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Article du jour - Page 22

  • Rue 89 Lyon - Qui est le vrai patron à Lyon ?

    [Du foie gras au Sytral] Les élus siégeant dans l’opposition, au sein de la Métropole de Lyon, s’escriment depuis quasi le début du mandat à démontrer que le président du conseil, l’écologiste Bruno Bernard, se comporte comme un tyran, qui plus est doté de pouvoirs immenses.

    Jusque là, les invectives et javelots lancés dans sa direction ont tendance à se perdre dans la nature. Pourquoi si peu d’écho ? Sans doute parce que cette collectivité comme la fonction de son président restent terriblement méconnues et que, de son côté, Bruno Bernard n’en fait guère la promotion.

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  • Europe 1 - Stéphane Le Foll : «Il faut un nouveau parti socialiste après la présidentielle»

    Invité au micro de Jean-Pierre Elkabbach ce matin sur Europe 1, Stéphane Le Foll, maire socialiste du Mans et ancien ministre d'Agriculture, a estimé que le PS n'existait plus et qu'il était nécessaire de penser à la création d'un nouveau parti socialiste après l'élection présidentielle. 

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  • Les Echos - Disparition : Jacques Auxiette, ce socialiste qui aimait l'industrie

    L'industrie, Notre-Dame-des-Landes, le ferroviaire et l'Erika furent les grands combats de celui qui fut, de 2004 à 2015, l'unique président de gauche à la région des Pays de la Loire.

    Les hommages, à gauche comme à droite, n'ont pas manqué pour saluer Jacques Auxiette, ancien président socialiste de la région Pays de Loire, décédé vendredi à 81 ans. Professeur de mathématiques, proviseur du lycée Mendès France à La Roche-sur-Yon, ce Vendéen d'adoption devint maire de cette ville qui fut, de 1977 à 2004, un îlot socialiste dans un département très à droite.

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  • Libé - Primaire à gauche : Jadot a appelé Hidalgo pour lui dire «non»

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  • Le Figaro - À gauche, la société civile se mobilise en faveur de la Primaire populaire

    Le philosophe Patrick Viveret et l'économiste Claude Alphandéry doivent publier sous peu une invitation au rassemblement de la gauche et des écologistes. De nombreux signataires se joignent à eux.

    Grand résistant, syndicaliste, figure tutélaire de la gauche et de l'économie sociale et solidaire, Claude Alphandéry, aujourd'hui âgé de 98 ans, s'est associé au philosophe Patrick Viveret pour appeler la gauche et les écologistes à se ressaisir en vue de la présidentielle. Dans un texte sur le point d'être publié, a appris Le Figaro, et signé par de nombreuses personnalités de la vie associative, économique, culturelle, tous appellent l'Insoumis Jean-Luc Mélenchon, l'écologiste Yannick Jadot et le communiste Fabien Roussel à accepter de participer à la Primaire populaire en janvier prochain. Objectif : ne présenter qu'un seul candidat au premier tour, le 10 avril prochain.

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  • Libé - Reportage Présidentielle : sans alliance, les sympathisants de gauche seront «nombreux à ne pas voter»

    Appelant à l’union, les électeurs de gauche marseillais et briochins s’agacent des multiples candidatures de Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot ou Anne Hidalgo. Seule l’hypothèse Taubira fait l’unanimité.
     
    Et les électeurs dans tout ça ? Sur les marchés de Marseille et de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor), deux villes où le rassemblement de la gauche a permis de l’emporter aux dernières élections municipales, les sympathisants s’interrogent, s’agacent, et veulent encore, pour certains, croire à une possible union des forces, voire à l’arrivée d’une femme providentielle, capable de mettre tout le monde d’accord : Christiane Taubira.
     
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  • Selon l'Ifop, 65 % des lycéens musulmans placent l'islam au-dessus des lois de la République

    Selon une étude de l'Ifop pour la Licra, 47 % des lycéens déclarent avoir assisté à des revendications religieuses au sein de leur établissement. Ceux qui sont scolarisés dans les zones d'éducation prioritaires y sont particulièrement confrontés. Parmi les apprentissages les plus contestés : l'éducation sexuelle et les questions d'égalité hommes-femmes, et les cours de natation.

    Dix-sept ans se sont écoulés depuis l'adoption de la loi interdisant le port de signes religieux à l'école et aujourd'hui encore, les croyances continuent de se confronter au cadre laïc de l'enseignement public. Quelques mois après l'assassinat du professeur d'histoire-géographie Samuel Paty par un terroriste islamiste, un rapport d'étude réalisé par l'Ifop pour la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) et son magazine, le Droit de Vivre, s'est penché sur les revendications religieuses observées par les lycéens français dans leurs établissements.

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  • Huffington Post - Présidentielle 2022: À Perpignan, Hidalgo se rebiffe et défend son "rêve" d'union

    Offensive, pugnace... la maire de Paris a haussé le ton ce dimanche à Perpignan. Un discours pour l'union et contre les extrêmes qui aura conquis ses soutiens, élus ou militants.

    POLITIQUE - Comment dit-on “j’ai fait un rêve” en catalan? Il ne manquait que cela à Anne Hidalgo ce dimanche 12 décembre pour définitivement faire chavirer le Palais des Congrès de Perpignan.

    Il est 15h50 quand la candidate socialiste à l’élection présidentielle prend place dans l’arrière de cette salle aux fauteuils bleus, vers l’entrée des artistes. Elle patiente quelques minutes, écoute Carole Delga conclure son discours, et la voilà qui entre dans l’auditorium Charles Trenet où l’attendent quelque 1000 militants et autant de drapeaux tricolore, arc-en-ciel ou écolos.

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  • Libé - Frémissement Primaire populaire : «On a gagné une bataille, maintenant il faut remporter la guerre»

    Près de 200 personnes se sont rassemblées samedi à Paris pour réclamer une union de la gauche pour l’élection présidentielle. Galvanisées par le soutien d’Anne Hidalgo cette semaine, elles exhortent les autres candidats à prendre leurs responsabilités.
     
    «Ecoutez bien, Yannick et Jean-Luc, c’est oui ou bien c’est non !» Vianney Louvet, membre du bureau de la Primaire populaire, s’époumone sur le refrain de la chanson d’Angèle, sur la scène montée pour l’occasion, place de la République à Paris. Environ 200 personnes, surtout des jeunes, dansent face à lui ce samedi après-midi. Ils sont venus soutenir, dans la capitale comme dans plusieurs villes de France, ce mouvement citoyen qui s’est donné pour ambition d’unir la gauche pour la présidentielle. Vaste programme.
     
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  • Le Monde - Election présidentielle 2022 : la proposition de primaire formulée par Anne Hidalgo rejetée par la plupart de ses concurrents à gauche

    Interrogée mercredi sur TF1, la candidate du PS dit avoir « pris acte » de la faiblesse et de l’éparpillement de l’offre à gauche. LFI, EELV et le PC lui ont aussitôt opposé un net refus.

    Interrogée sur la suite qu’elle compte donner à sa campagne, Anne Hidalgo, la candidate du Parti socialiste (PS) à l’élection présidentielle, dit avoir « pris acte » de la faiblesse et de l’éparpillement des candidatures à gauche, déplorant « une gauche fracturée, qui désespère beaucoup de nos concitoyens ». « La conséquence que j’en tire est qu’il faut organiser une primaire de cette gauche », a-t-elle déclaré alors qu’elle était l’invitée du journal de 20 heures de TF1, mercredi 8 décembre.

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    Après l’échec de son appel à l’union de la gauche la veille, la candidate du PS a franchi une nouvelle étape en affirmant sa volonté de participer à cette désignation citoyenne. Et à «en accepter le verdict».
     
     
    Alors que les candidats de gauche ont tous refusé sa proposition de candidature commune de la gauche, Anne Hidalgo confirme qu'elle se présentera devant la primaire populaire.

    Pas question de renoncer. Après sa tentative de présenter une candidature unique à gauche ce mercredi soir sur TF1, soldée par un échec, Anne Hidalgo confirme sa volonté d'aller jusqu'au bout de l'union.

    Huffington Post - Anne Hidalgo et la primaire à gauche, seulement un coup d'épée dans l'eau?

    Refusée par tous ses concurrents de gauche, sa proposition a néanmoins mis un coup de projecteurs sur les enjeux qui travaillent la gauche.

    Libé - Présidentielle: la gauche s’unit contre Anne Hidalgo

    Tour à tour, les écologistes, les insoumis et les communistes ont fait savoir qu’ils ne comptaient pas participer à un système de désignation d’un candidat commun à gauche, comme l’a proposé la socialiste mercredi soir sur TF1.
     
    En tentant un coup de poker pour la tenue d’une primaire de la gauche, la maire de Paris aura tout tenté pour échapper à la malédiction d’une gauche en miettes. Elle paie, en partie, le délitement inexorable du PS.


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  • Alternatives Economiques - Quels défis pour le nouveau gouvernement allemand ?

    La coalition qui doit prendre la tête du pays souhaite mettre en œuvre des projets ambitieux tout en respectant les règles de rigueur budgétaire

    Les élections fédérales au Parlement allemand (Bundestag) du 27 septembre 2021 ont signé la fin de l’ère Angela Merkel qui a duré seize ans, comme pour son prédécesseur de la CDU (Union chrétienne-démocrate) Helmut Kohl. Les médias allemands et internationaux ont présenté un bilan contrasté, mais globalement positif, des années de pouvoir de cette femme politique d’exception.

    Quels sont les défis qui se présentent à l’Allemagne au terme de ce long mandat alors que le 24 novembre dernier, les sociaux-démocrates du SPD, les Verts et les libéraux du FDP ont présenté leur contrat de coalition pour former le nouveau gouvernement ?

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