Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

guillaume duval - Page 2

  • AlterEco - Faut-il supprimer l’ISF ? Guillaume Duval

    A droite, tous les candidats à la primaire entendaient réduire la fiscalité dans quasiment tous les domaines. Mais un impôt concentre particulièrement leurs critiques : l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Pour l’opposition, il ne s’agit pas de le réduire, mais de le supprimer purement et simplement. Un mauvais procès.

    1/ Une vieille pomme de discorde

    Cet impôt, qui pèse sur le patrimoine des ménages les plus fortunés, est une vieille pomme de discorde. Il a été créé en 1982, suite à l’élection de François Mitterrand, le premier président de gauche de la Ve République. Mesure phare de son programme électoral, il se dénomme alors « impôt sur les grandes fortunes » (IGF). Quand la droite revient aux affaires en 1986, elle supprime immédiatement ce symbole de gauche. Mais dès 1988, elle perd de nouveau le pouvoir, et la gauche rétablit cet impôt sous le nom d’« impôt de solidarité sur la fortune ».

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Inégalités : pourquoi le modèle social français marche mal

    26 avril 2016 - Ecartelé entre le modèle libéral anglosaxon et le modèle social-démocrate scandinave, le modèle social français fonctionne mal. Une situation qui mécontente tout le monde, mais n’est pas prête de changer. Le point de vue de Guillaume Duval, rédacteur en chef d’Alternatives économiques.

    Selon les chiffres de l’OCDE, la France se caractérise par un niveau d’inégalités de revenus relativement limité et stable dans un contexte où celles-ci s’accroissent rapidement ailleurs. Pourtant, loin de considérer cet état de fait comme un atout, la plupart des Français sont mécontents du système de redistribution qui permet d’atteindre ce résultat. Pourquoi en est-il ainsi ?

    Il existe deux types de modèles sociaux qui, bien que très différents, possèdent une cohérence interne suffisante pour permettre aux sociétés qui les ont adoptés de trouver leur place dans une mondialisation et une Europe mal régulées : d’une part les modèles anglo-saxons et d’autre part les modèles scandinaves.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • L'Humanité - Guillaume Duval : « L’inaction des gauches au pouvoir pèse sur les difficultés de Syriza »

    Le nouveau gouvernement grec dirigé par Alexis Tsipras s’est trouvé immédiatement confronté aux autres membres de la zone euro, tout sauf disposés à le laisser amorcer la réalisation de son programme et mettre en cause leurs politiques frappées au sceau du néolibéralisme austéritaire.

    Pour le rédacteur en chef d ’« Alternatives économiques » – le mensuel d’inspiration keynésienne s’intéressant à l’économie comme enjeu collectif et social –, qui vient de publier « Marre de cette Europe-là ? Moi aussi ... », l’arrivée au pouvoir de Syriza n’aura pas été le signal espéré de la réorientation des politiques économiques dans la zone euro. Du fait d’un rapport de forces défavorable, mais aussi, montre ici l’auteur, à cause d’une intransigeance due largement à l’absence de volonté réelle de la gauche de gouvernement d’en finir avec les politiques d’austérité – et en particulier à l’inaction de François Hollande.

    Lire la suite
    ______________________
    ______________________

  • Marianne -Guillaume Duval "Merkel finira par dire oui à la restructuration de la dette grecque"

    Guillaume Duval est proeuropéen, mais pas béat. Rédacteur en chef d'"Alternatives économiques", il vient de publier "Marre de cette Europe-là ? Moi aussi…". Dans un entretien à lire dans "Marianne" cette semaine, il explique que l'avenir de l'Europe passe par la remise à plat de son fonctionnement, seule solution pour redonner espoir aux peuples. Extrait.

    Lire la suite
    _______________________
    _______________________

  • Alternatives Economiques, Guillaume Duval : Rigueur en France, relance en Europe : le grand écart ne peut pas fonctionner

    François Hollande entend accentuer la rigueur en France, tout en plaidant pour une relance européenne. Une stratégie vouée à un double échec : politique et économique. 

     

    « Le diagnostic est implacable : il y a un problème de demande dans toute l'Europe. La zone euro connait un excédent commercial, un investissement insuffisant et un taux de croissance qui ne permet pas de faire baisser le chômage. C'est essentiellement dû aux politiques d'austérité menées depuis plusieurs années. » Il ne s’agit pas là d’une citation d’un « frondeur » du PS mais d’un extrait de l’interview donnée par François Hollande au journal Le Monde le 20 aout dernier.

    Lire la suite
    _______________________________
    _______________________________

  • Alternatives économiques, Guillaume Duval - Politique économique : le changement, ça doit être maintenant

    L'Europe, menacée par la déflation, retombe dans la stagnation. Il faut d'urgence arrêter la course au moins disant social et l'austérité budgétaire excessive qui plombent la demande intérieure en France et en Europe. Et c'est possible. Explication en six points. 

     

    Au second trimestre 2014, l’Italie est entrée de nouveau en récession et l’activité a stagné en France mais elle a aussi reculé en Allemagne : les trois principales économies de la zone euro sont à l’arrêt. Et toute la zone est menacée désormais par la déflation et une stagnation prolongée à l’instar du Japon des années 1990. Six ans après la faillite de Lehman Brothers, Il est plus que temps de prendre (enfin) acte de l’échec complet des politiques anticrises engagées en Europe : les politiques budgétaires trop restrictives des Etats et leur volonté de faire baisser partout le coût du travail sont la cause principale des difficultés actuelles. Depuis 2012, François Hollande a annoncé à maintes reprises sa volonté de réorienter les politiques européennes vers la croissance, sans passer à l’acte pour l’instant. S’il ne se décide pas à engager enfin cette bataille, c’est la démocratie et l’intégration européenne qui risquent d’être mises à bas.

    Lire la suite
    ______________________________
    ______________________________