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actualité - Page 281

  • La Croix - Arnaud Montebourg, franc-tireur de la gauche

    LES CANDIDATS À LA PRIMAIRE DE LA GAUCHE (2/7). Adepte des coups d’éclats, l’ancien ministre de l’économie et du redressement productif a mené un parcours solitaire au PS. Avec son « projet France », il se positionne comme un candidat anti-système et anti-austérité.

    Les 10 et 11 décembre derniers, Arnaud Montebourg a fait une incursion en Algérie. Un déplacement destiné à lui donner une stature de présidentiable qui lui a également permis d’évoquer avec « émotion » ses origines. Son ascendance algérienne par sa mère, Leïla Ould-Cadi, est sans doute l’un des aspects les moins connus du pedigree de l’ancien ministre de l’économie, qui se définit volontiers comme « arabo-morvandiau ». Des origines mêlées et modestes – son grand-père paternel était boucher à Autun – qu’il a choisi d’assumer après les avoir longtemps occultées. Au point qu’il n’était pas rare qu’on accole à son nom une particule toute aristocratique.

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  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PEILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • Libé - Edouard Martin : «Benoît Hamon n'est pas le vilain gaucho qui est contre tout»

    L'eurodéputé, proche d'Arnaud Montebourg avec qui il avait planché sur le dossier Florange, explique pourquoi il a choisi de soutenir Benoît Hamon, dont il apprécie le projet social et le discours sur le travail.

    On appelle ça une belle prise. L'eurodéputé socialiste, l’ancien syndicaliste et l’un des visages de la lutte pour sauver Florange a décidé de soutenir Benoît Hamon lors de la primaire de la Belle alliance populaire (BAP). Alors que ces dernières années, il affichait une certaine proximité avec Arnaud Montebourg. Edouard Martin explique son choix à Libération.

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  • France Inter, Thomas Legrand - Bal tragique à Solférino

    La Belle Alliance Populaire ne s'annonce pas sous les meilleurs auspices pour le Parti Socialiste.

    Pour reprendre cette fameuse une de Charlie Hebdo : Bal tragique à Solférino, sept morts... Comme autant de candidats qui concourront les 22 et 29 janvier prochain pour devenir le représentant du Parti Socialiste et de ses alliés périphériques.

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  • Direct Matin - Présidentielle 2017 : le programme de Benoît Hamon

    Il est souvent décrit comme le «troisième homme» de la campagne de la primaire socialiste. Avec un programme qui le situe à gauche du PS, Benoît Hamon peut espérer peser sur l'élection. 

    L'ancien ministre de l'Education a dévoilé les grandes lignes de son programme, qui vise notamment, selon ses propres termes, à «inventer une société où l'accomplissement n'est pas dans le travail». 

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  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PEILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • Primaire de la gauche : Delanoë torpille Peillon et Valls

    L’ancien maire de Paris refuse de soutenir un candidat, mais ne cache pas sa sympathie pour Benoît Hamon.

    Il y a quelques mois, Bertrand Delanoë s’imaginait déjà en porte-voix de François Hollande pour l’élection présidentielle. Le renoncement du chef de l'État a finalement laissé l’ancien maire de Paris orphelin du président de la République et les candidats en lice à la primaire de la Belle Alliance populaire ne semblent plus trouver grâce à ses yeux.

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  • Libé - A gauche, «revenu minimum décent» ou «revenu universel d’existence» ?

    Alors que Benoît Hamon propose la création d’un «revenu universel d’existence», Manuel Valls préfère envisager un «revenu minimum décent». On fait le point pour s’y retrouver entre les visions des candidats à la primaire socialiste.

    «La première proposition [de Manuel Valls], ça a été d’avoir un revenu décent. Ça a été de faire en sorte que les Françaises et les Français aient un revenu qui leur permette de vivre le plus décemment possible.» Ce mardi matin sur RTL, le président du groupe socialiste au Sénat – et directeur de campagne de Manuel Valls pour la primaire – Didier Guillaume a évoqué une proposition en vogue à gauche, celle d’expérimenter une nouvelle forme d’allocation, qui, selon ses différentes versions, serait dépendante ou non des ressources et remplacerait ou non les autres allocations et aides sociales. Pour vous y retrouver, suivez le guide.

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  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PËILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • LCI - Primaire de la gauche : à un mois du premier tour, seuls 3 candidats sur 7 ont présenté un programme complet !

    Le premier tour de la primaire de la gauche aura lieu le dimanche 22 janvier prochain. Il ne reste donc plus qu'un mois aux candidats pour faire campagne et présenter leurs propositions. Mais seuls trois candidats ont vraiment publié un projet complet. Manuel Valls et Vincent Peillon présenteront le leur au début du mois de janvier seulement.

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  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PEILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.