Actualités socialistes - Page 1515
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Caroline Fourest: L'invitée de Ruth Elkrief - 13/01
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Guy Bedos : "Je pleure mes copains de Charlie assassinés"
Guy Bedos : "Je pleure mes copains de Charlie... par tv5mondelinvite -
Discours de Manuel Valls à l’Assemblée en hommage aux victimes des attentats
Discours de Manuel Valls à l’Assemblée en... par publicsenat -
Bouclage de Charlie Hebdo à Libération
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"Charlie et les charlots", par Caroline Fourest - France Culture
"Charlie et les charlots", par Caroline Fourest by franceculture -
Le Monde, Luc Besson - Réparons ensemble l’injustice faite à la jeunesse
Mon frère, si tu savais combien j’ai mal pour toi aujourd’hui, toi et ta belle religion ainsi souillée, humiliée, montrée du doigt. Oubliés ta force, ton énergie, ton humour, ton cœur, ta fraternité. C’est injuste et l’on va ensemble réparer cette injustice. On est des millions à t’aimer et on va tous t’aider. Commençons par le commencement. Quelle est la société que l’on te propose ?
Basée sur l’argent, le profit, la ségrégation, le racisme. Dans certaines banlieues, le chômage des moins de 25 ans atteint 50 %. On t’écarte pour ta couleur ou ton prénom. On te contrôle dix fois par jour, on t’entasse dans des barres d’immeubles et personne ne te représente. Qui peut vivre et s’épanouir dans de telles conditions ?
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Claude Bartolone: L'invité de Ruth Elkrief - 12/01
Claude Bartolone: L'invité de Ruth Elkrief - 12/01 par BFMTV -
Bruno Le Roux : "Il nous appartient d’être à la hauteur de cet élan d’unité nationale"
Bruno Le Roux : "Il nous appartient d’être à la... par GroupeSRC -
Abd Al Malik et Jean d'Ormesson : "On peut dépasser ce qui nous oppose et tâcher de multiplier ce qui nous unit"
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"Le racisme, l'antisémitisme et l'apologie du terrorisme sont des délits", déclare Manuel Valls.
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Le Point Afrique - "Charlie Hebdo" et l'Afrique - Kamel Daoud : Le nom d'Allah, le prénom d'Ahmed, les pseudos de "Charlie"
La mort ne fait pas peur au journaliste et écrivain algérien visé par une récente fatwa. Il n'en est pas de même d'un monde sans liberté où il n'aurait pas sa "place".
C'est la mécanique du 11 : un Allahouakbar, quelques assaillants, plusieurs morts, des analystes sur des plateaux TV, des rassemblements, un slogan, un plan Global War bis, des théories de complots, des gens en pleurs puis un président qui appelle au rassemblement et promet le châtiment. Ensuite les trois ou quatre religions du coin qui condamnent, des extrémistes qui rappellent qu'ils ont déjà tout prévu, des proches des morts qui témoignent et des musulmans qui clament que prier n'est pas tuer.
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