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Valérie Rabault (PS) dénonce les "chausse-trappes" du budget 2020
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BFM - Valérie Rabault (PS) dénonce les "chausse-trappes" du budget 2020
La présidente du groupe socialiste à l'Assemblée et secrétaire de la Commission des finances épingle un budget "sans saveur" et "sans ambitions.
Le budget 2020 présenté par le gouvernement en fin de semaine dernière est loin d'avoir convaincu la secrétaire de la Commission des finances et présidente du groupe socialiste à l'Assemblée nationale.
Invitée de Good Morning Business ce lundi, Valérie Rabault dénonce un budget "sans saveur". "Il y a des baisses d'impôts, sur le revenu, mais qui par définition ne concernent que les Français qui payent l'impôt sur le revenu, c'est à dire la moitié des Français. Ces baisses d'impôts sont certes importantes, elles sont de 5 milliards d'euros mais en même temps l'impôt sur le revenu va augmenter de 10 milliards d'euros l'année prochaine. Et puis il y a pas mal de petites chausse-trappes qui sont ici ou là".
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Loi Bioéthique - Discours de Valérie Rabault
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Les 4 vérités - Olivier Faure le 26 septembre
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BFM - Valérie Rabault (PS) dénonce les "chausse-trappes" du budget 2020
La présidente du groupe socialiste à l'Assemblée et secrétaire de la Commission des finances épingle un budget "sans saveur" et "sans ambitions.
Le budget 2020 présenté par le gouvernement en fin de semaine dernière est loin d'avoir convaincu la secrétaire de la Commission des finances et présidente du groupe socialiste à l'Assemblée nationale.
Invitée de Good Morning Business ce lundi, Valérie Rabault dénonce un budget "sans saveur". "Il y a des baisses d'impôts, sur le revenu, mais qui par définition ne concernent que les Français qui payent l'impôt sur le revenu, c'est à dire la moitié des Français. Ces baisses d'impôts sont certes importantes, elles sont de 5 milliards d'euros mais en même temps l'impôt sur le revenu va augmenter de 10 milliards d'euros l'année prochaine. Et puis il y a pas mal de petites chausse-trappes qui sont ici ou là".
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20.09.19 Olivier Faure sur Cnews
Olivier Faure était sur Cnews le 20 septembre 2019 à 8h15 pour réagir à l'actualité.
Au programme : Marche pour le climat, Gilets Jaunes, taxe carbone, Retraites, réactions au débat sur l'immigration.
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Abus sexuels des enfants, agissons enfin - Question d'Olivier Faure
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Réforme des trésoreries - Question de Jean-louis Bricout
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PS - Verrerie ouvrière d'Albi - Dominique Espinalli, délégué central CGT du Tarn.
Nous avons rencontré Dominique Espinalli, alors que nous étions à Albi pour soutenir le projet de la CGT, proposant une entrée en bourse responsable de la Verrerie ouvrière, pour contrer un rachat par un nouveau fonds de pension.
Depuis cinq ans, la CGT Verallia dont la VOA est une filiale travaille sur un projet nommé «Jéroboan».
L'objectif : proposer une entrée en bourse, avec une part du capital détenue par les salariés, une augmentation de la participation de la Banque publique d'investissement de 10 à 20 % et des fonds d'investissement socialement responsable pour posséder une minorité de blocage face aux nouveaux actionnaires qui vont arriver. Découvrez les explications du délégué central CGT du Tarn.
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PS - « Regards sur l’Education 2019 » : à rebours des clichés.
La publication 2019 de l’OCDE « Regards sur l’Education »permet de traiter objectivement trois sujets qui, parmi d’autres, font régulièrement débat dans le champ éducatif : le financement de l’Ecole, les conditions de travail des enseignants, la scolarisation en maternelle.
Si dans le second degré les salaires des enseignants français sont sensiblement au-dessus de la moyenne de l’OCDE, à l’inverse les professeurs des écoles sont bien moins rémunérés que leurs homologues européens.
Cet état de fait traduit à l’évidence la dévalorisation progressive et persistante du métier d’enseignant en maternelle comme en élémentaire dans notre pays. La crise du recrutement qui sévit très fortement depuis plusieurs années s’explique pour une part non négligeable par cette absence de reconnaissance financière, puissant marqueur social dans notre pays.
Le coût salarial par élève des enseignants français confirme ce sous-investissement dans le premier degré : il est en effet de 1915 $ en France contre 2784 $ dans l’OCDE.Et plus globalement, les chiffres délivrés par le rapport soulignent très clairement ce sous-investissement français tant au collège qu’au lycée, mettant ainsi à mal le cliché régulièrement répandu et entretenu selon lequel l’éducation coûterait plus cher en France qu’ailleurs.
La comparaison des conditions de travail des enseignants au sein de l’OCDE permet là encore de contrecarrer ce propos mille fois entendu : « les enseignants sont des privilégiés ».Bien évidemment il n’en est rien : les enseignants en France ont davantage d’heures de cours que leurs homologues européens. C’est ainsi qu’un professeur des écoles enseigne 900 heures par an au lieu de 783 heures en moyenne dans l’OCDE.
Aux heures de cours s’ajoute également la question centrale des effectifs qui impacte durablement les conditions de travail des personnels. Dans le premier degré des écoles françaises tout d’abord, la moyenne est de 24 élèves par classe, bien supérieure à celle des pays de l’OCDE qui plafonne à 21 élèves. Mais la comparaison en collège donne le même résultat : 25 élèves par classe en France contre 23 élèves dans l’OCDE.
Enfin, cette étude confirme le retard pris par notre pays concernant la scolarisation des enfants de moins de trois ans en maternelle, une quinzaine de pays européens ayant un meilleur taux de scolarisation des « tout-petits ».
Alors même que toutes les études démontrent combien la scolarisation des enfants de moins de trois ans constitue un levier particulièrement efficace dans la lutte contre les inégalités, sa stagnation dans notre pays –voire sa régression dans des départements comme celui de la Seine-Saint-Denis- inquiète au plus haut point.
Et face à un ministre de l’Education nationale pour qui la scolarisation en maternelle avant trois ans ne constitue pas une priorité –elle n’apparaît pas dans la loi « Pour une Ecole de la confiance »-, le modèle français se trouve aujourd’hui largement remis en cause et , de fait, déclassé.
Au final, cette étude vient à point nommé rappeler combien nos enseignants ne peuvent en aucune manière être considérés comme des « privilégiés » mais de surcroît, cette édition 2019 pointe les faiblesses et les retards de notre Ecole républicaine comparée à nos homologues européens.
Si l’éducation a un coût, elle reste d’abord et avant tout un investissement dans notre jeunesse et par conséquent un investissement dans l’avenir de notre pays.
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L'Invité d'Hubert Coudurier : Bernard Poignant
L'ancien maire de Quimper et conseiller de François Hollande Bernard Poignant était cette semaine l'invité d'Hubert Coudurier sur Tébéo. Il y défend notamment le bilan de l'ancien président, malmené ces dernières semaines