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cambadélis - Page 10

  • J-C.Cambadélis : « La position du Parti socialiste ce sont les candidatures autonomes; nous ne sommes pas dans la majorité présidentielle. »

    La campagne des élections législatives débute officiellement aujourd’hui, et à cette occasion, Jean-Christophe Cambadélis était l’invité de la matinale de France Inter.

    Parmi les candidats socialistes, le Premier secrétaire a critiqué la quinzaine de candidats s’affichant avec la formule « majorité présidentielle », en contradiction avec la position du Parti socialiste.

    Le Premier secrétaire a rappelé l’importance du clivage gauche/droite sur la question sociale ou encore sur le principe même de solidarité à l’origine des services publics faisant référence à la future réforme du code du travail ou la volonté affichée par le candidat Macron de supprimer des postes de fonctionnaires.

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  • Jean-Christophe Cambadélis : "Une petite quinzaine de candidats qui s'affichent avec la formule "majorité présidentielle" qui n'est pas la position du PS."


    Jean-Christophe Cambadélis : "Une petite... par franceinter

  • Jean-Christophe Cambadélis : "Notre pays est un pays de discussion, d'échange, on ne peut pas passer en force"


    Jean-Christophe Cambadélis : "Notre pays est un... par franceinter

  • Jean-Christophe Cambadélis : "Nous sommes, 10 jours après l'élection présidentielle, avec le début de l'inquiétude."


    Jean-Christophe Cambadélis : "Nous sommes, 10... par franceinter

  • Jean-Christophe Cambadélis : "C'était une élection présidentielle, là nous sommes dans 577 élections, et nous ferons plus."


    Jean-Christophe Cambadélis : "C'était une... par franceinter

  • Jean-Christophe Cambadélis : "On avance vers une forme politique qui est un peu dangereuse pour notre pays"

    Jean-Christophe Cambadélis est l’invité de Patrick Cohen. Alors que la campagne des législatives démarre aujourd'hui, le parti socialiste s'attend à perdre plus de la moitié de ses 284 députés. Son premier secrétaire est lui-même candidat dans la 16ème circonscription de Paris.


    Jean-Christophe Cambadélis : "On avance vers... par franceinter

  • L'actualité des socialistes du 12 au 18 mai (revue de presse hebdomadaire)

    A LA UNE

    Huffington Post, Chloé Morin Directrice de l'Observatoire de l’opinion de la Fondation Jean-Jaurès- Le Parti socialiste a-t-il encore une place dans le paysage politique français?

    La question de l'avenir du Parti socialiste s'est en réalité posée dès le soir du premier tour de la présidentielle.

    Le premier tour de la campagne présidentielle a donné le coup d'envoi d'une recomposition politique souhaitée par le Président de la République Emmanuel Macron, d'une ampleur sans doute inédite dans l'histoire politique récente. Pour la première fois, les candidats des deux partis de gouvernement totalisent moins de 30% des voix au premier tour (pour mémoire, Lionel Jospin et Jacques Chirac avaient fait 36,06% à eux deux en 2002). Derrière les polémiques qui agitent les députés des deux "ex-partis de gouvernement" depuis le soir du second tour sur la ligne à suivre, c'est la question de l'espace politique que le PS et LR sauront conserver ou non, et donc de leur utilité politique et de leur avenir, qui est désormais posée. A ce titre, les élections législatives de juin vont revêtir une importance cruciale.

    Slate, Gaël Brustier - Emmanuel Macron et Edouard Philippe construisent l’opposition de gauche

    Emmanuel Macron élu et son Premier ministre Edouard Philippe nommé, le système partisan de la Ve République apparaît en voie d’effondrement, nous assistons à une mutation plus ou moins rapide des différentes familles politiques. La gauche ne fait pas exception.

    Léon Trotski disait que «la révolution avance sous les coups de fouet de la contre-révolution». Emmanuel Macron, élu président de la République après avoir été ministre de François Hollande, a nommé Edouard Philippe, proche d’Alain Juppé, membre de l’UMP et de LR, successeur du très chiraquien Antoine Rufenacht à la mairie du Havre. Chacun incarne, à sa manière, les élites du pouvoir de la Ve République, issues de sa technostructure et partageant les grandes orientations du régime. En première ligne dans son sauvetage, ils sont aussi ceux qui, sous les coups de fouet de la politique qu’ils entendent mener, peuvent sauver la gauche de la déroute et faire avancer la gauche d’après. Insoumis, écologistes, communistes et socialistes, tous peuvent profiter du front ouvert par Emmanuel Macron à droite de l’échiquier politique. 

    GOUVERNEMENT

    Les décodeurs du Monde - Age, parité, renouvellement : à quoi ressemble le premier gouvernement de l’ère Macron ?

    Vingt-deux personnes, dont 11 hommes et 11 femmes : le premier ministre, Edouard Philippe, a fait connaître, mercredi, son équipe gouvernementale.

    Le président et son premier ministre, Edouard Philippe (Les Républicains), ont dévoilé, mercredi 17 mai, la composition de la première équipe gouvernementale du quinquennat. Lorsqu’il était candidat, Emmanuel Macron avait promis un gouvernement paritaire et ouvert sur la société civile. Pari en partie tenu
     
     
    Le seul mot qui importe dans l’intitulé du ministère de Nicolas Hulot, c’est «solidaire», et ce fut sans doute une condition, sémantique pour commencer, de son risque. Ministre de la Transition écologique et solidaire: pas seulement l’action écologique, donc, mais l’idée qu’elle ne saurait être déconnectée d’une transformation sociale, sous peine d’être rejetée et inapplicable. C’est le seul sujet de Hulot, et sa seule inadéquation possible, dans une équipe droitière et libérale: non pas l’inadaptation à un univers politique qui ne serait pas le sien  –considérations du vieux monde– mais une affaire de conviction: Hulot est le ministre le plus à gauche du gouvernement, sans doute son seul ministre de gauche, au sens le plus simple du terme; pensant que la crise environnementale ne se sépare pas de la crise du libéralisme, et que c’est la logique de l’accumulation capitaliste qui doit être dynamitée, si l’on veut donner à l’humanité une chance de survie; considérant que l’urgence première, en France, est celle de l’égalité, sans laquelle rien ne tiendrait.
     
     
    Nommée secrétaire d'Etat à l'égalité femmes-hommes jeudi, Marlène Schiappa s’en prenait en 2014 à la loi interdisant les signes religieux ostensibles à l’école. Emmanuel Macron estime pourtant dans son programme que cette interdiction "fait l’objet d’un large consensus" et "doit donc être maintenue".
     
    MACRON
     
     
    Crédité de 45 % de confiance auprès des Français selon le baromètre Elabe pour « Les Echos » et Radio Classique, Emmanuel Macron prend ses fonctions à l’Elysée, avec une cote inférieure à tous ses prédécesseurs. Même chose pour son Premier ministre.
     

    Pour le politologue Jérôme Sainte-Marie, Emmanuel Macron rassemble libéralisme économique et libéralisme culturel, satisfaisant un bloc élitaire qui se sent menacé. Entretien.

    Vous affirmiez quelques jours avant le second tour que la bourgeoisie avait trouvé son candidat en Emmanuel Macron. Dans le même temps, celui-ci a été considéré comme le rempart de la République face à l’extrême droite. Qui a gagné dimanche dernier ? La bourgeoisie ou la République ?

    Jérôme Sainte-Marie C’est en effet ce que j’ai dit même si je suis un peu sorti de mon rôle ! (Rires.) Commençons par le contenu idéologique de l’offre d’Emmanuel Macron, qui est très clair : il s’agit de la réunification de tous les libéralismes, le libéralisme économique et le libéralisme culturel.

    The Conversation, Speranta Dumitru - Qu’est-ce que le libéralisme égalitaire ? Comprendre la philosophie de Macron

    Loin d’être un amas d’idées de droite et de gauche, le programme de Macron relève d’un courant d

    e pensée cohérent connu sous le nom de « libéralisme égalitaire ».

    On oublie souvent qu’Emmanuel Macron a été philosophe avant d’être fonctionnaire d’État, banquier et ministre. Son travail d’édition philosophique lui a valu, il y a 17 ans, les remerciements de Paul Ricœur dans la préface de La mémoire, l’histoire et l’oubli, un livre particulièrement dense.

    L'Humanité - “Macron n’a fait qu’assumer ce qui était en germe au PS”

    Nicolas Framont, sociologue qui s’est intéressé au parcours du candidat Macron, analyse la passation de pouvoir qui a eu lieu ce dimanche comme une continuité entre les deux hommes. Le second, toutefois, plus “décomplexé”. Entretien. 

    LEGISLATIVES

    A trois semaines du premier tour des législatives, la dynamique se confirme en faveur du mouvement du président, dans LégiTrack, le sondage hebdomadaire OpinionWay-ORPI réalisé pour « Les Echos » et Radio classique..... Le sondage OpinionWay-ORPI réalisé pour « Les Echos » et Radio classique (voir ci-dessous) crédite la République en marche (LREM) de 27 % des intentions de vote au niveau national, contre 20 % pour la droite comme pour le FN, loin devant La France insoumise (14 %) et le PS (11 %).

    Enquête Harris Interactive – Indeed pour LCP : Intentions de vote pour les élections législatives de 2017 (

    Enquête réalisée en ligne du 9 au 11 mai 2017. Échantillon de 1 012 personnes, représentatif des Français âgés de 18 ans et plus comprenant un échantillon de 941 inscrits sur les listes électorales. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle et région de l’interviewé(e) et vote au 1er tour de l’élection présidentielle de 2017 pour les intentions de vote.

    Lyon Mag - Législatives : Nathalie Perrin-Gilbert soutenue par Queyranne dans la 2ème circonscription du Rhône

    Lors d’une soirée de militants et d’élus PS, Jean-Jack Queryanne est venu apporter son soutien à Nathalie Perrin-Gilbert.

    A un mois des élections législatives, plusieurs personnalités du PS ont souhaité apporter leur soutien à Nathalie Perrin-Gilbert, afin de garder la 2ème circonscription de Lyon à gauche.  Parmi elles, Jean-Jack Queyranne, ancien ministre et président de la région Rhône-Alpes, a salué « son tempérament, son courage, ses convictions de gauche. À l’assemblée nationale, elle fera entendre une parole forte et libre. » Il annonce son élection comme « un gage de pluralisme citoyen dont notre ville a bien besoin. »

    BFMTV - Législatives: entre recyclés et recalés, quelle part du PS chez En Marche?

    Si plusieurs membres du Parti Socialiste ont émis le souhait de rejoindre les rangs d'Emmanuel Macron, peu ont finalement franchi le pas. Selon des sources à En Marche et au PS, entre 70 et 100 députés PS sortants ont sollicité l'étiquette du parti d'Emmanuel Macron, mais seule une pincée à été acceptée.

    En Marche, usine à "recycler" du PS comme l'en accusent ses adversaires? Le parti d'Emmanuel Macron a certes investi plus d'une vingtaine de députés sortants de gauche, mais il fait valoir que beaucoup de postulants socialistes ont été recalés.

    Huffington Post - Législatives 2017: Mélenchon étrille les "crevards" du PS et la "tambouille de recyclage" du "président Macron"

    Lors de la convention législative de son mouvement, le chef de file de la France insoumise s'est posé en adversaire numéro un du président.

    "Méluche" repart à l'attaque. Ayant laissé passer le temps du deuil d'une victoire présidentielle qu'il croyait à portée de main, Jean-Luc Mélenchon a livré un brûlant discours de remobilisation ce samedi 13 mai devant ses candidats aux législatives réunis en convention à Villejuif, en région parisienne. Défendant le "gouvernement des braves gens" qu'il espère imposer au "président Macron" s'il parvient à remporter les prochaines élections, le chef de file de la France insoumise a tiré à boulets rouges contre les couacs des investitures En Marche! et le double-jeu de certains socialistes tentés par un ralliement à la majorité présidentielle.

     

  • Point de presse de Jean-Christophe Cambadélis à la suite de l'annonce du Gouvernement


    Point de presse de Jean-Christophe Cambadélis à... par PartiSocialiste

  • La tribune - Le PS "dézingue" le gouvernement, la droite fait le dos rond...

    Le premier gouvernement du quinquennat Macron embarrasse dans les rangs "Les Républicains" qui essaient de minimiser le ralliement de trois d'entre eux. Au PS, on a choisi de "dézinguer" un gouvernement qualifié "de droite"....  D'ailleurs, au PS, c'est aussi la soupe à la grimace au lendemain de la révélation de la composition du gouvernement. Certes, le Premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis admet qu'il y a des personnalités de grand talent issues de la société civile mais c'est pour aussitôt « dézinguer » la nouvelle équipe, afin de tenter de remonter le moral des troupes socialistes

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  • L'actualite des socialistes du 5 au 11 mai (revue de presse hebdomadaire)

    A LA UNE

    Paul Alliès - Macron et la question démocratique: surprises?

    Emmanuel Macron a consacré une bonne part de ses ultimes propos sur Mediapart vendredi soir, à la question démocratique. Cela vaut qu’on y revienne tant il était resté quasi muet sur le sujet durant sa campagne.
     
    Face à l’insistance et à la précision des questions, le nouveau président de la République a déroulé une série de propositions qui ne manquent pas d’intérêt: garantir la moralité des candidats aux législatives (exigence d’un casier judiciaire vierge); instaurer « avant la fin de l’année » la proportionnelle pour l’Assemblée Nationale (en tout ou partie ?); réduire le nombre de parlementaires pour qu’ils exercent un mandat unique (et contrôlent mieux le gouvernement); « muscler » les commissions permanentes pour améliorer le travail législatif; transformer le Conseil Economique, Social et Environnemental en chambre de représentation de la vie associative et civile. Cette ouverture parlementaire des institutions de la V° République trouverait son débouché dans une réforme des institutions européennes qui devrait commencer par la parlementarisation de la zone Euro.
     

    Dimanche 7 mai 2017, 20h. Le visage d’Emmanuel Macron s’affiche sur les écrans de millions de foyers français. 66,1% des électeurs viennent d’en faire le huitième président de la Cinquième République. Dénouement d’une élection aux allures de feuilleton. A 39 ans, Emmanuel Macron vient de relever un défi : devenir le plus jeune président de la République française. Celui que Laurent Fabius, nommé en 1984 Premier ministre à l’âge de 37 ans, renvoyait dans les cordes de ses ambitions affichées il y a encore quelques mois, peut désormais s’enorgueillir de ce premier fait d’arme.

    Le coup d’envoi du quinquennat 2017-2022, dont nous connaissons désormais le meneur de jeu, vient d’être donné. Reste à savoir si la feuille de match sera à la hauteur des promesses de renouvellement faites par le leader d’En Marche.

    LEGISLATIVES

    PS : La plate-forme pour les législatives

    Le Monde - Personnalités publiques, députés… Qui sont les candidats investis par La République en marche ?

    Dans la liste des 428 candidats pour les législatives figurent Gaspard Gantzer, chargé de la communication de Hollande, les députés Pompili et Castaner ou encore le mathématicien Cédric Villani.

    En présentant une liste de 428 candidats aux élections législatives de juin, jeudi 11 mai, Richard Ferrand, secrétaire général de La République en marche (LRM), a mis en avant le fait que 52 % des personnes investies étaient issues de la société civile et que 95 % d’entre elles n’étaient pas des députés sortants. Parmi elles figurent toutefois des personnalités, issues, ou non, du monde de la politique.
     
     
    L'actuel député socialiste de la 4e circonscription des Bouches-du-Rhône affrontera le 11 juin prochain Jean-Luc Mélenchon au premier tour des législatives. Interview.
     

    .... On remarquera donc qu'à gauche, parmi les membres du gouvernement, ni Stéphane Le Foll, ni Jean-Marie Le Guen, ni Marisol Touraine, ni Myriam El Khomri, ni Axelle Lemaire ne connaissent pour l'heure l'identité de leur adversaire La République en marche. 

    L'Obs - Revenu universel, nucléaire... Ces propositions de Hamon que le PS a enterrées

    Le programme du candidat socialiste a fait long feu. La plateforme en vue des législatives, adoptée ce mardi en Bureau national par le PS, abandonne ses mesures-phares et met un net coup de barre vers le macronisme.

    L'Obs - Législatives : au PS, une synthèse timide pour "sauver 50 députés"

    Enterrés par Manuel Valls mardi matin, les socialistes ont accouché dans l'après-midi d'une plateforme commune pour les législatives. Une dernière synthèse pour la route ?

    Walking dead saison 8 ? Le mardi 9 mai des socialistes en ferait un bon trailer, avec Manuel Valls en scénariste honni, prononçant dès l'aurore "la mort" du Parti à la rose, et des ténors socialistes passés en mode survie politique... Il fallait voir leur mines renfrognées défiler ce mardi après-midi à la Mutualité, cette salle parisienne où le premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis avait convié pour une réunion à huis-clos tous les candidats que Solférino présentera aux prochaines législatives.

    Kantar - Les Français et les élections législatives 2017

    Alors qu’Emmanuel Macron vient d’être élu à la Présidence de la République, la question de la majorité parlementaire dont il pourrait disposer à l’issue des élections législatives de juin se pose avec acuité.

    Notre enquête Kantar Sofres-onepoint réalisée les 4 et 5 mai 2017 – soit avant le 2ndtour de la présidentielle – montre que, pour les Français, ces élections législatives ne donneront pas nécessairement à Emmanuel Macron une majorité claire pour gouverner. Dans le contexte d’entre-deux-tours et sans que soit connu le nom du Premier ministre, ni l’ampleur de la victoire d’Emmanuel Macron, une partie conséquente de l’électorat semble en effet tenté de faire de ces élection législatives les 3e et 4e tours de l’élection présidentielle et ainsi d’infléchir la politique conduite par le nouveau Président.

     
    Le prétendant à l'Elysée est revenu ce vendredi sur ce qui était jusque-là une exigence, notamment pour les candidats socialistes.

    Emmanuel Macron fait marche arrière. S'il accède à l'Elysée, les candidats investis sous l'étiquette "majorité présidentielle" n'auront pas forcément à quitter leur parti d'origine. Le candidat d'En Marche! revient ainsi sur ce qui était jusque-là une exigence, notamment pour les socialistes.

    DES DEMAIN

    France Info - Anne Hidalgo, Christiane Taubira et Martine Aubry lancent un mouvement politique, "Dès demain"

    "Ce n'est pas un parti", assure l'entourage de la maire de Paris au sujet de cette initiative aux contours encore flous, lancée via une tribune dans "Le Monde".

    Ils s'adressent à "tous les humanistes qui croient encore en l'action". Des figures politiques comme les maires PS de Paris et Lille, Anne Hidalgo et Martine Aubry, et l'ex-ministre de la justice Christiane Taubira, ainsi que des intellectuels et des artistes, parmi lesquels Yann Arthus-Bertrand ou Jacques Higelin, cosignent une tribune publiée dans Le Monde, mercredi 10 mai. Ils y annoncent le lancement d'un mouvement politique baptisé Dès demain.

    HAMON

    Libé - Futur désirable : Pourquoi Benoît Hamon veut-il lancer un «nouveau mouvement» ?
     
    L'ex-candidat socialiste à la présidentielle a annoncé ce mercredi matin qu'il souhaitait «reconstruire une gauche inventive» avec la création d'une nouvelle formation le 1er juillet, soit après les législatives. Un pas de côté avec le PS donc, mais en prenant son temps.
     
    Le Lab - Législatives : Hamon regrette que des dirigeants PS qui n’ont "sans doute pas voté" pour lui enterrent son programme
     
    C’est un autre coup dur à encaisser pour Benoît Hamon, après sa déculottée (6,2%) à la présidentielle : le PS a enterré plusieurs propositions phares de son programme en vue des législatives. Exit donc le revenu universel, la taxation des robots, la sortie du diesel et du nucléaire. "Et le 49.3 citoyen", ajoute le député des Yvelines à l’énumération de ces abandons, mercredi 10 mai sur France Inter. Amer mais lucide, le cinquième homme de cette présidentielle n’est pas si surpris que ça de l’attitude des dirigeants de son parti qui, pour certains d’entre eux, "n’ont ni fait [sa] campagne, ni sans doute voté pour [lui]".
     
    VALLS
     
    Libé - Récap' vidéo : La semaine où... Manuel Valls a coupé les ponts avec le Parti socialiste
     
    En affirmant vouloir rejoindre La République en marche pour les prochaines législatives, l'ancien Premier ministre s'est définitivement mis à dos le PS. Sans pour autant parvenir à se faire adouber par le mouvement d'Emmanuel Macron.
  • L'actualite des socialistes du 5 au 11 mai (revue de presse hebdomadaire)

    A LA UNE

    Paul Alliès - Macron et la question démocratique: surprises?

    Emmanuel Macron a consacré une bonne part de ses ultimes propos sur Mediapart vendredi soir, à la question démocratique. Cela vaut qu’on y revienne tant il était resté quasi muet sur le sujet durant sa campagne.
     
    Face à l’insistance et à la précision des questions, le nouveau président de la République a déroulé une série de propositions qui ne manquent pas d’intérêt: garantir la moralité des candidats aux législatives (exigence d’un casier judiciaire vierge); instaurer « avant la fin de l’année » la proportionnelle pour l’Assemblée Nationale (en tout ou partie ?); réduire le nombre de parlementaires pour qu’ils exercent un mandat unique (et contrôlent mieux le gouvernement); « muscler » les commissions permanentes pour améliorer le travail législatif; transformer le Conseil Economique, Social et Environnemental en chambre de représentation de la vie associative et civile. Cette ouverture parlementaire des institutions de la V° République trouverait son débouché dans une réforme des institutions européennes qui devrait commencer par la parlementarisation de la zone Euro.
     

    Dimanche 7 mai 2017, 20h. Le visage d’Emmanuel Macron s’affiche sur les écrans de millions de foyers français. 66,1% des électeurs viennent d’en faire le huitième président de la Cinquième République. Dénouement d’une élection aux allures de feuilleton. A 39 ans, Emmanuel Macron vient de relever un défi : devenir le plus jeune président de la République française. Celui que Laurent Fabius, nommé en 1984 Premier ministre à l’âge de 37 ans, renvoyait dans les cordes de ses ambitions affichées il y a encore quelques mois, peut désormais s’enorgueillir de ce premier fait d’arme.

    Le coup d’envoi du quinquennat 2017-2022, dont nous connaissons désormais le meneur de jeu, vient d’être donné. Reste à savoir si la feuille de match sera à la hauteur des promesses de renouvellement faites par le leader d’En Marche.

    LEGISLATIVES

    PS : La plate-forme pour les législatives

    Le Monde - Personnalités publiques, députés… Qui sont les candidats investis par La République en marche ?

    Dans la liste des 428 candidats pour les législatives figurent Gaspard Gantzer, chargé de la communication de Hollande, les députés Pompili et Castaner ou encore le mathématicien Cédric Villani.

    En présentant une liste de 428 candidats aux élections législatives de juin, jeudi 11 mai, Richard Ferrand, secrétaire général de La République en marche (LRM), a mis en avant le fait que 52 % des personnes investies étaient issues de la société civile et que 95 % d’entre elles n’étaient pas des députés sortants. Parmi elles figurent toutefois des personnalités, issues, ou non, du monde de la politique.
     
     
    L'actuel député socialiste de la 4e circonscription des Bouches-du-Rhône affrontera le 11 juin prochain Jean-Luc Mélenchon au premier tour des législatives. Interview.
     

    .... On remarquera donc qu'à gauche, parmi les membres du gouvernement, ni Stéphane Le Foll, ni Jean-Marie Le Guen, ni Marisol Touraine, ni Myriam El Khomri, ni Axelle Lemaire ne connaissent pour l'heure l'identité de leur adversaire La République en marche. 

    L'Obs - Revenu universel, nucléaire... Ces propositions de Hamon que le PS a enterrées

    Le programme du candidat socialiste a fait long feu. La plateforme en vue des législatives, adoptée ce mardi en Bureau national par le PS, abandonne ses mesures-phares et met un net coup de barre vers le macronisme.

    L'Obs - Législatives : au PS, une synthèse timide pour "sauver 50 députés"

    Enterrés par Manuel Valls mardi matin, les socialistes ont accouché dans l'après-midi d'une plateforme commune pour les législatives. Une dernière synthèse pour la route ?

    Walking dead saison 8 ? Le mardi 9 mai des socialistes en ferait un bon trailer, avec Manuel Valls en scénariste honni, prononçant dès l'aurore "la mort" du Parti à la rose, et des ténors socialistes passés en mode survie politique... Il fallait voir leur mines renfrognées défiler ce mardi après-midi à la Mutualité, cette salle parisienne où le premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis avait convié pour une réunion à huis-clos tous les candidats que Solférino présentera aux prochaines législatives.

    Kantar - Les Français et les élections législatives 2017

    Alors qu’Emmanuel Macron vient d’être élu à la Présidence de la République, la question de la majorité parlementaire dont il pourrait disposer à l’issue des élections législatives de juin se pose avec acuité.

    Notre enquête Kantar Sofres-onepoint réalisée les 4 et 5 mai 2017 – soit avant le 2ndtour de la présidentielle – montre que, pour les Français, ces élections législatives ne donneront pas nécessairement à Emmanuel Macron une majorité claire pour gouverner. Dans le contexte d’entre-deux-tours et sans que soit connu le nom du Premier ministre, ni l’ampleur de la victoire d’Emmanuel Macron, une partie conséquente de l’électorat semble en effet tenté de faire de ces élection législatives les 3e et 4e tours de l’élection présidentielle et ainsi d’infléchir la politique conduite par le nouveau Président.

     
    Le prétendant à l'Elysée est revenu ce vendredi sur ce qui était jusque-là une exigence, notamment pour les candidats socialistes.

    Emmanuel Macron fait marche arrière. S'il accède à l'Elysée, les candidats investis sous l'étiquette "majorité présidentielle" n'auront pas forcément à quitter leur parti d'origine. Le candidat d'En Marche! revient ainsi sur ce qui était jusque-là une exigence, notamment pour les socialistes.

    DES DEMAIN

    France Info - Anne Hidalgo, Christiane Taubira et Martine Aubry lancent un mouvement politique, "Dès demain"

    "Ce n'est pas un parti", assure l'entourage de la maire de Paris au sujet de cette initiative aux contours encore flous, lancée via une tribune dans "Le Monde".

    Ils s'adressent à "tous les humanistes qui croient encore en l'action". Des figures politiques comme les maires PS de Paris et Lille, Anne Hidalgo et Martine Aubry, et l'ex-ministre de la justice Christiane Taubira, ainsi que des intellectuels et des artistes, parmi lesquels Yann Arthus-Bertrand ou Jacques Higelin, cosignent une tribune publiée dans Le Monde, mercredi 10 mai. Ils y annoncent le lancement d'un mouvement politique baptisé Dès demain.

    HAMON

    Libé - Futur désirable : Pourquoi Benoît Hamon veut-il lancer un «nouveau mouvement» ?
     
    L'ex-candidat socialiste à la présidentielle a annoncé ce mercredi matin qu'il souhaitait «reconstruire une gauche inventive» avec la création d'une nouvelle formation le 1er juillet, soit après les législatives. Un pas de côté avec le PS donc, mais en prenant son temps.
     
    Le Lab - Législatives : Hamon regrette que des dirigeants PS qui n’ont "sans doute pas voté" pour lui enterrent son programme
     
    C’est un autre coup dur à encaisser pour Benoît Hamon, après sa déculottée (6,2%) à la présidentielle : le PS a enterré plusieurs propositions phares de son programme en vue des législatives. Exit donc le revenu universel, la taxation des robots, la sortie du diesel et du nucléaire. "Et le 49.3 citoyen", ajoute le député des Yvelines à l’énumération de ces abandons, mercredi 10 mai sur France Inter. Amer mais lucide, le cinquième homme de cette présidentielle n’est pas si surpris que ça de l’attitude des dirigeants de son parti qui, pour certains d’entre eux, "n’ont ni fait [sa] campagne, ni sans doute voté pour [lui]".
     
    VALLS
     
    Libé - Récap' vidéo : La semaine où... Manuel Valls a coupé les ponts avec le Parti socialiste
     
    En affirmant vouloir rejoindre La République en marche pour les prochaines législatives, l'ancien Premier ministre s'est définitivement mis à dos le PS. Sans pour autant parvenir à se faire adouber par le mouvement d'Emmanuel Macron.