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macron - Page 42

  • Régressif, vieillot, conservateur : deux économistes se paient Macron

    Novateur Macron? Certainement pas! Pour Thomas Porcher et Fréderic Farah, auteurs d’Introduction inquiète à la Macron-économie, il n'est que l'avatar d'une idéologie vieillotte, régressive et binaire. 

    Ne vous laissez pas séduire par son jeune âge, sa gueule de jeune premier et son story-telling de "réformateur au franc-parler". Derrière l’image de l’homme politique "innovateur et audacieux" qu’Emmanuel Macron façonne minutieusement, se cacherait en réalité un homme politique aux idées régressives, vieillottes et binaires. Voici la thèse pour le moins à contre-courant des deux économistes plutôt classés à gauche, Thomas Porcher* et Fréderic Farah*. Ils sont les auteurs d’Introduction inquiète à la Macron-économie, un ouvrage critique de la rhétorique d’Emmanuel Macron, qui sera publié le 6 octobre aux éditions des Petits matins.  

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  • Libé - Collomb, soutien de Macron, restera «toujours socialiste de coeur»

    Le sénateur-maire PS de Lyon Gérard Collomb, soutien d’Emmanuel Macron, a assuré mardi qu’il serait «toujours socialiste de coeur», et espéré que le premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis «change d’avis» et n’exclue pas du parti ceux parrainant M. Macron à la présidentielle.

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  • Le vent se lève - Comment les médias ont fabriqué le candidat Macron

    Quelques mois après son entrée au ministère de l’économie, Emmanuel Macron jouissait d’un niveau de popularité plutôt faible. En octobre 2014, seules 11% des personnes interrogées souhaitaient le voir jouer un rôle plus important dans la vie politique. Un an et demi plus tard, il conservait une cote de popularité très basse chez certaines catégories sociales : en mars 2016, seuls 6% seulement des ouvriers et 4% des artisans appréciaient le très libéral ministre de l’économie. Aujourd’hui, les « sondages » le considèrent régulièrement comme la personnalité politique préférée des Français. Que s’est-il passé entre-temps ? Quel rôle a joué la presse dans le basculement de l’opinion ?

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  • Le Monde - Les élus PS qui parraineront Macron seront « bien sûr » exclus, avertit Cambadélis

    Le premier secrétaire du PS a de nouveau mis en garde les élus tentés de soutenir Emmanuel Macron au lieu de Benoît Hamon à la présidentielle, visant notamment le maire de Lyon, Gérard Collomb.

    Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste (PS), a confirmé que les élus socialistes qui parraineraient la candidature d’Emmanuel Macron à la présidentielle seraient, « bien sûr », exclus du parti.
     
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  • Lyon Capitale - Qui pour remplacer Kimelfeld à la tête du PS lyonnais ?

    David Kimelfeld, maire PS du 4e, se retrouve dans une position difficilement tenable. Il est le premier des socialistes dans le Rhône mais aussi un soutien d’Emmanuel Macron. Ses jours à la tête de la fédération du Rhône semblent comptés. Même si les hamonistes ne demandent pas sa tête.

    Les curiosités de la gauche lyonnaise débouchent sur des paradoxes frappants. Ce dimanche 5 février au matin, David Kimelfeld ne sera pas présent à la convention d’investiture de Benoît Hamon comme candidat du PS. Et pour cause : le premier secrétaire fédéral du Rhône a fait le choix, depuis des semaines, d’Emmanuel Macron.

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  • Lyon Capitale - La semaine où le PS n’a pas implosé

    Avec la victoire de Benoît Hamon, le PS aurait pu exploser en deux au profit d’Emmanuel Macron, qui se tenait prêt à accueillir les socialistes déçus. Au final, l’exode a été marginal. Du moins pour le moment.

    Pour Emmanuel Macron, Benoît Hamon était le vainqueur idéal de la primaire de la gauche. Plus à gauche que l’ancien ministre de l’Économie, il lui laissait entrevoir la possibilité de capter quasiment automatiquement la moitié du PS. Le scénario espéré par les “marcheurs” a bien eu lieu mais les conséquences attendues ne sont pas au rendez-vous.

    “Tout le monde disait qu’il était le candidat le plus favorable pour Emmanuel Macron, mais attention à ne pas sous-estimer Benoît Hamon. Dans un premier temps, il va torpiller Jean-Luc Mélenchon et ensuite il s’attaquera à nous, redoute un membre d’En Marche. Les deux vont être en concurrence directe sur des pans électoraux majeurs : les jeunes et les abstentionnistes.”

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  • La folle journée d'Emmanuel Macron - Le billet de Daniel Morin


    La folle journée d'Emmanuel Macron - Le billet... par franceinter

  • Emmanuel Macron : le débrief' de Clém et Jean-Mat' de l'agence Winwin - Le Billet de Charline


    Emmanuel Macron : le débrief' de Clém et Jean... par franceinter

  • Pour Jean-Marie Le Guen, Benoît Hamon doit faire "des gestes substantiels"


    Pour Jean-Marie Le Guen, Benoît Hamon doit... par franceinfo

  • Une partie de l’aile droite du PS prend ses distances avec Benoît Hamon

    Droit de retrait ou ralliement à Emmanuel Macron, le vainqueur de la primaire fait face à des députés qui lui tournent le dos.

    Benoît Hamon le savait : au lendemain de sa victoire à la primaire à gauche, l’un de ses premiers défis serait de faire face à la division de son propre camp. Dans l’entre-deux-tours bruissaient des rumeurs de défection massive de députés qui pourraient se tourner vers Emmanuel Macron. De départs massifs, il n’y a pas encore eu, mais, mardi 31 janvier, des élus socialistes de l’aile droite du PS ont annoncé leur intention de tourner le dos à la campagne.
     
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  • Reuters - Le Parti socialiste rejeté à gauche par Macron par Jean-Baptiste Vey et Elizabeth Pineau

    PARIS (Reuters) - En refusant de participer à la primaire organisée par le Parti socialiste, Emmanuel Macron a contribué à briser la synthèse voulue par François Hollande entre les ailes gauche et social-démocrate du parti, désormais poussé à se refonder à gauche sous la houlette de Benoît Hamon, au risque d'une marginalisation.

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