principaux secteurs consommateurs d’énergie, résidentiel, tertiaire, des transports et de l’industrie.