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ps - Page 247

  • L'Express - Parti socialiste: Cambadelis tente un #JeReste après le départ de Hamon

    Au lendemain du départ d'Hamon, entre ceux qui jugent sévèrement sa décision et ceux qui s'inquiètent de l'avenir du parti, c'est la soupe à la grimace chez les socialistes.

    "Je crains qu'il ne reste plus grand monde au Parti socialiste", s'inquiète ce dimanche sur Europe 1 Didier Guillaume, président du groupe socialiste au Sénat. "C'est un drame", poursuit-il, décrivant un parti "très malade". Depuis l'annonce du départ de Benoit Hamon, c'est la soupe à la grimace chez les socialistes.

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  • Le Monde - Après le départ de Benoît Hamon, le PS encore un peu plus affaibli

    L’ancien candidat à l’élection présidentielle a quitté samedi le Parti socialiste, moins d’une semaine après Manuel Valls.
     
    Le symbole est dérisoire. Et illustre parfaitement le désarroi dans lequel se trouve aujourd’hui le Parti socialiste. Samedi soir, après l’annonce du départ de Benoît Hamon de la Rue de Solférino, Jean-Christophe Cambadélis a publié sur Twitter un visuel où l’on pouvait lire : « Je suis, je reste au Parti socialiste. » Terrible aveu de solitude pour le premier secrétaire démissionnaire qui a vu partir, en moins d’une semaine, les deux finalistes de la primaire à gauche. Mardi 27 juin, c’était, en effet, l’ancien premier ministre Manuel Valls qui claquait la porte de la « vieille maison ».
     
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  • Le Parti socialiste s’indigne que la France ait cédé dans la bataille contre les perturbateurs endocriniens

    Le Parti socialiste condamne le revirement de la France qui a permis l’adoption par la Commission européenne d’une définition au rabais des perturbateurs endocriniens, ces substances chimiques omniprésentes dans l’environnement – mais aussi dans l’alimentation, les jouets ou les cosmétiques – qui contribuent au développement de nombreuses maladies : infertilité, cancers, diabète, obésité, problèmes neurologiques, trouble du développement du cerveau,…

    Les quelques timides avancées obtenues par Nicolas Hulot, Ministre de la transition écologique et solidaire, ne sauraient justifier cette volte-face, qui rompt avec la position de la France qui n’a eu de cesse, ces dernières années, aux cotés des pays nordiques, et avec le soutien des ONG et des sociétés savantes, de réclamer un texte plus protecteur de la santé publique et de l’environnement.

    Cette nouvelle mouture est en réalité une capitulation en rase campagne face aux lobbys industriels européens qui, d’une part, ont imposé des « exemptions » pour certains de leurs pesticides et qui, d’autre part, ont exigé un niveau de preuves si élevé qu’il faudra attendre des années avant de retirer certains produits du marché – lesquels, entre-temps, auront affecté la santé de nos concitoyens. Il s’agit d’un renoncement grave à la mise en œuvre principe de précaution.

    Ce recul du gouvernement français est d’autant plus inacceptable, qu’il s’agit d’un enjeu sanitaire majeur qui frappe des milliers de personnes, en particulier les plus fragiles, et coûte d’ores-et-déjà plus de 157 milliards d’euros par an aux systèmes de santé européens.

    Le Parti socialiste appelle les eurodéputés à repousser ce texte pour permettre la reprise des discussions au sein de la Commission européenne, afin de construire une réglementation à la hauteur des défis posés en matière de santé-environnementale.

  • Olivier Faure : "La gauche doit se refonder intégralement"


    Olivier Faure : "La gauche doit se refonder... par Europe1fr

  • Congrès : "Nous avons un président selfie", dénonce Olivier Faure


    Congrès : "Nous avons un président selfie... par Europe1fr

  • Congrès de Versailles : le Parti socialiste appelle Emmanuel Macron à se confronter au réel

    03 juillet 2017

    Le Parti socialiste s’était étonné de la convocation du Congrès par le Président de la République, Emmanuel Macron, la veille même du discours de la politique générale du Premier ministre, Edouard Philippe.

    Lors de son intervention, le Chef de l’Etat a appelé notre pays à dépasser un déni de réalité. Un déni de réalité qui paralyserait ses forces vives et empêcherait les réformes. Or, c’est précisément cette confrontation au réel qu’Emmanuel Macron semble vouloir méthodiquement esquiver depuis sa prise de fonction. Comme les médecins de Molière qui refusent de se voir malades…

    En choisissant de légiférer par ordonnances sur le code du travail, en entretenant la confusion des pouvoirs, en minorant les droits de l’opposition, en esquivant la contradiction médiatique, en n’abordant pas les questions de pouvoir d’achat ou d’aide aux plus défavorisés, Emmanuel Macron refuse d’affronter le débat politique pourtant si nécessaire à la vie démocratique.

    Le Parti socialiste appelle le Président de la République à ne pas seulement délivrer la bonne parole devant les parlementaires réunis devant lui, mais à se saisir des problèmes, bien réels, qui affligent nos concitoyens.

  • Le Figaro - Le PS ne cherche pas à retenir l'«enfant gâté» Hamon

    Les socialistes proches de l'actuelle direction ont pris acte du départ de l'ex-candidat à la présidentielle, avec lequel ils n'avaient plus de relations.

    Il n'aura pas de cadeau de départ rue de Solférino. Après l'annonce du départ de Benoît Hamon du PS, samedi, les ponts sont définitivement coupés entre la direction du parti et l'ex-candidat. Avant même son départ, ce dernier avait soigneusement séché tous les rendez-vous du PS depuis sa défaite au premier tour de la présidentielle, ce qui a eu le don d'énerver les cadres de Solférino.

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  • L'actualité des socialistes du 23 au 1er juillet

     
     
    Muriel Pénicaud a dévoilé ce mercredi le projet de loi d’habilitation à réformer par ordonnances le Code du travail. Les entreprises savent sur quoi elles pourront ou non négocier.

    On a suffisamment reproché au gouvernement de rester flou sur ses intentions pour ne pas se satisfaire d'avoir, enfin, des propositions claires sur la réforme du Code du travail. Il s'agit de « propositions que nous entendons soumettre aux partenaires sociaux », a affirmé ce mercredi Muriel Pénicaud, en dévoilant le projet de loi d'habilitation à réformer par ordonnances. « Ce ne sont pas des décisions », a-t-elle insisté.

  • Le Parisien - Départ de Hamon du PS : Dray critique un «enfant gâté de la politique»

    Julien Dray a vigoureusement critiqué dimanche, sur Radio J, la décision de Benoît Hamon de quitter le PS pour lancer son «Mouvement du 1er juillet». Jugeant que «ce garçon est fidèle à lui même», Julien Dray a expliqué que Benoît Hamon «a pu faire sa campagne avec l'argent du PS, le soutien du PS, et donc la moindre des choses, la moindre des politesses c'est au moins de rendre compte à ses militantes et ses militants même si après on estime qu'on doit s'en aller». Julien Dray a noté que l'ancien député des Yvelines était absent au Conseil national du PS le 24 juin.

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