Invité : Jean-Christophe Cambadelis - L'épreuve... par publicsenat
cambadélis - Page 31
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Invité : Jean-Christophe Cambadelis - L'épreuve de vérité - Le Best of (20/09/2016)
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L'actualité de socialistes du 9 au 15 septembre
A LA UNE
Non Fiction - Le bien-être sans la croissance
Dans Faut-il attendre la croissance ?, l’économiste Florence Jany-Catrice et la sociologue Dominique Méda posent successivement trois questions : Comment la croissance économique est-elle devenue l’une des préoccupations fondamentales de nos gouvernements ? A quelles limites la croissance est-elle désormais confrontée ? Et finalement, que disent les débats de ce que pourrait être un monde de progrès mais sans croissance ? Contraintes par le format de la collection Doc En Poche de passer rapidement sur certains points, elles parviennent à donner des réponses plutôt très satisfaisantes à ces trois questions, de sorte que le livre constitue une excellente introduction sur le sujet de l’avenir de la croissance, même si les pistes qu’il suggère pour finir peuvent laisser le lecteur sur sa faim.
Altereco+ - L’étrange bilan de François Hollande
La politique économique des gouvernements de François Hollande aura suivi un cap constant. Baisse conséquente des prélèvements sur les entreprises suite au rapport Gallois, financée par des hausses de prélèvements sur les ménages ainsi qu’une (relative) maîtrise de la dépense publique. Avec l'objectif de réduire le déficit public et de passer en dessous du seuil de 3 % (voir le bilan publié récemment par l’OFCE ou cette note de blog).
Constance donc, mais un résultat désastreux puisqu’il ne débouchera que sur une maigre inversion de la courbe du chômage quatre années après avoir été mis en œuvre. La raison ? Un effet récessif de la hausse des prélèvements sur les ménages et de la réduction de la dépense publique alors que les effets de la politique de l’offre sont d’abord dans les comptes des entreprises et ne se traduiront que plus bien tard sur l’activité.
Libé - Les citoyens absents de la campagne électorale
LES FRONDEURS A LA ROCHELLE
Marianne - A La Rochelle, Montebourg parle de la France, Hamon des Français
Au cours de plénières auxquelles ne manquait que Jean-Luc Mélenchon parmi les candidats de la gauche opposée à François Hollande, Arnaud Montebourg et Benoît Hamon ont rappelé leur volonté d'une primaire élargie, sans masquer leurs désaccords de fond. Avec une salle acquise à l'un et des médias focalisés sur l'autre.
France 3 - Nadia Pellefigue : « la majorité régionale est clairement de gauche »
De La Rochelle à l’Hôtel de Région. Le week-end dernier, Nadia Pellefigue a participé à la rentrée politique des Frondeurs. Une rentrée organisée dans la préfecture de Charente-Maritime, en présence des deux ténors de la gauche anti-Hollande : Arnaud Montebourg et Benoit Hamon. Le lendemain du rendez-vous de La Rochelle, lundi 12 septembre, l’élue d’Occitanie a retrouvé son agenda de vice-présidente du Conseil Régional en charge du développement économique. Un pied à La Rochelle et parmi les Frondeurs. Un autre dans les dossiers économiques régionaux et la majorité d’une ancienne ministre de Manuel Valls, Carole Delga. Ce sont les deux facettes de Nadia Pellefigue.
France Info - "Eviter cet effacement de la gauche" (Christian Paul, frondeur du PS)
Les frondeurs continuent leur université d'été ce dimanche à La Rochelle. Ils appellent à une primaire de toute la gauche. Pour Christian Paul, député de la Nièvre et chef de file des frondeurs du PS, il s'agit d'éviter un effacement de la gauche à l'élection présidentielle.
Libé - A la gauche du PS, vers des candidatures plurielles à la primaire
A La Rochelle, les frondeurs socialistes ont lancé un nouvel appel «à une grande primaire de toute la gauche et des écologistes» tout en cherchant à préserver leur unité malgré la multiplication, dans leurs rangs, de candidats à la présidentielle.
La direction du Parti socialiste a annulé son université de rentrée à Nantes, mais les frondeurs, eux, ont maintenu leurs « journées d’été » à La Rochelle. Samedi 10 et dimanche 11 septembre, l’aile gauche du parti se réunit donc, avec un objectif qui tient à ce jour de la mission impossible : désigner, d’ici à la primaire du PS en janvier 2017, un candidat unique. Tous les prétendants vont donc venir se montrer et se compter sur le port rochelais.HOLLANDEFrançois Hollande s'en cache de moins en moins : il veut se représenter en 2017 pour un second mandat. Entre les lignes, au fil de ses entretiens et discours, sa volonté transparaît clairement. Dernier exemple en date, son entretien au journal "le Débat" dans lequel il assume sa politique "social-libérale".TAUBIRALouangeuse à l'égard de François Hollande, très dure contre la droite, inquiète vis-à-vis de l'extrême droite... Christiane Taubira accorde ce lundi une longue interview à Libé pour appeler la gauche à l'union dès le premier tour et laisser planer le mystère quant à ses propres intentions en vue de 2017.PRIMAIRE
Le Point - Cambadélis envoie valser l'idée d'une primaire de toute la gauche
Pour Camba, c'est trop tard pour une primaire de la gauche élargie aux communistes, au Front de gauche et aux écologistes. Tant pis pour les frondeurs.
VAUCLUSE
Marianne - Vaucluse : le PS passe son tour à une élection partielle
Le Parti socialiste a décidé ne pas présenter de candidats pour une élection départementale partielle prévue début octobre à Orange, dans le Vaucluse. Un cas symptomatique de la marginalisation croissante de la gauche dans le Sud-Est, réduite à assister impuissante au duel droite/extrême droite.
ALSTOM
Francetvinfo - Pour Montebourg, le gouvernement "savait tout" de la fermeture d'Alstom Belfort
L'ancien ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, aujourd'hui candidat à la primaire à gauche, a rendu visite mercredi aux salariés de l'usine de production de trains menacée.
Le Monde - Alstom : Hollande a pour « objectif » le maintien du site de Belfort
Le président de la République, François Hollande, a fixé comme « objectif » le maintien des activités ferroviaires d’Alstom du site de Belfort, menacé de fermeture. Son ministre de l’économie, Michel Sapin, en a fait l’annonce lundi 12 septembre au matin, au sortir d’une réunion interministérielle sur ce dossier.
CAMBA
L'Obs - Fichier S: Cambadélis (PS) reproche à Sarkozy de vouloir "s'émanciper de l'Etat de droit"
Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste, a reproché vendredi à Nicolas Sarkozy de vouloir "s'émanciper de l'Etat de droit" en proposant notamment l'internement des fichiers S soupçonnés de terrorisme.
ECONOMISTES
Altereco - Entretien avec , Les 35 heures, le négationnisme et les économistes
Les économistes Pierre Cahuc et André Zylberberg soutiennent, dans leur dernier ouvrage, Le négationnisme économique et comment s'en débarrasser (Flammarion), que baisser la durée légale du travail n'a aucune incidence sur l'emploi. Seules les baisses de charges font baisser le chômage. Ceux qui pensent autrement sont-ils des négationnistes ? Entretien avec l'économiste Eric Heyer.
OFCE - « Le négationnisme économique » de Cahuc et Zylberberg : l’économie au premier ordre
par Xavier Ragot
Le livre de Pierre Cahuc et André Zylberberg[1] est une injonction à tenir compte des vérités scientifiques de l’économie dans le débat public, face aux interventions cachant des intérêts privés ou idéologiques. Le livre contient des développements intéressants, décrivant les résultats de travaux empiriques utilisant des expériences naturelles pour évaluer des politiques économiques dans le domaine éducatif, de la politique fiscale, de la réduction du temps de travail, etc.
Les Echos -« Négationnisme économique » : l'erreur et la faute de Cahuc et Zylberberg
Les économistes Pierre Cahuc et André Zylberberg viennent de publier un essai, « Le négationnisme économique» ( dont voici les meilleurs extraits ), dans lequel ils avancent que l'économie est devenue une science expérimentale, au même titre que la biologie ou la médecine. Les deux auteurs se trompent et ce pour plusieurs raisons.PS (communiqué)Le Parlement européen a adopté hier à une large majorité le rapport d’initiative du député socialiste Guillaume Balas sur la lutte contre le dumping social dans l’Union européenne.
Le Parti socialiste salue ce message fort envoyé à la Commission et aux Chefs d’État. Le rapport prévoit, entre autre, de créer une liste noire des sociétés responsables de graves violations à la législation sociale. Elles se verront refuser l’accès aux marchés publics, aux subventions publiques et aux subventions de l’Union européenne pendant une période légale. La mise en place d’un salaire minimum européen est une autre mesure forte.
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Revivez le meeting de l'Univertité de l'engagement de Lomme
Revivez le meeting de l'Univertité de l... par PartiSocialiste -
Discours de Jean-Christophe Cambadelis à l'Université de l'Engagement à Lomme
Discours de Jean-Christophe Cambadelis à l... par PartiSocialiste -
Conférence de presse : le bilan départemental en chiffre
Conférence de presse : le bilan départemental... par PartiSocialiste -
L'Édito de Jean-Christophe Cambadélis - Episode 11
L'Édito de Jean-Christophe Cambadélis - Episode 11 par PartiSocialiste -
L'actualité des socialistes du 2 au 8 septembre
ANALYSES
OFCE - Le quinquennat de François Hollande : enlisement ou rétablissement ?
Le quinquennat de François Hollande a été marqué par des difficultés économiques profondes mais également par un début d’embellie cette dernière année de mandat. La France aura donc connu une croissance faible de 2012 à 2014, du fait notamment de la politique de consolidation budgétaire, puis une croissance modérée au-delà.
L’ampleur du choc fiscal en début de quinquennat, dont l’impact négatif sur la croissance avait été sous-estimé par le gouvernement, n’était pas compatible avec une baisse du chômage au cours de la première moitié du mandat.
L’effort d’assainissement des finances publiques aura conduit à un ajustement budgétaire conséquent, en repoussant cependant l’objectif de 3 % de déficit public à la fin du quinquennat. Selon les calculs de la Commission européenne, le solde structurel français (c’est-à-dire le solde corrigé des effets de la conjoncture) se serait amélioré de 2,5 points sur la période 2012-2016. Malgré tout, cet effort n’a pas empêché la dette publique d’atteindre un point haut historique, et de diverger sensiblement par rapport à celle de l’Allemagne.
FRONDEURS
Ils font leur rentrée ce week-end à La Rochelle, sans parvenir à se mettre d’accord sur une candidature unique pour la primaire de la gauche.
En savoir plus surSONDAGEUne très nette désaffection. C'est la principale leçon de l'enquête réalisée par Luc Rouban, directeur de recherche au CNRS, pour le Cevipof et publiée cet été sur la relation entre les enseignants et le PS. Il observe « un affaissement important des intentions de vote en faveur de François Hollande entre janvier 2016 et mai 2016, passant de 30,7 % à 24,3 %. »HOLLANDELe discours était très attendu. Et plus encore que le thème du colloque que François Hollande ouvre "la démocratie face au terrorisme", ce sont les petits cailloux semés par le chef de l'Etat en vue de 2017 qui étaient scrutés. Englué dans les bas-fonds des sondages, encadré par des candidatures dissidentes (Arnaud Montebourg sur sa gauche et Emmanuel Macron sur sa droite), le président de la République était pressé par une partie des siens d'envoyer un signalIl était temps. Même les plus fidèles partisans de François Hollande commençaient à douter de sa capacité à parler à la gauche et à incarner sa possible unité. Les voilà rassurés. Hollande sait encore y faire. Même si un discours, aussi bon soit-il, ne suffira pas pour corriger les manquements et les incohérences de son quinquennat.Tir nourri sur ses adversaires tous bords confondus, anaphores, intentions… Dans le discours le plus percutant de son quinquennat, jeudi à Paris, le chef de l’Etat a posé les premiers jalons de sa future campagne, sans pour autant se déclarer.François Hollande n’a pas fait de déclaration de candidature ou d’annonce surprise dans son discours, jeudi 8 septembre, à la Salle Wagram, à Paris. Il a en revanche défendu son action en allant au-delà du seul thème annoncé de la « démocratie face au terrorisme ». Constitution, cumul des mandats, créations de postes… Retour sur ses principales affirmations.MACRONEn décidant finalement de quitter le gouvernement, Emmanuel Macron a pris un risque calculé. Son pari est que François Hollande ne se représentera pas à l’élection présidentielle et que dans ces conditions il ne doit plus tarder à montrer clairement ses ambitions et à se préparer pour 2017. Ce pari est risqué dans la mesure où, s’il se trompe, il se trouvera dans une situation particulièrement inconfortable. En effet, son départ du gouvernement à lui seul ne lui permettra pas de se présenter contre le président sortant si, déjouant ses calculs, celui-ci se représente. L’image de Brutus serait alors trop prégnante. Il aurait fallu que Macron quitte beaucoup plus tôt le gouvernement et sur une rupture radicale pour pouvoir légitimement se présenter contre François Hollande. Ce ne fut pas le cas. Si le président se représente, il devra donc faire exploser sa fusée porteuse à peine lancée. Fâcheux. Tout repose donc sur le calcul du retrait probable de ce dernier. Ce calcul est-il juste ?Challenges -Pourquoi Macron est obligé d’être candidat socialiste, malgré lui
Un sondage TNS SOFRES pour Le Figaro montre que Macron est surtout perçu par les électeurs de gauche comme un candidat socialiste avant tout tandis que son succès dans l’électorat de droite est faible. A lui d’en tirer les leçons en renonçant à son credo ni gauche, ni droite
MONTEBOURG
Le JDD - SONDAGE. Primaire du PS : le match Hollande-Montebourg
Selon notre sondage Ifop-JDD, la primaire organisée par le PS s'annonce serrée. S'il devance un peu Arnaud Montebourg au premier tour, François Hollande pourrait être confronté à un second tour très compliqué.
HAMON
L'Express - Primaire à gauche: Benoît Hamon crée son micro-parti, baptisé "Elpis"
Le candidat de l'aile gauche du PS vient de créer son parti de poche pour recevoir des dons en vue de financer sa campagne pour la primaire à gauche.
KIMELFELD
Lyon Première - "J'ai très envie d'être maire de Lyon" David Kimelfeld (PS)
David Kimelfeld, maire du 4ème arrondissement et premier fédéral du PS du Rhône, a été désigné par Gérard Collomb comme son dauphin pour les élections de 2020.
JACQUEMAIN
L'Humanité - Dans les entrailles du hollandisme
Un ex-conseiller de Myriam El Khomri lève le voile sur la genèse de la loi travail. Un voyage hallucinant où l’on découvre qui détient le vrai pouvoir.
On ne ressort pas indemne du « petit bout de chemin » dans les entrailles du pouvoir de la présidence Hollande que raconte Pierre Jacquemain. Ex-conseiller « stratégie » de la ministre du Travail, Myriam El Khomri, il a démissionné en février de ses fonctions, précisément en raison de son opposition à la loi qui porte désormais le nom de son ancienne patronne. L’auteur d’Ils ont tué la gauche (Fayard, 198 pages, 16 euros) lève aujourd’hui « le voile sur la fabrique de la politique » du quinquennat finissant, depuis cet observatoire ô combien privilégié.
CAROLINE FOUREST
Menteuse, vous avez dit menteuse ?
La Cour d’appel de Paris vient de confirmer ce que je disais sur le plateau d’On n’est pas couché en mai 2015. Elle a constaté que depuis janvier 2015, soit plusieurs mois avant l’enregistrement de cette émission, la plainte que me reprochait Aymeric Caron était bien prescrite. J’ai donc bien gagné le procès intenté par Madame Rabia Bentot, condamnée à me verser 4000 euros pour frais de procédure.
IDEES
Le Monde - Une révolution conservatrice qui avance à visage découvert, Par Daniel Lindenberg
« Déchéance de nationalité », « constitutionnalisation de l’état d’urgence », « expliquer le terrorisme, c’est déjà l’excuser », « tous pouvoirs à la police »… Que ces mots et ces déclarations d’intention soient à présent ceux d’un gouvernement de gauche devrait stupéfier. C’est tout de même le cas pour certains. Mais même ceux-là savent-ils vraiment comment « en un plomb vil l’or pur s’est-il changé » ? Que Jean Racine nous pardonne, mais l’Olympe n’a rien à voir dans cet affaissement des principes républicains les plus basiques.
ISLAM
Quelle instance représentative pour les musulmans de France? Comment financer les lieux de culte? Comment former les imams? Alors que les interrogations se multiplient dans un pays en proie à la violence djihadiste, notre spécialiste religion Henri Tincq et l'islamologue Rachid Benzine font le point.
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Les 4 vérités, Jean-Christophe Cambadelis
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Le #17h - Épisode 43 - Jean-Christophe Cambadélis présente les primaires citoyennes de la gauche des 22 et 29 janvier 2017.
Le #17h - Épisode 43 - Jean-Christophe... par PartiSocialiste -
L'Édito de Jean-Christophe Cambadélis - Episode 10
L'Édito de Jean-Christophe Cambadélis - Episode 10 par PartiSocialiste -
L'actualité des socialistes du 26 août au 1er septembre
A LA UNE
OFCE - La baisse du chômage annoncée par l’Insee confirmée en juillet par Pôle emploi
Département Analyse et prévision (Equipe France)
Les chiffres du chômage du mois de juillet 2016 publiés par Pôle Emploi font apparaître, après les deux hausses consécutives de mai (+ 9 200) et juin (+ 5 400), une baisse du nombre de demandeurs d’emploi en fin de mois (DEFM) n’exerçant aucune activité (catégorie A) de 19 100 personnes en France métropolitaine. Sur les trois derniers mois la baisse est de 4 500 personnes et sur un an, le nombre de demandeurs d’emploi n’exerçant aucune activité s’est réduit de 44 100 individus. Ces évolutions viennent confirmer l’amélioration du marché du travail en France depuis le début de l’année et confirmée à la mi-août par la publication de l’INSEE du chômage au sens du BIT (cf. ci-dessous). Le chômage de longue durée a amorcé sa décrue (-2,2 % sur les trois derniers mois) alors même qu’il n’avait cessé de croître depuis la fin de l’année 2008 et le chômage des seniors continue de s’infléchir légèrement (-0,2 % sur 3 mois). Notons toutefois que la montée en charge du plan de formation instauré par François Hollande au début de l’année explique en partie ces évolutions encourageantes. Ainsi, au cours des 3 derniers mois, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégorie D a crû de 10,1 %, soit près de 30 000 personnes supplémentaires, sous l’effet principalement des entrées dans les dispositifs de formation comptabilisées dans cette catégorie[1].
Le Parisien - Hamon, Montebourg : à qui le label anti-Hollande ?
PS. Autrefois alliés, Benoît Hamon et Arnaud Montebourg sont aujourd'hui rivaux pour incarner l'alternative à gauche à la présidentielle. Mais jusqu'à quand ?
La Tribune - "Sans parti politique, Macron n'a aucune chance d'être président"
Pour le politologue Stéphane Rozès, Emmanuel Macron doit son actuelle popularité à son positionnement original, pro-réforme, dans un gouvernement de gauche. Mais mener campagne pour la présidentielle en se posant au centre et surtout sans le soutien d'un parti politique, c'est courir droit à l'échec
HAMON
L'Obs - Benoît Hamon, à gauche mais pas trop
Pour son premier meeting de campagne, le chef de file de l’aile gauche du PS a tenu un discours rassembleur, s’efforçant de se placer au centre de gravité des différentes sensibilités de la gauche et des écologistes.
L'Express - Primaire PS: comment Benoît Hamon tente de se démarquer d'Arnaud Montebourg
Une semaine après son ancien collègue du gouvernement, le député socialiste des Yvelines a tenu ce dimanche à Saint-Denis son premier meeting de campagne. L'occasion de faire entendre quelques divergences avec son principal rival de l'aile gauche du PS.
Libé - Hamon : «Je ne vais pas jouer le bonobo de la Ve République»
À Saint-Denis, le député des Yvelines lance sa campagne pour la primaire à gauche. Avec un premier objectif : démontrer que sa candidature est différente de celles de Montebourg ou Mélenchon.
Libé - «Ce serait bien qu’on ait une doublette Hamon-Montebourg»
A Saint-Denis, le député des Yvelines, Benoît Hamon, a débuté son «rassemblement pour gagner en 2017», point de départ de sa campagne pour la primaire à gauche. Rencontre avec des militants qui espèrent voir Hamon et Montebourg s’entendre vite.
Le Point - Benoît Hamon lance sa campagne à Saint-Denis
Il avait pris de vitesse la semaine dernière son ancien comparse Arnaud Montebourg, en annonçant quelques jours avant lui sa candidature à la présidentielle.
Le Parisien - La lettre aux Français de Benoît Hamon
Sitôt sa candidature déclarée, le 16 août dernier, Benoît Hamon a pris la plume. Pour écrire le discours qu'il prononcera dimanche, lors d'un meeting à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Mais pas que. Le candidat à la primaire PS avait un autre texte sur le métier. Une «lettre aux Français» (voir document ci-dessous), que nous dévoilons et qui sera éditée à plus de 300 000 exemplaires et distribuée à partir de lundi.
Le Monde - Benoît Hamon cherche son élan
L’encéphalogramme reste plat. Révélée en pleine torpeur estivale, le 16 août, sur le plateau du 20 heures de France 2, afin d’éviter l’embouteillage de la rentrée politique, la candidature de Benoît Hamon à la primaire organisée par le Parti socialiste (PS), prévue les 22 et 29 janvier 2017, peine à mobiliser.Sitôt sa candidature déclarée, le 16 août dernier, Benoît Hamon a pris la plume. Pour écrire le discours qu'il prononcera dimanche, lors d'un meeting à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Mais pas que. Le candidat à la primaire PS avait un autre texte sur le métier. Une «lettre aux Français» (voir document ci-dessous), que nous dévoilons et qui sera éditée à plus de 300 000 exemplaires et distribuée à partir de lundi.MONTEBOURG
L'Obs - Marchés publics : Montebourg 2014 répond à Montebourg 2016
Le candidat Arnaud Montebourg propose de réserver transitoirement 80% des marchés publics à des PME nationales. Impossible dans le cadre des traités européens, disait le ministre Arnaud Montebourg il y a deux ans.
"Outrance" et "caricature". Tels sont les éléments de langage distillés par les soutiens de François Hollande pour commenter l’entrée officielle en campagne d’Arnaud Montebourg à Frangy-en-Bresse, qui au passage conjure le chef de l’Etat de ne pas se représenter.
L'Humanité - Montebourg déroule ses alternatives
Le nouveau candidat à la présidence de la République, qui devait être invité sur France 2 hier soir, a présenté un projet social-démocrate qui entre en rupture avec le libéralisme et l’austérité de François Hollande, tout en prônant l’alliance du public et du privé, du capital et du travail.
Capital - Le (coûteux) plan d'Arnaud Montebourg pour faire redécoller la France
Après Benoît Hamon, Arnaud Montebourg vient d'officialiser sa candidature à l'élection présidentielle 2017. Si on ne sait pas encore si celle-ci passera ou non par la primaire socialiste, on peut déjà se forger une idée du programme de l'ex-ministre de l'Economie, qui avait claqué la porte du gouvernement en 2014 pour signifier son opposition à la politique menée par François Hollande.
Slate - Les aimables fantaisies du projet patriotique d'Arnaud Montebourg
Convaincant dans sa critique de François Hollande, Arnaud Montebourg l'est nettement moins dans son projet. Au stade actuel, il juxtapose un ensemble de généralités et de slogans et une série de mesures à la fois peu crédibles et guère cohérentes.
MACRON
France 3 - Par sms, le PS menace d’exclusion les soutiens d’Emmanuel Macron
Un coup de sang, c’est simple comme un SMS. Le Lab d’Europe 1 a récupéré, dans ses filets, des textos furibards de Jean-Christophe Cambadelis au sujet de la démission d’Emmanuel Macron.
Le 1er secrétaire du PS fustige violemment le départ du gouvernement de l’ancien ministre de l’Economie. Mais il joint les actes à la parole en lançant un avertissement aux « macroniens » en puissance. Attention. La jurisprudence Iborra existe et elle s’applique.
C’est entendu, dit et redit : non, Emmanuel Macron n’est pas socialiste. Mais il a été pendant deux ans, jusqu’à sa démission annoncée du ministère de l’Economie ce mardi 30 août, membre d’un gouvernement dirigé par un socialiste Manuel Valls sous la houlette du Président François Hollande.
Longtemps critiques, pour une partie, à son égard, les socialistes ont réagi avec virulence à l’annonce de démission imminente du ministre de l’Economie, 2017 dans le viseur. Et en premier lieu, c’est leur patron, le Premier secrétaire du Parti socialiste, qui a donné le ton. Florilège des réactions d'élus socialistes bien remontés contre Emmanuel Macron.
Une carrière fulgurante, des résultats mitigés. Maintenant, Emmanuel Macron va devoir convaincre qu’il peut être un leader politique autrement qu’avec des petites phrases douces et assassines.Après la démission d’Emmanuel Macron, le chef de l’Etat apparaît sonné, mais ne veut rien changer à sa stratégie.MICHEL SAPINMichel Sapin a toujours eu le sens de la formule, parfois un peu moins celui de la mesure. Invité de RMC et BFM-TV jeudi 1er septembre, le nouveau ministre de l’économie et des finances a dressé un tableau très optimiste de la situation économique et sociale du pays, vantant les baisses d’impôts de 2015 et promettant de nouvelles l’an prochain.NAJAT VALLAUD-BELKACEMEmmanuel Macron a quitté le gouvernement mardi 30 août, afin de se consacrer à son mouvement politique "En Marche !", avec la présidentielle dans le viseur. L’ex-ministre de l’Économie devrait déclarer sa candidature d’ici deux mois, quand le chef de l’État devrait lui annoncer qu’il se présente à sa succession début décembre. Soit : après son ancien ministre.SIRUGUEL’Elysée a annoncé, jeudi 1er septembre, la nomination de Christophe Sirugue, député socialiste de Saône-et-Loire, au poste de secrétaire d’Etat à l’industrie. « Cet honneur est aussi une lourde charge à laquelle je ne me déroberai pas, en raison de l’intérêt que je porte à ce sujet essentiel tant au niveau national que local », a-t-il déclaré sur Facebook quelques minutes après l’annonce de sa nomination.LAICITEPaul Allies - Un rappel à l’ordre républicain par le droit contre la confusion politique
Par sa décision du 26 août le Conseil d’Etat ne fait que rappeler le droit de la République, spécialement pour ce qui concerne l’application de la loi du 9 décembre 1905, fondement de la laïcité dans notre pays. Elle le fait dans un contexte de confusion politique problématique.Marianne - "En 2016, la fraternité c'est savoir dire non à l'islam radical"
Après une première tribune dans laquelle il alertait sur la signification du burkini ("Ne soyons pas naïfs sur le symbole de cette étoffe"), Aalam Wassef réagit aux différentes photos de femmes simplement voilées se faisant verbaliser sur les plages. S'il comprend que ces images fassent "mal" et interrogent sur notre sens de la fraternité, il souligne qu'il faut malgré tout savoir "dire non avec fermeté, sagesse, mesure et pédagogie à l'obscurantisme".
Marianne - Luc Carvounas, très proche de Valls, s'oppose à son tour aux arrêtés anti-burkini
Invité ce midi sur RMC, le socialiste Luc Carvounas, pourtant proche parmi les proches de Manuel Valls, a ouvertement contredit le Premier ministre sur les arrêtés anti-burkini. Lui ne voit "pas pourquoi on les empêcherait de porter le burkini dans l'espace public".
SACCAGE
Le Monde - Les locaux de la fédération de Paris du Parti socialiste « saccagés »
Les locaux de la fédération de Paris du Parti socialiste (PS) ont été « saccagés » jeudi 1er septembre, a dénoncé le premier secrétaire du parti, Jean-Christophe Cambadélis.
« Il s’agit d’un rassemblement non autorisé d’une trentaine de personnes du côté de Nation (11e arrondissement). Au moment de la dispersion, il y a eu des dégradations au local du PS », a fait savoir la police à l’AFP, sans donner plus de détails.CAMBA
Cambadélis : "Parler de l'islam permet d'éviter d'évoquer la réussite gouvernementale"
Si la polémique de l'été concerne le burkini, ce serait tout simplement pour ne pas parler... des succès du gouvernement ! Cette brillante analyse nous vient de Jean-Christophe Cambadélis ce 26 août.
COLLOMB
Gérard Collomb n’est pas humaniste. En décidant, au beau milieu de l’été, de couper l’eau des fontaines du Jardin des Chartreux pour tenter de faire partir les familles sans abri qui se sont réfugiées là, il a liquidé d’un seul coup le compte épargne déjà chichement pourvu de sa crédibilité politique en matière sociale.