On dit souvent qu'il est le plus francophile des écrivains américains : Douglas Kennedy parle français, séjourne très régulièrement à Paris, et ses lecteurs français sont extrêmement nombreux. C'est en 1994 qu’est paru son premier roman, publié en France en 1998 sous le titre "Cul-de-sac", puis republié en 2008 sous le titre "Piège nuptial". Et dès son deuxième roman, "L’Homme qui voulait vivre sa vie", il a connu un succès international. Depuis, de livre en livre, il nous mène dans des genres littéraires différents, scrute l’Amérique et ses contradictions, mais aussi notre condition humaine et notre capacité à construire nos propres emprisonnements.
Son nouveau roman, "Et c’est ainsi que nous vivrons" est à la fois un roman d’anticipation et un roman d’espionnage, au cœur duquel réside un secret de famille. Douglas Kennedy y dessine l’Amérique de 2045, une Amérique qui a connu une sécession entre une Confédération, véritable théocratie, digne de l’Inquisition, et une République qui, sous un vernis progressiste, est une véritable société de surveillance...