Claude LEFEVRE reçoit François MITTERRAND, premier secrétaire du parti socialiste, à l'occasion du prochain congrès du PS à Nantes. François MITTERRAND rappelle l'histoire de la création du parti socialiste, définit le socialisme et explique comment on adhère à cette idée.
Actualités socialistes - Page 920
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Un peu d'hstoire : François MITTERRAND à propos de l'histoire du Parti socialiste et du socialisme (INA, 1977)
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OFCE - Avantage fiscal sur le gazole : une fin programmée par Céline Antonin
29 septembre 2017
Comme l’a souligné le rapport n°4019 de l’Assemblée Nationale sur l’offre automobile française, « la France est un des pays d’Europe dont le parc roulant est le plus diésélisé et où l’écart de fiscalité appliqué à l’essence et au gazole reste parmi les plus importants. » Or plusieurs arguments plaident pour un alignement des fiscalités. Tout d’abord, alors que l’avantage conféré au gazole s’expliquait par son utilisation majoritairement professionnelle, le diesel a massivement investi la sphère des voitures particulières, rendant cet avantage indu. En outre, le gazole présente des dangers pour la santé publique. En 2012, l’Organisation mondiale de la santé a classé les gaz d’échappement des moteurs diesel comme cancérogènes, avec un coût sanitaire estimé par la Cour des comptes entre 20 et 30 milliards d’euros[1]. L’argument économique plaide également pour un rééquilibrage : la forte diésélisation du parc automobile français conduit à un fort besoin d’importation en gazole alors que la France est exportateur net d’essence raffinée. Enfin, le manque à gagner fiscal est conséquent : la Cour des comptes chiffre la perte de recettes fiscales liées au diesel à 6,9 milliards d’euros pour l’année 2011.
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"Macron a un effet chasse neige et le Parti Socialiste ne doit pas se retrouver sur la bordure" Stéphane Le Foll (11/10)
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Conférence de presse - Rachid Temal et Jean-Jacques THOMAS
Présentation du collectif "Dignité et solidarité avec les emplois aidés" - 9 octobre 2017
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Catalogne : le PS plaide pour la négociation
En Catalogne, la situation politique est toujours extrêmement tendue. Suite au référendum interdit par le pouvoir central, Carlos Puigdemont, président séparatiste de la Catalogne, a affirmé devant le Parlement local que la région avait « gagné le droit d’être un Etat indépendant ». Mais il a toutefois suspendu le processus, en ne déclarant pas encore l’indépendance, afin de reprendre les négociations avec Madrid. Le gouvernement de Mariano Rajoy, menaçait lui d’utiliser l’article 155 de la Constitution, qui lui permet de suspendre l’autonomie d’une région en cas de force majeure.
Depuis le début de la crise, les socialistes plaident pour une négociation. Le Parti socialiste a condamné les nombreuses violences entraînant des centaines de blessés lors de heurts aves les policiers anti-émeute le jour du vote. Toutefois, « le nationalisme du gouvernement catalan ne peut pas continuer d’avancer à marche forcée vers son autodétermination et le gouvernement central madrilène du Parti populaire au pouvoir ne peut persister durablement sur une ligne d’intransigeance totale ».
Solution négociée
Le Parti socialiste soutient de fait le PSOE qui, y compris dans sa composante catalane, demande à ce qu’une solution négociée entre toutes les parties soit trouvée. C’est le seul chemin pour sortir d’une situation qui, depuis 2010 et les premières grandes manifestations indépendantistes n’a cessé de se dégrader.
Avant même le discours de Carlos Puigdemont, Pedro Sanchez secrétaire général du PSOE et chef de file de l’opposition au gouvernement conservateur avait prévenu : « Nous appuierons la réponse de l’Etat de droit face à toute tentative visant à rompre l’harmonie sociale ». Il avait également demandé au chef du gouvernement séparatiste catalan de renoncer à la déclaration d’indépendance.
Crainte en Europe
De son côté, l’Union européenne temporise. Une Catalogne indépendante sortirait de facto de l’UE et devrait candidater pour y rentrer. Après le Brexit, les conséquences d’une nouvelle défection pourraient être dramatiques. Et ce d’abord pour les Catalans qui payeraient économiquement au prix fort leur sortie du marché commun.
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Un peu d'histoire : Richard Ferrand, nouveau président du GALCOB (INA, 1999)
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Un peu d'histoire : Les états généraux du parti socialiste (INA, 1993)
Reportage consacré aux états généraux du Parti Socialiste qui se déroulent à Lyon. Les "éléphants" avaient promis de laisser le devant de la scène aux militants de base. Extrait du discours de Manuel VALLS, rapporteur de la "commission bilan" sur les élus du PS coupées de la base et le "syndrome des R25".Interview de Gérard COLLOMB, élu de la Courly : "Je n'ai pas des costumes de chez Smalto, ni de manteau à 50 000 francs...donc à titre personnel je ne me sens pas concerné par les reproches qui sont faits".
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"Jupiter doit atterrir", Michel Destot, ancien maire et ancien député PS de Grenoble sort de son silence
Quatre mois après sa défaite aux élections législatives, l'ancien député socialiste et ancien maire de Grenoble Michel Destot revient sur son parcours politique et livre son analyse sur les premiers mois du quinquennat d'Emmanuel Macron.
Depuis juin dernier, Michel Destot s'est fait discret. Sa candidature aux élections législatives pour le Parti socialiste s'est soldée en cuisante défaite, au profit de l'élection d'Émilie Chalas pour la République en Marche. Ce vendredi 13 octobre, il revient pour France Bleu Isère sur ces résultats décevants
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Le Figaro - L'ex-ministre Aurélie Filippetti menacée d'exclusion au Parti socialiste
L'ex-ministre se voit reprocher d'avoir soutenu une liste dissidente lors des dernières élections sénatoriales. Le premier secrétaire de la fédération de Moselle lui a signifié sa «sortie» du PS.
Il ne restera bientôt plus grand monde au Parti socialiste, très largement éprouvé par le départ de ses cadres depuis la fin du quinquennat. On apprend ce vendredi que Solférino se passera désormais des services de l'ancienne ministre de la Culture Aurélie Filippetti. La fédération de Moselle a décidé de lui signifier cette mise à l'écart, ainsi qu'à ses soutiens, en conséquence de son soutien à une liste dissidente lors des élections sénatoriales
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Europe 1 - Mélenchon-Valls, c’est quoi le problème ?
Depuis plusieurs jours, le leader de la France insoumise et l’ex-Premier ministre échangent invectives et insultes sur fond de profond désaccord idéologique. Un antagonisme qui ne date pas d’hier.
Jadis camarades au sein du Parti socialiste, Manuel Valls et Jean-Luc Mélenchon semblent être devenus aujourd’hui les pires ennemis du monde. Plus ou moins ouvert ces dernières années, le conflit s’est considérablement durci ces derniers jours entre les deux hommes, quand le leader de la France insoumise a démissionné avec fracas de la mission parlementaire sur la Nouvelle-Calédonie, dont l’ancien Premier ministre a pris la tête. La tension est telle qu’insultes et accusations de complaisance avec l’islamisme radical et l’antisémitisme ont fusé.
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Ouest France - Notre-Dame-des-Landes : le PS soutient la manifestation pro-aéroport
Le Parti socialiste de Loire-Atlantique a décidé de soutenir la manifestation organisée, le samedi 14 octobre, à l’aéroport de Nantes-Atlantique, par les partisans du transfert vers Notre-Dame-des-Landes. Le PCF local est sur la même longueur d'ondes.
La médiation lancée par le gouvernement inquiète de plus en plus les défenseurs du projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes. Les principales associations concernées appellent à un rassemblement, samedi 14 octobre, à 10 h, devant l’actuel aéroport de Nantes-Atlantique. Au premier rang, les "Riverains en colère" qui vivent près de cette piste.
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