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ps - Page 77

  • PS - Ubérisation : La mission Mettling poursuit la fable de l’indépendance

    Ubérisation : La mission Mettling poursuit la fable de l’indépendance

     

    Samedi 13 mars 2021

     

    Olivier Jacquin, secrétaire national aux mobilités et aux transports

    Vincent Duchaussoy, secrétaire national au travail, aux nouvelles formes de travail et à l'emploi

    L’ordonnance rédigée par la mission Mettling, dont le cadre a été défini dans la LOM fin 2019, permet au gouvernement de s’entêter dans sa fable de l’indépendance des livreurs à vélo et chauffeurs VTC, alors même que la Cour de cassation a qualifié le 4 mars 2020 la relation qu’ils entretiennent avec les plateformes d’« indépendance fictive ». En refusant de contrôler les plateformes comme Uber via l’inspection du travail, il permet à ces dernières de rester dans une zone de non-droit social.

    Le Parti socialiste appelle donc le gouvernement à s’inscrire dans le mouvement européen pour la reconnaissance des droits sociaux de ces travailleurs : en Italie et en Angleterre où la justice requalifie par dizaines les livreurs et chauffeurs en février, en Espagne où le gouvernement de gauche a hier créé une « présomption de salariat » pour les livreurs à vélo et à scooter et de rendre l’algorithme transparent. C’est tout le sens de la proposition de loi déposée par Olivier Jacquin et nombre de sénateurs socialistes le 4 mars 2021.

    Le Parti socialiste estime que le dispositif de représentation proposé est intéressant, s’il s’adresse aux « vrais indépendants »; or ils en sont exclus, tout comme l’ensemble des travailleurs des plateformes numériques qui ne sont ni livreurs à vélo ni chauffeurs VTC.

    La Parti socialiste propose par ailleurs :

    • de réformer et de mieux définir le statut des auto entrepreneurs

    • de créer une autorité indépendante de contrôle des plateformes, et non pas du seul processus électoral voulu par la mission Mettling

    • que soit élaborée une convention collective pour cette branche professionnelle

    • que les véritables indépendants aient plus de facilités à se regrouper au sein de coopératives d’activité et d’emploi
  • France 3 - Dimanche en Politique : les ambitions de Johanna Rolland, maire de Nantes

    Elle vient d'être nommée porte-parole du Parti socialiste en vue de l'élection présidentielle. Une nouvelle étape vers une stature qu'elle veut nationale. Johanna Rolland, maire de Nantes, est l'invitée de Dimanche en politique. Une émission ou elle annonce plusieurs mesures.

    En Septembre dernier, elle avait élue présidente de France urbaine, l'association des maires des grandes villes, aujourd'hui elle est nommée porte-parole du PS. Johanna Rolland pousuit sa route politique et une ambition nationale au service de ce qu'elle appelle "la social-écologie".

    Voir ou revoir l'émission (diffusée dimanche 14 mars à 11h30)

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  • Lyon Mag - Régionales 2021 : Najat Vallaud-Belkacem officialise (enfin) sa candidature en Auvergne-Rhône-Alpes

    Après de nombreuses sorties médiatiques ces dernières semaines, l’ancienne ministre a officialisé sa candidature.

    C’est officiel. Najat Vallaud-Belkacem est candidate pour les prochaines élections régionales en Auvergne-Rhône-Alpes. Elle l’a annoncé dans une interview accordée à la presse quotidienne régionale : "Oui, je suis candidate comme tête de liste pour les élections régionales en Auvergne-Rhône-Alpes".

    Elle mènera une liste intitulée "l’Alternative", qui sera composée de membres du PS, du Parti Radical de Gauche mais aussi de Cap Ecologie, de la Gauche républicaine et sociale ou encore de citoyens non-encartés, indique le Dauphiné Libéré.

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  • PS - Restaurer la confiance dans l’institution judiciaire : une ambition politique plutôt qu’un simple mot

     

    Gulsen Yildirim, secrétaire nationale à la justice

    Nawel Oumer, secrétaire nationale à la protection des libertés publiques

    La confiance des Français en la justice, fondamentale dans une société démocratique, ne cesse de s’éroder. En l’espace de dix ans, elle a reculé de 10 points, chutant de 63 % à 53 %. Il y a donc urgence à réagir et à porter une vraie ambition en ce domaine. Hélas, le gouvernement Castex n’apporte pas de réponses crédibles sur ce sujet essentiel.

    La confiance suppose tout d’abord de défendre l’institution judiciaire contre des attaques infondées de responsables politiques notamment suite à la condamnation d’un ancien président de la République. Que connaissent-ils d’un dossier pour dire que la condamnation est sévère pour un dossier faible ? Face à ces attaques, le président de la République, garant de l’indépendance de l’autorité judiciaire, et le garde des Sceaux ont fait le choix du silence plutôt que de la défense. Comment avoir confiance si, au plus haut niveau de l’État, on laisse lancer le discrédit sur une décision rendue par un tribunal ?

    Au lieu de protéger l’institution judiciaire, le garde des Sceaux a préféré présenter la semaine dernière un projet de loi intitulé « confiance dans l’institution judiciaire », un projet sans grande ambition. Or la confiance ne se décrète pas par de simples mots.

    Elle suppose d’avoir une vision globale de la justice. Si la justice pénale doit être renforcée, la justice civile, certes moins médiatique, est au centre de la vie des Français. Le contentieux civil représente chaque année 2,2 millions contre 800 000 décisions pénales. Or le projet de loi ne comprend aucune disposition qui puisse restaurer la confiance envers cette justice du quotidien. Elle demeure sinistrée et oubliée. Comment avoir confiance en la justice lorsqu’il faut attendre des mois voire des années pour avoir une réponse judiciaire à un simple problème de voisinage ou de responsabilité civile ?

    Il en va de même de la justice commerciale, sociale ou administrative.

    De plus, la question du budget est cruciale pour rétablir la confiance dans l’institution judiciaire. Aucune réforme ne sera en mesure d’améliorer l’accès au droit, la protection des libertés fondamentales et plus largement la qualité de la justice, notamment sa rapidité, tant que la France demeurera à la traîne de l’Union européenne pour les moyens qu’elle lui consacre.

    Sur ce point, l’augmentation du budget de la justice doit se faire parallèlement à une évaluation des politiques publiques et par la limitation de nouvelles réformes qui absorbent une grande partie de ses budgets. Elle doit aussi s’accompagner d’une diminution de la charge de travail en traitant certains dossiers autrement ou bien ailleurs que devant les tribunaux. Les modes alternatifs au règlement judiciaire des conflits doivent être promus avec efficacité.

    Enfin, il n’est que temps de parachever l’indépendance de la justice en gravant dans la Constitution l’avis conforme du Conseil supérieur de la magistrature dans la nomination des procureurs.

    C’est à ces conditions qu’une justice, garante des libertés individuelles et collectives, et plaçant le citoyen au cœur des préoccupations, pourra retrouver la confiance du justiciable.

    – Jeudi 11 mars 2021

  • DEBAT - Marie-Pierre de la Gontrie - Faut-il légaliser l’EUTHANASIE en France ?

    La sénatrice socialiste Marie-Pierre de la Gontrie est à l'initiative d'une proposition de loi pour le droit à mourir dans la dignité, qui sera débattue le 11 mars au Sénat. Ce texte, signé par une cinquantaine de sénateurs socialistes prévoit "d’inscrire, dans le code de la santé publique, le droit à l’aide active à mourir et sa définition." L'Espagne et l'Irlande ont engagé des processus législatifs dans cette optique et le Portugal a autorisé la mort médicalement assisté il y a quelques semaines. Alors faut-il légaliser l’euthanasie en France ? On en débat avec nos invités, Gabrielle Cluzel, rédactrice en chef de Boulevard Voltaire et écrivain, et Gilles Smadja, directeur de Cabinet du Maire de Nanterre.

  • Reporterre - Les Hauts-de-France, pionniers du rassemblement de la gauche et des écologistes

    « Nous pourrions devenir un exemple d’union dans toute la France ! » s’est réjouie Karima Delli, prochaine tête de liste aux élections régionales des Hauts-de-France. Les Verts, la France insoumise, le Parti socialiste et le Parti communiste ont trouvé un accord pour faire liste commune.

    « C’est fait ! » Quelques mots simples pour dévoiler une alliance aussi complexe qu’inattendue. Jeudi 11 mars, les quatre principaux partis de gauche ont annoncé la formation d’une grande union dans les Hauts-de-France en vue des élections régionales des 13 et 20 juin prochains. La France insoumise, historiquement plus réticente à ces fusions, se battra donc aux côtés du Parti socialiste, d’Europe Écologie — Les Verts (EELV) et du Parti communiste.

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  • France 3 - Sciences Po Grenoble : "La défense de la liberté académique n'est pas divisible", selon Boris Vallaud

    Le député PS Boris Vallaud a condamné la polémique qui enfle autour des accusations d'islamophobie visant deux professeurs de Sciences Po Grenoble. Il a également dénoncé les sorties de Frédérique Vidal sur "l'islamo-gauchisme".

    Le député et porte-parole du Parti socialiste Boris Vallaud a dénoncé mercredi 10 mars les accusations d'islamophobie contre deux professeurs de Sciences Po Grenoble au nom de la liberté académique, égratignant au passage la ministre Frédérique Vidal et ses sorties sur l'islamo-gauchisme.

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  • Régionales en Auvergne Rhône Alpes, Hauts de France et Bourgogne Franche Comté

    Les élections régionales doivent se tenir les 13 et 20 juin prochains. Fabien Roussel du PCF, qui visait la tête d'une liste de gauche, a finalement accepté de remiser ses ambitions et de rejoindre l'écologiste.

    L'écologiste Karima Delli mènera la bataille pour la gauche unie face au sortant Xavier Bertrand aux élections régionales des 13 et 20 juin prochains. Selon les informations de franceinfo, Karima Delli avait commencé des discussions directes avec La France insoumise.

    Fabien Roussel, numéro 1 du Parti communiste français, qui visait la tête d'une liste de gauche, a finalement accepté de remiser ses ambitions et de rejoindre Karima Delli.

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    Le Monde - Régionales : EELV, le PCF, LFI et le PS font front commun derrière Karima Delli dans les Hauts-de-France

    Cet accord des gauches reste « unique en France ». L’enjeu est de figurer dans le trio de tête et de proposer une opposition forte au Rassemblement national et aux Républicains.

    Un « grand chelem » pour assurer le retour d’une gauche disparue de la région sous pression de l’extrême droite : Europe Ecologie Les-Verts (EELV), le Parti communiste français (PCF), La France insoumise (LFI) et le Parti socialiste (PS) ont annoncé, jeudi 11 mars, s’unir dans les Hauts-de-France.
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    Lyon Capitale - Régionales à Lyon : face à Wauquiez, l'(étonnante) proposition de Bernard pour tenter d'unir la gauche

    ..... A gauche, l'union dès le 1er tour, pour tenter de renverser Wauquiez, est au centre des débats. La dernière proposition vient du président de la Métropole de Lyon, l'écologiste Bruno Bernard. "Je souhaite que Najat Vallaud-Belkacem, qui serait une vraie plus-value pour une campagne commune, soit tête de liste sur la métropole de Lyon", a-t-il indiqué dans une interview à l'AFP et au Progrès. Mais "seulement" à la Métropole de Lyon, pas à l'échelle régionale, où elle doit se ranger derrière la candidate écologiste.
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    Le Progrès - Subventions de la Région : Wauquiez porte plainte pour diffamation contre Jean-François Debat

    Guerre de tranchées à la Région. A la suite de l’enquête de Mediapart sur les subventions allouées aux communes par la Région Auvergne Rhône-Alpes durant le mandat, Jean-François Debat, président du groupe socialiste et démocrate, s’est fendu ce jeudi d’un communiqué intitulé « favoritisme et copinage : C'est prouvé, L. Wauquiez a mis la Région à son service ». Laurent Wauquiez annonce « porter plainte pour diffamation et dénonciation de faits mensongers ».
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    Le Progrès - Laurent Wauquiez n’a «pas forcément l’intention d’arroser Villeurbanne»? Le maire saisit le préfet

    Cédric Van Styvendael a réagi ce jeudi à l’enquête de Mediapart sur les subventions de la Région Auvergne Rhône-Alpes. Il est notamment question d’un enregistrement où l’on entend le président de Région, en 2016, indiquer qu’il n’avait «pas forcément l’intention d’arroser Villeurbanne».
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    France Info - Régionales en Bourgogne-Franche-Comté: à gauche, l’éternel « je t’aime, moi non plus »

    Alors même que les discussions continuent entre les différents partis de gauche en vue des élections régionales en Bourgogne-Franche-Comté, chaque camp se lance dans la bataille en présentant ses candidats. Après l’écologiste dijonnaise Stéphanie Modde, le Belfortain Bastien Faudot, de la Gauche républicaine et socialiste, alliée notamment à la France Insoumise, annonce sa candidature. Avec celle, attendue dans les prochains jours, de la sortante PS Marie-Guite Dufay, la gauche pourrait se présenter très divisée au premier tour. Avant de se rabibocher au second ? Etat des lieux.