Actualités socialistes - Page 1518
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Jean Pisani-Ferry, invité de l'économie
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Le Grand Rendez-vous - Jean-Christophe Cambadelis partie 1 - Europe1fr
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Le Grand Rendez-vous - Jean-Christophe Cambadelis partie 2 - Europe1fr
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Le Grand Rendez-vous - Jean-Christophe Cambadelis partie 3 - Europe1fr
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Non Fiction - La France et ses recompositions territoriales
Résumé : Comment expliquer les fractures territoriales de la France ? Et est-il raisonnable pour un géographe de se faire polémiste ?L'analyse des mutations territoriales de la France est devenue un créneau porteur dans les librairies. Au-delà des succès rencontrés ces derniers mois par les démographes Emmanuel Todd et Hervé Le Bras avec Le Mystère français , par le géographe Jacques Lévy avec Réinventer la France , par l'économiste Laurent Davezies avec La crise qui vient. La nouvelle fracture territoriale , ou encore par l'Atlas des villes , ouvrages largement agrémentés de cartes commentées, la tendance éditoriale est à la généralisation des collections d'atlas et d'essais portant sur les recompositions spatiales de notre pays, dans un environnement globalisé.
C'est dans ce contexte que trois publications portant sur la « nouvelle » géographie de la France peuvent être commentées : la première est un livre d'un géographe iconoclaste – ou, du moins, se plaisant à se présenter comme tel –, La France périphérique de Christophe Guilluy, la seconde est la dernière livraison de la revue de géographie et de géopolitique Hérodote – fondée par Yves Lacoste et dirigée par Béatrice Giblin –, consacrée au thème : « La France. Pouvoirs et territoires » et la troisième est un magazine volumineux intitulé L'Altas de la France et des Français, prenant la suite de l’Atlas des villes, précédemment cité, et également publié par Le Monde, en collaboration avec La Vie. -
TAFTA : Pourquoi on n'a pas besoin d'être anti-mondialisation pour être contre
Les débats qui font rage sur le TTIP (Transatlantic Trade and Investment Partnership) ou TAFTA (Transatlantic Free Trade Area) sont malheureusement bien souvent représentés comme une opposition un peu bébête entre partisans du libre-échange et adeptes de la croissance économique d’une part et décroissants gauchistes anti-mondialisation d’autre part. Dans son état actuel, tel que nous le connaissons tout du moins, le projet présente néanmoins de nombreuses particularités dont même les partisans de la mondialisation devraient se soucier, dans la mesure où les principes qui paraissent fondamentaux pour nos sociétés démocratiques semblent mis à mal. De fait, la signature du TAFTA n’engage rien de moins que la conception de l’exigence de transparence, le principe de symétrie, les conditions d’exercice de l’impartialité, la non-rétroactivité, et enfin de la question de la représentativité des instances décisionnaires.
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Claudia Senik interrogée par Eric le Boucher sur son livre, "L'économie du bonheur" (Seuil) par Fondation Jean-Jaurès
Claudia Senik interrogée par Eric le Boucher... par fondationjeanjaures -
Intervention de Laurent Fabius sur la reconnaissance de la Palestine à l'Assemblée nationale - France Diplo TV
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Non Fiction - Sur le retour d’une "écologie citoyenne"
Après la tournure dramatique prise par la contestation du barrage de Sivens, la troisième « conférence environnementale » (27-28 novembre 2014) permet au Président de la République, François Hollande, d’afficher une relance de la réflexion sur le cadre démocratique autour des projets d’aménagement. Comment interpréter cette nouvelle promotion d’une « écologie citoyenne » ? Comment la resituer, notamment au regard de cette gouvernance renouvelée qui était censée venir avec la recherche d’un « développement durable » ?
Une nécessaire participation des habitants ?
Le discours du développement durable met en avant la nécessité d’une mobilisation collective : sa logique implique donc la participation de tous, dans les actes quotidiens comme dans la contribution aux affaires publiques. Dans les conceptions institutionnelles notamment, la participation des populations tend à être conçue comme un levier pour aider à mettre en œuvre les politiques de « développement durable ». Ce n’est pas tant de prendre en compte les intérêts particuliers dont il s’agit, mais surtout de les dépasser, de les transcender, pour acheminer la collectivité vers ce nouvel horizon. Dans la vaste reconfiguration que suppose un développement dit « durable », les dispositifs participatifs tendent ainsi à venir comme une pièce contribuant aux conditions de gouvernabilité du processus.Lire la suite
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"La banlieue ne va pas disparaître grâce au Grand Paris" Libération
"La banlieue ne va pas disparaître grâce au... by liberation -
Arte - Alain Cavalier et Vincent Lindon, Pater, le film
Devant et derrière la caméra, Alain Cavalier et Vincent Lindon se filment en hommes de pouvoir guidés par une relation filiale. Ils jouent également à être eux-mêmes, faisant de Pater une œuvre singulière.