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ps - Page 148

  • Algérie : le Parti socialiste réitère sa solidarité avec les attentes du peuple algérien

    03 avril 2019

    Sous la pression inédite du peuple algérien, le président Abdelaziz Bouteflika a été poussé à la démission le 2 avril 2019 après avoir dû renoncer à son cinquième mandat.

    Le Parti socialiste salue ce résultat, conséquence directe d’une mobilisation massive et pacifique des Algériens et des Algériennes depuis plus de deux mois. Il partage leur attente d’un changement du système de gouvernance visant à l’établissement d’une démocratie authentique assurant la justice, l’égalité et le progrès pour chaque individu.

    Le Parti socialiste exprime sa confiance dans l’intelligence collective d’une mobilisation populaire qui doit éviter les pièges potentiels d’une transition confisquée.

  • "C'était la gauche qui se retrouve" : Olivier Faure, "fier" de Raphaël Glucksmann qui a donné son premier meeting à Toulouse

    "Je suis fier d'avoir aujourd'hui une tête de liste qui ne ressemble à aucune autre", a soutenu Olivier Faure samedi sur franceinfo, après le premier meeting de Raphaël Glucksmann, tête de liste Nouvelle donne PS/Place publique, à Toulouse.

    "J'étais vraiment sous le charme comme toutes celles et ceux qui ont assisté", a réagi sur franceinfo Olivier Faure, Premier secrétaire du PS, après le premier meeting pour les élections européennes de Raphaël Glucksmann, tête de liste Nouvelle donne PS/Place publique, samedi 6 avril à Toulouse. "

    C'était la gauche qui se retrouve qui a envie de faire ensemble", a-t-il ajouté. "Je suis fier d'avoir aujourd'hui une tête de liste qui ne ressemble à aucune autre", a soutenu Olivier Faure qui en a "ras-le-bol de la politique formatée. L'air qui souffle aujourd'hui sur cette liste, c'est vraiment ce qui me fait vibrer".

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  • Réaction du Parti socialiste et de ses groupes parlementaires à la décision du Conseil constitutionnel sur le projet de loi « anti-casseurs »

    04 avril 2019

    Communiqué de presse commun du Parti socialiste, du groupe Socialistes et républicains au Sénat et du groupe Socialistes et apparentés à l’Assemblée nationale.

    Saisi par les groupes Socialistes et républicains au Sénat et Socialistes et apparentés à l’Assemblée nationale, le Conseil constitutionnel vient de censurer une disposition majeure de la loi dite « anti-casseurs » : celle qui donnait aux préfets le pouvoir d’interdire à une personne de manifester.

    À nos yeux, cette disposition constituait une entrave grave aux libertés individuelles que garantit la République depuis la Révolution française.

    Manifestement, le Conseil constitutionnel a eu la même interprétation puisqu’il a affirmé que cette mesure laisse « à l’autorité administrative une latitude excessive dans l’appréciation des motifs susceptibles de justifier l’interdiction ».

    Cette décision constitue un désaveu pour la droite sénatoriale à l’origine de la proposition de loi liberticide. C’est également un vrai revers politique pour le président de la République et le Premier ministre qui, incapables de gérer la crise du mouvement des gilets jaunes, avaient préféré proposer des mesures liberticides plutôt que de s’interroger sur leurs responsabilités et celle du gouvernement.

  • France Inter - Olivier Faure : "J'ai dit à Raphaël Glucksmann qu'il ne devait pas nous ressembler, mais nous rassembler"

    Olivier Faure , Premier secrétaire du Parti socialiste, député de Seine-et-Marne, est l’invité de « Questions Politiques » ce dimanche. Une émission présentée par Ali Baddou avec Laurence Peuron (France Inter), Françoise Fressoz (Le Monde) et Nathalie Saint-Cricq (France Télévisions).
     
    Alors que le PS s'est rallié derrière le mouvement "Place Publique" de Raphaël Glucksmann, le premier secrétaire du parti Olivier Faure estime que l'objectif de cette campagne est de "faire en sorte que le plus grand nombre rejoigne les thèses que nous portons. Nous sommes la seule liste qui est à la fois pro européenne et qui veut changer l'Europe pour qu'elle soit à la fois plus sociale et plus écologique.
     
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  • Le Monde - Européennes 2019 : à Toulouse, Raphaël Glucksmann affiche encore sa différence

    Près de 500 militants socialistes se sont retrouvés samedi à Toulouse pour le meeting de la tête de liste du Parti socialiste et de Place publique, après sa prestation ratée lors du débat de France 2.

    C’est le test du terrain après le crash. Dans une salle du stade Ernest Wallon, le temple du Stade toulousain, à Toulouse (Haute-Garonne), il fallait montrer que les militants socialistes soutenaient le choix de leur direction de s’unir avec Place publique. Donner le signal aussi qu’ils voulaient partir au combat pour les élections européennes, derrière Raphaël Glucksmann, après sa prestation ratée lors du débat télévisé de France 2. Mais ce samedi 6 avril, la démonstration peinait à convaincre : quelque 500 militants et sympathisants avaient fait le déplacement, une assemblée bien modeste dans une des places fortes du PS, qui compte encore 2 500 adhérents. Et la tête de liste a livré un discours encore tâtonnant.

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  • Le Figaro - Européennes: l’inquiétude monte au PS

    «Il y a une grosse marge de progression»

    «Je n’ai pas trouvé que c’était catastrophique pour un premier débat et beaucoup de gens ont été touchés par sa sincérité et sa conclusion», indique pour sa part une proche de l’essayiste, associé au PS. Mais elle le reconnaît: «Il y a une grosse marge de progression». Une réalité dont le candidat lui-même semble avoir conscience. Selon un témoin présent dans les studios à l’issue du débat ni lui ni son entourage ne semblaient satisfaits de l’exercice. «Ils sont partis dans la loge et ils ont mis un temps fou à venir prendre un verre avec les autres candidats», indique-t-on.

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  • PS - Mobilisation des jeunes pour le climat : les adultes ne doivent pas regarder ailleurs

    C’est une triste rengaine. Celle qui conduit les jeunes de nos pays à emboiter le pas de l’écolière suédoise Greta Thunberg, dans son cri d’exaspération face à l’inaction des décideurs dans le domaine climatique.

    Semaine après semaine, aux quatre coins du monde, les regroupements se multiplient, les cortèges se font plus nombreux et la mobilisation grandit.  Au point que ce mouvement des jeunes générations invite certains à l’espoir. Alors qu’elle est d’abord et avant tout une gifle mais aussi la terrible traduction d’une carence, d’un immobilisme et d’un échec du monde des adultes.

    Comment considérer autrement cet exercice insensé, répété par celles et ceux qui sont pourtant marqués au sceau de la jeunesse et de l’insouciance ? Disons-le tout net au risque de choquer le bien-pensant du moment : une grève de l’école, par des enfants, n’a pas lieu d’être.

    Car il ne s’agit pas ici d’une mobilisation traditionnelle, de celle qui invite la jeunesse à investir l’espace public, à s’associer à une révolte ou à découvrir l’apprentissage de la citoyenneté.  Cette grève de l’école, c’est un rappel à l’ordre face à la folie et à l’inaction des hommes : elle est le point ultime, le cri d’alarme d’une jeunesse qui, comme les femmes de Lysistrata, se fait l’avocat de la raison.

    La bataille contre le réchauffement climatique est une bataille trop sérieuse pour être laissée à des enfants. Mais encore faut-il que les comportements des responsables politiques sortent des clichés quelque peu puérils.

    Soyons honnêtes : il y eu du pathétique, mais aussi une forme d’indécence, dans l’enfantillage de Brune Poirson et de Gabriel Attal, pour les conduire à s’afficher fièrement sur les réseaux sociaux dans le cortège de la marche « Youth Climate Strike » du 15 mars dernier.

    Comment, en effet, deux actuels secrétaires d’Etat ont-ils pu chercher ostensiblement à récupérer un mouvement dont la raison d’être est précisément l’inaction de celles et ceux qui nous gouvernent et dont eux-mêmes font partie ?

    Par incompréhension, peut-être. Par opportunisme,sans doute. Par irresponsabilité, sûrement. Comme celle qui a pu amener le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, à annoncer  en catastrophe l’organisation de débats sur le climat dans tous les lycées de France.

    Cette précipitation à vouloir mettre le climat à l’agenda des cours des lycéens constitue non seulement une maladresse mais surtout une erreur : c’est d’abord et avant tout à l’agenda du Parlement qu’il convient de l’inscrire.

    La mobilisation de notre jeunesse, aussi louable soit-elle, traduit en premier lieu la faillite des décideurs qui, plutôt que de s’en réjouir et de l’encourager, devrait avant tout l’analyser comme un signal d’alarme et une injonction à enfin assumer pleinement leurs responsabilités.

    Il n’est que temps.