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Actualités socialistes - Page 1553

  • Julien Dray : "Jean-Pierre Jouyet peut rester en poste" par rtl.fr


    Julien Dray : "Jean-Pierre Jouyet peut rester... par rtl-fr

  • La Vie des Idées - 1914-1918 : la mémoire ou l’oubli ? Entretien avec Nicolas Offenstadt

    Acteur de la commémoration de la Grande Guerre, l’historien Nicolas Offenstadt revient pour la Vie des idées sur le travail qui est pour lui celui de l’intellectuel spécifique : introduire une référence historienne dans un espace public saturé d’activisme mémoriel.

    Nicolas Offenstadt, est maître de conférences habilité à diriger des recherches (HDR) à l’Université de Paris I-Panthéon-Sorbonne. Il travaille à la fois sur la Grande Guerre et ses mémoires et sur les pratiques politiques à l’époque de la Guerre de Cent ans. Il est en charge du cours d’historiographie à l’Université de Paris I et en a tiré L’Historiographie (PUF, Que-Sais-Je, 2011). Parmi ses publications récentes, La Grande Guerre. Carnet du centenaire, Paris, Albin Michel (avec André Loez) et En place publique. Jean de Gascogne, crieur au XVe siècle (Stock).

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  • Une semaine de débat sur l'entrepreneuriat social à Libération par Libération


    Une semaine de débat sur l'entrepreneuriat... par liberation

  • Affaire Fillon-Jouyet: "Ce bazar est d'abord à l'UMP", juge Da Silva par BFMTV


    Affaire Fillon-Jouyet: "Ce bazar est d'abord à... par BFMTV

  • Assouline : «Il y a de la transparence à gauche, de l'autre côté c'est plus délétère» par Lefigaro.fr


    Assouline : «Il y a de la transparence à gauche... par lefigaro

  • Jérôme Guedj: "Il y a une guerre thermo-nucléaire à l'UMP" par Europe1fr


    Jérôme Guedj: "Il y a une guerre thermo... par Europe1fr

  • Joffrin sur Jean-Pierre Jouyet : «C'est une affaire Sarkozy au départ» par Libération


    Joffrin sur Jean-Pierre Jouyet : «C'est une... par liberation

  • RTBF - Paul Krugman : Le triomphe du faux

    La course n’est pas aux agiles, ni le combat aux hommes forts, le pain n’est pas non plus aux sages ni même les élections de mi-mandat aux hommes doués d’intelligence. Ou bien ainsi que je l’ai dit à la veille d’une autre victoire du Parti Républicain, la politique détermine qui a du pouvoir, pas qui détient la vérité. Pourtant, ce n’est pas tous les jours qu’un parti qui a tort sur autant de choses se débrouille aussi bien que ce qu’ont fait les républicains mardi.

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  • Libé - La CFDT et la crise démocratique Pierre Héritier, Ancien secrétaire national de la CFDT

    TRIBUNE

    La CFDT célèbre son 50e anniversaire et c’est l’occasion de jeter un regard dans le rétroviseur. En 1964, au congrès de déconfessionnalisation, elle opte pour le «D» de démocratique. A l’époque, il est vrai qu’elle s’est placée dans le camp de la démocratie. Par ses réflexions sur l’autogestion, le socialisme démocratique, elle a nourri le débat.

    La CFDT avait choisi le «D» de démocratique comme une référence identitaire. Lors de son récent congrès, elle a remplacé sa référence anticapitaliste par l’option de l’approfondissement démocratique. Elle est placée devant un défi, face à la crise de confiance des citoyens. Elle doit proposer l’élargissement de la démocratie au domaine de l’entreprise et de l’économie, de plus en plus soumis à la logique financière : comment reconquérir du pouvoir sur les fonds de pension et les marchés financiers ?

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  • Non Fiction : Jaurès in the sky...

    Résumé : Où commémoration rime avec dépolitisation, décontextualisation, confusion et récupération.

    Jean Jaurès est à n'en pas douter l'une des rares figures consensuelles habitant la mémoire de la société française, toutes sensibilités politiques confondues, en ce début de XXIe siècle. À l'occasion du centenaire de son assassinat toutefois, les commémorations et surtout la vague de publications qui l'accompagnent permettent d'observer les ambiguïtés et contradictions multiples que recouvre cette unanimité. S'il apparaît normal, voire évident, que chaque auteur impliqué se donne les moyens de développer un point de vue personnel sur la figure et l'héritage jaurésiens, il est regrettable de constater qu'un tel pic de demandes éditoriales permet trop souvent le passage de l'interprétation à la récupération, en desserrant l'étau des exigences intellectuelles. Les cas les plus flagrants, il faut le souligner, ne sont pas les plus efficaces : ainsi, les ouvrages de Bernard Carayon  et Bernard Antony  sont assurés de ne trouver leur public qu'au sein des franges les plus extrêmes de la droite française – sans doute déjà fondamentalement imperméables aux travaux et analyses de Madeleine Rebérioux, de Jean-Pierre Rioux, et a fortiori de Vincent Duclert et Gilles Candar. Le livre écrit par Éric Vinson et Sophie Viguier-Vinson nous semble en revanche bien plus problématique, dans la mesure où il sombre dans un ésotérisme tout personnel : plutôt que d'afficher clairement leur angle d'attaque et leurs ambitions, les auteurs développent une analyse partiale et partielle, enveloppée d'une rhétorique confuse et confusionniste, qui vise à dépolitiser Jaurès, au travers d'une hagiographie sobrement intitulée Jaurès le prophète. Résultat : notre homme devient une figure quasi-christique, un fils prodigue de l'Église catholique.

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