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  • La vie des idées - Banques centrales et inégalités économiques

    En répondant à la crise, les politiques monétaires des banques centrales ont eu pour effet d’augmenter les inégalités économiques. Cet article expose et critique la manière dont les banquiers centraux essaient de justifier les effets inégalitaires de leurs politiques tout en proposant des alternatives possibles à celles-ci.

    Introduction

    Depuis la mise en œuvre des premières réponses politiques à la crise financière qui a débutée en 2007, les problèmes soulevés par les inégalités de revenus et de richesses sont revenus au cœur des débats publics et académiques. Ainsi, au sein du mouvement d’Occupy Wall Street, connu pour son slogan « nous sommes les 99% », de nombreuses voix ont souligné que la réponse à la crise financière continuait à favoriser les groupes sociaux les plus privilégiés. Au delà de la sphère militante, le succès de librairie de l’ouvrage de T. Piketty Le capital au XXIe siècle et les rapports d’organisations internationales comme l’OCDE démontrent que la montée des inégalités économiques depuis la crise occupe une place de plus en plus centrale dans l’agenda politique [1]. Il y a plusieurs déterminants en cause dans la formation des inégalités, parmi ceux-ci on trouve les talents différenciés des individus, le processus de globalisation, le progrès technologique et la structure institutionnelle de nos sociétés (système éducatif, système de redistribution des richesses…). Les liens entre ces déterminants et les inégalités ont été le sujet d’étude d’une littérature abondante, à une exception notable.

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  • Telos - La primaire de la «gauche de gouvernement», un piège pour qui ? Gérard Grunberg

    Il y a de multiples raisons de saluer la décision du Parti socialiste d’organiser dans tous les cas une élection primaire présidentielle. Mais y voir seulement un coup machiavélique de François Hollande pour piéger ses adversaires au sein du Parti socialiste ne rend pas compte de toute l’histoire.

    Sans pouvoir affirmer que le sondage BVA pour Le Figaro, RTL et LCI paru le 17 juin, ait été à l’origine de la décision du pouvoir socialiste, il lui a fourni néanmoins deux arguments pour aller dans ce sens. Premier argument : invités à désigner le meilleur candidat socialiste à leurs yeux pour 2017, l’ensemble des personnes interrogées ont placé François Hollande en sixième position, avec 4%, derrière Macron, Mélenchon, Valls, Montebourg et Hulot. Dans ces conditions, il devenait de plus en plus difficile pour la direction du parti de refuser une primaire si le président sortant se représentait en 2017, d’autant que l’une des raisons données à ce refus était que François Hollande était le candidat socialiste le plus apte à rassembler le PS et la gauche.

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  • Projet France - Premiers résultats

    Cela fait trois semaines que Le Projet France existe et qu’il prend forme grâce à vos contributions.

    Depuis le 22 mai, une vingtaine de consultations ont été lancées autour des deux premières thématiques, « Changer la politique » et « Redémarrer l’économie ». Vous avez aussi été très nombreux à soumettre un thème au débat collectif pour en faire la prochaine thématique. Nous avons d’ailleurs de nouveau proposé au vote les 10 thèmes les plus populaires, parmi les plus de 1.000 propositions, afin que vous puissiez sélectionner les prochaines thématiques du Projet France.

    Nous avons donc clos les premières consultations, auxquelles vous avez été en moyenne 2.000 à répondre, pour vous en présenter les résultats et les propositions qu’elles ont suscitées chez les Artisans du Projet.

    Vous êtes ainsi 81% à vous déclarer prêts à participer à des assemblées citoyennes. Parmi vos propositions : le droit pour un tiré au sort de refuser avec un nouveau tirage au sort pour le remplacer, la garantie de l’emploi pendant cet engagement, …

    A la question Quelles orientations vous paraissent les plus importantes pour changer la politique ?, vous avez choisi « le renouvellement et la diversité sociale des élus » (15%), « la suppression du Sénat ou son remplacement avec la participation de citoyens » (13,6%) et « la valorisation du vote blanc » (12,6%). Vous avez aussi été nombreux à porter des mesures fortes comme Nadine qui propose un septennat non renouvelable et le non cumul des mandats limité à un renouvellement ou William qui suggère un droit de regard sur ce que font les élus pendant leur mandat et la possibilité de les révoquer, ou encore Boris qui défend lui un contrôle citoyen sur le respect des promesses de campagne.

    S’agissant des réformes favorables au Made in France, vous avez privilégié presque ex æquo « la préférence pour les entreprises françaises sur les marchés publics » et

    « une lutte plus active contre le dumping social » avant « une TVA à taux réduit sur les produits labélisés Made in France ». Vous avez majoritairement proposé un travail sur les labels : label Consommation citoyenne insistant en particulier sur l’aspect local du circuit producteur-consommateur et sur un pourcentage minimum de valeur réellement créée en France, label Entreprise citoyenne en faveur des entreprises qui contribuent au redressement économique, social et écologique de notre pays.

    Enfin, sur les banques, ce sont « la lutte contre la fraude fiscale », « les crédits aux entreprises » et « l’orientation de l’épargne vers les TPE/PME » qui ont remporté vos suffrages pour une banque utile qui soit davantage au service des citoyens, des entreprises et de l’économie. C’est le sens du témoignage de Julien que nous avons voulu partager avec vous : « Je dirige une TPE et j’ai toujours du mal à illustrer les soi-disant taxes assommant les TPE/PME. En revanche, les besoins en trésorerie, l’accès aux crédits, les délais de paiement face aux plus grosses entreprises; le manque de confiance de ces acteurs sont bien une réalité. La banque doit financer l’économie réelle, celle qui crée des emplois. Pourquoi ne pas réinventer un contrat tripartite Banque publique/banque traditionnelle/entreprise lorsque le projet de développement favorise l’emploi durable? »

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  • Le #17h00 épisode 38 - Razzy Hammadi fait le point sur l'avancée du projet de loi "Egalité et citoyenneté"


    Le #17h00 épisode 38 - Razzy Hammadi fait le... par PartiSocialiste

  • France Culture - L’économie collaborative est-elle confisquée par le capitalisme ?

    L'économie collaborative a-t-elle tenu ses promesses ? Rend-elle plus libre ou plus précaire ? Va-t-on vers une tyrannie des plates-formes ou une vraie révolution sociétale ? Nos deux invités: Diana Filippova, co-fondatrice du think-tank OuiShare, et Benjamin Coriat, membre des Économistes atterrés.

    Hier, la société Uber a été condamnée à 800 000 euros d’amende - dont la moitié avec sursis - pour son application de transport entre particuliers Uber pop. Le conflit entre les taxis et les chauffeurs du service Uber a longtemps fait les gros titres, les premiers accusant les derniers de concurrence déloyale. L’entreprise, créée en 2009, fait face à des revendications similaires dans le monde entier. Elle a même fini par donner son nom à un processus, dont on croyait, au départ, qu'il marquait une rupture avec le capitalisme : l'uberisation.

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  • "Le brexit, un choc pour la politique française"(L'Edito Politique)


    "Le brexit, un choc pour la politique française... par franceinter

  • Jacques Attali : "Sortir de l'Union européenne est catastrophique"


    Jacques Attali : "Sortir de l'Union européenne... par lemondefr

  • Jean-Marie Le Guen, invité de RTL le 23 juin 2016


    Jean-Marie Le Guen, invité de RTL le 23 juin 2016 par rtl-fr