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ps - Page 74

  • Libé - Billet A gauche, l’union ne va plus très Faure

    Le patron du PS, qui plaçait jusqu’ici l’unité avant l’identité de son parti, estime désormais qu’un «plafond de vert» peut empêcher la gauche de gagner.
     
     
    Le premier secrétaire du Parti socialiste a pris les clés de la vieille maison rose sur une promesse. Elle lui a causé quelques pépins. Les éléphants ont tenté de l’écraser. Depuis son élection au printemps 2018, Olivier Faure a résisté en chantant du matin à la nuit la même chanson : la gauche est au bord de la disparition et le mélange des forces reste le seul remède. Le député de Seine-et-Marne tenait un discours clair sur le sujet. C’était le seul. Pas question de mettre une couleur avant l’autre. Olivier Faure mettait l’union avant les noms. Une stratégie nouvelle pour les socialistes. Une manière de dire que l’hégémonie de sa famille était passée. Pas simple, l’exercice. Ça a mis en rogne les patrons d’hier (François Hollande, Stéphane Le Foll, François Rebsamen…).
     
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  • Libé - Illusions Régionales : à gauche, tous voués aux hégémonies

  • Héritiers de l’avenir : Élisabeth Guigou

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Élisabeth Guigou, ancienne ministre, ancienne députée, interrogée par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès.

    Élisabeth Guigou est la première femme nommée à un ministère régalien en France quand elle devient en 1997 Garde des sceaux, ministre de la Justice, dans le gouvernement de Lionel Jospin. Elle revient dans cet entretien pour la Fondation sur son parcours personnel et militant. De son adolescence au Maroc à son adhésion à la Convention des institutions républicaines, puis au Parti socialiste après 1971, elle aborde ses engagements, convaincue du projet politique incarné par François Mitterrand. En 1981, elle intègre le cabinet de Jacques Delors, alors ministre de l’Économie et des Finances, puis devient conseillère à l’Élysée en 1982 sur les questions économiques, puis elle suivra étroitement les questions européennes pour le chef de l’État à différentes fonctions. En 1992, elle mène son premier combat électoral aux élections régionales, puis devient députée européenne en 1994, députée en 1997, et de 2002 à 2017.

  • Loïg Chesnais-Girard : "Vous êtes intransigeants sur le fond "

    Les candidats du second tour des elections régionales en Bretagne s'affrontaient lors d'un débat organisé par Public sénat, TV Rennes et Ouest France mercredi 23 juin 2021. 

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  • Héritiers de l’avenir : Jean-Paul Planchou

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Jean-Paul Planchou, ancien député, ancien vice-président de la région Île-de-France, interrogé par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès.

    Jean-Paul Planchou adhère au Parti socialiste en 1972, après le congrès de l'unité d'Épinay un an auparavant, dans le sillage de Pierre Joxe. Membre actif du courant de Jean-Pierre Chevènement dès 1973, le CERES, il revient sur l'importance et la particularité des courants, constitutifs du Parti socialiste des années 1970. Les années 1970 sont aussi marquées pour lui par les sections d'entreprise, près d'un tiers des militants de Paris alors en faisait partie. Il devient premier fédéral de la Fédération socialiste de Paris. Il retrace dans cet entretien sur son parcours, et analyse le débat européen au sein du PS dans les années 1980 et 1990, débat qui a entraîné sa rupture avec le courant de Jean-Pierre Chevènement. Il s'implante en Seine-et-Marne en 1988, et devient ultérieurement maire de Chelles et conseiller régional. Il revient longuement sur la gauche et la décentralisation dans la dernière partie de cet entretien.

  • Héritiers de l’avenir : Michel Charzat

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Michel Charzat, ancien député, ancien sénateur, ancien maire du 20e arrondissement de Paris, interrogé par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès.

    Michel Charzat revient sur son parcours militant, depuis sa participation à la campagne de François Mitterrand de 1965 à ses différents mandats parisiens. Il adhère à la SFIO en 1968, et milite notamment au CERES avec Georges Sarre à Paris. Il revient sur les dynamiques qui ont conduit au congrès de l'unité des socialistes à Épinay en juin 1971, et sur les mois qui ont suivi Cité Malesherbes, où il devient un jeune permanent, travaillant aux cotés de Georges Sarre en charge de la propagande et de l'animation du parti maintenant dirigé par François Mitterrand. Son témoignage permet de comprendre les ressorts du dynamisme qui accompagne le Parti socialiste durant ces années de reconstruction, de congrès en congrès. Il aborde ensuite sa fidélité à Jean-Pierre Chevènement, qui, avec d'autres membres de son courant Socialisme et République, s'interrompt au début des années 1990. Il est chargé par Pierre Mauroy de conduire les réflexions en vue de refonder la doctrine du Parti socialiste, réflexions qui aboutissent au congrès du Projet à l'Arche en décembre 1991.