Dialogue social : la fin de la méthode Hollande ? par lemondefr
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J. Dray : "Le programme de Tsipras est plus social-démocrate que proche de Mélenchon"
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Jean-Marie Harribey - De Frankfort à Athènes : qui change vraiment ?
La Banque centrale européenne a annoncé le 22 janvier dernier un programme d’assouplissement monétaire (quantitative easing en anglais), dans le but, dit-elle, d’arrêter la spirale déflationniste et de faire repartir la croissance économique. La plupart des commentateurs ont applaudi : « elle fait ce qu’il faut » (titre de l’éditorial du Monde du 24 janvier 2015). L’annonce est intervenue trois jours avant les élections législatives en Grèce, décisives pour ce pays et peut-être aussi pour toute l’Europe. Trois jours avant, mais sept ans trop tard. Mieux vaut tard que jamais ? Oui si certaines conditions étaient remplies. Or, ce n’est pas le cas. À quoi et à qui va servir la création de monnaie envisagée par la BCE ? La BCE a-t-elle fait tout ce qu’il fallait ? Pourquoi la Grèce continue-t-elle d’être la cible des flèches austéritaires ?
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Les économistes atterrés : Notre communiqué en soutien au peuple grec
Nous saluons le choix du peuple grec qui a accordé la victoire à un parti dont l'engagement est de sortir le pays de l'austérité et de changer les orientations européennes. Ces engagements entrent en résonance avec les chantiers que nous développons dans notre Nouveau Manifeste. Une transformation de l'Europe s’impose pour redonner aux États membres la possibilité de décider de leurs politiques économiques et sociales, c’est une exigence démocratique autant qu’un prérequis pour sortir de la crise économique, sociale et politique dans laquelle les politiques d'austérité nous enferment. Nous appelons les institutions européennes à coopérer avec le gouvernement grec, et les gouvernements de gauche à lui apporter leur soutien. Nous soutenons la proposition de Syriza d’une conférence européenne de la dette. La mise en place des politiques que le peuple grec a démocratiquement choisies implique que les institutions européennes acceptent de négocier la restructuration d'une dette insoutenable, en annulant une partie de celle-ci et en rendant le reste soutenable. Elle implique aussi de protéger la Grèce des attaques spéculatives et de laisser à son nouveau gouvernement une latitude suffisante pour conduire son programme économique et social.
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