Benoît Hamon invité du Grand Jury, dimanche 25... par rtl-fr
Actualités socialistes - Page 1192
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Benoît Hamon invité du Grand Jury, dimanche 25 septembre 2016 - Partie 2
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"Je suis pour la sélection, pas dans les discours, mais dans les actes" Thierry Mandon (26/09/2016)
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Observatoire des inégalités - Jeunesse : le soutien financier de la famille change tout
9 septembre 2016 - 88 % des enfants de cadres âgés de 18 à 24 ans reçoivent une aide financière de leurs parents, contre 61 % des jeunes dont le père est ouvrier. Et les premiers reçoivent des montants bien plus importants que les seconds.
Sept jeunes âgés de 18 à 24 ans sur dix reçoivent une aide financière de leurs parents selon une étude de l’Insee [1] qui dévoile les résultats d’une enquête inédite menée en 2014 sur les revenus des jeunes. Mais 88 % des enfants de cadres reçoivent un tel soutien, contre 61 % des enfants d’ouvriers. Les premiers peuvent compter sur 400 euros (l’équivalent d’un tiers de Smic) par mois en moyenne, tandis que les seconds touchent 160 euros [2].
Cette aide peut pendre plusieurs formes : un versement monétaire (pour 37 % d’entre eux) ou une participation à leurs dépenses en téléphonie mobile ou liées à Internet (51 %), ainsi qu’à leurs frais de transports (36 %). Les jeunes en cours d’études qui n’habitent plus chez leurs parents sont particulièrement concernés et bénéficient des plus gros montants (plus de 500 euros par mois). Ces derniers sont les plus nombreux à utiliser ce montant pour payer leur loyer (57 %). Il faut ajouter qu’un jeune sur deux qui n’habite plus chez ses parents et qui reçoit un revenu social (bourse d’études, allocation chômage, aide au logement, etc.) perçoit une aide au logement. Parmi eux, sept sur dix bénéficient aussi d’une aide de leurs parents.
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Anne Hidalgo était l'invitée de RTL le 26 septembre 2016
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Telos - La pensée magique de la mixité sociale, Olivier Galland 15 septembre 2016
Dans un article de son blog du Monde sur la mixité sociale Thomas Piketty ne propose rien de moins que de mettre en place un système d’affectation des élèves dans les collèges, y compris les collèges privés, qui fasse en sorte qu’on aboutisse dans chaque établissement à un taux d’élèves défavorisés compris entre 10% et 20%. Cette proposition pose deux problèmes que l’article de Piketty laisse totalement de côté : la mixité sociale augmente-t-elle véritablement les chances de réussite des élèves défavorisés ? Peut-on dans une société démocratique contraindre à ce point les choix individuels pour faire le bonheur des gens – si tant est que la réponse à la première question soit positive – à leur place ?
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Le #17h00 Épisode 48 - Présidentielles 2017 : inscrivez-vous sur les listes électorales !
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Le #17h épisode 45 avec Kamel Chibli : «La rencontre est avant tout une richesse et pas un handicap»
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4 Vérités - Pour Jean-Jacques Urvoas, "il faut sortir la question carcérale de la polémique politique"
4 Vérités - Pour Jean-Jacques Urvoas, "il faut... par francetvinfo -
Julien Dray : "Il risque d'arriver à Juppé ce qui est arrivé à Balladur"
Julien Dray : "Il risque d'arriver à Juppé ce... par franceinfo -
Mission d'information sur le revenu de base - Les matins du Sénat (23/09/2016)
Mission d'information sur le revenu de base... par publicsenat -
OFCE - Assurance chômage des seniors, peu de problèmes, beaucoup de solutions
9 septembre 2016
par Bruno Coquet (IZA et OFCE)
Depuis le début des années 1960 les seniors bénéficient d’un accès privilégié à l’assurance chômage et de dispositions spécifiques d’indemnisation, notamment une durée potentielle de leurs droits très étendue. Ce type de pratique est commun à de nombreux régimes d’assurance chômage dans le monde.
Jusqu’au milieu des années 1990 ces règles n’ont pas suscité de débat. Les seniors étaient en effet très souvent orientés vers des dispositifs de préretraites qui occultaient les comportements indésirables que peuvent susciter – tant de la part des employeurs, des salariés que des chômeurs – des règles d’assurance chômage inadaptées ou mal contrôlées. Avec l’abandon des préretraites, ces comportements sont apparus plus clairement, créant un débat sur la responsabilité et la suppression des règles d’indemnisation du chômage spécifiques aux seniors.
Les droits dont bénéficiaient les chômeurs seniors ont en conséquence été progressivement réduits ; leur suppression totale figure toujours parmi les demandes de réforme les plus régulièrement mises en avant, que ce soit au nom de la rectification des comportements indésirables qu’elles engendrent ou du redressement des comptes de l’Unedic. C’est cette question qu’analyse la Note de l’OFCE n°XX.
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