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  • Présidentielle 2017/QG du candidat - Benoît Hamon était l'invité de 19h Ruth Elkrief

  • L'actualité des socialistes du 17 au 23 mars (Revue de presse hebdomadaire)

    A LA UNE

    BFMTV - Une élue PS appelle son parti à repenser sa stratégie contre le FN

    Sarah Proust, membre de l'équipe de campagne de Benoît Hamon, juge que le PS fait fausse route en condamnant les électeurs du Front national.

    Le Monde - Vers une société hyper-industrielle ?

    On entend plus souvent parler de la fin de l’industrie que de sa renaissance. En s’intéressant au renouveau du capitalisme productif, l’ingénieur et sociologue Pierre Veltz (Wikipédia) livre, dans un ouvrage très synthétique pour l’excellente collection de la République des idées, un stimulant contrepoint.

    LES RETRAITES

    Alternatives Economiques, Gérard Cornilleau et Henri Sterdyniak - Faut-il une nouvelle réforme de retraites ?

    En 1991, le « Livre blanc sur les retraites »  avait sonné l’alarme : les régimes de retraite français couraient à la catastrophe financière du fait de leur trop grande générosité, d’un âge trop précoce de la fin d’activité, du passage à la retraite des générations nombreuses du baby-boom et de l’allongement de la durée de vie.

    Depuis 1993, à l’occasion de réformes successives, les paramètres des régimes  de retraite ont été modifiés. La durée de cotisation requise pour obtenir une retraite à taux plein a été allongée de 40 à 42 ans, et passera à 43 ans en 2035 ; l’indexation des salaires pris en compte et des retraites ne se fait plus sur les salaires, mais sur les prix ; le rendement des régimes complémentaires a été progressivement diminué ; l’âge ouvrant le droit à la retraite est passé de 60 à 62 ans ; enfin les taux de cotisation ont été relevés.

    L'EURO

    Libé - Euro, réformer ou sortir, Par Anne-Laure Delatte, Directrice adjointe du CEPII, professeure invitée à Princeton

    La monnaie unique mérite mieux qu’une défaite en rase campagne, solution prônée par les populistes. Mais un aggiornamento, loin d’être utopique, est difficile : il demande un travail politique.

    C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec au fur et à mesure de sa chute pour se rassurer se dit «jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien». Il y a quelques mois, un beau matin de juin, à New York, je prenais un café avec un vieux copain de thèse, de passage pour un mois à la NYU. Il était alors en contact avec un potentiel candidat à la présidentielle et participait assez activement à l’élaboration de son programme.

    Alternatives Economiques, Christian Chavagneux - En cas de sortie de l’euro, le franc ne dévaluerait pas!

    Une étude à paraître analyse les conséquences d’une sortie de la France de la zone euro, en faisant l’hypothèse que la monnaie unique disparaîtrait

    GUILLUY

    Causeur - «En 2017 ou en 2022, la France périphérique fera basculer la présidentielle»

    Entretien avec le géographe social Christophe Guilluy

    Faut-il encore présenter Christophe Guilluy ? Le géographe social, fin observateur de la France périphérique et théoricien de l'insécurité culturelle, voit ses analyses confirmées par les sondages. Si Marine Le Pen ne l'emportera peut-être pas dès 2017, la France périphérique finira cependant par triompher un jour ou l'autre dans les urnes face aux candidats des gagnants de la mondialisation que sont Hamon, Fillon et Macron.

    HOLLANDE

    Le Figaro - Laurent Bouvet : «Le quinquennat Hollande a mis fin à l'illusion de l'unité de la gauche»

    Dans son dernier livre, La gauche zombie, chroniques d'une malédiction politique, Laurent Bouvet fait l'état des lieux de la gauche française cinq ans après la victoire de François Hollande, décrypte les raisons d'un échec historique et dresse des perspectives sombres.

    Le Monde - Présidentielle : François Hollande livre son testament

    François Hollande a défendu son bilan à Crolles, dans la banlieue grenobloise, avant de s’en prendre à l’ambiance délétère de la campagne présidentielle.

    Il est enfin entré dans la campagne. Mais pour lui. Lui et son quinquennat. Lui et son bilan. Lui et sa statue, sa postérité. Pour exister, aussi, alors qu’il lui reste moins de deux mois à l’Elysée. Quoi qu’il en soit, il voulait parler. Le président de la République François Hollande a livré un vibrant plaidoyer pro domo samedi 18 mars devant plusieurs centaines d’élus et militants socialistes à Crolles (Isère), à 20 kilomètres de Grenoble, dans un gymnase fervent mais où les dernières rangées de chaises sont toutefois restées inoccupées.
     
    MARTIN SCHULZ
     
     
    L’ancien président du parlement européen Martin Schulz a été élu à 100 % des voix à la tête du Parti socialiste (SPD) allemand. Le nouveau chef des sociaux-démocrates apparaît comme un challenger sérieux face à Angela Merkel.
     
     
    Martin Schulz a été élu ce dimanche président du SPD. Le social-démocrate a réussi une prouesse : récolter 100% des voix, du jamais vu dans l’histoire du parti qui rêve aujourd’hui de détrôner Angela Merkel lors des élections de septembre. S’immisçant dans la campagne française, le SPD a clairement affiché sa préférence pour Emmanuel Macron, un pied-de-nez au candidat du PS, son parti frère.
     
    LE REVENU UNIVERSEL
     
     
    Benoît Hamon a renoncé à son projet de véritable revenu universel. Celui-ci aurait conduit à augmenter de 3000 euros par an l'impôt net d'un célibataire gagnant 3000 euros par mois. Le nouveau projet du candidat ne tient pas non plus la route. Par Henri Sterdyniak, économiste, OFCE
     
    EN CAMPAGNE
     
     
    Le candidat socialiste à la présidentielle Benoît Hamon se rendra mardi à Berlin, où il doit rencontrer la chancelière allemande Angela Merkel, ainsi que Martin Schulz, président du Parti social-démocrate d’Allemagne (SPD).
     

    Benoît Hamon a connu un début de semaine compliqué alors que son meeting de Bercy, dimanche, lui laissait penser qu'il allait relancer sa campagne. Le voilà maintenant dépassé par Jean-Luc Mélenchon dans un récent sondage.

     
    Le candidat PS Benoît Hamon mise sur un écroulement d'Emmanuel Macron pour augmenter son score et passer au second tour.
     
    C'est l'un des grands enjeux de ces quatre prochaines semaines : Emmanuel Macron va-t-il s'effondrer dans les sondages d'ici au premier tour de la présidentielle ? C'est en tout cas ce qu'espèrent les autres candidats pour se qualifier au second tour. Et si un effondrement de Macron se produisait, le candidat PS Benoît Hamon pourrait être l'un des grands bénéficiaires de sa chute, le leader d'En Marche !  ayant beaucoup séduit les électeurs du parti socialiste, et notamment plusieurs de ses élus.
     

    Quelques heures plus tôt, après un entretien avec le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, le socialiste était « bouleversé » par le décès d'Henri Emmanuelli.

    Envoyée spéciale à Bruxelles

    Comme aspiré par des vents contraires. Après un meeting réussi et un discours remarqué dimanche à Bercy, Benoît Hamon se retrouve une nouvelle fois pollué par l'actualité et les mauvaises nouvelles. Le candidat socialiste est aussitôt reparti en campagne, à Bruxelles, après sa prestation en demi-teinte sur le plateau de TF1, lundi soir.

     
    En meeting à Bercy, le candidat socialiste a fait parler de lui, et même au delà de ses soutiens.
     
    Celui qui veut "faire battre le cœur de la France" aura au moins réussi faire battre celui de Bercy. Car de l'avis de nombreux observateurs, et pas forcément de son bord politique, Benoît Hamon a réussi son pari, lui qui était attendu au tournant dans une campagne qui dévissait et qui voyait Jean-Luc Mélenchon accentuer la pression à son encontre.
     
     
    Le candidat du Parti socialiste à la présidentielle a tenu cet après-midi son plus grand meeting de campagne, espérant décoller entre les affaires Fillon et la tentation Macron.
     
     
    Dans un discours très ancré à gauche, le candidat PS a dénoncé «le parti de l'argent».

    Un Bercy bondé, une marée de drapeaux, français, socialistes ou écologistes, un Benoît Hamon survolté, efficace, faisant appel aux émotions du peuple de gauche. Le candidat socialiste a réussi son pari. Il était loin d'être gagné d'avance tant il semblait avoir du mal, jusqu'ici, à imposer sa stature présidentielle avec un PS profondément divisé. À 34 jours de la présidentielle et à la veille d'un débat télévisé crucial, Benoît Hamon s'est offert une profonde respiration. Et une forme de revanche face aux critiques de son camp.

    VALLS

     
    L’ex-premier ministre, qui a refusé de parrainer le candidat du PS après avoir perdu la primaire de la gauche, réagit aux accusations de trahison de son camp, dans une tribune au « Journal du dimanche ».
    Manuel Valls réfute en bloc les accusations de « trahison » après son refus de parrainer Benoît Hamon en vue de l’élection présidentielle et appelle à « oublier les vieux clivages » partisans, dans une tribune au Journal du dimanche ce 19 mars.
     
    MACRON
     
     
    Influencé par François Bayrou, le candidat d'En Marche! réactive un vieux serpent de mer qui rompt avec la ligne du gouvernement.....
     
    Les jeunes devront effectuer leur service dans les trois ans suivant leur majorité, a-t-il ajouté. Quelque 600.000 jeunes hommes et femmes, encadrés par des militaires ou des gendarmes, acquerront ainsi chaque année "une expérience directe de la vie militaire, de ses savoir-faire et de ses exigences"
     

    Le candidat d’En Marche ! a notamment proposé, samedi, l’instauration d’un service national universel obligatoire pour les jeunes après leurs 18 ans.

    L’objectif était d’affirmer la stature présidentielle d’Emmanuel Macron sur les grands domaines régaliens par excellence que sont la défense mais aussi la politique étrangère. De par la Constitution, le président de la VRépublique est le chef des armées. « C’est une responsabilité politique sans équivalent, par ses implications morales, par les enjeux stratégiques et je dirai même historiques qu’elle recouvre », a d’entrée de jeu déclaré le candidat d’En Marche ! en présentant, samedi 18 mars à Paris, ses grandes options pour la défense et affirmant être prêt « à assumer pleinement ce rôle et celui – il en est inséparable – de responsable de la dissuasion ».
     

    Emmanuel Macron livre au JDD sa vision de l’identité française et détaille ses propositions en matière de sécurité, de défense de la laïcité et de lutte contre l’islamisme.

    MELENCHON
     

    Le cortège de la « marche pour une VIe République » a défilé, samedi, à l’appel de Jean-Luc Mélenchon entre les places de la Bastille et de la République, à Paris.

    14 heures, place de la Bastille, à Paris. La foule se masse sur le bitume, la tête du cortège de la « marche pour une VIe République », organisée par le candidat à l’élection présidentielle Jean-Luc Mélenchon, sous l’étiquette La France insoumise, se forme petit à petit à l’entrée du Boulevard Beaumarchais. Les camions musique, englués dans la masse de manifestants, avancent au pas. Équipés de mégaphones, les militants dévoués à l’organisation haranguent les « insoumis ». « Je dis Fillon ! vous dites ? - Dégage ! ».
     
    ABDELGHANI MERAH
     

    En moins de dix jours, sept personnes tombent sous les balles de Mohamed Merah. L'homme sera ensuite abattu par le Raid.

    Pour dénoncer ces crimes et l'intégrisme islamiste, son frère aîné, Abdelghani Merah, termine dimanche 19 mars à Paris une marche de deux mois dans toute la France sur le tracé de "la marche des beurs" qui s'est déroulée il y a 34 ans.

  • Comment mettre la transformation sociale à l’ordre du jour des élections de 2017 ? (4)

    Avec les contributions de Christian Laval, sociologue et coauteur de Commun (éditions la Découverte), Suzy Rojtman, porte-parole du Collectif national pour les droits des femmes et Willy Pelletier, sociologue, coordinateur général de la Fondation Copernic.

    Rappel des faits. Cette période de campagne électorale, sur fond de grave crise politique, appelle un grand débat démocratique. Pour ce faire, l’Humanité ouvre ses colonnes.

     

    • La libération des énergies démocratiques par Christian Laval, sociologue et coauteur de Commun (éditions la Découverte)

    Les décrets de la loi El Khomri sont passés cet été. On apprend que les premiers « accords offensifs » sont mis en œuvre dans les entreprises. La défaite est cuisante pour les salariés, la rage sourde de l’impuissance conduit les plus désespérés vers le néofascisme ou l’abstention. La gauche, pour autant que ce nom ait encore un sens au singulier, se précipite vers la défaite politique.

    Lire la suite
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  • De Le Pen à Mélenchon, les multiples sens du mot laïcité


    De Le Pen à Mélenchon, les multiples sens du... par lemondefr

    Qu’ils soient de gauche ou de droite, tous les candidats à la présidentielle veulent la protéger : la laïcité. Malgré l’omniprésence de ce thème dans les débats de la campagne, sa définition demeure floue. La laïcité prônée par Marine Le Pen a-t-elle en effet quoi que ce soit en commun avec celle défendue par Benoît Hamon ?

    De la loi sur la séparation des Eglises et de l’Etat de 1905 à celle sur le voile de 2004, explications en images avec la participation de Cécile Alduy, professeure de littérature à l’université de Stanford et autrice du livre Ce qu’ils disent vraiment : les politiques pris aux mots (Seuil, 2017).
  • Benoît Hamon : "Je ne m'attendais pas à ce qu'il y ait autant de trahison"


    Benoît Hamon : "Je ne m'attendais pas à ce qu... par Europe1fr

  • L'actualité des socialistes du 17 au 23 mars (Revue de presse hebdomadaire)

    A LA UNE

    BFMTV - Une élue PS appelle son parti à repenser sa stratégie contre le FN

    Sarah Proust, membre de l'équipe de campagne de Benoît Hamon, juge que le PS fait fausse route en condamnant les électeurs du Front national.

    Le Monde - Vers une société hyper-industrielle ?

    On entend plus souvent parler de la fin de l’industrie que de sa renaissance. En s’intéressant au renouveau du capitalisme productif, l’ingénieur et sociologue Pierre Veltz (Wikipédia) livre, dans un ouvrage très synthétique pour l’excellente collection de la République des idées, un stimulant contrepoint.

    LES RETRAITES

    Alternatives Economiques, Gérard Cornilleau et Henri Sterdyniak - Faut-il une nouvelle réforme de retraites ?

    En 1991, le « Livre blanc sur les retraites »  avait sonné l’alarme : les régimes de retraite français couraient à la catastrophe financière du fait de leur trop grande générosité, d’un âge trop précoce de la fin d’activité, du passage à la retraite des générations nombreuses du baby-boom et de l’allongement de la durée de vie.

    Depuis 1993, à l’occasion de réformes successives, les paramètres des régimes  de retraite ont été modifiés. La durée de cotisation requise pour obtenir une retraite à taux plein a été allongée de 40 à 42 ans, et passera à 43 ans en 2035 ; l’indexation des salaires pris en compte et des retraites ne se fait plus sur les salaires, mais sur les prix ; le rendement des régimes complémentaires a été progressivement diminué ; l’âge ouvrant le droit à la retraite est passé de 60 à 62 ans ; enfin les taux de cotisation ont été relevés.

    L'EURO

    Libé - Euro, réformer ou sortir, Par Anne-Laure Delatte, Directrice adjointe du CEPII, professeure invitée à Princeton

    La monnaie unique mérite mieux qu’une défaite en rase campagne, solution prônée par les populistes. Mais un aggiornamento, loin d’être utopique, est difficile : il demande un travail politique.

    C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec au fur et à mesure de sa chute pour se rassurer se dit «jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien». Il y a quelques mois, un beau matin de juin, à New York, je prenais un café avec un vieux copain de thèse, de passage pour un mois à la NYU. Il était alors en contact avec un potentiel candidat à la présidentielle et participait assez activement à l’élaboration de son programme.

    Alternatives Economiques, Christian Chavagneux - En cas de sortie de l’euro, le franc ne dévaluerait pas!

    Une étude à paraître analyse les conséquences d’une sortie de la France de la zone euro, en faisant l’hypothèse que la monnaie unique disparaîtrait

    GUILLUY

    Causeur - «En 2017 ou en 2022, la France périphérique fera basculer la présidentielle»

    Entretien avec le géographe social Christophe Guilluy

    Faut-il encore présenter Christophe Guilluy ? Le géographe social, fin observateur de la France périphérique et théoricien de l'insécurité culturelle, voit ses analyses confirmées par les sondages. Si Marine Le Pen ne l'emportera peut-être pas dès 2017, la France périphérique finira cependant par triompher un jour ou l'autre dans les urnes face aux candidats des gagnants de la mondialisation que sont Hamon, Fillon et Macron.

    HOLLANDE

    Le Figaro - Laurent Bouvet : «Le quinquennat Hollande a mis fin à l'illusion de l'unité de la gauche»

    Dans son dernier livre, La gauche zombie, chroniques d'une malédiction politique, Laurent Bouvet fait l'état des lieux de la gauche française cinq ans après la victoire de François Hollande, décrypte les raisons d'un échec historique et dresse des perspectives sombres.

    Le Monde - Présidentielle : François Hollande livre son testament

    François Hollande a défendu son bilan à Crolles, dans la banlieue grenobloise, avant de s’en prendre à l’ambiance délétère de la campagne présidentielle.

    Il est enfin entré dans la campagne. Mais pour lui. Lui et son quinquennat. Lui et son bilan. Lui et sa statue, sa postérité. Pour exister, aussi, alors qu’il lui reste moins de deux mois à l’Elysée. Quoi qu’il en soit, il voulait parler. Le président de la République François Hollande a livré un vibrant plaidoyer pro domo samedi 18 mars devant plusieurs centaines d’élus et militants socialistes à Crolles (Isère), à 20 kilomètres de Grenoble, dans un gymnase fervent mais où les dernières rangées de chaises sont toutefois restées inoccupées.
     
    MARTIN SCHULZ
     
     
    L’ancien président du parlement européen Martin Schulz a été élu à 100 % des voix à la tête du Parti socialiste (SPD) allemand. Le nouveau chef des sociaux-démocrates apparaît comme un challenger sérieux face à Angela Merkel.
     
     
    Martin Schulz a été élu ce dimanche président du SPD. Le social-démocrate a réussi une prouesse : récolter 100% des voix, du jamais vu dans l’histoire du parti qui rêve aujourd’hui de détrôner Angela Merkel lors des élections de septembre. S’immisçant dans la campagne française, le SPD a clairement affiché sa préférence pour Emmanuel Macron, un pied-de-nez au candidat du PS, son parti frère.
     
    EN CAMPAGNE
     

    Benoît Hamon a connu un début de semaine compliqué alors que son meeting de Bercy, dimanche, lui laissait penser qu'il allait relancer sa campagne. Le voilà maintenant dépassé par Jean-Luc Mélenchon dans un récent sondage.

     
    Le candidat PS Benoît Hamon mise sur un écroulement d'Emmanuel Macron pour augmenter son score et passer au second tour.
     
    C'est l'un des grands enjeux de ces quatre prochaines semaines : Emmanuel Macron va-t-il s'effondrer dans les sondages d'ici au premier tour de la présidentielle ? C'est en tout cas ce qu'espèrent les autres candidats pour se qualifier au second tour. Et si un effondrement de Macron se produisait, le candidat PS Benoît Hamon pourrait être l'un des grands bénéficiaires de sa chute, le leader d'En Marche !  ayant beaucoup séduit les électeurs du parti socialiste, et notamment plusieurs de ses élus.
     

    Quelques heures plus tôt, après un entretien avec le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, le socialiste était « bouleversé » par le décès d'Henri Emmanuelli.

    Envoyée spéciale à Bruxelles

    Comme aspiré par des vents contraires. Après un meeting réussi et un discours remarqué dimanche à Bercy, Benoît Hamon se retrouve une nouvelle fois pollué par l'actualité et les mauvaises nouvelles. Le candidat socialiste est aussitôt reparti en campagne, à Bruxelles, après sa prestation en demi-teinte sur le plateau de TF1, lundi soir.

     
    En meeting à Bercy, le candidat socialiste a fait parler de lui, et même au delà de ses soutiens.
     
    Celui qui veut "faire battre le cœur de la France" aura au moins réussi faire battre celui de Bercy. Car de l'avis de nombreux observateurs, et pas forcément de son bord politique, Benoît Hamon a réussi son pari, lui qui était attendu au tournant dans une campagne qui dévissait et qui voyait Jean-Luc Mélenchon accentuer la pression à son encontre.
     
     
    Le candidat du Parti socialiste à la présidentielle a tenu cet après-midi son plus grand meeting de campagne, espérant décoller entre les affaires Fillon et la tentation Macron.
     
     
    Dans un discours très ancré à gauche, le candidat PS a dénoncé «le parti de l'argent».

    Un Bercy bondé, une marée de drapeaux, français, socialistes ou écologistes, un Benoît Hamon survolté, efficace, faisant appel aux émotions du peuple de gauche. Le candidat socialiste a réussi son pari. Il était loin d'être gagné d'avance tant il semblait avoir du mal, jusqu'ici, à imposer sa stature présidentielle avec un PS profondément divisé. À 34 jours de la présidentielle et à la veille d'un débat télévisé crucial, Benoît Hamon s'est offert une profonde respiration. Et une forme de revanche face aux critiques de son camp.

    VALLS

     
    L’ex-premier ministre, qui a refusé de parrainer le candidat du PS après avoir perdu la primaire de la gauche, réagit aux accusations de trahison de son camp, dans une tribune au « Journal du dimanche ».
    Manuel Valls réfute en bloc les accusations de « trahison » après son refus de parrainer Benoît Hamon en vue de l’élection présidentielle et appelle à « oublier les vieux clivages » partisans, dans une tribune au Journal du dimanche ce 19 mars.
     
    MACRON
     
     
    Influencé par François Bayrou, le candidat d'En Marche! réactive un vieux serpent de mer qui rompt avec la ligne du gouvernement.....
     
    Les jeunes devront effectuer leur service dans les trois ans suivant leur majorité, a-t-il ajouté. Quelque 600.000 jeunes hommes et femmes, encadrés par des militaires ou des gendarmes, acquerront ainsi chaque année "une expérience directe de la vie militaire, de ses savoir-faire et de ses exigences"
     

    Le candidat d’En Marche ! a notamment proposé, samedi, l’instauration d’un service national universel obligatoire pour les jeunes après leurs 18 ans.

    L’objectif était d’affirmer la stature présidentielle d’Emmanuel Macron sur les grands domaines régaliens par excellence que sont la défense mais aussi la politique étrangère. De par la Constitution, le président de la VRépublique est le chef des armées. « C’est une responsabilité politique sans équivalent, par ses implications morales, par les enjeux stratégiques et je dirai même historiques qu’elle recouvre », a d’entrée de jeu déclaré le candidat d’En Marche ! en présentant, samedi 18 mars à Paris, ses grandes options pour la défense et affirmant être prêt « à assumer pleinement ce rôle et celui – il en est inséparable – de responsable de la dissuasion ».
     

    Emmanuel Macron livre au JDD sa vision de l’identité française et détaille ses propositions en matière de sécurité, de défense de la laïcité et de lutte contre l’islamisme.

    MELENCHON
     

    Le cortège de la « marche pour une VIe République » a défilé, samedi, à l’appel de Jean-Luc Mélenchon entre les places de la Bastille et de la République, à Paris.

    14 heures, place de la Bastille, à Paris. La foule se masse sur le bitume, la tête du cortège de la « marche pour une VIe République », organisée par le candidat à l’élection présidentielle Jean-Luc Mélenchon, sous l’étiquette La France insoumise, se forme petit à petit à l’entrée du Boulevard Beaumarchais. Les camions musique, englués dans la masse de manifestants, avancent au pas. Équipés de mégaphones, les militants dévoués à l’organisation haranguent les « insoumis ». « Je dis Fillon ! vous dites ? - Dégage ! ».
     
    ABDELGHANI MERAH
     

    En moins de dix jours, sept personnes tombent sous les balles de Mohamed Merah. L'homme sera ensuite abattu par le Raid.

    Pour dénoncer ces crimes et l'intégrisme islamiste, son frère aîné, Abdelghani Merah, termine dimanche 19 mars à Paris une marche de deux mois dans toute la France sur le tracé de "la marche des beurs" qui s'est déroulée il y a 34 ans.

  • L'Humanité - Comment mettre la transformation sociale à l’ordre du jour des élections de 2017 ? (3)

    Avec les contributions de Isabelle Garo, philosophe, Roger Martelli, historien et codirecteur de Regards et Karl Ghazi, syndicaliste.

    Rappel des faits. Cette période de campagne électorale, sur fond de grave crise politique, appelle un grand débat démocratique. Pour ce faire, l’Humanité ouvre ses colonnes.

    • Une alternative par et pour les classes populaires par Isabelle Garo, philosophe

    La transformation sociale est aussi une question politique. C’est une banalité d’affirmer cette unité lorsqu’on analyse le désastre en cours. Mais il est bien plus ardu de construire une véritable alternative qui soit à la fois politique et sociale, face aux dégâts sans nombre du capitalisme en crise.

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  • Le Monde - Vers une société hyper-industrielle ?

    On entend plus souvent parler de la fin de l’industrie que de sa renaissance. En s’intéressant au renouveau du capitalisme productif, l’ingénieur et sociologue Pierre Veltz (Wikipédia) livre, dans un ouvrage très synthétique pour l’excellente collection de la République des idées, un stimulant contrepoint.

    Pour lui, le discours sur la révolution numérique qui promet une transformation radicale de la modernité suscite, en dehors d’une petite frange enthousiaste, plus d’angoisses que d’espoirs. L’avenir, pourtant, explique-t-il, n’est pas la fin de l’industrie, mais son renouveau.

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  • Slate, Jacques Gerstlé (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne) - Les médias font-ils l’élection?

    L’impact des médias réside moins dans le poids des révélations sur tel ou tel candidat que dans l’orientation des électeurs sur certaines figures ou thèmes de campagne.

    On a longtemps cru que les médias étaient tout-puissants dans les campagnes électorales. Cela venait de croyances relatives à la propagande du début et de la moitié du XXe siècle. Quand les premières études «scientifiques» ont commencé à se développer sous l’impulsion de Paul Lazarsfeld et son équipe (1944), on s’est rendu compte que les médias n’avaient que des effets limités en termes d’influence directe sur le comportement électoral. 

    Paradoxalement, c’est au moment où la propagande nazie donnait à plein qu’on s’est rendu compte que les effets des médias n’étaient que limités dans les démocraties représentatives comme les États-Unis. Il est apparu que l’électeur était politiquement avant tout comme il était socialement.

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  • L'actualité des socialistes du 10 au 19 mars (revue de presse hebdomadaire)

    LE MEETING DE BERCY

    Le Monde - Benoît Hamon en meeting à Paris : « Le parti de l’argent a trop de candidats »

    Le candidat socialiste a tenu un discours devant environ 20 000 personnes. Il a notamment visé ses adversaires Emmanuel Macron, François Fillon et Marine Le Pen.

    C’était un moment attendu dans sa campagne. Benoît Hamon a prononcé un discours d’environ 1 h 30, dimanche 19 mars, à l’AccorHotels Arena (anciennement Paris-Bercy). Il s’est exprimé devant 20 000 personnes, selon les chiffres de son équipe, qui assure que 5 000 autres spectateurs étaient rassemblées à l’extérieur de la salle et regardaient le discours sur un écran. « Tout commence aujourd’hui, tout commence avec vous, tout commence par vous », a clamé le candidat socialiste à la tribune, avant d’entamer son discours.
     
     
    A un mois du premier tour de l'élection présidentielle et malgré des sondages défavorables, "tout est encore possible" veulent croire les soutiens de Benoît Hamon, réunis dimanche dans un Bercy surchauffé pour le grand meeting du candidat socialiste.

    "Je crois que tout est possible. Tout bouge en une semaine", confie Kévin Bodé, trentenaire, secrétaire de la section PS d'Alençon (Orne). Les sondages placent son candidat en quatrième position au 1er tour.

    SONDAGES

    24matins - Présidentielle : Macron et Le Pen au coude à coude, Hamon décroche, selon un sondage

    Marine Le Pen et Emmanuel Macron sont au coude à coude, à 26%, dans un sondage Kantar Sofres publié dimanche, dans lequel le candidat PS Benoît Hamon décroche, désormais à égalité avec Jean-Luc Mélenchon (12%).

    Paris Match

    Les Echos

    Le Monde - L’abstention, premier parti de la jeunesse ?

    Selon une étude IFOP pour l’Association nationale des conseils d’enfants et de jeunes, l’abstention s’élèverait à 52 % chez les 18-25 ans, et parmi les sondés qui prévoient de voter, le vote FN est celui qui rassemble le plus.

    LAICITE

    Le Monde - Voile en entreprise : une utile clarification

    Editorial. Les deux arrêts de la Cour de justice de l’Union européenne autorisant un employeur à interdire les signes religieux ostentatoires à ses salariés consacrent une vision stricte de la laïcité au travail.

    Editorial du « Monde ». S’il fallait une preuve supplémentaire qu’un océan sépare l’Amérique de l’Europe, elle vient d’être administrée par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE). La Cour de Luxembourg a en effet rendu, le 14 mars, deux arrêts qui vont faire jurisprudence : sous certaines conditions, elle a jugé qu’une entreprise était fondée à interdire à ses salariés le port d’un signe religieux ostentatoire, qu’il s’agisse du foulard islamique ou de tout autre signe.

    ANALYSES

    La Montagne - Présidentielle, Le PS s’est détruit à l’épreuve du pouvoir Par Rémi Lefebvre

    Les classes populaires ne se reconnaissent plus dans la gauche ; la gauche non plus d’ailleurs : le Parti socialiste leur préfère ouvertement les classes moyennes.

    Le divorce entre la gauche et les classes populaires semble consommé. Rémi Lefebvre, professeur de science politique à Lille 2, revient sur les raisons de cette désunion.

    Fondation Jean Jaurès - Gilles Finchelstein : Comprendre en deux graphiques le succès d’Emmanuel Macron

    I - Le positionnement relatif des candidats

    Il a été demandé aux Français d’attribuer une note sur une échelle allant de 0 à 10 pour positionner[1] sur une échelle gauche-droite chacun des candidats. C’est un exercice qui est couramment pratiqué et il est toujours frappant de constater la finesse de ces jugements construits à partir de ce que les Français perçoivent d’un responsable politique, de son parcours, de ses projets, de ses déclarations, de son attitude, de son style.

    Fondation Jean Jaurès,  Adrien Abecassis, Chloé Morin, Emmanuel Rivière - Qui sont les indécis ?

    Cette campagne présidentielle est marquée par une volatilité inédite des électorats. Nul ne saurait à ce stade prédire son issue. Mais il existe une méthode qui rend mieux compte des structures que les fluctuantes intentions de vote tout en analysant les dynamiques : ce qu’on appelle les « probabilités de vote ». Pour cette présidentielle, on distingue alors neuf électorats ayant des comportements de vote très différents : cinq sont solidement arrimés à un candidat et à un seul, quatre sont indécis.

    HAMON, LE PROGRAMME

    La Tribune - Programme économique d'Hamon : le pari de la relance par la consommation

    Le cadrage financier du programme de Benoit Hamon repose essentiellement sur un "choc" de la demande, via notamment les 35 milliards d'euros dévolus au revenu universel d'existence censés doper la consommation et permettre une forte croissance du PIB.

    L'Obs - Made in France, nationalisations... Benoît Hamon copie Montebourg

    Le candidat socialiste à la présidentielle, qui a présenté son projet final ce jeudi, reprend des propositions de ses adversaires de la primaire.

    A la peine dans les sondages, lâché par Manuel Valls, Benoît Hamon a précisé son projet électoral ce jeudi, trois jours avant son grand meeting à Bercy, et quatre jours avant le premier grand débat télévisé de la campagne. Une séquence cruciale pour se relancer, à un peu plus d'un mois du premier tour.

    Le Monde - Hamon prend le contre-pied du quinquennat

    Le candidat PS a présenté son programme jeudi. Il mise tout sur une relance par la demande, mais sans donner les moyens de financer ses promesses.

    C’est le premier étage de la fusée censée faire redécoller la campagne de Benoît Hamon. Avant son grand meeting à Bercy, dimanche, et le débat télévisé de la présidentielle programmé le lendemain, le candidat socialiste a présenté, jeudi 16 mars, son projet électoral.

    Le Monde - Qui bénéficierait du « revenu universel » de Benoît Hamon ?

    Le revenu universel d’existence, proposition emblématique du programme de Benoît Hamon, a connu plusieurs aménagements et revirements, entre sa version initiale présentée en septembre 2016, qui évoquait à terme 750 euros par mois pour tous les Français, et la dernière mouture, évoquée le 9 mars sur France 2, qui limite dans un premier temps le nombre de bénéficiaires et donc l’aspect « révolutionnaire » de cette réforme.

    L'Obs - Revenu universel, dette, déficit public : les trois revirements de Benoît Hamon

    Benoît Hamon se serait-il décidé à écouter les ténors socialistes le trouvant trop à gauche ? Depuis quinze jours, le candidat du Parti socialiste à l'Elysée fait machine arrière sur des sujets structurants à gauche.

     

    La grande réforme fiscale annoncée pendant la primaire n’est plus à son programme. La nouvelle mouture du revenu universel est censée remplacer cette mesure.

    A presqu'un mois du premier tour de l'élection présidentielle , Benoît Hamon continue d'amender sérieusement son projet. Une semaine après avoir raboté sa mesure phare de revenu universel , le candidat socialiste à l'Elysée a remisé ce jeudi la grande réforme fiscale qu'il avait promis durant la campagne de la primaire du PS, et qu'une partie des élus socialistes ont réclamé en vain lors du quinquennat Hollande.

    LE FN

    Libé - «Face au FN, la gauche a choisi la solution de facilité»

    Responsable de la cellule de lutte contre le Front national au Parti socialiste, Sarah Proust critique les stratégies adoptées par la gauche. Et affirme qu’il faut prendre ses électeurs au sérieux.

    Elue parisienne du Parti socialiste, Sarah Proust dirige avec la Fréjusienne Elsa Di Méo le groupe de travail de lutte contre le Front national au sein du PS. Elle vient de publier chez la Fondation Jean-Jaurès Apprendre de ses erreurs, un petit ouvrage qui revient sur vingt ans d’impasse stratégique de la gauche face à l’extrême droite.

    Fondation Jean Jaurès - Apprendre de ses erreurs. La gauche face au Front national

    Le Front national ne cesse de se renforcer. Face à lui, la gauche a-t-elle recouru aux bons outils pour le combattre, aux arguments les plus justes ? Non. Pour Sarah Proust, il est temps de l’admettre, de l’assumer et de changer de cap. Dans cet essai, elle analyse les erreurs – les errements ? – de la gauche, menant une réflexion lucide et sans tabou.

    L'Obs - "Le FN, parti de la banqueroute", par Henri Weber

    L’application du programme économique et social de Marine Le Pen plongerait notre pays et l’Europe dans un chaos profond. Voici pourquoi.

    Henri Weber est membre du Parti socialiste, ancien sénateur et ancien député européen. Il dessine pour l"Obs" le scénario du retour au franc..s et son impact désastreux sur le pays. 

    "L’application du programme économique et social de Marine Le Pen plongerait notre pays et l’Europe dans un chaos profond. Le premier engagement de ce programme est la sortie de l’euro et le retour au franc. Le second est une augmentation massive de notre dépense publique (118 milliards d’euros par an).

    L'EURO

    Libé - Tribune : Sortir de l’austérité sans sortir de l’euro… grâce à la monnaie fiscale complémentaire
    Par Thomas Coutrot , Dominique Plihon , Wojtek Kalinowski , Bruno Théret , Gaël Giraud , Vincent Gayon , Jean-Michel Servet , Jérôme Blanc , Marie Fare et Benjamin Lemoine
     
    Introduire des liquidités dans une économie en crise grâce à une monnaie complémentaire, adossée aux recettes fiscales à venir, permettrait d’imaginer d’autres politiques sans pour autant remettre en question la monnaie commune. Cela permettrait une stabilisation de la zone euro.
     
    LES LEGISLATIVES
     
    Europe 1 - Législatives : discussions en cours avec le PS sur des retraits EELV
     
    Les deux partis pourraient aboutir à un accord sur des retraits de candidats écologistes dans plusieurs dizaines de circonscriptions aux élections législatives de juin.

    Des discussions sont en cours entre le Parti socialiste et Europe Ecologie-Les Verts pour que les écologistes acceptent de retirer des candidats qu'ils envisageaient de présenter aux législatives contre des socialistes, ont indiqué lundi des sources concordantes.

    ISLAMISME

    Le Point - Le long de la N7 #10 : Avignon, un élu en guerre contre l'islamisme

    Amine El Khatmi, adjoint au maire, réclame une réponse claire aux discours des mouvements identitaires musulmans. Il récolte souvent indifférence et haine.

    Il sait que le PS sera tenté de prononcer son exclusion, mais il s'en moque. Il y a longtemps que la flamme s'est éteinte. Amine El Khatmi, adjoint au maire d'Avignon, en a plus qu'assez des silences gênés et du « courage politique à géométrie variable » des éléphants de Solférino. Ces derniers n'éprouvent aucune difficulté à condamner chaque parole d'un élu FN. « En revanche, lorsqu'il s'agit de prendre position contre des entrepreneurs identitaires islamistes, c'est le silence radio. Quand bien même un de leurs élus est visé », raconte le jeune homme, attablé dans un café sur la place de l'horloge, face à l'hôtel de ville d'Avignon.

    VALLS

    L'Obs - "Sectarisme" contre "trahison" : Valls et Hamon consomment leur rupture

    Benoît Hamon au JT de TF1 et Manuel Valls face à ses soutiens de l'Assemblée : mardi soir, les deux finalistes de la primaire socialiste ont entériné leur divorce.

    Il n'annonce pas (encore) son soutien à Emmanuel Macron mais Manuel Valls a, semble-t-il irrémédiablement, lâché mardi 14 mars le candidat investi par son camp - Benoît Hamon. En annonçant dans "Paris Match" puis face à ses soutiens réunis à l'Assemblée nationale qu'il n'apporterait à personne son parrainage d'élu, l'ancien Premier ministre prend une décision très symbolique, alors qu'Alain Juppé, il y a une semaine, avait déclaré apporter le sien à François Fillon pour enterrer la hache de guerre.

    LES AUTONOMES
     
    Le Vent se Lève - « Autonomisme » : misère de la politique contemporaine

    Un an après les mobilisations contre la Loi Travail et alors que la mouvance autonome semble repartie dans un dernier tour de piste à l’occasion des manifestations contre les violences policières, petite analyse des tenants et des aboutissants du phénomène.

    Fin d’après midi place de la République, samedi 18 février : les organisations et les familles à l’origine du rassemblement de soutien à Théo appellent à dissoudre la manifestation. Aussitôt un cortège se forme et commence à faire le tour de la place, invectivant les forces de l’ordre jusqu’à l’affrontement.

    EN CAMPAGNE

    Boursorama - En meeting à Nice, Benoît Hamon muscle son discours contre le FN

    NICE (Reuters) - Le candidat socialiste à l'élection présidentielle, Benoît Hamon, a ciblé le Front National mercredi lors d'un meeting à Nice, dans une région Provence Alpes-Côte-d'Azur où la gauche n'a pas atteint le second tour aux dernières régionales.

    "Si vous leur donnez le pouvoir par la démocratie, êtes-vous assurés qu'ils vous le rendront si vous arrêtez de voter pour eux ?", s'est-il interrogé devant 800 personnes dont la ministre de l'Education, Najat Vallaud-Belkacem, venue le soutenir à la tribune avec un discours également musclé contre le parti frontiste.

    Libé - Hamon à Valls : «En démocratie, le respect de la parole donnée, c’est important»

    Sur TF1, le candidat socialiste à la présidentielle a répondu au choix de l'ancien Premier ministre de ne pas lui apporter son parrainage.

    Benoît Hamon contre-attaque. S’invitant ce mardi soir au 20 heures de TF1 alors que Manuel Valls réunissait ses soutiens à l’Assemblée nationale au même moment, le candidat socialiste a pris l’ex-Premier ministre sur ses fondamentaux : celui du «respect de la parole donné» et de la lutte contre le Front National. Valls décide de ne pas lui accorder son parrainage alors qu’il avait jusqu’ici accepté les règles de la primaire organisée par le PS en janvier? La riposte de Hamon est rude : «En démocratie, le respect de la parole donné, c’est important.

    Reuters - Valls lâche Hamon et veut préparer une future majorité

    PARIS (Reuters) - Manuel Valls ne parrainera pas le candidat socialiste à la présidentielle, Benoît Hamon, et compte, avec des élus de sa sensibilité, empêcher un second tour Le Pen-Fillon et se préparer à participer à une future majorité présidentielle.

    L'Obs - Hamon donne des gages pour contenir l'exode des socialistes

    Paris (AFP) - Réécriture du revenu universel, discours plus consensuel sur le déficit et la dette publics, hommage au bilan de François Hollande... Benoît Hamon multiplie les gestes de bonne volonté en direction des socialistes, plus que jamais tiraillés entre soutien au vainqueur de la primaire et ralliement à Emmanuel Macron.

    Europe 1 - En Martinique, Benoît Hamon s'attaque aux "assassins d'aube" comme "Le Pen"

    En visite en Martinique, Benoît Hamon a largement cité le poète Aimé Césaire pour dénoncer les "assassins d'aube" parmi lesquels il cite Marine Le Pen.

    Le candidat socialiste à la présidentielle Benoît Hamon a dénoncé dimanche soir lors d'un meeting en Martinique les "assassins d'aube", que sont selon lui Donald Trump, Recep Tayyip Erdogan, ou encore Marine Le Pen, dans une référence littéraire au poète Aimé Césaire.

    Le Parisien - Présidentielle : Hamon fait plancher son conseil citoyen

    Curiosité de la campagne Hamon, un conseil citoyen, qui s'est réuni hier pour la première fois et où des électeurs cogitent sur des propositions à remettre au candidat.

    « Faut-il être moins ambitieux dans les propositions pour être sûr de ne pas décevoir les gens ? » « On peut faire des propositions sur la politique extérieure ? » Les questions fusent, rue du Château-d'Eau, au QG parisien de Benoît Hamon.

    Le JDD - Hamon, une semaine et un projet pour éviter l'isolement

    Menacé par les ralliements à Emmanuel Macron, le socialiste Benoît Hamon n’a plus guère de temps pour se relancer. Le succès ou non de son grand meeting parisien, dimanche prochain, sera déterminant.

    Plus que dix jours pour décoller. Entre jeudi dernier – où, en vingt-quatre heures chrono, Benoît Hamon a publié un livre, reçu la visite du Premier ministre Bernard Cazeneuve, accordé un entretien au Monde puis participé à L'émission politique de France 2 – et dimanche prochain, où il tiendra son grand meeting à Paris, le vainqueur de la primaire joue gros. Les sondages stagnent ; les critiques de son camp pleuvent ; Emmanuel Macron engrange les ralliements. D'où un net changement de braquet.

    Le Monde - En Guadeloupe, Hamon salue « l’excellent bilan » de Hollande sur les outre-mer

    Le candidat socialiste a estimé samedi qu’« à peu près tous les engagements » pris vis-à-vis des outre-mer avaient été tenus pendant le quinquennat.

    Le candidat du Parti socialiste à l’élection présidentielle, Benoît Hamon, a salué, samedi 11 mars lors d’un meeting en Guadeloupe, « l’excellent bilan du quinquennat » de François Hollande sur les outre-mer, dont « à peu près tous les engagements ont été tenus ».
     
    Huffington Post - La semaine où le camp Hamon a passé ses nerfs sur Emmanuel Macron

    La tension est telle que plusieurs proches du candidat socialiste se sont exposés à des dérapages.

    Le ton clairement est monté d'un cran entre Benoît Hamon et Emmanuel Macron. Cette semaine, le premier a multiplié les attaques sur le programme du second, affirmant entre autres que le candidat d'En Marche! était "un marche pied du Front national". La tension est telle que plusieurs de ses soutiens semblent avoir perdu leur sang-froid. Vendredi dans la matinée, c'est Vincent Peillon qui s'est illustré, évoquant l'histoire des chambres à gaz pour commenter les ralliements à l'ex-locataire de Bercy.

    Le JDD - Entre Hamon et Macron, la campagne se crispe

    A moins de 50 jours du premier tour de la présidentielle, les tensions apparaissent entre Benoît Hamon et Emmanuel Macron. Vendredi, le mouvement En Marche a demandé "le retrait" de Vincent Peillon de la campagne du socialiste après une référence hasardeuse aux chambres à gaz. 

    MACRON

    L'Obs - Les Economistes atterrés jugent Macron : "L'économie en marche arrière"

    Dany Lang et Henri Sterdyniak, signataires du manifeste des Economistes atterrés, étrillent les propositions du leader d'En Marche !

    Dans une note de huit pages intitulée "Emmanuel Macron, l'économie en marche arrière", les Economistes atterrés ont passé à la loupe les propositions économiques du candidat Emmanuel Macron. Le résultat est sans appel : sous la plume de Dany Lang (université Paris-13) et Henry Sterdyniak, directeur du département Economie de la mondialisation de l'OFCE, ils étrillent le programme du leader d'En Marche!.

    Macron, l'économie en marche arrière