Histoire - Page 22
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Un peu d'histoire - INA - De 1947 à 1995 : Top 5 des grèves à la SNCF
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Un peu d'histoire - Grève à la SNCF et à la RATP (INA, 1995)
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Un peu d'histoire - Point sur la grève de la SNCF (INA, 1995)
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Un peu d'histoire - Grèves 1995: SNCF "il n'y a aucune raison d'arrêter le mouvement" | Archive INA
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Un peu d'histoire : Interview Jacques Sauvageot (INA, 25 mai 68)
Déclaration du président de l'UNEF, Jacques SAUVAGEOT après la réunion du bureau national de l'UNEF, à la suite des manifestations de la nuit du 24 au 25 mai. L'UNEF n'appelle pas à des manifestations pour ce jour mais à des débats, de grandes manifestations sont prévues pour le lundi suivant.
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Un peu d'histoire : Daniel Cohn Bendit définit le mouvement du 22 mars
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Un peu d'histoire - Égalité salariale : un jour peut-être qui sait ? (INA)
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Un peu d'histoire - Paris Normandie - TEMOIGNAGE : Mai 68, Henri Weber, ancien sénateur de Seine-Maritime
Ancien conseiller municipal à Dieppe, sénateur socialiste de Seine-Maritime puis député européen, Henri Weber évoque l’héritage de Mai 68. Il était alors étudiant à la Sorbonne. Exclu du PCF et de l’Union des étudiants communistes, il fut, auprès d’Alain Krivine, l’un des fondateurs de la Ligue communiste révolutionnaire. Selon lui, seules restent les conquêtes sociales. Le rêve utopiste a été emporté par l’effondrement du bloc communiste.
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Mediapart - Mai-68 : entretien avec celles et ceux qui l’ont vécu (1/2)
Ils nous racontent Mai-68. Cinquante ans après, on en parle avec nos invités :
- Christelle Dormoy-Rajramanan et Boris Gobille, coordinateurs de l'ouvrage à paraître le 22 mars aux éditions de l'Atelier : «Mai-68, par ceux et celles qui l'ont vécu»
- Brigitte Blondet, Gisèle Prevost et Patrick Boisson, trois témoins de cet ouvrage. Débat animé par les journalistes de Mediapart Edwy Plenel et Rachida El Azzouzi. -
Un peu d'histoire - Le Figaro - Mai 68 : Faut-il tourner la page?
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Libé - Serge July : le 22 mars 1968, «personne ne voulait de leaders»
Cofondateur de «Libération» et participant au mouvement du 22 mars 1968 à l’université de Nanterre, Serge July revient sur les prémices d’une révolte improvisée, qui s’est amplifiée pour exploser en mai. Et évoque un moment collectif exceptionnel qui traversa la société française dans toutes ses dimensions.
Le 20 mars 1968, quelque 300 militants attaquent le siège de l’American Express, derrière l’Opéra de Paris, et brûlent un drapeau américain aux cris de «FNL vaincra !». Un peu plus tard, Xavier Langlade, responsable du service d’ordre de la Jeunesse communiste révolutionnaire (trotskiste), revient sur les lieux pour évaluer les dégâts et vérifier que personne n’est resté en arrière. Il est arrêté par la police. L’incident provoque la réaction des étudiants de Nanterre, qui occupent le bâtiment administratif de la faculté dans la nuit du 22 mars. Le «Mouvement du 22 mars», créé à cette occasion, sera l’un des animateurs de la révolte étudiante de mai 68, avec son leader, Daniel Cohn-Bendit.
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