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  • Témoignage Albert PALLE sur Jean Paul SARTRE et Raymond ARON (INA, 1973=

    Bernard PIVOT reçoit Raymond ARON . Il lui propose de regarder un témoignage enregistré d' Albert PALLE, ancien élève de Jean Paul SARTRE et de Raymond ARON. Il compare la personnalité des deux philosophes lorsqu'ils enseignaient au lycée du Havre . Réaction sur le plateau de Raymond ARON.

  • Un peu d'histoire : Karl Marx, penseur contemporain...(INA)...Le point de vue de Raymond Aron

    Karl Marx est né il y a 200 ans, le 5 mai 1818, à Trèves. Sa pensée et ses écrits ont profondément marqué son temps, car il fut le premier à analyser aussi finement les conséquences sociales et politiques de la révolution industrielle en marche dans les pays d’Europe occidentale.

    En Allemagne, à Paris où à Londres, il n’a eu de cesse de réfléchir à la condition sociale misérable du monde ouvrier, ce « prolétariat », asservi au système capitaliste de production.

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  • Un peu d'histoire : Raymond Aron sur les grèves de Mai 68 (INA, 1981)

    Raymond ARON répond tout d'abord à une citation de Jean Louis MISSIKA le concernant "je suis au fond un sociologue qui a peu le sens du social". Puis Raymond ARON poursuit sur le mouvement social et les grèves de Mai 68 : le rôle joué par le parti communiste qui a organisé une grève générale pour parer à l'influence des gauchistes. Raymond ARON précise qu'à cette période, il y a eu des entrevues et des échanges secrets entre le parti communiste et le pouvoir, et il parle de l'échec des Accords de Grenelle, avec la poursuite de la grève. Il revient sur le rôle prédominant des rapports entre le parti communiste et les gauchistes, qui auraient pu être à l'origine d'une situation révolutionnaire. Il explique ensuite les positions du Général de GAULLE, qui envisageait de recourir aux moyens extrêmes, et celle de Georges POMPIDOU, plus nuancée, qui attendait que l'opinion, exaspérée par les grèves, devienne favorable au gouvernement. Il conclut sur les particularités du peuple et de la politique française, qu'il compare à celles des Anglais et des Américains, et considère que depuis Mai 68, la politique française est devenue d'un ennui extraordinaire, "c'est presque aussi sérieux que la politique anglaise".