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terra nova - Page 14

  • Terra Nova veut adapter la primaire PS aux municipales de 2014

    Revue de Presse Le 30/01/2013

    Le Monde.fr | 30.01.2013 à 13h11 Par Bastien Bonnefous

    Comment transformer un éclatant succès national en une nouvelle réussite à l'échelon local ? C'est tout l'enjeu du rapport du think tank Terra Nova sur l'organisation de primaires à gauche pour les élections municipales de mars 2014, rendu public mercredi 30 janvier. Coordonné par Jean-Philippe Thiellay, vice-président du cercle de réflexion, et Matthias Fekl, député socialiste de Lot-et-Garonne et secrétaire national du PS aux institutions, ce document plaide pour la tenue de "primaires de conquête" dans la droite lignée de la "primaire citoyenne" du PS à l'automne 2011 qui avait désigné François Hollande candidat à l'élection présidentielle. A l'époque déjà, Terra Nova avait été à la manoeuvre, comme principal promoteur de ce nouveau mode de désignation.

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  • Terra Nova - Rénovation énergétique des logements : pour une politique volontariste

    Dans le cadre de ses réflexions sur la conduite de la transition énergétique (Directive efficacité énergétique, financement des énergies renouvelables), Terra Nova se penche à présent sur un chantier majeur de la maîtrise de la consommation d'énergie : la rénovation énergétique des logements. Premier secteur de consommation d'énergie devant le transport et l'industrie, le bâtiment est au coeur de la politique d'efficacité et de sobriété énergétiques. Cette note plaide pour des mesures et une action publique permettant d'orienter les acteurs vers un immobilier durable, à travers notamment la mise en place d'un service public de la performance énergétique très opérationnel, une véritable fiscalité verte permettant une large prise de conscience, des outils de financement efficaces et pérennes.

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  • Terra Nova : "Quelles dépenses publiques pour quel modèle social ?"


    "Quelles dépenses publiques pour quel modèle... par terranova

    Pour sa 3ème édition, 23 think tanks se retrouvaient le samedi 15 décembre 2012 à la Sorbonne pour leur forum annuel intitulé "Dans quels mondes vivons-nous ?".

    Placé sous le signe du pluralisme et de la convivialité, cet événement veut contribuer à la promotion d’un débat politique apaisé et de qualité. Les participants se réunissent pour croiser leurs réflexions et confronter leurs propositions autour d’enjeux contemporains majeurs.

    Jean-Philippe Thiellay, vice-président de Terra Nova, participait à la 2ème table ronde "Quelles dépenses publiques pour quel modèle social ?" qui se tenait de 10h20 à 11h35 aux côtés de Stéphane Boujnah, président de En Temps Réel, Alain Obadia, président de la Fondation Gabiel Péri, Agnès Verdier-Molinié, directeur de la fondation IFRAP et Gérard Dussillol, président du pôle "finances publiques" de l'Institut Thomas More.

    La table ronde était animée par Myriam Mascarello, France 24.
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  • 2012 : rapport d'activité de Terra Nova

     

    Retrouvez ici le rapport d'activité de Terra Nova pour l'année 2012. Vous y retrouverez les principales actions menées, les notes d'actualité et les derniers rapports publiés. Vous pourrez également prendre connaissance de l'historique des événements organisés ou co-organisés avec nos partenaires. Nous vous souhaitons une bonne lecture et vous donnons rendez-vous en 2013.  

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  • Terra Nova - Sécurisation des parcours professionnels : pour un compromis social ambitieux

    Le 11/12/2012

    Contribution 2012 Par le pôle "Affaires sociales" de Terra Nova

    La question de la sécurisation des parcours professionnels n'a cessé de revenir dans le débat public depuis plus de quinze ans, sans faire pour autant l'objet de mesures de grande ampleur. Pourtant, une réforme donnant aux travailleurs le droit de se former, de rester qualifiés et d'avoir ainsi les moyens de maîtriser l'évolution de leur carrière et les épisodes de perte d'emploi doit être au coeur de la politique de compétitivité et de lutte contre le chômage. Terra Nova plaide pour une sécurisation des parcours professionnels ambitieuse, fondée sur de nouveaux droits sociaux : l'assurance qualification, avec la mise en place d'un compte individuel de formation, l'assurance emploi garantissant aux chercheurs d'emploi une indemnisation juste et un accompagnement performant, et le droit collectif à des restructurations négociées assurant un juste partage de l'effort. 

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  • Libé - «Cette politique restrictive sur l’immigration de travail ne répond pas aux besoins de l’économie»

    Interview Pour le chercheur El Mouhoub Mouhoud, la France doit rattraper son retard sur les autres pays de l’OCDE : Recueilli par Fabrice Tassel

    El Mouhoub Mouhoud est professeur d’économie à l’université Paris-Dauphine, auteur d’un rapport sur l’immigration pour Terra Nova.

    Pourquoi l’immigration du travail est-elle si faible en France ?

    Contrairement au piège dans lequel le débat public a été enfermé, le problème de l’efficacité des politiques d’immigration n’est pas entre fermeture ou ouverture. D’abord, la France n’est plus un grand pays d’accueil. Elle présente l’un des taux d’immigration les plus faibles des pays de l’OCDE [Organisation de coopération et de développement économiques, ndlr], soit deux fois et demi moins que la moyenne des pays de la zone [0,67% des flux au sein de l’OCDE].

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  • Terra Nova - Transition énergétique : financer à moindre coût les énergies renouvelables

    Le développement des énergies renouvelables est essentiel dans la transition énergétique, pour réduire notre dépendance aux énergies fossiles. C’est un chantier où les coûts d’investissement et de financement sont particulièrement lourds, à l’inverse des énergies fossiles, où le coût du combustible domine. Cette note propose plusieurs pistes pour financer à moindre coût les énergies renouvelables, et obtenir ainsi une baisse de 30 % du prix de l’électricité verte : l’instauration d’un cadre réglementaire stable, pour protéger ce secteur de l’imprévisibilité des modifications de tarifs ; la création d’un fonds ou d’une banque spécialisée offrant un financement à moindre coût, à l’instar de la KfW allemande ; la création d’un fonds de garantie pour limiter le coût du risque.

    Synthèse

    La transition énergétique doit nous mener d’un monde qui consomme toujours plus d’énergie majoritairement carbonée (charbon, pétrole, gaz) à un monde moins énergivore s’appuyant sur des énergies décarbonées. Elle doit également permettre de rendre notre mix énergétique moins dépendant des évolutions du cours des énergies fossiles.
     
    Or, nos émissions de gaz à effet de serre et notre consommation d’énergie sont souvent contraintes. Pour les réduire, il faudra rénover les logements, produire des véhicules plus sobres et développer les énergies renouvelables. Ce chantier est considérable et il nécessitera des investissements massifs. Mais ceux-ci sont une chance car ils contribueront à la sortie de crise en créant de nombreux emplois et en réduisant notre déficit commercial, constitué à 90 % d’importations d’énergie. Financer la transition énergétique est essentiel et il convient de le faire à moindre coût. Comment y parvenir ?
     
    Prenons l’exemple de la production d’électricité. Les énergies renouvelables sont des énergies capitalistiques pour lesquelles les coûts d’investissement sont très importants. En effet, si pour les énergies fossiles, le coût du combustible représente 80 % du coût du MWh, pour les énergies renouvelables, c’est l’inverse. Ce sont les coûts d’investissement et de financement qui pèsent jusqu’à 80 % du coût total. Réussir la transition énergétique suppose une réelle capacité à mobiliser des montants massifs de capitaux[1] et ce même si les coûts d’investissement ont fortement baissé ces dernières années[2]. Le coût du financement[3], quant à lui, reste élevé et est souvent de l’ordre de 9 à 12 %, voire plus, malgré des tarifs d'achat garantissant, sur une longue période, la stabilité des rentrées financières des projets d’énergies renouvelables. Il est donc nécessaire de faire baisser le coût du financement car si celui-ci passe de 10 % à 5 %, alors le coût de l’électricité verte peut baisser de 30 % ! Cela rendrait l’atteinte des objectifs de la France en matière d’énergies vertes supportable pour les consommateurs. Une diminution du prix du MWh solaire de 200 à 140 euros permettrait, pour une puissance installée de 1,5 GW, de réduire la CSPE de 2,2 milliards d’euros sur 20 ans.
     
    Dès lors, pour financer la transition énergétique et faire baisser le coût du financement, et donc in fine limiter la hausse de la CSPE pour le consommateur, trois mesures nous semblent déterminantes :
     
    - Premièrement, l’instauration d’un cadre réglementaire stable dont les évolutions puissent être prévisibles. Cela faciliterait d’une part le financement des projets d’énergies renouvelables et impacterait d’autre part à la baisse le coût du financement en réduisant la prime de risque.
     
    Cette mesure a été annoncée par le président de la République : « la stabilité des aides et des dispositifs fiscaux et du système du prix de rachat pour que les entreprises, les opérateurs sachent bien quelles sont les conditions économiques, durables, pour investir et se lancer dans le renouvelable. »[4]
     
    - En second lieu, la création d’un fonds ou d’une banque spécialisée qui se financerait à taux très bas et qui permettrait d’offrir un financement à moindre coût soit en capital, soit en dette. Il est utile de savoir que la KfW offre des taux pouvant descendre jusqu'à 1 % pour le financement de la transition énergétique en Allemagne. Le fonds pourrait se refinancer auprès de la BEI, ou d’une banque publique française comme la CDC.
     
    Le président de la République a indiqué à ce sujet « qu’une part des fonds de la Banque publique d'investissement sera dédiée au soutien public à l’innovation et les investissements d'avenir issus du grand emprunt pleinement utilisés »[5]. Il est souhaitable d’ancrer un dispositif spécialisé à partir de cette annonce. Ici, il pourrait être intéressant de conditionner l’obtention de ces financements à moindre coût à des projets aux bilans carbones exemplaires ou ayant recours à du matériel fabriqué au sein de l’Union européenne.
     
    - Enfin, la création d’un fonds de garantie fluidifierait le financement bancaire et réduirait le coût du risque pour les banques commerciales.
     
    Il est possible grâce aux mesures proposées dans cette note d’envisager la création de dizaines de milliers d’emplois dans le secteur des énergies renouvelables (de l’ordre de 3 à 9 emplois par MW installé) pour lequel les investissements mondiaux se montent en 2011 à plus de 250 milliards de dollars (en croissance de 6,5 %, alors que la croissance mondiale était de 4 % environ).
     
    Le raisonnement et les mesures qui ont été précisées dans la note dans le cas du solaire et de l’éolien peuvent être appliquées pour toutes les énergies renouvelables et pour la rénovation thermique des logements, où les enjeux en termes d’emplois et d’impact sur la balance commerciale sont cruciaux.
     
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  • L'Université : vers des terres nouvelles Note Par le Pôle Enseignement supérieur - Recherche de Terra Nova.

    Réunissant enseignants, chercheurs, syndicats étudiants et entreprises, les Assises de l'enseignement supérieur et de la recherche doivent donner lieu en décembre prochain à un rapport détaillant des propositions pour remettre l'ESR "au coeur de la société". Cette note du pôle Enseignement supérieur et recherche de Terra Nova* formule quelques propositions stratégiques en matière de structuration de l'ESR et de réussite étudiante. Elles visent entre autres à faire des universités des structures fortes, légitimes et bien identifiées, à accueillir tous les étudiants en licence, mais dans des parcours différenciés, à mettre en place des masters attrayants et des doctorats reconnus par les entreprises, à lancer une négociation entre les professions et l'Université sur l'insertion professionnelle.

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  • Débat Terra Nova à la Rochelle, Najat Vallaud-Belkacem et Yannik Jadot

    Comme chaque année, Terra Nova était présente à l'Université d'été du Parti Socialiste et des Jeunes Socialistes de la Rochelle.

    Cette année, le débat animé par Jean-Philippe THIELLAY, vice-président de Terra Nova, réunissait Mme Najat VALLAUD-BELKACEM, ministre des droits des femmes, porte-parole du gouvernement, et M. Yannick JADOT, député européen. Ils débattaient sur le thème "Les 100 jours de François Hollande : quelles promesses tenues, quels défis ? "

    Le débat s'est déroulé le samedi 25 août dans la salle de l'hôtel Mercure du vieux port de La Rochelle, en face de l'Espace Encan, de 19h à 20h30.


    Débat Terra Nova à la Rochelle, Najat... par terranova

  • Terra Nova : Conf. Esprit Public "Quel avenir pour le nucléaire ?

    Benjamin Dessus, président de l’association Global Chance,
    Alain Gras, sociologue, professeur à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne et directeur du Centre d’études des techniques des connaissances et des pratiques (CETCOPRA),
    Hervé Kempf, auteur de « l’oligarchie ça suffit, vive la démocratie »


    Conf. Esprit Public "Quel avenir pour le... par terranova

  • Terra Nova - La réforme de la structure des banques : un enjeu démocratique majeur Note Par Laurence Scialom .

    Publié le 2 octobre dernier, le rapport Liikanen a formulé des propositions pour une réforme de la structure des banques dans le sens d'une finance plus responsable, en convergence avec les intérêts de la société. Dans cette note, Laurence Scialom développe les arguments en faveur d'une réforme bancaire ambitieuse, et en présente les différentes options, pour que les banques systémiques n'engagent plus de fait les contribuables à les renflouer en cas de défaut. Seules les réformes touchant à la structure de l’industrie bancaire sont à la hauteur du défi posé par les établissements systémiques, mais elles ne se suffisent pas à elles-mêmes : elles doivent êtres couplées à des avancées institutionnelles et juridiques, et doivent être pensées dans un cadre européen.

    Synthèse

    Avec la publication du rapport Liikanen le 2 octobre 2012, l’Europe s’empare enfin du dossier majeur de la réforme de la structure des banques. Cette note se propose d’expliquer pourquoi cette question est cruciale pour la stabilité financière future et pour délier les mains des Etats en cas de crise bancaire afin que ceux-ci ne soient pas contraints de systématiquement renflouer les banques. En effet, les systèmes bancaires, particulièrement en Europe, sont dominés par des banques trop grosses, trop complexes et trop connectées pour faire faillite. Cet Etat de fait contraint les Etats à offrir une garantie implicite aux banques qui crée un environnement incitatif à des prises de risques excessives. Cette note vise à montrer que la séparation des activités qui peut prendre différentes formes est une partie de la solution. De fait, plusieurs grandes options de réforme sont envisageables : la séparation pure et simple sur le modèle du Glass Steagall Act, le cloisonnement et la sanctuarisation de la banque de détail à la Vickers, l’interdiction de certaines activités risquées dans l’esprit de la règle Volcker du Dodd Frank Act ou le cloisonnement des activités de trading les plus risquées à la Liikanen.

     
    Les arguments en faveur d’une réforme bancaire ambitieuse sont multiples. Les banques systémiques engagent de fait les contribuables à les renflouer en cas de défaut ou de risque de défaut. Cette garantie implicite crée des distorsions de concurrence vis-à-vis des banques non systémiques dans la mesure où les banques systémiques se financent plus facilement et moins cher sur les marchés de gros de la liquidité. Cet avantage en termes d’accès aux financements de marché renforce leur vulnérabilité au risque de liquidité qui est déjà fortement accru du fait de combiner les activités bancaires traditionnelles de collecte de dépôts et octroi de crédit aux activités de trading. Or, la crise a montré que ce risque de liquidité est un risque véritablement systémique. Par ailleurs, plus la taille de bilan est importante plus la structure du bilan des banques est déformée en faveur du trading et au détriment de l’activité de prêt. Or cette dernière est vitale à la société contrairement à une partie des activités de trading, notamment celles pour compte propre. Par ailleurs, contrairement à ce qui est souvent énoncé, la séparation des activités n’impliquerait pas de réduction de l’offre de prêt dans la mesure où les banques commerciales pourraient toujours se financer sur les marchés de dette à court, moyen et long terme. Par contre, en supprimant la subvention implicite que l’Etat offre à la banque de marché du fait de son association à la banque commerciale, la séparation aurait pour conséquence d’accroître les coûts de financement des activités de marché les plus risquées. Il en résulterait une meilleure tarification des risques, une baisse de profitabilité de ces activités et donc une réduction des incitations aux prises de risques excessives. Mais n’est ce pas l’un des objectifs majeurs de la réforme bancaire ? Enfin, l’Union bancaire européenne, premier pas vers un fédéralisme salvateur rompant le cercle vicieux entre fragilité des banques et approfondissement de la crise des dettes souveraines n’est politiquement acceptable que si le contribuable français ou allemand n’a pas à se porter garant de pertes générées par la banque de marché. Malgré tous ces atouts, la réforme bancaire ne portera tous ses fruits que si elle est couplée à des avancées substantielles concernant les procédures de rétablissement et de résolution des banques donnant aux régulateurs de véritables pouvoirs sur le continuum allant de la réglementation à la défaillance des banques. Le rapport Liikanen met d’ailleurs en avant cette complémentarité.