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Article du jour - Page 10

  • Le meilleur de la semaine : Télérama - Affaire Hanouna-Boyard : “On n’est pas loin d’une forme de totalitarisme populaire”

    Après les insultes jeudi, dans “Touche pas à mon poste !”, de Cyril Hanouna contre le député Louis Boyard – qui a porté plainte ce lundi –, Stéphane Encel, auteur d’un ouvrage nourri sur ses émissions, décrypte la polémique et les effets délétères de sa politique-spectacle.

    Enseignant et docteur en histoire des religions, Stéphane Encel a été un téléspectateur minutieux des émissions de Cyril Hanouna. Son ouvrage critique Ce n’est pas que d’la télé ! Ce que le système Hanouna dit de la France, paru il y a un an (éd. David Reinharc), va être réédité en version augmentée. Pour lui, l’animateur de C8 – sous le feu des critiques après avoir insulté jeudi soir le député Louis Boyard (LFI), qui venait de dénoncer l’action en Afrique du propriétaire de la chaîne, Vincent Bolloré – « s’est rendu incontournable parce qu’on l’a rendu incontournable ».

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  • Charlie Hebdo - Dans le drôle de cabinet du ministre Béchu , Fabrice Nicolino · Mis en ligne le 3 novembre 2022 · Paru dans l'édition 1580 du 2 novembre

    Aujourd'hui 3 novembre, le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu se rend en Gironde pour rencontrer les personnes impactées par les incendies qui ont ravagé la région durant l'été et à la rentrée et promettre la plantation d'un milliard d'arbres en dix ans. Quel écolo ce ministre vous dites-vous peut-être ! Lisez plutôt son CV et la composition de son cabinet pour vous faire une idée des préoccupations principales du ministre.

    Pourquoi Béchu à l’Écologie ? Parce qu’il est le pote de Macron, ce qu’on a déjà dit ici. Et que donc, il ne l’embêtera pas. Que fera-t-il ? Rien. Il a déjà fait, autorisant la chasse à l’alouette, alors qu’il la sait illégale, car contraire à une directive européenne inscrite dans le droit français. Le temps que le Conseil d’État se réveille – et annule la décision –, 10 000 alouettes auront été butées par les amis chasseurs de Macron-Béchu. Toujours ça de pris.

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  • L'Express - Boris Vallaud : "Il ne faut jamais arrêter de dire que Marine Le Pen est d'extrême droite"

    Le chef de file des députés socialistes estime que l'heure de faire chuter le gouvernement n'est pas venue, car il n'existe pas de majorité alternative.

    Ce n'est pas simple d'être député socialiste en 2022. Il faut s'accorder avec de nouveaux alliés Insoumis qu'ils conspuaient hier, et avoir dans son dos les vieux et encombrants éléphants du parti, tout en espérant des jours meilleurs pour le PS. Et puis il y a ces 89 députés du Rassemblement national, une réalité que Boris Vallaud, patron du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, n'ignore pas mais qu'il refuse de "banaliser".   

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  • Le JDD - Rénovation thermique des logements : l’Assemblée vote 12 milliards d’euros en plus, contre le gouvernement , le 1 novembre 2022

    Privée de majorité à l'Assemblée nationale, le gouvernement a subi un nouveau revers lors de l'examen du projet de loi de budget, sur la rénovation thermique des logements.

    Lundi 31 octobre au soir, l’Assemblée nationale a voté pour rajouter près de 12 milliards d’euros de crédits en faveur de la rénovation thermique des logements . Des amendements déposés par le Parti socialiste et les écologistes, que le Rassemblement national a votés notamment. Même si le gouvernement ne les retiendra probablement pas dans la version finale du budget, c’est un nouveau revers pour le camp présidentiel.

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  • Le Point - Parti socialiste : petit meurtre en famille

    Dans « Autopsie du cadavre », le journaliste Olivier Pérou enquête sur les raisons de la débâcle du PS à la présidentielle. Et cherche le coupable.

    Les meurtres en politique ont toujours fasciné. Il y a les meurtres réussis, comme celui de Chaban-Delmas par Chirac en 1974 ou celui de Giscard par le même Chirac, décidément tueur en série ; il y a les meurtres ratés, comme celui de Le Pen par Mégret en 1998 ou de Chirac par Séguin et Pasqua en 1990. Et il y a ceux qui passent complètement inaperçus. Olivier Pérou s'intéresse à l'un d'eux dans Autopsie d'un cadavre (Fayard). Le journaliste de L'Express se transforme en enquêteur dans un récit à la Agatha Christie avec la précision d'un procès-verbal. La victime : le Parti socialiste, tombé le 10 avril 2022 avec le pire score de son histoire (1,7 %). Les suspects : ils sont sept et ont tous de bons mobiles pour avoir tué une institution qui a structuré depuis 50 ans la politique française. « Il ne reste plus grand monde pour pleurer, ni électeurs à l'évidence, ni vieille garde non plus, ni ex-présidents, ni militant », constate l'auteur.

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  • France Info - Motion de censure défendue par la Nupes : il n'y a pas eu de réécriture du texte pour obtenir les voix du Rassemblement national

    Les députés du Rassemblement national ont voté lundi en faveur de la motion de censure déposée par l'alliance de gauche.

    Depuis que la motion de censure défendue par la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) à l’Assemblée nationale a aussi été votée par le Rassemblement national, le gouvernement accuse l’alliance de la gauche d’avoir réécrit son texte avant le vote pour pactiser avec les troupes de Marine Le Pen.

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  • Le Figaro - Motion de censure : pour le socialiste Boris Vallaud, le soutien du RN a été «un coup de poing dans le ventre»

    Le chef du groupe PS à l'Assemblée rappelle que «tout» les «distingue» du parti à la flamme.

    Le «coup» de Marine Le Pen n'a pas été vécu de la même manière par tout le monde. Le chef de file des Insoumis, Jean-Luc Mélenchon, y a par exemple vu la preuve que la gauche est l'alternative à venir, et que l'absence de soutien des Républicains a empêché de renverser le gouvernement. À l’inverse, le président du groupe socialiste, Boris Vallaud, a vécu ce moment comme un «coup de poing dans le ventre». Lui ne souhaite pas se «réjouir» de cette initiative, et rappelle ses profondes divergences avec le Rassemblement national.

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  • La Dépêche - Quand le congrès socialiste de 1908 à Toulouse éclaire les enjeux de la gauche de 2022

    La longue histoire du parti socialiste a été jalonnée de congrès majeurs. Le congrès de 1905 qui scella l’unité des socialistes ; le congrès de Tours en 1920, où une scission au sein de la Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO) créa la Section française de l’Internationale communiste (SFIC, futur Parti communiste français) ; le congrès d’Épinay, « congrès d’unification des socialistes » en 1971 qui porta à sa tête François Mitterrand ; le congrès de Rennes en 1990 où apparaissent de profondes divisions. Le prochain congrès du PS, prévu en janvier 2023, s’annonce lui aussi comme une date importante.

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  • Libé - Conseil constitutionnel Taxation des superprofits : le projet de référendum de la Nupes retoqué

    Alors que la Nupes souhaite un référendum d’initiative partagée sur la taxation des superprofits, le Conseil constitutionnel explique que le projet ne correspond pas à la catégorie de textes qui peuvent faire l’objet d’un RIP.
     
    Le Conseil constitutionnel a tranché. Le projet d’une taxation des «superprofits» des entreprises porté par la Nupes «ne remplit pas les conditions» fixées pour pouvoir faire l’objet d’un référendum d’initiative partagée (RIP). La proposition de loi de l’alliance de gauche (LFI, PS, PCF et EE-LV) «portant création d’une contribution additionnelle sur les bénéfices exceptionnels des grandes entreprises ne remplit pas les conditions constitutionnelles et organiques» prévues, ont-ils estimé ce mardi.
     
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  • Le Monde - Superprofits : la demande de référendum de la Nupes jugée non conforme par le Conseil constitutionnel

    Selon la gauche, les Français sont majoritairement favorables à cette taxation accrue des superprofits.

    Le projet de la Nouvelle Union populaire économique et sociale (Nupes) d’une taxation des superprofits des entreprises « ne remplit pas les conditions » fixées pour pouvoir faire l’objet d’un référendum d’initiative partagée (RIP), a jugé mardi 25 octobre le Conseil constitutionnel.

    La proposition de loi de l’alliance de gauche (La France insoumise, Parti socialiste, Parti communiste français et Europe Ecologie-Les Verts) « portant création d’une contribution additionnelle sur les bénéfices exceptionnels des grandes entreprises ne remplit pas les conditions constitutionnelles et organiques » prévues, ont estimé les membres du conseil.

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  • Reporterre - Homonuclearus, le média qui décortique le nucléaire français

    Alors que le gouvernement prévoit de construire de nouveaux réacteurs nucléaires, Reporterre est allé à la rencontre d’Homonuclearus, le site qui veut faire comprendre le nucléaire civil aux citoyens.

    Paris, 3ᵉ arrondissement. Dans cette galerie d’art vide en plein Marais, deux fauteuils en cuir noir se font face ; braquées sur l’un d’eux, trois caméras et deux projecteurs. À l’extérieur, de l’autre côté des vitres de l’ancienne boutique prêtée pour l’occasion, l’équipe d’Homonuclearus a une heure d’avance et prend l’air en attendant l’ancienne ministre de l’Écologie Barbara Pompili. David Lurinas, l’intervieweur, ainsi que Mickaël, Hugo et Alain, les trois chefs opérateurs, avalent leurs expressos.

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