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  • Observatoire des inégalités - Dépenses publiques : des comparaisons piégées

    Les services publics représentent une part plus importante des dépenses en France que dans la plupart des pays voisins. Dérive ou choix légitime ? Une analyse de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités. Extrait du magazine Alternatives Economiques.


    Etat, collectivités locales et autres administrations publiques françaises dépensent chaque année l’équivalent de 56 % du produit intérieur brut (PIB), selon les données 2011 d’Eurostat. Un chiffre qui classe notre pays au deuxième rang de l’Union européenne, derrière le Danemark (57,6 %), et 6,5 points de PIB au-dessus de la moyenne de la zone euro (49,5 %). Mais que veulent vraiment dire ces chiffres ? Ils ne sont pas le signe que nos services publics coûtent plus cher qu’ailleurs, mais que, pour l’essentiel, notre pays a opté pour une réponse collective et moins inégalitaire aux besoins sociaux, quand d’autres laissent faire le marché. Ainsi, plus de la moitié de cet écart provient du système de retraite, qui prend en France la forme d’un service public.

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  • Les journées parlementaires socialistes de Bordeaux


    Les journées parlementaires socialistes de... par GroupeSRC

  • Aurélie Filippetti: l’invitée de Ruth Elkrief - 26/09


    Aurélie Filippetti: l’invitée de Ruth Elkrief... par BFMTV

  • Jean-Christophe Cambadélis: l'invité de Ruth Elkrief - 27/09


    Jean-Christophe Cambadélis: l'invité de Ruth... par BFMTV

  • La Vie des Idées : Définir le libéralisme, un enjeu politique

    Dans la volumineuse anthologie des textes libéraux qu’ils ont réunis, A. Laurent et V. Valentin avancent une définition univoque du libéralisme, afin de l’opposer frontalement au socialisme et de rejeter toute tentative de synthèse entre les deux. C’est par là, selon eux, que le débat politique pourra éviter les consensus illusoires.

    Recensé : Alain Laurent et Vincent Valentin (dir.), Les penseurs libéraux, Paris, Les Belles Lettres, 2012, 920 p., 29 €.

    Les penseurs libéraux est une anthologie composée par Alain Laurent et Vincent Valentin, deux auteurs reconnus pour leurs travaux sur le sujet [1]. Comme tout recueil refusant de se réduire à une compilation fourre-tout, celui-ci tire sa qualité du fait que le choix des textes y est guidé par une réflexion théorique. Ce que les auteurs entendent par libéralisme est en effet l’objet d’une élaboration précise, exprimée avec clarté dans un riche appareil critique.

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  • La république des idées - Le Mystère français par Hervé Le Bras & Emmanuel Todd

    La France ne se sent pas bien. Pour comprendre son mal, nous l’avons passée au scanner de la cartographie la plus moderne. Cent vingt cartes permettent d’observer, renaissant sans cesse, la diversité des mœurs françaises

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    France Info - Emmanuel Todd explique les mystères français

    Emmanuel Todd, démographe et historien, figure intellectuelle présent dans le paysage français depuis deux dizaines d'années. On dit qu'il a prévu la fin du système soviétique en 89, et le printemps arabe il y a deux ans.

    Fallait-il une nouvelle réforme des retraites ? François Hollande vient de répondre deux fois non. Non ! parce que les incertitudes économiques, l’absence d’urgence financière le risque de coalition des oppositions rendaient à ses yeux inutile une réforme censée régler tous les problèmes à l’horizon 2020. Non ! parce que la réforme structurelle de longue portée qui s’attaque à la racine du problème, qui aboutit à un équilibre soutenable de long terme et qui donne à Bruxelles les garanties demandées au risque de déclencher un conflit social majeur est contraire à sa culture politique. Alors qu’a t-il fait ? Un plan de financement lacunaire, riche en habiletés techniques, au confluent des lignes rouges syndicales mais dont le principal mérite est d’avaliser les réformes passées.

    Ses choix ont été salués par un concert immédiat d'approbations molles, d'oppositions peu convaincues et d’appels en catimini à la mobilisation. La mère de toutes les réformes, celle qui était susceptible, selon Rocard, de faire sauter dix gouvernements devient ainsi un non événement.

    Comment un tel résultat a t-il été atteint ? Par une combinaison habile d’actions et de discours permettant l’escamotage progressif du problème, la neutralisation des diverses oppositions syndicales et patronales et, grâce à la mise en scène du thème de la pénibilité, de l’adhésion des élus de gauche.

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  • Libé - La croissance peut-elle nous sauver ? Thomas Piketty directeur d’études à l’EHESS et professeur à l’Ecole d’économie de Paris.

    Est-il bien raisonnable de miser sur le retour de la croissance pour régler tous nos problèmes ? Certes, il est toujours préférable d’avoir 1% de croissance de la production et du revenu national plutôt que 0%. Mais il est temps de réaliser que cela ne résoudra pas l’essentiel des défis auxquels les pays riches doivent faire face en ce début de XXIe siècle.

    La production peut croître pour deux raisons : du fait de la croissance de la population, et du fait de la croissance de la production par habitant, c’est-à-dire de la productivité. Au cours des trois derniers siècles, la production mondiale a progressé en moyenne de 1,6% par an, dont 0,8% par an au titre de la population et 0,8% au titre de la production par habitant.

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  • Arnaud Montebourg : "On peut soutenir une action et condamner un propos"


    Arnaud Montebourg : "On peut soutenir une... par rtl-fr

  • François Hollande : "Je viendrai chaque année à Florange"


    François Hollande : "Je viendrai chaque année à... par lemondefr

  • Libé - Peut-on être «président des entreprises» et socialiste ?

    Donc, depuis le dimanche 15 septembre, François Hollande est le «président des entreprises». Et puisque le même François Hollande se définit toujours comme «socialiste», il convient de se demander si le premier est totalement compatible avec le second. Ou dit autrement, une politique de l’offre qui se fixe comme objectif d’améliorer les marges des entreprises peut-elle encore être estampillée socialiste ? Et si oui, à quelles conditions ? Si on se pose la question, c’est qu’en économie, on assimile volontiers l’offre à la droite et la demande à la gauche. Non sans raison

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