Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

le goff

  • Hérétiques - La révolution culturelle de 1960-1990 (avec Jean-Pierre Le Goff)

    Si les sociétés occidentales n’ont cessé d’évoluer au fil de leur histoire millénaire, la vitesse et l’ampleur des transformations qu’elles ont vécues au sortir de la seconde guerre mondiale sont sans précédent. Déferlements techniques, basculements sociaux, bouleversements idéologiques, métamorphoses des mœurs : comment penser ces mutations anthropologiques dont le « wokisme » et son ambition de rééducation poulaire semble être l’ultime radicalisation ? Cette véritable révolution culturelle menée tambour battant et ses multiples implications n’ont toujours pas été pensées à leur juste mesure, civilisationnelle.

    C’est ce à quoi se consacre depuis trente ans Jean-Pierre Le Goff, héritier de Claude Lefort et de Cornelius Castoriadis, sociologue et philosophe dont les multiples mais discrètes publications sur le monde du travail, la vie de village, l’héritage des années 60 ou la disparition de la Gauche, tentent de dresser le double portrait de cette France qui disparaît et de celle France qui advient.

    Lire la suite
    ________________________
    ________________________

  • Un peu d'histoire - Mai 68 L'héritage impossible - Jean-Pierre Le Goff - UPA Arcueil

    Le 21 octobre 2013, l’Université populaire d’Arcueil recevait Jean-Pierre Le Goff, sociologue au Centre national de la recherche scientifique, pour une conférence-débat intitulée Mai 68, l’héritage impossible

  • Non Fiction - La crise d’ados de Mai 68 (Jean-Pierre Le Goff)

    En 1998, le sociologue Jean-Pierre Le Goff publie Mai 68. L’héritage impossible . Plus récemment, ce contributeur régulier de la revue Le Débat a analysé les transformations de la société française avec La Fin du village  et Malaise dans la démocratie . La France d’hier, publié à l’occasion du cinquantenaire de Mai 68, s’inscrit dans la continuité des précédents essais de Le Goff tout en adoptant un parti-pris autobiographique.

    Pour le sociologue, en 1998, l’histoire de Mai 68 était principalement racontée par ses vainqueurs. Ses derniers érigèrent l’événement en mythe fondateur d’une nouvelle modernité, mettant de côté ses « aspects nihilistes », que Le Goff qualifiait alors de « gauchisme culturel ». A partir des années 2000, le récit s’inverse. Le Goff observe une « revanche générationnelle » contre « l’héritage impossible » de Mai 68, et en réaction à la transformation de la contre-culture véhiculée par le mouvement en un nouveau conformisme.

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________