"Plus que deux jours de campagne mes ami-e-s... par PartiSocialiste
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"Plus que deux jours de campagne mes ami-e-s !" Message de Jean-Christophe Cambadélis aux militants
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Cambadélis - Le Pen : face à face sur l'Europe
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L'actualité des socialistes du 12 au 18 mai (mise à jour)
A la une
Le Monde - Impôts : Valls détaille son geste fiscal pour près de 2 millions de ménages
Le premier ministre, Manuel Valls, a annoncé vendredi 16 mai que les nouvelles mesures fiscales annoncées après les élections municipales allaient bénéficier à 3 millions de Français. Au total, 1,8 million de ménages devraient sortir de l'impôt sur le revenu.
18 mai
Le Parisien - Baisse d'impôts : pourquoi Hollande et Valls se sont laissé convaincre ?
La décision a été définitivement arbitrée jeudi par l'Elysée et Matignon : il fallait aller plus vite, plus loin, plus fort ! Ce sont donc finalement 1,8 million de ménages qui échapperont à l'impôt sur le revenu dès cette année, et non plus 650 000 comme l'avait annoncé Manuel Valls dimanche soir sur TF1.
Le blog de Jean-Marcel Bouguereau - Des baisses d'impôts en trompe-l'oeil
Ce n'est pas encore Noël mais c'est déjà le temps des cadeaux. Les Européennes s'annoncent très mal pour la gauche. A dix jours du scrutin, plusieurs sondages donnent le FN en tête avec 25 %, creusant l'écart avec l'UMP (21 %) et enterrant le PS avec ses malheureux 18 % ! Il fallait faire quelque chose. Hier, Manuels Valls a donc sorti de sa hotte des cadeaux fiscaux à l'intention de 3 millions de ménages, soit un effort d'un milliard d'euros. Le double de ce qui était prévu.
Pierre-Alain Muet est l'un des 41 députés PS qui se sont abstenus sur le programme de stabilité du gouvernement. Vice-président de la commission des Finances, il a travaillé à l'Insee et à l'OFCE avant d'être conseiller économique du Premier ministre Lionel Jospin de 1997 à 2002.
17 mai
Libé - Les députés PS frondeurs satisfaits après les annonces de Valls
Le Premier ministre a déclaré que 1,8 million de ménages allaient sortir de l'impôt sur le revenu.
Certains députés PS ayant participé à la fronde sur les 50 milliards d’euros d’économies, y compris quelques abstentionnistes sur le programme de stabilité, ont salué les annonces de Manuel Valls vendredi. Le Premier ministre a annoncé de nouvelles mesures fiscales pour 3 millions de Français, qui permettront à 1,8 millions de ménages de sortir de l'impôt sur le revenu
Le Monde - Arnaud Montebourg : « Le décret sur les entreprises, c'est la fin du laisser-faire »
C'est l'outil dont rêvait Arnaud Montebourg. En élargissant le décret sur les entreprises « stratégiques », qui permet à l'Etat de s'opposer à la prise de contrôle d'une entreprise, à cinq nouveaux secteurs, la France se dote de la même arme que ses voisins, estime le ministre de l'économie. Qui compte bien l'utiliser dans le dossier Alstom.
16 mai
RAPPEL HISTORIQUE - Un reniement ? Où ça ? Pas de la part de François Hollande en tous cas. Et c’est Jean-Christophe Cambadélis, pas vraiment hollandais historique, qui l'explique.
Mercredi 13 mai, lors d’un débat organisé par Mediapart avec Emmanuelle Cosse et Jean-Luc Mélenchon, le premier secrétaire du Parti socialiste considère que, finalement, le discours du Bourget, ça ne comptait pas.
Marianne - Cambadélis aux déçus d'Hollande: fallait pas le choisir à la primaire !
Invité par Médiapart à un débat des gauches avec Emmanuelle Cosse et Jean-Luc Mélenchon, le Premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis n'a pas cherché à occulter la déception suscitée par François Hollande, renvoyant sèchement les sympathisants socialistes à leur choix au moment de la primaire. Un bref moment de vérité.
L'Hémicycle - Encadrement du lobbying : bilan contrasté des nouvelles mesures
Sur l’impulsion du président Claude Bartolone et du vice-président PS Christophe Sirugue, les modalités d’entrée des représentants d’intérêts sont devenues plus contraignantes. De quoi rebuter les marchands d’influence et recréer de l’opacité.
La tempête Cahuzac continue de produire ses effets. Si elle a conduit à la publicité du patrimoine des ministres, elle a aussi fait changer les règles d’encadrement des lobbys à l’Assemblée nationale. En toute discrétion, une petite révolution a eu lieu en octobre dans les couloirs du palais Bourbon. « Ni diabolisation, ni laisser-faire, tel a été l’état d’esprit du bureau de l’Assemblée nationale », insiste-t-on dans l’entourage du président Claude Bartolone, qui a été à la manœuvre avec le vice-président PS Christophe Sirugue.
Les Echos - Affaire Bygmalion : le PS engage Copé à s’expliquer
Le porte-parole du PS, Carlos Da Silva, estime que Jean-François Copé doit des explications aux Français suite aux facturations fictives dont l’accuse « Libération ». Accusations que le patron de l’UMP qualifie d’allégations mal vérifiées.
15 mai
Temps 2 de la contestation. Deux semaines après s'être abstenus sur le vote consultatif du programme de stabilité, deux députés PS "frondeurs" s'en prennent à la réforme territoriale du gouvernement, déjà contestée par l'opposition.
Sur France Info, ce 14 mai, le député PS de Paris Pascal Cherki a semblé douter des résultats d'une réorganisation territoriale
Le Monde - Un député PS propose de nationaliser les autoroutes
Le député socialiste Jean-Paul Chanteguet, président et rapporteur de la mission d'information parlementaire sur l'écotaxe, engage une réflexion sur la nationalisation des autoroutes, dont le réseau avait achevé d'être privatisé en 2006.
Paris Match - Ségolène Royal "Je suis à ma place. Enfin"
Collier de perles grises, pull vert d’eau fermé par des rubans, vernis rose pâle sur les ongles, elle arrive au rendez-vous avec une bonne heure de retard mais le regard vif et la tête pleine de musique. La veille, Ségolène Royal était au palais Garnier pour assister à la représentation de l’opéra dansé de Pina Bausch, «Orphée et Eurydice», sur la musique de Gluck. La nuit a été courte. La ministre, qui était accompagnée de ses deux filles, Clémence et Flora, s’est couchée tard.
Libé - Royal vante «l'amitié et la solidarité entre ministres»
Alors que des propos parus dans «Paris Match», sur l'écotaxe et Alstom, laissaient penser à des désaccords, la ministre de l'Ecologie évoque des «petites phrases» et pas une «interview en tant que telle».
Nouvel Obs - Ségolène Royal ou l'habitude de la "rétropédalitude"
Depuis plusieurs années, la ministre de l'Ecologie s'est fait une spécialité de cogner ses camarades avant de démentir ses propos.
Libé - Hollande, plus impopulaire que jamais
Selon le baromètre Ipsos, le président de la République n'est pas soutenu par 78% des Français.
Le président de la République François Hollande a enregistré en mai un nouveau record d’impopularité, 78% des Français se disant défavorables à son action, selon le baromètre Ipsos pour «Le Point» publié mercredi.
Le Parisien - Ecotaxe : les députés plaident pour son maintien, Royal est sceptique
Oui à l'écotaxe, mais remaniée. C'est en substance ce que proposent les députés de la mission d'information parlementaire qui planchaient depuis novembre sur cet épineux dispositif, suspendu après avoir mis le feu à la Bretagne à l'automne dernier.
LCP - Européennes : Edouard Martin distingue le PS de "Hollande ou Ayrault"
"Le PS, ça n'est pas que Hollande et Ayrault", a affirmé Edouard Martin, tête de la liste socialiste dans le Grand-Est pour les européennes et ex-leader syndical d'ArcelorMittal à Florange, en appelant à "l'Europe du juste échange" lors de son premier grand meeting de campagne, mardi soir à Metz.
Libé - Ecotaxe: le rapport parlementaire plaide pour une «éco-redevance»
Il faut faire disparaître le mot «écotaxe» mais pas abandonner le principe d’une redevance payée par les poids lourds, qui nécessite des aménagements, a conclu la mission d’information parlementaire dans son rapport, remis mercredi, sur ce dispositif suspendu à l’automne après la fronde des «bonnets rouges».
Rue 89 - Rythmes scolaires : Gérard Collomb trouve-t-il à Lyon l’emploi du temps idéal ?
A Lyon, il avait traîné les pieds, refusant de la mettre au débat. Le socialiste Gérard Collomb n’avait pas caché que la réforme des rythmes scolaires le gênait du fait de son impopularité et, comme pour toutes les communes, à cause de sa mise en place complexe. Plus possible de faire l’impasse, en vue de la rentrée 2014. Cette fois un emploi du temps a été fixé pour les écoles publiques de Lyon.
Le Figaro - Christian Paul : «Nous sommes une majorité à souhaiter des inflexions substantielles»
INTERVIEW - Élu de la Nièvre, Christian Paul est un des chefs de file des 41 députés qui s'étaient abstenus sur le programme de stabilité.
14 mai
LCP - Valls en mission pour ressouder députés PS et gouvernement
Entre "câlinothérapie" et rappels à la discipline, Manuel Valls, venu devant les députés socialistes avec la quasi-totalité du gouvernement, veut resserrer les liens avec une majorité toujours en proie au doute, à deux semaines de nouvelles élections périlleuses pour le PS.
Les Echos - Foyers modestes : un geste sur les impôts locaux dès cette année
Les ménages modestes vont bénéficier d’une remise d’impôt sur le revenu, mais aussi de taxe d’habitation.
Europe 1 - Bienvenue au "club des socialistes affligés"
LE COURANT QUI VA FAIRE PARLER - Ce groupe de réflexion dénonce la politique économique menée par le gouvernement.
Tout est dans l'intitulé. Pas sûr que leur initiative plaise à Solférino. Liêm Hoang Ngoc, eurodéputé socialiste sortant, annonce lundi la création d'un nouveau courant au PS, autobaptisé le "club des socialistes affligés". Ce groupe de réflexion entend surfer sur la dynamique enclenchée par les 41 députés frondeurs, qui se sont abstenus lors du vote sur le programme de stabilité budgétaire à l'Assemblée, le 29 avril dernier.
Le Monde - Le « Club des socialistes affligés » veut contester la politique de l'offre de Hollande
Rien que par son intitulé, cette initiative ne devrait pas passer inaperçue. Le socialiste Liêm Hoang Ngoc lance, lundi 12 mai, un « club des socialistes affligés », pour battre en brèche la politique économique suivie par le tandem François Hollande-Manuel Valls.
Le manifeste des socialistes affligés
13 mai
Lyon Capitale - Européennes : Manuel Valls à Lyon le 23 mai
Manuel Valls viendra à Lyon le vendredi 23 mai pour le meeting de clôture de la campagne du parti socialiste des élections européennes. Il sera accompagné de Vincent Peillon mais aussi de l'allemand Martin Schulz.
Le Monde - Hollande et Valls s'engagent dans la bataille des européennes
François Hollande et Manuel Valls semblent avoir retenu la leçon des municipales, au moins sur la forme. Le gouvernement et le Parti socialiste ont en effet choisi de ne pas mettre leur rose dans la poche dans la campagne pour les élections européennes. A deux semaines du vote, le choix a été fait par l'exécutif de s'impliquer personnellement dans la bataille.
Le Monde - Martine Aubry, cette alternative qui ne vient pas
La mise au point date d'avant le second tour des élections municipales : « Je ne serai pas premier ministre ni demain ni après-demain, mettez-vous ça dans le crâne une bonne fois pour toutes ! Quant à mes soi-disant amis qui parlent à ma place, ça commence à bien faire ! », avait sèchement expliqué au Monde Martine Aubry.
Les Echos - Départementales 2015 : une élection qui s’annonce difficile pour le PS et l’UMP
LE CERCLE. Planifiées pour mars 2015(1), les élections départementales s’appuieront sur un redécoupage général des cantons et des candidatures paritaires, le tout sur fond de remise en cause des conseils généraux. Un contexte qui risque de poser problème pour le PS menacé d'un nouveau vote sanction mais aussi pour l’UMP.
12 avril
Le Monde - Aubry et Cambadélis veulent une autre réforme de l'intermittence
Est-ce une ultime tentative de sensibiliser le gouvernement au sort des intermittents du spectacle, alors que l'accord du 22 mars sur l'assurance-chômage ne cesse d'être contesté, et que le gouvernement a décidé malgré tout d'agréer l'accord ? Ou bien est-ce le signe d'une divergence interne au parti socialiste sur la question des annexes 8 (techniciens) et 10 (artistes) de l'Unedic ? Toujours est-il que le courrier adressé le 7 mai par la maire de Lille, Martine Aubry, au ministre du travail François Rebsamen, lui demandant de « ne pas agréer le texte de la convention Unedic qui sera soumis au gouvernement dans les prochains jours », n'est pas passé inaperçu.
Le Figaro - Élections européennes : Valls tente de mobiliser la gauche
Ils espéraient limiter la casse, ils veulent maintenant sauver les meubles. Deux mois après la déroute des élections municipales, les socialistes abordent avec appréhension le scrutin européen du 25 mai. «Ces élections ne peuvent pas être bonnes pour nous, tranche un membre du bureau national du PS. Y a-t-il une seule raison, même infime, de voter socialiste aujourd'hui? J'ai beau chercher, je n'en vois aucune.»
Ce qu'il faut retenir de l'interview de Manuel Valls sur TF1
Impôts, élections européennes, crise ukrainienne... Le Premier ministre était l'invité du 20 heures de TF1 et a notamment annoncé la sortie de l'impôt de 650.000 ménages dès 2014.
Le Monde - Malgré la crise en Ukraine, la France livrera bien ses Mistral à la Russie
Le doute n'est désormais plus permis. Malgré la crise en Ukraine, la France n'a aucune intention de suspendre la livraison des deux navires de guerre de type Mistral à la Russie. Ce contrat de 1,2 milliard d'euros n'a pas vocation à faire partie d'un paquet d'éventuelles sanctions économiques de l'Union européenne à l'encontre de Moscou.
Le JDD - Boko Haram : Hollande annonce un sommet africain
François Hollande a annoncé dimanche soir la possible tenue, en fin de semaine, d'un sommet de dirigeants africains sur la sécurité au Nigeria, après l'enlèvement par le groupe terroriste Boko Haram de plus de 200 jeunes filles.
FranceTVinfo - François Hollande continue de chuter dans les sondages
Le président enregistre son plus bas score avec le baromètre OpinionWay publié dimanche pour Clai-Metronews-LCI. Seuls 18% des sondés sont satisfaits de son action.
Le JDD - "Je suis pour supprimer les conseils généraux"
VERBATIM - Didier Guillaume, patron des sénateurs PS et président du conseil général de la Drôme.
La Tribune - Plus d'un Français sur deux favorable à la suppression des départements
Selon un sondage Ifop pour le "Journal du Dimanche", 55% des Français hors Paris est favorable à la suppression des conseils généraux.
Le secrétaire d'Etat à la réforme territoriale, André Vallini, estime, vendredi 9 mai dans un entretien au Figaro, que la réforme territoriale permettrait un gain « annuel de 12 à 25 milliards d'euros ».
« Le budget des collectivités locales représente au total 250 milliards d'euros. Les meilleurs spécialistes pensent qu'en tablant sur des économies d'échelle et des suppressions de doublons qui pourraient à terme représenter de 5 % à 10 % on arrive à un gain annuel de 12 à 25 milliards d'euros à moyen terme. Ce qui est beaucoup. Sans parler des gains de temps et d'efficacité qui sont difficilement quantifiables mais sans doute très importants ».
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Discours de Jean-Christophe Cambadélis au meeting européen de Lille le 15 mai par Parti socialiste
Discours de Jean-Christophe Cambadélis au... par PartiSocialiste -
Le débat Cambadélis-Cosse-Mélenchon : les conditions d'un dialogue à gauche, par Mediapart
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Le débat Cambadélis-Cosse-Mélenchon : penser l’Europe, ou pas, par Mediapart
Le débat Cambadélis-Cosse-Mélenchon : penser l... par Mediapart -
Le débat Cambadélis-Cosse-Mélenchon : représentation des partis et Grand marché transatlantique par Mediapart
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Jean-Christophe Cambadelis : « Le PS est confronté à de grandes… » par RFI
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L'actualité des socialistes du 28 avril au 11 mai (mise à jour)
Jusqu'au 11 mai, pour cause de vacances, l'actualité sera suivie beaucoup plus irrégulièrement. Chaque jour des vidéos ou des documents de réflexion seront toutefois proposés sur ce blog.
_________________________________________________________________9, 10 et 11 mai
Le Figaro - Manuel Valls cajole les députés socialistes et garde un œil sur les frondeurs
Opération «câlinothérapie». Après le vote serré sur le programme de stabilité et à quelques semaines de la présentation des textes très sensibles rectifiant les budgets de l'État et de la Sécurité sociale pour 2014, Manuel Valls souhaite recoller les morceaux avec le groupe PS de l'Assemblée «en déshérence depuis deux ans», selon les mots d'un proche.
Le Monde - Européennes : la lettre ouverte de Cambadélis à Marine Le Pen
Pour l'instant, ils ne débattent pas physiquement l'un contre l'autre mais par médias interposés. Le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a envoyé, jeudi 8 mai, une lettre ouverte à la présidente du Front national, Marine Le Pen.
L'Express - France 2: Cambadélis boude des Paroles et des Actes
Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du Parti socialiste, a décidé de ne pas participer à l'émission Des Paroles et des Actes consacrée aux élections européennes. Il propose d'être remplacé par Martin Schulz. Une initiative qui fait mauvais effet.
Le Parisien - Européennes: Cambadélis propose à Le Pen un débat «où elle veut, quand elle veut»
«Mais puisque vous y tenez, je vous propose donc un débat Madame, où vous voulez et quand vous voulez». Voilà donc le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis bien décidé à en découdre avec Marine Le Pen, devant les caméras.
Le Monde - Françoise Castex, eurodéputée assidue et débarquée
« Réussir à retourner une majorité électorale, dans une vie d'eurodéputée, ça ne s'oublie pas », sourit Françoise Castex, avec une pointe de nostalgie. L'épisode auquel l'élue fait référence est le rejet par le Parlement européen de l'accord commercial anticontrefaçon (ACTA), en juillet 2012, alors que, « au début, on était une toute petite poignée à s'y opposer ». Confortablement installée dans le Thalys qui la conduit au Parlement de Bruxelles depuis dix ans maintenant, la quinquagénaire égrène les sujets sur lesquels elle a ferraillé durant ses deux mandats. Pêle-mêle : le renforcement de la protection des données personnelles, le vote du Parlement sur la neutralité du Net début avril et le lancement d'une contestation du traité transatlantique. Difficile d'imaginer qu'elle devra faire ses cartons dans quelques semaines. Le 27 juin au plus tard, son bureau devra être libéré.
Le Monde - Réforme territoriale : un président de région PS dénonce le « mépris » de Valls
Maire de La Roche-sur-Yon (Vendée) de 1977 à 2004, Jacques Auxiette est président socialiste de la région Pays de la Loire. Il ne se présentera pas pour sa propre succession.
Le Nouvel Obs - Européennes : comment Cambadélis force Le Pen à débattre avec Schulz
Le Premier secrétaire du PS Jean-Christophe a fait savoir son souhait de laisser sa place à Martin Schulz, candidat social-démocrate, dans un débat entre les chefs de parti sur l'Europe.
7 et 8 mai
Le Monde - Régions, vie privée, économie, Alstom : ce qu'a dit Hollande
Deux ans jour pour jour après son élection, François Hollande s'est livré, mardi 6 mai, à un exercice médiatique inédit pour un président de la République : une interview avec un journaliste au style réputé très direct, suivie d'un face-à-face avec les auditeurs de BFM-TV et de RMC pendant plus d'une demi-heure.
Le Nouvel Obs, Laurent Jofrin - Hollande, 2 ans après : le temps des noyaux
Pour Hollande, tout est perdu ? Pas tout à fait. Le scénario du redressement peut encore prendre corps. Mais pour profiter de cette embellie, il ne suffira pas de proclamer qu'on l'avait bien dit.
LE PLUS. François Hollande était l'invité de Jean-Jacques Bourdin, sur RMC et BFM-TV, mardi 6 mai. Pour notre chroniqueur Bruno Roger-Petit, avec cet exercice, il a pu mesurer le gouffre qui le sépare d'une certaine France, beauf et réac, qui demande au président de résoudre des petits problèmes qui n'ont rien à voir avec la fonction présidentielle. A-t-il fait le bon choix avec cette émission ?
Libé - Comment Hollande embarque Valls dans sa galère
RETOUR SUR L'interview de mardi matin a permis au chef de l'Etat de construire la solidarité du couple exécutif.Comme un petit jeu de la barbichette présidentielle. Avec son engagement de ne pas se représenter en 2017 si le chômage n’a pas baissé à cette date, François Hollande fait peut-être un pari macro-économique risqué.
Le Monde - A Villiers-le-Bel, Hollande tente de raviver ses promesses pour la jeunesse
Le bain de foule n'était pas prévu au programme. Mais lorsqu'il est sorti de l'Institut des métiers et de l'artisanat de Villiers-le-Bel (Val-d'Oise), où il avait passé une partie de la matinée à s'entretenir avec des apprentis et des jeunes créateurs d'entreprises, François Hollande n'a pas résisté à ce qui était encore, il y a un peu plus de deux ans, une joie de candidat en campagne.
Libé - Report des élections régionales : «Se donner un an de plus pour la réflexion»
INTERVIEW Didier Guillaume, président du groupe PS au Sénat, se réjouit de l'annonce de François Hollande, qui permettrait d'éviter «un vote pour rien en 2015».
Le Nouvel Obs - Hollande pour le big bang territorial et retarder les Régionales
François Hollande et son gouvernement envisagent désormais de faire la réforme territoriale -suppression des départements et réduction drastique du nombre des régions- avant les nouvelles élections régionales et cantonales, ce qui implique de reporter ces scrutins de 2015 à 2016.
Huffington Post - François Hollande tient sa permanence de député de la France
On pouvait assister à un spectacle bien étrange ce matin au réveil sur RMC-BFM TV:
François Hollande soumis aux injonctions de l'inquisiteur Bourdin d'expier ses pêchés, de confesser ses fautes devant la nation.Face à un Jean-Jacques Bourdin qui ne voulait rater pour rien au monde l'occasion de dévorer tout cru un président, François Hollande peinait à trouver ses mots, se perdait en bafouillements, tentant vainement de se donner une allure de combattant.
Le Monde - Le chef de l'Etat veut restaurer son lien avec la majorité
Et maintenant, les parlementaires ? Après s'être adressé en direct aux Français au micro de RMC, mardi 6 mai au matin, le président de la République est désormais pressé par les ténors socialistes de venir s'exprimer devant ceux qu'il a en partie contribué à faire élire en juin 2012. Après le remaniement du cabinet à l'Elysée et du gouvernement, « la réinstallation du lien avec la majorité doit être l'épisode suivant », conseille le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone pour qui une rencontre prochaine est « inéluctable ».
Huffington Post - Interview de Hollande: un mea culpa télévisé pour passer "du regret au rebond"
INTERVIEW FRANÇOIS HOLLANDE - Pour son deuxième anniversaire à l'Elysée, François Hollande n'a eu droit à aucun cadeau ce mardi matin sur BFMTV et RMC. Bousculé par Jean-Jacques Bourdin et ses auditeurs qui ne l'ont pas ménagé, le président de la République a fait acte de contrition pendant près d'une heure tout en tachant de relancer un quinquennat à la dérive. "Bien sûr que j'ai des regrets", a-t-il reconnu à plusieurs reprises tout en battant sa coulpe sur le rythme des réformes et la faiblesse des résultats constatés.
Le Figaro - Hollande prié de soigner les députés PS
«Moi, président de la République, je ne serai pas le chef de la majorité, je ne recevrai pas les parlementaires de la majorité à l'Élysée.» L'anaphore de François Hollande prononcée le 2 mai 2012 vient de nouveau de recevoir du plomb dans l'aile. Et c'est le député Bruno Le Roux, patron des députés socialistes qui a lancé la salve, à deux jours du deuxième anniversaire de l'arrivée de Hollande à la tête de l'État.
Ouest France - François Hollande le dos au mur
Personne ne sait ce que donnera, dans trois ans, voire dans trois mois, l'opération reconquête que le Président, privé d'un effet Valls, entame ce matin à la radio et à la télévision.
D'abord, pour des raisons politiques. Il n'est pas écrit que la majorité restera majoritaire. Le pacte de stabilité a été voté, la semaine dernière, avec moins de la moitié des députés. Quand les chevènementistes votent contre, quand 41 socialistes s'abstiennent, quand les écologistes prennent leurs distances, on devine que chaque texte sera un combat.
Le Monde - Un « mandat d'éducation » pour faciliter la vie quotidienne
Légiférer sur les beaux-parents n'est pas chose aisée. Beaucoup d'encre a coulé sur le sujet, des projets ont été rédigés… en vain. Dans leur proposition de loi « relative à l'autorité parentale et à l'intérêt de l'enfant », qui doit être débattue par la commission des lois de l'Assemblée nationale mardi 6 mai, les députés PS Erwann Binet (Isère) et Marie-Anne Chapdelaine (Ille-et-Vilaine) ont joué la prudence.
Le Nouvel Obs - Geneviève Fioraso affronte une inquiétante cabale
Une violente fronde anti Geneviève Fioraso a éclaté lors du changement de gouvernement et continue d'empoisonner l'atmosphère universitaire, avec des attaques un peu hystériques.
Retour de courte durée pour Pierre Moscovici. Comme neuf autres de ses anciens collègues au gouvernement, l'ex-ministre de l'Economie est redevenu député samedi 3 mai, un mois après la démission de l'équipe Ayrault.
Mais l'élu du Doubs ne va pas s'attarder au Palais Bourbon. Il vient en effet d'être chargé d'une mission sur l'Europe par le président de la République et le premier ministre. Il en avait lui-même fait l'annonce, lundi ce qui a été confirmé à la lecture du journal officiel du mardi 6 mai.
Le Figaro - Les socialistes angoissent déjà pour la prochaine présidentielle en 2017
«2017 c'est encore loin même si l'heure est au pessimisme», confie Yann Galut au Parisien mardi. Le député PS du Cher n'hésite pourtant pas à évoquer une primaire socialiste en 2017, tant la reconduction de François Hollande lui semble compliquée: «Il n'y a rien de scandaleux à dire que le sortant doit se soumettre à des primaires ça peut être pour Hollande un moyen de renouer avec les français».
Europe 1 - "Plan social" au PS après la gifle des municipales
CRISE - Après la déroute de nombreux maires socialistes, le parti peine à recaser les collaborateurs sur le carreau.
L'envolée du chômage frappe aussi les rangs du PS. Alors que François Hollande annonce pour bientôt un "retournement économique", certains socialistes se voient contraints de pointer à Pôle emploi. Et pour Caroline Roux, éditorialiste d'Europe1, c'est "le sujet tabou au PS, après les élections municipales". Car ce n'est rien de moins qu'un "plan social" qui est en cours.
6 mai
Le Nouvel Obs - Ce qu'il faut retenir de l'interview de François Hollande
Impopularité, retournement, réforme territoriale... Retrouvez tous les grands thèmes sur lesquels le chef de l'Etat s'est exprimé à l'antenne de BFM et RMC.
Le Nouvel Obs - Offensive médiatique de Hollande, élu il y a tout juste deux ans
Deux ans jour pour jour après son élection à l'Elysée, François Hollande sera l'invité mardi matin de BFMTV et RMC Radio, l'occasion pour lui d'en dire plus sur le "retournement économique" qu'il voit venir, sans convaincre à ce stade la classe politique.
BFM - Hidalgo: "Un retournement économique? Non, un frémissement"
La maire PS de Paris s'est exprimée sur BFMTV sur la politique menée par François Hollande et Manuel Valls. Si elle reconnaît un "frémissement" dans l'économie, elle met en garde contre une politique centrée sur la réduction des déficits.
Libé - Des anciens ministres de retour à l'Assemblée nationale
Jean-Marc Ayrault, François Lamy, Cécile Duflot, Alain Vidalies, Michèle Delaunay, Marie-Arlette Carlotti ou encore Guillaume Garot ont retrouvé leur mandat de député, après leur éviction du gouvernement lors du dernier remaniement.
Le Parisien - Déficit : la France ne parviendra pas à passer sous les 3% du PIB
Le retournement , et d'une inflation toujours, la Commission européenne maintient toujours sa pression sur le gouvernement français. «Des fondations solides sont en place pour que la reprise économique se poursuive», s'est félicité Siim Kallas, commissaire européen en charge de ce dossier.
Libé - Des féministes enterrent «le courage du gouvernement» sur la PMA
Une trentaine de militantes d'une association de défense des personnes lesbiennes, bi et trans ont organisé ce lundi devant le ministère de la Famille une action de protestation contre l'abandon de la promesse de rendre accessible la procréation médicalement assistée aux homosexuelles.
3, 4 et 5 mai
Libé - Cambadélis: Hollande «a stoppé le déclin»
Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti socialiste, a déclaré dimanche que François Hollande «a stoppé le déclin» français.
Le député était interrogé dans le Grand Rendez-vous (Europe 1, i-TELE, Le Monde) à propos d’une formule du chef de l’Etat citée en Une par le Journal du Dimanche: «Le retournement arrive».
SAUVE QUI PEUT - C'est le sujet tabou au sein du Parti Socialiste. Et une des conséquences inattendue de la débâcle aux élections municipales. Selon Caroline Roux, journaliste au service politique d'Europe 1, 1 000 personnes se retrouvent au chômage dans les mairies tenues par le Parti Socialiste après la défaite électorale de mars:
Le Pariisien - Déficit : Michel Sapin à Bruxelles pour convaincre la Commission européenne
Alors que la commission européenne publier ce lundi à 11 heures, ses prévisions économiques (croissance, inflation, chômage) des 28 pays de l'UE, Michel Sapin, le ministre des Finances, se rend à Bruxelles pour tenter de convaincre ses homologues de la zone euro sur la politique économique entreprise pour ramener le déficit de la France à 3% du PIB l'an prochain
Le Monde - Amirshahi (PS) : « L'orientation économique de Hollande et Valls ne marche pas »
Pouria Amirshahi fait partie des 41 députés socialistes qui se sont abstenus lors du vote du plan d'économies de 50 milliards d'euros défendu par le premier ministre Manuel Valls. Il explique pourquoi il s'est joint aux syndicats lors de la manifestation du 1er mai et ce qu'il attend de François Hollande et Manuel Valls dans les semaines à venir sur les scènes nationale et européenne. La pratique du pouvoir autant que les orientations de l'exécutif posent problème, explique le député des Français de l'étranger.
2 mai
Libé - Quel avenir pour les «abstentionnistes» du PS ?
Les 41 députés socialistes qui n'ont pas voté le plan de relance continueront de se réunir, mais sans se structurer davantage.
Ils sont quarante et un à avoir refusé mardi de voter en faveur du plan d’économies proposé par le gouvernement. Quarante et un à n’avoir pas voté en faveur du programme de stabilité budgétaire. Ce n’est qu’après de longues discussions qu’ils ont su concilier leurs divergences sur la manière d’exprimer leur désaccord. Leur solution: l’abstention. Mais s’ils estiment que l’effort demandé aux Français est trop important, ils ne se sont pas tous abstenus pour les mêmes raisons.
Libé - Défilés anti-austérité dans toute la France pour le 1er mai
Près de 100 000 manifestants se sont rassemblés à travers le pays, selon le ministère de l'Intérieur. Comme l'an dernier, les syndicats sont partis divisés.
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté dans toute la France jeudi à l’occasion du 1er mai pour dire leur colère contre l'«austérité» mise en oeuvre par le gouvernement et exprimer leur mécontentement face au bilan de François Hollande, deux ans après son élection.
Le Figaro - 1er Mai : Jean-Christophe Cambadélis en appelle à Léon Blum
«Léon Blum? C'est lui qui a fait la révolution du travail…» Alexandre, 8 ans, a retenu une leçon entendue à l'école, mais aussi celle de sa mère, Sandrine Mazetier. La députée PS de Paris l'a emmené mercredi à l'hommage à Léon Blum voulu par Jean-Christophe Cambadélis…
BFM - Exclusif-Baromètre BVA-BFM: Valls redonne plus confiance à droite qu'à gauche
Le dernier baromètre BVA-BFM-Challenges-Axys, publié ce mercredi 30 avril, montre une légère amélioration de la confiance des Français proches de l'opposition dans l'économie depuis l'arrivée de Manuel Valls à Matignon. Mais sept sondés sur dix se déclarent toujours pessimistes.
1er mai
Un mois après le séisme des élections municipales, le nouveau premier secrétaire du Parti socialiste publie le 30 avril L'Europe sous la menace national-populiste. Un cri d'alarme : Jean-Christophe Cambadélis décrit la France comme « le maillon faible » et pronostique une course à trois PS-UMP-FN pour le second tour de la présidentielle de 2017.
Le Nouvel Obs - Plan de stabilité : qui sont les 41 députés PS abstentionnistes ?
Une quarantaine de députés de la majorité n'a pas voté mardi le programme de stabilité présenté par le gouvernement. Décryptage.
L'Express - Le jour d'après à l'Assemblée, les projets des 41 abstentionnistes PS
Paris - Les 41 députés PS qui se sont abstenus mardi sur le plan d'économies refusent la pilule "social-démocrate" prescrite par le duo Hollande-Valls et se retrouvent en position de force pour peser dans les débats à venir, avec le soutien d'autres membres du groupe socialiste.
L'Express - PS: 41 abstentions et puis s'en vont?
L'abstention de 41 députés socialistes lors du vote du plan d'économies de 50 milliards d'euros mardi a frappé les esprits. Ces parlementaires veulent maintenant transformer l'essai.
Le Point - PS : qui sont les 41 lâcheurs ?
Derrière les abstentionnistes socialistes qui ont refusé de voter le pacte de stabilité de Manuel Valls, il ne semble pas y avoir de tête de réseau. Analyse.
Le Monde - Le coup de semonce du PS à Valls et à Hollande
Quelle majorité, aujourd'hui, pour Manuel Valls et François Hollande ? Pendant les deux premières années du quinquennat, nombre de socialistes estimaient que le chef de l'Etat n'avait pas tout à fait la majorité pour mener sa politique. Le vote de l'Assemblée sur le « programme de stabilité budgétaire », mardi 29 avril, le souligne avec une lumière crue : depuis le départ de Jean-Marc Ayrault, l'équation politique s'avère plus délicate que jamais.
Le Figaro - Européennes : Peillon reconnaît que «la campagne sera très difficile»
À moins d'un mois des élections européennes, trois têtes de listes pour la région Sud-Est, l'ancien ministre PS Vincent Peillon, l'ex-secrétaire d'Etat UMP aux Affaires étrangères Renaud Muselier et le président d'honneur du FN Jean-Marie Le Pen ont croisé le fer mercredi lors d'un débat organisé par Europe 1, LCI et Le Figaro. L'enquête Ifop publiée la veille sonne comme un avertissement pour le PS: l'UMP arrive en tête des intentions de vote dans cette région (28%), devant le FN (23%) et loin devant la liste conduite par Vincent Peillon (13 %).
Le Lab - Arnaud Montebourg et Laurent Fabius s’écharpent en plein conseil des ministres
D’après Arnaud Montebourg, le conseil des ministres version Manuel Valls, "ça a de la gueule". Ça tire la gueule également, à en croire une information publiée ce mardi 29 avril par Le Canard Enchaîné.
30 avril
L'Expansion - Paul (PS): "On n'est pas condamnés au bras de fer" avec le gouvernement
Paris - Christian Paul, un des députés socialistes frondeurs, a estimé que le nombre important d'abstentionnistes au PS sur le programme de stabilité ne condamnait pas à un "bras de fer" avec le gouvernement.
Le Nouvel Obs- Plan d'économies : "Manuel Valls a gagné sur le fil"
Les éditorialistes estiment que le Premier ministre a franchi de justesse une première étape à l'Assemblée nationale lors du vote du plan de stabilité.
Le blog de Françoise Fressoz - La majorité rétrécie de Manuel Valls
41 députés socialistes ont fait le choix de s'abstenir, mardi 29 avril, lors du vote sur le programme de stabilité budgétaire. Pour Manuel Valls, ce n'est pas un désastre : le premier ministre dispose d'une majorité pour gouverner. Mais c'est un sérieux avertissement. Pour mener le redressement, phase cruciale du quinquennat, il ne dispose d'aucun blanc-seing. Sa majorité est rétrécie, sa majorité est rebelle. Sa majorité va lui donner du fil à retordre.
Libé - A l'Assemblée, Valls décroche un vote sans passion... et des abstentions
Le Premier ministre a obtenu la majorité à l'Assemblée sur le plan d'économies mais 41 députés socialistes de sont abstenus.
A l'issue d'une journée de débat dans l'hémicyle et de petites phrases dans les couloirs de l'Assemblée, Manuel Valls a obtenu un vote favorable sur son plan d'économies (265 pour et 232 contre), mais avec 41 abstentions dans les rangs socialistes.
Le Parisien - Plan d'économies : 41 députés PS se sont abstenus
Dans quelle mesure Manuel Valls allait-il être suivi par sa majorité ? C'était le principal enjeu du vote consultatif sur le plan d'économies du gouvernement organisé à l'Assemblée. La réponse est tombée ce mardi soir, en même temps que les résultats de ce scrutin à haut risque pour l'exécutif.
Le Nouvel Obs - Manuel Valls, ses 50 milliards, et les 41 "frondeurs" socialistes
Le plan d'économies de Manuel Valls a bien été adopté, mais sans les voix d'une quarantaine de députés socialistes. Récit d'un vote électrique pour la gauche à l'Assemblée.
Le Figaro - Manuel Valls sous surveillance de la gauche
Jusqu'au bout, Manuel Valls aura tenté de convaincre la majorité de se rassembler autour du programme de stabilité. Les députés ont voté. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le résultat n'est pas à la hauteur de l'énergie déployée et de ce «dialogue nourri, exigeant et fructueux avec les groupes de la majorité» que vantait le premier ministre, mardi après-midi, dans l'hémicycle.
Regards - Vote du Pacte de stabilité : les prémisses d’un bouleversement politique
Le "Pacte de stabilité" a été adopté par l’Assemblée ce mardi 29 avril. Si l’issue du vote ne faisait aucun doute, la composition de la majorité pour entériner ce pacte était, elle, très attendue. La décomposition du PS l’est-elle désormais ?
Le Monde - Comment Valls fait accepter la rigueur au PS
L'épisode aura été rugueux mais, au bout du compte, il pourrait constituer l'acte fondateur de l'ère Valls. Confronté à une contestation dans les rangs d'un PS traumatisé par la déroute des municipales, qui dépassait largement l'aile gauche du parti, Manuel Valls a étrenné ses habits de chef de la majorité et rodé sa « méthode » avant le vote sur le plan de rigueur par l'Assemblée nationale, mardi 29 avril.
Le Figaro - Européennes : sanction en vue pour le PS dans le Sud-Est
UMP 28 %, FN 23 %, PS/PRG 13 %. Ce sondage réalisé dans le Sud-Est annonce-t-il une nouvelle sanction électorale pour le Parti socialiste aux européennes? À vingt-six jours du scrutin, l'enquête Ifop pour Le Figaro, Europe 1 et LCI est alarmante pour la majorité. La liste régionale conduite par Vincent Peillon ne recueillerait que 13 % des voix sur une circonscription de plus 6,2 millions d'électeurs couvrant Provence-Alpes-Côte d'Azur, Corse et Rhône-Alpes.
29 avril
Le Parisien - Un bureau national du PS divisé adopte le plan d'économies de Valls
A la veille d'un vote à l'Assemblée sur le programme de stabilité, le bureau national du Parti socialiste a adopté à 31 voix pour, contre 15 «contre» et une «abstention», une résolution de soutien au dispositif, a annoncé lundi le porte-parole du parti, Olivier Faure. Alors que, dans une lettre aux députés PS, Manuel Valls a demandé la voix de tous, le bureau national du parti apparaît divisé.
Le Figaro - Malgré la grogne, le PS apporte son soutien au plan Valls
Les propositions de Manuel Valls répondent aux attentes du PS… Jean-Christophe Cambadélis l'a affirmé en substance lundi en fin de journée, lors d'un bureau national (BN) extraordinaire du PS consacré au vote à l'Assemblée, mardi, du programme de stabilité du gouvernement. Ce BN «conclusif» a voté le plan de 50 milliards d'économies présenté par le premier ministre par 31 voix pour, 15 voix contre et une abstention. «Un vote extrêmement clair de soutien à Manuel Valls», selon le porte-parole du parti Olivier Faure.
RTL - Le bureau national du PS adopte la résolution "de soutien" du programme de stabilité
Le bureau national du Parti socialiste a adopté à 31 voix pour, contre 15 "contre" et une "abstention", une résolution de soutien au programme de stabilité, à la veille d'un vote crucial au Parlement sur ce sujet, a annoncé lundi 28 avril le porte-parole du parti, Olivier Faure.
Le Figaro - Manuel Valls à l'épreuve de sa majorité
Montrer que l'on est à l'offensive, que l'on mène un combat. Alors que le pacte de responsabilité, sur lequel mise François Hollande pour redonner de la compétitivité aux entreprises et créer de l'emploi, reste contesté par une partie de la majorité, les deux têtes de l'exécutif ont sonné la «mobilisation générale» pour la «bataille de l'emploi». Lundi, à l'occasion d'une «grand-messe» à la Maison de la chimie (sur le modèle de celles qu'organisait jadis Nicolas Sarkozy), où étaient convoqués préfets, sous-préfets, directeurs d'administrations, Valls et Hollande ont défendu pied à pied le pacte et mis en scène le volontarisme du gouvernement dans la lutte contre le chômage.
Le Monde - Parti par parti, qui votera le pacte de stabilité présenté par Manuel Valls ?
Le nouveau premier ministre Manuel Valls a obtenu – plutôt confortablement – la confiance des députés après son discours de politique générale à l'Assemblée nationale. Mais qu'en sera-t-il le 29 avril quand ces mêmes députés devront se prononcer sur le pacte de stabilité ?
Libé - Retraites, pauvreté, fonctionnaires : les annonces du gouvernement
Pour convaincre sa majorité de voter les mesures d'austérité budgétaire qu'il a présentées, le Premier ministre a fait quelques concessions.
Pressé par sa majorité, le Premier ministre Manuel Valls a lâché du lest lundi sur plusieurs mesures du plan de rigueur, dont le gel des retraites, la revalorisation du RSA et confirmé la hausse des salaires des fonctionnaires les moins bien rémunérés. Voici le détails des annonces.
Le Monde - Manuel Valls mobilisé pour défendre le pacte de responsabilité
A la veille du vote sur le programme de stabilité à l'Assemblée nationale, Manuel Valls a défendu, lundi 28 avril, le « pacte » de responsabilité, « nécessaire et indispensable » selon lui. Devant un parterre de préfets, sous-préfets et de directeurs d'administrations, il a tenu à afficher sa vigilance sur l'usage que feront les entreprises des allégements de cotisations, prévues dans le cadre du plan d'économies de 50 milliards d'euros.
Libé - Démission de l'une des nouvelles porte-parole du PS
Rafika Rezgui, arrivée dans les instances du parti avec le nouveau premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, se voit reprocher une situation de conflit d'intérêts.
28 avril
EDITORIAL Avec des amis comme ça pas besoin d’ennemis… A quelques heures d’un vote au Parlement, voici donc Manuel Valls dans l’inconfortable position de devoir compter les voix… parmi les siens. Rarement fronde aura été plus médiatisée que celle qui agite les socialistes sur le programme de stabilité présenté par le Premier ministre. Depuis début avril, les mécontents sont montés au créneau pour dire leur refus d’un plan d’économies de 50 milliards sans contreparties sociales plus affirmées. Personne n’a encore publiquement assumé un vote «contre» le texte, mais la menace de plusieurs dizaines d’abstentions est réelle. Et la majorité du nouveau Premier ministre n’est pas garantie.
Le Nouvel Obs - Pacte de stabilité : 36h pour convaincre les députés PS frondeurs
Hollande et Valls vont défendre leurs grandes orientations économiques lors d'une réunion avec tous les acteurs de l'Etat ce lundi.
Libé - Valls «confiant» sur le vote du programme de stabilité mardi
Le premier ministre veut être optimiste en dépit d’une fronde sans précédent des députés PS contre le plan de 50 milliards d’économie.
Le Premier ministre Manuel Valls s’est déclaré «confiant» dimanche sur le vote du programme de stabilité mardi à l’Assemblée, en dépit d’une fronde sans précédent des députés PS contre le plan de 50 milliards d’économie.
Le Monde - Plan d'économies : Manuel Valls aux prises avec sa majorité
Existe-t-il une majorité alternative pour appuyer le plan d'économies et le pacte de responsabilité et de solidarité mis en oeuvre par le gouvernement de Manuel Valls, qui sera soumis au vote consultatif des députés mardi 29 avril ? Le premier ministre devra-t-il aller chercher dans l'opposition les voix qui lui feront défaut dans la majorité ? A-t-il fait le choix d'aller à l'épreuve de force avec une partie, même, des députés socialistes ?
Le Nouvel Obs - Programme de stabilité : Hollande et Valls, 36h pour convaincre
Les tractations se poursuivent pour tenter d'amadouer les députés PS qui menacent de ne pas voter mardi le programme de stabilité.
Le Nouvel Obs - Cambadelis : "Il faut savoir terminer une fronde"
Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadelis s'adressait aux députés de son camp qui refusent de voter le programme de stabilité mardi.
Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadelis a déclaré dimanche 27 avril qu'il fallait savoir "terminer une fronde", à l'adresse des députés socialistes qui refusent de voter le programme de stabilité mardi à l'Assemblée. "Si c'est une fronde il faut savoir terminer une fronde", a déclaré sur Radio J Jean-Christophe Cambadelis.
Le Figaro - Au PS, l'agacement des députés «légitimistes» contre les «frondeurs»
Christophe Caresche dénonce «l'immaturité politique» des primo-députés qui s'opposent au plan de Manuel Valls. Son collègue Jean-Louis Gagnaire demande la démission de Laurence Dumont, députée frondeuse, de son potse de vice-présidente de l'Assemblée.
Le Monde - Alstom : Arnaud Montebourg exprime sa « vigilance patriotique »
Le dossier s'annonce ravageur pour le jeune gouvernement Valls. L'américain General Electric (GE) s'intéresse bien à Alstom, le spécialiste tricolore des infrastructures d'énergie et de transport, comme l'a révélé l'agence Bloomberg, jeudi 24 avril. Il convoite ses activités dans l'énergie, soit plus de 73 % de l'activité d'Alstom. Un prix autour de 10 milliards d'euros pour ces actifs est évoqué, non compris les 2 milliards d'euros de trésorerie logée dans Alstom Power.
Le Monde (blog) - Manuel Valls: petites leçons d’Italie
Le premier ministre français n'est pas venu à Rome pour assister seulement, en costume et cravate noirs de rigueur, à la messe de canonisation des papes Jean XXIII et Jean-Paul II. Arrivé samedi, il en a profité pour dîner en compagnie de Matteo Renzi, le nouveau président du conseil auquel on le compare volontiers.
Libé - Le gouvernement souhaite créer «une douzaine de régions», selon Vallini
Le secrétaire d’Etat en charge de la réforme territoriale précise que l'objectif est que ces nouvelles grandes régions soient «mieux armées, en visibilité aussi, dans la compétition économique internationale».
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Cambadélis, patron d'un PS "convalescent"
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L'actualité des socialistes du 22 au 27 avril (mise à jour)
A la une
L'Humanité - Extension du domaine du doute au Parti socialiste
Pacte de responsabilité, plan d’économies… Les raisons de se méfier du cap suivi par François Hollande s’allongent chez les militants. Reportage à Lyon, chez les adhérents de la Croix-Rousse, où l’on débriefait après les municipales.
27 avril
Slate - La première courbe à infléchir pour Manuel Valls est celle de la défiance
Pour Manuel Valls, le principal danger n'est pas la fronde des députés socialistes, mais le risque de voir échouer son plan de relance de l'économie. Dans ce domaine, il va devoir affronter trois écueils: la finance, la macroéconomie et la confiance.
Le JDD - Les soutiens de Valls s'organisent
TRIBUNE - Après l'"Appel des 100" frondeurs socialistes paru dans le JDD début avril, voici l'"Appel des 20" députés soutenant le plan d'économies de Manuel Valls.
« Pourquoi nous ne voterons pas le programme de stabilité » Tribune publiée dans Libération
Par Laurence Dumont, Jean-Marc Germain et Christian Paul, députés PS Le 29 avril, nous ne voterons pas le pacte de stabilité de François Hollande. Pour la première fois depuis juin 2012, nous n’apporterons pas notre suffrage au gouvernement issu de la majorité à laquelle nous appartenons. Le redressement dans la justice, l’engagement clé du Président et de chacun d’entre nous, n’a pas été abandonné après 2012. Mais notre conviction s’est faite, et rien n’est venu la démentir : le nouveau plan qui nous est soumis n’atteindra pas ces deux objectifs majeurs.
26 avril
Le Nouvel Obs - Valls au Vatican : la gauche n'en rajoute pas
Le Premier ministre sera présent dimanche pour la canonisation de Jean-Paul II. Après avoir critiqué la présence de François Fillon en 2011 pour la béatification, le camp du gouvernement se fait beaucoup plus discret.
Le Parisien - Laurent Fabius : «Nous avons besoin de l'Europe»
Élections. A un mois d'un scrutin où le PS risque encore une mémorable claque, Laurent Fabius défend l'Union européenne, mais l'exhorte à changer.
Le Nouvel Obs - François Hollande "pas assez à gauche"?
Une majorité de sympathisants de gauche juge que François Hollande n'est "pas assez à gauche" (56%), soit 16 points de plus qu'en novembre 2012, selon un sondage BVA pour iTélé, CQFD et "Le Parisien/Aujourd'hui" en France publié samedi.
Le Parisien - Plan d'économies : plusieurs députés PS ne voteront pas le texte
Bras de fer au sein de la majorité. Alors que les grandes manoeuvres se poursuivent en vue du vote du programme de stabilité à l'Assemblée mardi prochain, plusieurs députés PS clament haut et fort qu'ils ne voteront pas le texte du gouvernement
Le Monde - Plan Valls : Cambadélis annonce une séance extraordinaire du bureau national du PS
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, se dit « confiant » en « l'issue » du débat qui agite les socialistes sur le plan de réduction des dépenses publiques présenté par le premier ministre, Manuel Valls. Cette confiance, M. Cambadelis l'a justifiée, jeudi 24 avril, dans un propos liminaire lors d'une conférence de presse consacrée aux élections européennes, en estimant que ce débat interne est mené sur « une idée simple : amender sans détricoter » le projet du gouvernement.
25 avril
Libé - Plan d'économies : Laurent Baumel accuse le gouvernement de «despotisme éclairé»
Le député socialiste d'Indre-et-Loire ne votera pas en faveur du plan d'économies annoncé par le gouvernement.
Michel Sapin, ministre des Finances et des comptes publics, présentait ce mercredi en conseil des ministres le programme de stabilité 2014-2017. Ce plan, dont le but est d’économiser 50 milliards d’euros d’ici à 2017, fait l’objet d’un rejet de la part de nombreux députés de la majorité. Laurent Baumel, député PS d’Indre-et-Loire, dénonce le manque de flexibilité du gouvernement.
Le Monde - Matignon peine à calmer la grogne des députés PS
Une valse à deux temps. Premier temps. Mercredi 23 avril, 12 heures, salle Lamartine, à l'Assemblée nationale, les députés membres de la commission des finances attendent le ministre des finances, Michel Sapin, et le secrétaire d'Etat chargé du budget, Christian Eckert, qui vont présenter le programme de stabilité 2014-2017. Au moment où les deux ministres entrent dans la salle, les députés découvrent sur leurs tablettes ou leurs smartphones la « une » du Monde : « Sapin douche les attentes du PS ».
BFM - Pacte de stabilité: la fronde des députés PS
Réunis à l’Assemblée nationale mercredi, plus de 40 députés socialistes ont élaboré des alternatives au plan d’économie de 50 milliards d’euros présenté par le gouvernement.
Le Nouvel Obs - Valls confirme une prochaine "mesure forte" en faveur des retraités modestes
Manuel Valls a confirmé jeudi, lors d'une visite d'usine à Saint-Lubin-des-Joncherets (Eure-et-Loir), qu'une "mesure forte" serait prochainement prise en faveur des retraités modestes, en dépit du plan d'économies gouvernemental de 50 milliards d'euros.
Libé - Le PS souhaite un «coup de tonnerre» progressiste pour «réorienter l’Europe»
Le Parti socialiste a présenté jeudi son argumentaire de la campagne des européennes du 25 mai pour «réorienter l’Europe» vers une «nouvelle croissance», Jean-Christophe Cambadélis considérant que l’arrivée d’une majorité «progressiste» au Parlement de Strasbourg serait un «coup de tonnerre».
Libé - Sapin : un geste en faveur des petites retraites est «sur la table»
Le ministre des Finances a reconnu que la non-revalorisation des retraites, prévue par le plan d'économies, pourrait mettre en difficulté les bénéficiaires de petites pensions.
Le Monde - Juppé et Rocard refusent de travailler sous la tutelle de Montebourg
Alain Juppé et Michel Rocard ont décidé de démissionner de leur rôle de supervision du programme d'investissements d'avenir (PIA) après que ce dernier a été placé sous l'autorité du nouveau ministre de l'économie, Arnaud Montebourg
Politis - Ils ont quitté le secrétariat national du PS et s’expliquent…
Leur prise de distance a fait moins de bruit que le départ de Caroline de Haas ou de l’eurodéputée Françoise Castex, qui ont toutes deux récemment quitté le PS (voir ici et là).
Reste que la démission du secrétariat national du PS d’une petite dizaine de socialistes du courant Un monde d’avance (« l’aile gauche » du PS) en dit long sur le malaise qui grandit au sein de la majorité. « Nous avons pris collectivement la décision de quitter la direction du PS et de sortir du Secrétariat national, alors que nos représentants étaient parmi les plus actifs et les plus utiles », ont-ils écrit à l’intention des militants de leur courant au lendemain du conseil national qui a entériné l’arrivée de Jean-Christophe Cambadélis à la tête du Parti.24 avril
Le Nouvel Obs - Laurent Baumel : "Pourquoi je ne voterai pas le plan de 50 milliards"
Laurent Baumel ne cache pas son amertume. Ce mercredi 23 avril, alors que Michel Sapin, ministre des Finances, et Christian Eckert, secrétaire d'Etat au Budget, étaient auditionnés par la Commission des Finances pour présenter le pacte de stabilité, le député socialiste d'Indre-et-Loire a tweeté qu'il ne voterait pas le plan d'économies de 50 milliards en l'état
Le Monde - Hollande hué dans la ville de Jaurès
Voilà deux ans que François Hollande n'avait pas mis les pieds à Carmaux. C'était le 16 avril 2012, six jours avant le premier tour de l'élection présidentielle. Ce soir-là, une estrade avait été installée sur la place Jean-Jaurès, au pied de la statue du grand homme, et celui qui n'était encore que le candidat du PS y avait prononcé un discours vibrant, devant une foule chaleureuse qui souhaitait ardemment sa victoire.
Ambiance au parti socialiste. Alors que la commission des Finances de l'Assemblée nationale auditionnait Michel Sapin sur le pacte de stabilité, des voix se sont élevées à gauche pour dénoncer les décisions du gouvernement. "Les grands équilibres ne seront pas modifiés", a résumé dans Le Monde, le ministre des Finances.
Le Monde - Michel Sapin : « Les grands équilibres ne seront pas modifiés »
Le ministre des finances et des comptes publics, Michel Sapin, présentait en conseil des ministres, mercredi 23 avril, le programme de stabilité 2014-2017. Ce document fixe la trajectoire des finances publiques de la France pour les trois ans à venir. Il sera débattu et voté à l'Assemblée nationale le 29 avril, avant d'être transmis à la Commission européenne le 7 mai.
Politis - Austérité : les surprises du programme de stabilité 2014-2017
La présentation en conseil des ministres, le 23 avril, du programme de stabilité pour 2014-2017, a donné lieu à quelques mises au point et surprises.
Le Nouvel Obs - Croissance : Hollande est-il trop... optimiste?
Réduire les déficits publics, relancer la croissance et créer des centaines de milliers d'emplois. La feuille de route du gouvernement serait-elle un peu "optimiste" ?
Politis - Thomas Piketty : l’économiste "frenchie" nouvelle star aux Etats-Unis ?
Parti faire une « tournée » américaine de présentation de son dernier livre, Le capital au XXIe siècle, l’économiste Thomas Piketty est en train de devenir une quasi star outre-Atlantique. Ironie du sort, ce proche du parti socialiste en France mais qui trouve François Hollande « assez nul », a séduit les démocrates et a été reçu en grande pompe à la Maison Blanche par les conseillers d’Obama et le secrétaire américain au Trésor
Le Monde - Un nouvel homme à la communication de l'Elysée
L'Elysée a annoncé, mercredi 23 avril au soir, la nomination de Gaspard Gantzer au poste de « chargé des relations presses, chef du pôle communication ». Un poste qu'occupait, entre autres, jusqu'à vendredi dernier, Aquilino Morelle, démissionnaire après les révélations de soupçons de conflit d'intérêts pesant sur lui.
Libé - Plan d'économies : «Nous ne sommes pas des députés godillots»
INTERVIEW Le député PS Yann Galut explique pourquoi plusieurs de ses collègues proposent des scénarios alternatifs à celui du gouvernement pour réaliser 50 milliards d'euros d'économies d'ici 2017.
23 avril
Libé - Plan d'économies : les députés PS «pensent avoir été entendus»
Plusieurs d'entre eux ont été reçus à Matignon ce mardi, où ils ont présenté une alternative au plan d'économies de 50 milliards d'euros, qui modifie la répartition de l'effort.
Le Monde - Plan d'économies : les 3 scénarios alternatifs des élus PS
Le Parti socialiste, après la débâcle des élections municipales, le remaniement précipité à tous les étages du pouvoir et la désastreuse affaire Aquilino Morelle, est à bout de nerfs. Nul, aujourd'hui, n'est en mesure de garantir que le programme de stabilité, qui fixe les prévisions financières de la France et doit être voté le 29 avril à l'Assemblée nationale, recueille une majorité.
Le Monde - Des députés PS attendent les « bons signaux » de Manuel Valls
Alors que Manuel Valls doit recevoir mardi 22 avril après-midi des députés socialistes qui souhaitent voir modifié le pacte de responsabilité, le député Alexis Bachelay attend du premier ministre « les bons signaux » susceptibles de « protéger le pouvoir d'achat » des plus modestes et de « ressouder la majorité ».
Huffington Post - Les petites retraites préservées du plan d'économies de 50 milliards?
Dans quelle mesure, le plan de 50 milliards d'euros d'économies annoncé le 16 avril par Manuel Valls peut-il être amendé? Alors que l'aile gauche du PS aimerait le limiter à 35 milliards, une partie des députés socialistes présente au gouvernement un plan alternatif.
Ce mardi 22 avril, Manuel Valls s'entretient avec une douzaine d'entre eux, dont leur président Bruno Le Roux et la rapporteur générale du Budget, Valérie Rabault pour recevoir leurs propositions.
France Culture - Invité du journal, le député social Laurent Baumel. Il répond aux questions d'Antoine Mercier, dont la première : les députés socialistes qui rencontrent manuel Valls cet après midi ne sont-il pas en "service commandé" Autrement dit l'opération adoucissante est-elle gérée en accord avec Matignon ?
Le Nouvel Obs - Les députés PS "pensent avoir été entendus" par Valls
Aucune décision n'a été prise lors de leur réunion à Matignon, mais les députés PS à l'origine du scénario alternatif indiquent que "le dialogue se poursuit" sur les 50 milliards d'économies.
Le Nouvel Obs - Députés frondeurs : "La politique, c'est aussi l'art du compromis"
Les scénarios "alternatifs" imaginés par la députée PS Karine Berger sont défendus cet après-midi face à Manuel Valls. Le "frondeur" Pierre-Alain Muet y voit l'occasion d'un compromis.
23 avril
Mediapart - Sommes-nous « morts pour rien » ? Ou pourquoi les députés socialistes se mobilisent
Laurent Baumel, député socialiste d’Indre-et-Loire, co-animateur de la Gauche populaire et signataire de l’Appel des 100 députés pour une inflexion de la politique économique du gouvernement, s'explique sur le refus de « s’accommoder à l’idée que nous serions définitivement condamnés à vivre nos vies de députés majoritaires dans une sorte de monarchie républicaine »
Le Monde - 50 milliards d'économies : les trois scénarios alternatifs des députés PS
Le Parti socialiste, après la débâcle des élections municipales, le remaniement précipité à tous les étages du pouvoir et la désastreuse affaire Aquilino Morelle, est à bout de nerfs. Nul, aujourd'hui, n'est en mesure de garantir que le programme de stabilité, qui fixe les prévisions financières de la France et doit être voté le 29 avril à l'Assemblée nationale, recueille une majorité.
Le Monde - Des députés PS proposent un autre plan d'économies que celui de Valls
« Je sais les attentes, je sais les doutes », avait commenté Manuel Valls, le 16 avril, en présentant son plan pour réduire les dépenses publiques de 50 milliards d'euros entre 2015 et 2017. Probablement ne mesurait-il pas encore l'ampleur des doutes dans les rangs de sa majorité.
22 avril
Le Nouvel Obs - Des députés PS proposent des plans d'économies alternatifs
PARIS (Reuters) - Plusieurs députés PS ont élaboré au cours du week-end trois scénarios alternatifs au plan d'économies de 50 milliards d'euros de Manuel Valls pour tenter de rassembler la majorité avant le vote du programme de stabilité à l'Assemblée nationale.
Le Nouvel Obs - 50 milliards d'euros d'économies : les 3 alternatives de députés PS
Sous l'impulsion de Karine Berger, ils proposent à Manuel Valls trois scénarios permettant de tenir les objectifs sans geler les prestations sociales.
Le Nouvel Obs - Comment Hollande et Royal ont enterré la hache de guerre
Ils se sont aimés, séparés et déchirés sous le regard des Français. Valérie partie, revoilà Ségolène : histoire secrète d'un retour qui est aussi un grand pardon.