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  • Un peu d'histoire - Evénement : effet de serre (INA, 1997)

    Avant la conférence climatique qui doit se tenir à Kyoto, la ministre de l'aménagement du territoire et de l'environnement, Dominique VOYNET, doit rendre public un plan de lutte national contre l'effet de serre. Ce plan a pour ambition de mettre en oeuvre toute une série de mesures susceptibles de réaliser des économies d'énergie.

  • Marianne : Communautarisme - Le gouvernement se prend les pieds dans le tapis racialiste de Rokhaya Diallo

    Après avoir nommé Rokhaya Diallo au Conseil national du numérique, le gouvernement a finalement rétropédalé en remerciant cette proche des Indigènes de la République. Preuve que l’équipe Macron navigue à vue sur les questions de laïcité et de communautarisme.

    Quand on commet une faute, on la paie deux fois : la première sur le coup, la deuxième en essayant de la réparer. Pour preuve l’affaire Rokhaya Diallo, du nom de cette icône du racialisme que le gouvernement a promue avant de faire machine arrière en catastrophe.

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  • Alternatives économiques - Pauvreté : La prime d’activité remplit ses objectifs

    La prime d’activité meilleure que le Smic ? C’est le message distillé par un rapport consacré au Salaire minimum interprofessionnel de croissance, remis le 5 décembre aux partenaires sociaux. La prime d’activité serait en effet, selon les auteurs de cette note, « plus efficace qu’une augmentation du Smic pour lutter contre la pauvreté ». Mais quel est le bilan de cette prime d’activité ? Créée, il y a bientôt deux ans, cette prestation fusionne et remplace deux dispositifs : le RSA activité et la Prime pour l’emploi (PPE). Comme ses prédécesseurs, la prime d’activité vise à encourager la reprise ou la poursuite d’une activité professionnelle en apportant un complément de revenu aux travailleurs pauvres. Calculée chaque trimestre, elle est versée mensuellement aux actifs adultes résidant en France et qui gagnent moins de 1 500 euros net par mois.

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  • Tézéa. Une bataille gagnée contre le chômage © Le Télégramme

    54 salariés embauchés en un an en CDI et 30 autres qui attendent de signer leur contrat de travail ! L'entreprise à but d'emploi Tézéa est en passe de gagner la bataille qu'elle livre depuis un an contre le chômage de longue durée sur le secteur de Pipriac (35).

    Il y a deux ans, Pipriac et Saint-Ganton (35) décidaient de livrer bataille au chômage de longue durée et de l'exclusion sociale, en embauchant en CDI d'anciens chômeurs à des tâches de bricolage, jardinage, services à la personne. En janvier dernier, l'entreprise Tézéa - à but d'emploi - était créée dans ce but. Son rôle, traquer toutes les miettes d'emploi de ce bassin de vie et proposer son intervention dans des domaines extrêmement variés. 

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  • Alternatives économiques - Agir : Les jeunes privilégient l’engagement « post-it » Justin Delépine

    Les jeunes ne s’intéressent plus à la politique. Cette rengaine revient lors de chaque année électorale comme 2017. Les taux de participation aux deux tours de la présidentielle et des législatives de 2017 peuvent certes le laisser penser : 20 % seulement des 18-29 ans ont voté à l’ensemble de ces scrutins et leur taux d’inscription sur les listes électorales est au plus bas.

    Si cette faible participation électorale des jeunes n’est pas nouvelle, le phénomène s’amplifie. Sur les quatre dernières années combinant élections législatives et présidentielles, le vote systématique, c’est-à-dire à chaque scrutin, a baissé de 32,4 % en 2002 chez les 18-24 ans à 18 % en 2017. Pendant que l’abstention systématique augmentait, quant à elle, de 13,9 % à 19,4 %. Le comportement électoral le plus répandu chez les 18-24 ans est aujourd’hui le vote intermittent : il a concerné 62,7 % des inscrits de cette tranche d’âge - la plus touchée par ce comportement - en 2017. Ce constat ne traduit cependant pas forcément un désengagement global de la jeunesse : on observe plutôt une reconfiguration de leurs formes de mobilisation.

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