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Histoire - Page 27

  • Un peu d'histoire, Slate : Comment est née la SNCF

    ..... Mais alors qu’on évoque des transformations en profondeur de la SNCF, endettée à hauteur de 44 milliards d’euros, et dont le matériel roulant et le réseau est de plus en plus vieillissant, il n’apparaît pas inutile de raconter comment le rail est né en France et comment une suite de déconvenues économiques a fini par déboucher sur la création, par décret (tiens!), de la Société Nationale des Chemins de Fer à l’été 1937, avec prise d’effet au 1er janvier 1938, il y a quatre-vingts ans.

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  • Agriculteurs au quotidien #2 La rémunération

    Série sur la vie des agriculteurs d’hier et d’aujourd’hui. Quelles sont leurs conditions de vie ? Quelles sont leurs préoccupations au quotidien ? Aujourd’hui, rémunération des agriculteurs. Peut-on encore gagner sa vie en travaillant la terre ?.

  • Un peu d'histoire : Interview biographie de Jean Glavany

    Le ministre de l'agriculture et de la pêche Jean GLAVANY répond aux questions de Thierry ARDISSON suite à la sortie de son livre "Politique folle"

  • Un peu d'histoire - Les fonctionnaires sont ils des privilégiés : plateau invités (INA, 1999)

    Thème du débat de ce soir à la salle "Wagram" : les fonctionnaires sont ils des privilégiés ? avec autour d'Arlette CHABOT et Alain DUHAMEL, Alain MADELIN, président de "démocratie libérale" et Jean Claude GAYSSOT, ministre PCF des transports, de l'equipement et du logement. Participent egalement au debat - Monique VUAILLAT, secrétaire général du "SNES-FSU", syndicat d'enseignants du second degré - Annick COUPÉ, syndicaliste a "SUD PTT" - Guillaume SARKOZY, vice président de l'Union des industries textiles - Michel GODET, economiste, professeur au Conservatoire des arts et metiers - et Philippe MANIÈRE, redacteur en chef au "Point". rop dur".

  • Un peu d'histoire : 23 février 1848 : La promenade des cadavres

    Le 23 février 1848, l'armée tire sur la foule boulevard des Capucines. Des cadavres déposés sur un chariot par les manifestants sont « promenés » à travers Paris, ce qui relance l'insurrection.

    23 février 1848. La veille, la garde nationale a refusé de disperser les manifestants et le roi Louis-Philippe a fini par renvoyer le président du Conseil Guizot. Mais malgré cette victoire, les tensions restent vives.

    Ce soir-là, un groupe d'émeutiers a décidé d'aller huer Guizot sous sa fenêtre. Boulevard des Capucines, la rue est barrée par le 14e régiment d'infanterie de ligne. Se croyant menacé, il ouvre le feu, avec un résultat tragique : 35 à 50 manifestants périssent sous les balles de la garde nationale.

    Le Siècle du 24 février raconte en direct la confusion qui agite la capitale, dans un article écrit en pleine nuit 

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  • Un peu d'histoire - Retronews, 22 février 1848 : le peuple parisien est dans la rue

    Le 22 février, ignorant l'interdiction par le gouvernement d'un banquet réformiste, les Parisiens manifestent aux cris de « Vive la Réforme ! », bientôt rejoints par une partie de la Garde nationale.

    Février 1848. En ces temps d’épidémie, de choléra, de disette, de crise financière et de rivalités politiques, la Monarchie de juillet est dans une mauvaise passe. Dix-huit ans après les avancées de 1830, qui avaient fait accéder le peuple français à une monarchie constitutionnelle, la situation est difficile pour nombre de Français. 

    Sous des dehors « bonne poire », Louis-Philippe est un roi autoritaire. Son gouvernement a pris des mesures anti-ouvrières (interdictions du droit de grève et du droit d’association) et appuie essentiellement son pouvoir sur la haute bourgeoisie, dont les affaires se sont considérablement développées. 

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