Jean-Christophe Cambadélis : "J'entends toutes... par franceinter
cambadélis - Page 29
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Jean-Christophe Cambadélis : "J'entends toutes les critiques. Et croyez-moi, j'en entends."
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La Nouvelle République - Cambadélis pessimiste sur les chances de la gauche en 2017
Le Premier secrétaire du Parti socialiste est à Tours ce samedi pour la sixième université - de l'engagement - décentralisée du PS. Jean-Christophe Cambadélis veut croire que l'unité sera possible à gauche pour passer au second tour en 2017 et même remporter la présidentielle. Et ce malgré le très controversé livre de confidences de François Hollande.
La gauche s'est-elle remise de la déflagration du livre de confidences de François Hollande ?
(Il cherche ses mots) C’est toujours sensible. Mais la violence de la droite et les menaces de l’extrême droite demeurent l’élément central de la mobilisation de la gauche.
Est-ce que cela a cassé quelque chose ?
Cassé n’est pas le terme. Il y avait des interrogations avant, elles continuent maintenant. Elles sont globales sur les chances pour les socialistes, et la gauche, de l’emporter à la présidentielle. Car à cette étape aucun candidat putatif, quel qu’il soit, ne semble pouvoir battre la droite. Et même passer le premier tour. C’est grave !
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L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre
A LA UNE
Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.
Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.
EMMANUEL MAUREL
L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»
« Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »
Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.
JEUNESSE
Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes,
Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi
Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.
Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.
RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"
La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde".
BUDGET 2017
Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité
Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.
Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu
La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?
La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.
L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS
La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.
Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?
A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.
L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.
L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande
PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.
MONTEBOUG
Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon
L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire
Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre
Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po
BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration
Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche, a qualifié de "grave" ce que "raconte" Jean-Luc Mélenchon sur l'immigration et s'est "désolé" du soi-disant manque de clarté politique du co-fondateur du Parti de gauche sur le sujet.Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter
L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu
Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »
L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6
L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.
Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.
LIENEMANN
Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.
FRONDEURS
Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes
Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.
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L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre
A LA UNE : EMMANUEL MAUREL
L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»
« Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »
Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.
REPUBLIQUE
Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.
Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.
JEUNESSE
Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes,
Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi
Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.
Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.
RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"
La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde".
BUDGET 2017
Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité
Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.
Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu
La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?
La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.
L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS
La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.
Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?
A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.
L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.
L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande
PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.
MONTEBOUG
Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon
L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire
Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre
Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po
BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration
Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche, a qualifié de "grave" ce que "raconte" Jean-Luc Mélenchon sur l'immigration et s'est "désolé" du soi-disant manque de clarté politique du co-fondateur du Parti de gauche sur le sujet.Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter
L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu
Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »
L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6
L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.
Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.
LIENEMANN
Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.
FRONDEURS
Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes
Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.
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Présentation du cinquième Cahier de la Présidentielle : « Renforcer et protéger la démocratie »
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L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre
A LA UNE : EMMANUEL MAUREL
L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»
« Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »
Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.
REPUBLIQUE
Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.
Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.
JEUNESSE
Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes,
Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi
Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.
Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.
RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"
La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde".
BUDGET 2017
Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité
Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.
Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu
La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?
La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.
L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS
La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.
Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?
A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.
L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.
L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande
PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.
MONTEBOUG
Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon
L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire
Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre
Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po
BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration
Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche, a qualifié de "grave" ce que "raconte" Jean-Luc Mélenchon sur l'immigration et s'est "désolé" du soi-disant manque de clarté politique du co-fondateur du Parti de gauche sur le sujet.Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter
L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu
Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »
L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6
L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.
Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.
LIENEMANN
Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.
FRONDEURS
Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes
Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.
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Jean-Christophe Cambadélis: «Le rapport sur l'intégration est là pour montrer qu'il y a des points de vue pluriels sur un sujet, ça ne fait pas la ligne du gouvernement.»
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L'actualité des socialistes du 7 au 13 octobre
A LA UNE
Le Monde - « Hollande se permet encore de carboniser les lambeaux de popularité qui lui restent »
Les confidences du président à nos journalistes est comparé par la presse française du week-end à une « épitaphe » scellant ses chances de réélection.
Le Monde - « Certains proches de Hollande sont consternés par la sortie de son livre d’entretiens »Les réponses à vos questions sur les conséquences des confidences du président par notre journaliste qui couvre l’exécutif.
Avec la publication des bonnes feuilles, ces derniers jours, de Un président ne devrait pas dire ça, dans lequel le chef de l’Etat se laisse aller à la confidence avec les journalistes du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme, François Hollande est de plus en plus isolé. Quelles sont les conséquences politiques d’un tel ouvrage ? Bastien Bonnefous a répondu aux questions des internautes.Dans «Un président ne devrait pas dire ça», deux journalistes rapportent des propos de François Hollande sur Marianne, l'islam et l'immigration. Laurent Bouvet décrypte ces déclarations qui n'ont pas tardé à faire réagir la classe politique.
.... "nous ne sommes pas dans un choc ou une guerre de civilisations, nous sommes pris dans un affrontement idéologique contre une vision identitaire, extrémiste, de l'islam, que nous soyons musulmans, d'autres religions ou athées. Et en l'absence de mobilisation politique de tous les républicains, face à cette vision identitaire de l'islam, se déploie une autre vision identitaire, celle d'une civilisation française, blanche, catholique, éternelle et immuable."
Marianne, Joseph Macé-Scaron - 12 octobre 2016, le jour où la campagne d'Hollande s'est crashée
Entre une longue interview dans la presse sans vision d'ensemble, un nouveau livre-confession catastrophique et une énième joute avec Valérie Trierweiler sur l'affaire dite des "sans-dents", ce 12 octobre - qui devait marquer une fracassante entrée en campagne - est un pitoyable fiasco pour François Hollande.
HAMON/MONTEBOUG
Le Point - Hamon et Montebourg, entre mains dans le dos et coups d'épaule
Il y a deux ans encore, ils s'affichaient côte à côte à la Fête de la rose. Les voilà aujourd'hui opposés au premier tour de la primaire de la gauche.
HAMON
Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche pour la présidentielle de 2017, était, lundi 10 octobre, l'invité de franceinfo. Le député PS des Yvelines prône la légalisation du cannabis pour mettre fin à l'hyper-violence dans certains quartiers.
MONTEBOURG
Libé - Primaire : Montebourg et le rassemblement à géométrie variable
En annonçant qu'il ne fera pas campagne pour François Hollande si celui-ci devait remporter la primaire de la «Belle Alliance populaire», l'ancien ministre de l'Economie a le mérite de la clarté, moins de l'élégance ou du fair-play.
Le Républicain Lorrain - Arnaud Montebourg : « Je ne pouvais pas ne pas revenir à Florange »
De retour en Moselle, l’ex-ministre de l’Economie enfonce le clou des divergences qui l’ont opposé à l’exécutif sur le dossier Florange. Des « erreurs » qu’il souhaite voir éviter dans la reprise des chantiers de Saint-Nazaire.
L'ancien ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a assuré mardi sur franceinfo qu'il accepterait le résultat de la primaire du PS à laquelle il concourt, même si elle était remportée par François Hollande, tout en précisant qu'il ne ferait pas ensuite "le chauffeur de salle" pour le président sortant.
Le Monde - Montebourg, ministre (presque) malgré lui
On appelle cela déminer le terrain. Accusé régulièrement par ses adversaires d’avoir soutenu François Hollande, lors de la primaire de la gauche de 2011 puis au cours des deux premières années du quinquennat lorsqu’il était à Bercy, Arnaud Montebourg a décidé de mettre les choses au point dans un livre publié mercredi 12 octobre, intitulé Le retour de la France (Editions J’ai Lu, 96 p., 3 euros), dont Le Monde a pu se procurer une copie.Arnaud Montebourg passe la journée sur Toulouse. C’est sa première sortie après l’officialisation de sa candidature à la primaire du Parti Socialiste. L’ancien ministre a choisi une terre « conquise ». Arnaud Montebourg doit (encore) convaicre les électeurs toulousains. Mais il est déjà solidement implanté chez les socialistes de la ville rose.HOLLANDEDans toutes ses confidences, François Hollande n’épargne pas grand monde. Et les frondeurs du PS, qui ont ferraillé tout le quinquennat contre l’orientation économique des gouvernements Ayrault puis Valls, en prennent sérieusement pour leur grade. "Une agrégation de gens intelligents peut faire une foule idiote", persifle ainsi François Hollande à leur égard dans Un président ne devrait pas dire ça, des journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme.Extraits du livre de confidences "Un président ne devrait pas dire ça", les propos du président de la République sur les femmes voilées éclairent ses tergiversations... et sa réelle proximité idéologique avec Manuel Valls.Dans leur ouvrage «Un Président ne devrait pas dire ça ...» qui paraît ce jeudi, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, journalistes du «Monde», révèlent que le chef de l’Etat a milité pour un changement de nom du Parti socialiste.François Hollande a rencontré, mercredi 12 octobre au soir, le premier président et le procureur général de la Cour de cassation, Bertrand Louvel et Jean-Claude Marin, après la publication de propos polémiques du chef de l’Etat sur l’institution judiciaire.A six mois du prochain scrutin présidentiel, le chef de l'Etat revient sur son quinquennat, solde ses comptes avec la gauche et ne craint pas la comparaison avec la droite.CHEVENEMENTVoici le texte validé de l'interview donnée par Jean-Pierre Chevènement à l'Hebdomadaire Le Point qui en reproduit une version contractée, jeudi 13 octobre 2016, propos recueillis par Laureline Dupont et Thomas MahlerMELENCHONC’est le genre de sondage qui devrait pousser Jean-Luc Mélenchon à participer à la primaire initiée par le PS. Selon la dernière livraison du baromètre Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio, le candidat de la France insoumise, quatrième homme de la présidentielle de 2012, entre dans le top 5 des personnalités préférées des Français. Une performance inédite pour un leader de ce qu’on appelle grossièrement la gauche de la gauche et qui se qualifie, elle, tout simplement de gauche, la vraie, celle à laquelle Macron, Valls mais aussi Hollande n’appartiendraient plus.SEGOLENE ROYALLa ministre de l'Ecologie, ancienne présidente de Poitou-Charentes, dont la gestion est actuellement examinée par la chambre régionale, fait l'objet d'un livre réquisitoire, à paraître jeud -
Intervention de Jean-Christophe Cambadélis - Université de l'Engagement de Marseille
Intervention de Jean-Christophe Cambadélis... par PartiSocialiste -
L'actualité des socialistes du 7 au 13 octobre
A LA UNE
Le Monde - « Hollande se permet encore de carboniser les lambeaux de popularité qui lui restent »
Les confidences du président à nos journalistes est comparé par la presse française du week-end à une « épitaphe » scellant ses chances de réélection.
Le Monde - « Certains proches de Hollande sont consternés par la sortie de son livre d’entretiens »Les réponses à vos questions sur les conséquences des confidences du président par notre journaliste qui couvre l’exécutif.
Avec la publication des bonnes feuilles, ces derniers jours, de Un président ne devrait pas dire ça, dans lequel le chef de l’Etat se laisse aller à la confidence avec les journalistes du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme, François Hollande est de plus en plus isolé. Quelles sont les conséquences politiques d’un tel ouvrage ? Bastien Bonnefous a répondu aux questions des internautes.Dans «Un président ne devrait pas dire ça», deux journalistes rapportent des propos de François Hollande sur Marianne, l'islam et l'immigration. Laurent Bouvet décrypte ces déclarations qui n'ont pas tardé à faire réagir la classe politique.
.... "nous ne sommes pas dans un choc ou une guerre de civilisations, nous sommes pris dans un affrontement idéologique contre une vision identitaire, extrémiste, de l'islam, que nous soyons musulmans, d'autres religions ou athées. Et en l'absence de mobilisation politique de tous les républicains, face à cette vision identitaire de l'islam, se déploie une autre vision identitaire, celle d'une civilisation française, blanche, catholique, éternelle et immuable."
Marianne, Joseph Macé-Scaron - 12 octobre 2016, le jour où la campagne d'Hollande s'est crashée
Entre une longue interview dans la presse sans vision d'ensemble, un nouveau livre-confession catastrophique et une énième joute avec Valérie Trierweiler sur l'affaire dite des "sans-dents", ce 12 octobre - qui devait marquer une fracassante entrée en campagne - est un pitoyable fiasco pour François Hollande.
HAMON/MONTEBOUG
Le Point - Hamon et Montebourg, entre mains dans le dos et coups d'épaule
Il y a deux ans encore, ils s'affichaient côte à côte à la Fête de la rose. Les voilà aujourd'hui opposés au premier tour de la primaire de la gauche.
HAMON
Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche pour la présidentielle de 2017, était, lundi 10 octobre, l'invité de franceinfo. Le député PS des Yvelines prône la légalisation du cannabis pour mettre fin à l'hyper-violence dans certains quartiers.
MONTEBOURG
Libé - Primaire : Montebourg et le rassemblement à géométrie variable
En annonçant qu'il ne fera pas campagne pour François Hollande si celui-ci devait remporter la primaire de la «Belle Alliance populaire», l'ancien ministre de l'Economie a le mérite de la clarté, moins de l'élégance ou du fair-play.
Le Républicain Lorrain - Arnaud Montebourg : « Je ne pouvais pas ne pas revenir à Florange »
De retour en Moselle, l’ex-ministre de l’Economie enfonce le clou des divergences qui l’ont opposé à l’exécutif sur le dossier Florange. Des « erreurs » qu’il souhaite voir éviter dans la reprise des chantiers de Saint-Nazaire.
L'ancien ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a assuré mardi sur franceinfo qu'il accepterait le résultat de la primaire du PS à laquelle il concourt, même si elle était remportée par François Hollande, tout en précisant qu'il ne ferait pas ensuite "le chauffeur de salle" pour le président sortant.
Le Monde - Montebourg, ministre (presque) malgré lui
On appelle cela déminer le terrain. Accusé régulièrement par ses adversaires d’avoir soutenu François Hollande, lors de la primaire de la gauche de 2011 puis au cours des deux premières années du quinquennat lorsqu’il était à Bercy, Arnaud Montebourg a décidé de mettre les choses au point dans un livre publié mercredi 12 octobre, intitulé Le retour de la France (Editions J’ai Lu, 96 p., 3 euros), dont Le Monde a pu se procurer une copie.Arnaud Montebourg passe la journée sur Toulouse. C’est sa première sortie après l’officialisation de sa candidature à la primaire du Parti Socialiste. L’ancien ministre a choisi une terre « conquise ». Arnaud Montebourg doit (encore) convaicre les électeurs toulousains. Mais il est déjà solidement implanté chez les socialistes de la ville rose.HOLLANDEDans toutes ses confidences, François Hollande n’épargne pas grand monde. Et les frondeurs du PS, qui ont ferraillé tout le quinquennat contre l’orientation économique des gouvernements Ayrault puis Valls, en prennent sérieusement pour leur grade. "Une agrégation de gens intelligents peut faire une foule idiote", persifle ainsi François Hollande à leur égard dans Un président ne devrait pas dire ça, des journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme.Extraits du livre de confidences "Un président ne devrait pas dire ça", les propos du président de la République sur les femmes voilées éclairent ses tergiversations... et sa réelle proximité idéologique avec Manuel Valls.Dans leur ouvrage «Un Président ne devrait pas dire ça ...» qui paraît ce jeudi, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, journalistes du «Monde», révèlent que le chef de l’Etat a milité pour un changement de nom du Parti socialiste.François Hollande a rencontré, mercredi 12 octobre au soir, le premier président et le procureur général de la Cour de cassation, Bertrand Louvel et Jean-Claude Marin, après la publication de propos polémiques du chef de l’Etat sur l’institution judiciaire.A six mois du prochain scrutin présidentiel, le chef de l'Etat revient sur son quinquennat, solde ses comptes avec la gauche et ne craint pas la comparaison avec la droite.CHEVENEMENTVoici le texte validé de l'interview donnée par Jean-Pierre Chevènement à l'Hebdomadaire Le Point qui en reproduit une version contractée, jeudi 13 octobre 2016, propos recueillis par Laureline Dupont et Thomas MahlerMELENCHONC’est le genre de sondage qui devrait pousser Jean-Luc Mélenchon à participer à la primaire initiée par le PS. Selon la dernière livraison du baromètre Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio, le candidat de la France insoumise, quatrième homme de la présidentielle de 2012, entre dans le top 5 des personnalités préférées des Français. Une performance inédite pour un leader de ce qu’on appelle grossièrement la gauche de la gauche et qui se qualifie, elle, tout simplement de gauche, la vraie, celle à laquelle Macron, Valls mais aussi Hollande n’appartiendraient plus.SEGOLENE ROYALLa ministre de l'Ecologie, ancienne présidente de Poitou-Charentes, dont la gestion est actuellement examinée par la chambre régionale, fait l'objet d'un livre réquisitoire, à paraître jeudi. -
L'édito de Jean-Christophe Cambadélis - épisode 14 : "Il ne faut jamais confondre l'essentiel et l'accessoire."
Dans ce nouvel édito, Jean-Christophe Cambadélis nous invite à ne pas confondre l'essentiel et l'accessoire. L'essentiel c'est l'offensive de la droite avec son programme menaçant le vivre ensemble et remettant en cause notre modèle social. C'est l'enjeu de la prochaine élection présidentielle. L'accessoire c'est un livre confidences qui auraient du rester des confidences, dévoyé par des formules répétées hors de leur contexte.
L'édito de Jean-Christophe Cambadélis - épisode... par PartiSocialiste