Discours de Manuel Valls - Club Prévention... par lagazettefr
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Le Monde - Ras le bol du "ras-le-bol fiscal" !
Louis Maurin (Directeur de l'Observatoire des inégalités)
L'opération "ras-le-bol fiscal" a marché. Le président de la République a décrété une pause fiscale et se réjouit de trancher dans les dépenses publiques. Les couches populaires et moyennes vont donc payer une partie de l'addition des baisses d'impôts consenties dans les années 2000 aux plus aisés.
En effet, entre 2000 et 2010, les baisses d'impôts ont atteint 120 milliards d'euros, selon Gilles Carrez, député UMP. Elles n'ont eu aucun effet sur la croissance et ont mis à terre les finances publiques. La majorité précédente a attendu 2011 pour changer de cap, supprimer le bouclier fiscal et élever les impôts. La gauche au pouvoir n'a fait que poursuivre le mouvement. En 2012 et 2013, les augmentations de prélèvements ont atteint 50 milliards, dont 30 milliards pour le budget de l'Etat.
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Pourquoi Hollande arrive fragilisé à l'ONU
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Des élus PS lancent un appel pour relancer le pouvoir d'achat - 24/09
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Le retour de l'éternel débat sur les Roms
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Mediapart - Plongée dans un hôpital étranglé par la gestion financière
18 septembre 2013 | Par Marianne Niosi
Délabrement des locaux, gardes de week-end non rémunérées, manque de personnel, soins administrés en fonction de leurs tarifs… Voilà le quotidien de l'hôpital Beaujon, à Clichy. La ministre de la santé avait promis une réforme du système de santé, qui s'est muée en simple feuille de route. Et mardi, la Cour des comptes en a remis une couche, sur la nécessaire « maîtrise des dépenses hospitalières ».
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Bertrand Delanoë, invité politique de Guillaume Durand avec LCI
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On n'est pas couché avec Arnaud Montebourg sur France 2 - 21/09/2013
On n'est pas couché avec Arnaud Montebourg sur... par redressement-productif -
Le Monde - Débat › Quelle fiscalité pour relancer l'économie et réduire les déficits ?
La formule "ras-le-bol fiscal" a provoqué un vif débat dans la société. Les Français ont le sentiment de payer trop d'impôts pour rééquilibrer les comptes de l'Etat et relancer la croissance économique. Mais ces efforts sont-ils payants ?
Les classes moyennes surtaxées ?
Pour Julien Damon, professeur à Sciences Po, on est loin de "l'offensive socialofiscale généralisée" contre les classes moyennes, qui bénéficient largement de la dépense publique.Pour Louis Maurin, directeur de l'Observatoire des inégalités, l'opération "ras-le-bol" est d'abord un mouvement des catégories aisées pour éviter de participer au redressement des finances du pays.François Hollande est emprisonné par son discours de campagne électorale. Si la réalité ne coïncide pas avec les promesses qu'il a faites, il préfère tordre la réalité plutôt que de reconnaître qu'il s'est trompé.Cessons les faux-semblants et diminuons les dépenses !L'alignement de la taxation du diesel sur l'essence est une urgence en matière de santé publique, d'environnement, de pouvoir d'achat. C'est une mesure sociale, estiment les socialistes Barbara Romagnan et Guillaume Balas. -
OFCE - Quel(s) SMIC pour l’Allemagne ?
20 septembre 2013
par Odile Chagny (Centre Etudes & Prospective, Groupe Alpha) et Sabine Le Bayon (OFCE)
La campagne pour les élections législatives du 22 septembre en Allemagne a fait l’objet d’un large débat entre toutes les forces politiques sur la consolidation de l’Etat social. Le programme du SPD met très largement en avant la notion de justice sociale tandis que la CDU a repris dans son programme plusieurs des thèmes phares du SPD dans le domaine social. Le rôle de l’Etat social n’a jamais été aussi présent dans une campagne pour les législatives depuis 2002. Pour autant, il ne s’agit pas d’aller vers davantage d’Etat social mais d’un retour vers plus de qualité dans l’Etat social, en corrigeant certaines des conséquences négatives de l’Agenda 2010[1]. La lutte contre la pauvreté aux âges avancés (au travers de la revalorisation des avantages familiaux des mères âgées, de l’introduction d’un minimum contributif), la re-régulation de certaines formes de travail (intérim) et la nécessité de renforcer les minima salariaux (salaire minimum) se retrouvent aussi bien dans les programmes de la CDU que du SPD. Même le FDP, traditionnellement hostile à toute idée de salaire minimum, a introduit dans son programme électoral la nécessité d’un « salaire convenable même au bas de l’échelle des salaires ». Cependant, derrière cette unité apparente, les modalités de ce salaire minimum divergent largement entre les partis.
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12/13 Dimanche de France 3 avec Arnaud Montebourg - 22/09/2013
12/13 Dimanche de France 3 avec Arnaud... par redressement-productif