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Olivier Faure réagit à la mort de Steve: "cette charge de police est incompréhensible"
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Olivier Faure face à Apolline de Malherbe en direct le 31 juillet 2019
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KANNER : "LA FRANCE A BESOIN D'UNE GAUCHE DE GOUVERNEMENT"
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Le meilleur de 2018/2019 - Le Talk de Laurence Rossignol: «Inventer un nouveau modèle politique et social»
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CNews - L'interview d'Olivier Faure
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Le Grand Oral d'Olivier Faure, 1er secrétaire du PS - Les Grandes Gueules de RMC le 23 jullet
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PS - Rapport Delevoye : sans clarté sur les choix essentiels, la réforme Delevoye est un jeu de dupes
Les orientations présentées ce jeudi 18 juillet par le Haut-commissaire à la réforme des retraites affichent des intentions mais renvoient la discussion sur les points cruciaux au lendemain des municipales, à l’instar de ce qui se fit sur l’assurance chômage dont les détails désastreux ne furent dévoilés qu’une fois les Européennes passées.
Comment être confiant, alors même que l’engagement de maintenir l’âge légal de départ à la retraite à 62 ans, n’est retenu qu’au prix d’un tour de passe-passe avec un nouvel âge du taux plein dit « âge pivot » qui pénalisera lourdement celles et ceux qui partiront avant 64 ans ? Et ces 64 ans ne sont évoqués qu’à titre indicatif puisque cet âge pourra reculer en fonction de l’espérance de vie moyenne. Le résultat, chacun peut l’anticiper : ce sera la pénalisation au premier chef des seniors au chômage en les obligeant à choisir entre la décote de leur pension ou l’attente au-delà d’un âge « raisonnable ».
Comment percevoir cette réforme comme juste alors que la pénibilité n’est pas même évoquée pour distinguer les carrières ? La prise en compte de la pénibilité, instaurée sous le dernier quinquennat, a été remise en cause par l’actuelle majorité et aucun système n’est venu la remplacer pour réduire, à la retraite, les inégalités de destins.
Enfin, comment ne pas être inquiet quand le système présenté crée une forte incertitude sur le revenu futur des retraité•e•s en faisant entièrement dépendre le montant des pensions futures d’un point dont la valeur changerait sur simple injonction de Bercy ?
Sans les arbitrages essentiels, sans recul du gouvernement sur le départ à 64 ans à taux plein, sans prise en compte de la pénibilité, sans assurances sur les modes de fixation du montant du point, dans le flou sur les droits acquis et sur les modes de transition d’un système à l’autre, ce n’est pas une discussion qui s’engage mais un jeu de dupes !
Après deux années où les retraités, les précaires, les chômeurs, ont été la cible du gouvernement, nous appelons le gouvernement à tout mettre sur la table afin que s’engage un débat démocratique et transparent.
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Retraites : « Nous sommes dans l’hypocrisie la plus complète », dénonce Monique Lubin (PS)
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1000 emplois supprimés chez General Electric : Arnaud Montebourg face au Sénat
Arnaud Montebourg fait son retour au Sénat. L’ancien ministre de l’Economie et du redressement productif de François Hollande est auditionné ce matin par les sénateurs sur la suppression de 1000 emplois dans les usines du groupe General Electric. Il y a 4 ans Arnaud Montebourg avait qualifié d’erreur majeure la vente de la branche énergie d’Alstom à l’américain General Electric. Le groupe américain s’était engagé à l’époque à créer 1000 emplois, engagement qu’il n’a pas respecté. Désormais Arnaud Montebourg demande à l’Etat d’annuler cet vente de 2014.
Présenté par Alexandre POUSSART : -
Réforme des retraites : Jean-Paul Delevoye abat ses cartes - On va plus loin (18/07/2019)
François KALFON : Conseiller régional d'Ile-de-France, membre du bureau national du Parti socialis,
Jean-Sébastien FERJOU : Directeur de la publication d'Atlantico,
Agnès VERDIER-MOLINIÉ : Directrice de la fondation IFRAP,
Martin LÉVRIER : Sénateur (LREM) des Yvelines, ,
Jean-Philippe DEROSIER : Constitutionnaliste, professeur de droit public ,
Benjamin MOREL : Docteur en sciences politiques à l'ENS,
Benjamin AMAR : Responsable de la politique revendicative de la CGT Val-de-Marne.
Présenté par Rebecca FITOUSSI : -. -
Olivier Faure sur la réforme des retraites : "Il faut réintroduire la notion de pénibilité"