Pour la première fois, un ouvrage réunit des preuves chiffrées des discriminations en France, que leur motif soit la couleur de peau, l’origine, le sexe, le handicap, l’orientation sexuelle, l’identité de genre ou encore l’appartenance syndicale. Il apporte également les explications utiles sur la définition et la mesure des discriminations. Chiffrer un phénomène illégal est difficile et il faut faire appel à des méthodes complémentaires pour le cerner. Les sources fiables et actuelles sont dispersées. Les résultats d’enquêtes souvent réservés aux experts. Mais ces données existent. En y donnant accès, ce rapport constitue un document de référence pour toute lectrice ou lecteur qui cherche à mesurer l’ampleur des discriminations dans la société. Les non-spécialistes y trouveront les explications utiles dans un langage accessible. Nous voulons aussi doter les très nombreuses personnes engagées pour l’égalité d’informations nécessaires pour sensibiliser et agir. Enfin, nous espérons nourrir le débat public et ainsi contribuer à la mise en place de politiques plus ambitieuses.
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Observatoire des inégalités - Synthèse du Rapport sur les discriminations en France
29 janv. 2024 -
Ploërmel. Sur le barrage filtrant de la Confédération Paysanne
30 janv. 2024Ploërmel le 30 janvier 2024. La Confédération Paysanne, autre organisation syndicale du monde agricole organisait un barrage filtrant pour défendre un autre modèle économique agricole. L'actualité locale de Questembert à Ploërmel sur https://www.lesinfosdupaysgallo.com/
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Jean Viard - Colère des agriculteurs : "Le monde paysan a le sentiment qu'il est en voie de disparition"
29 janv. 2024Malgré les annonces du Premier ministre Gabriel Attal en leur faveur, les agriculteurs poursuivent leur mobilisation à travers la France. La FNSEA et les Jeunes agriculteurs appellent à un siège de Paris à partir de lundi 29 janvier. Pour en parler, le sociologue Jean Viard, directeur de recherche associé au Cevipof-CNRS, et le réalisateur Gilles Perret, auteur du documentaire “La Ferme des Bertrand” qui sortira en salles ce 31 janvier 2024, étaient les invités du Grand entretien de France Inter, dimanche 28 janvier.
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Boris Vallaud, sa réponse à la déclaration de politique générale de Gabriel Attal - 30/01/2024
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Le coup de sang légitime - Le billet de Sophia Aram
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Écologie : "Si nous continuons comme ça, nous allons provoquer un embrasement", estime David Djaïz
29 janv. 2024L'essayiste et enseignant à Sciences Po David Djaïz va publier "La Révolution obligée". Un ouvrage ancré dans l'actualité, où il donne des pistes pour répondre à la colère des agriculteurs, et dans le même temps, poursuivre la nécessaire transition écologique.
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Les vœux du Premier secrétaire Olivier Faure
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Les grosses feignasses de l'école publique - La chanson de Frédéric Fromet
21 janv. 2024Sur un tube de Joe Dassin, réarrangé pour les enseignants de l'école publique, Frédéric rend hommage à la ministre l'Éducation nationale Amélie Oudéa-Castéra.
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Clément Viktorovitch - Les premiers (faux) pas du nouveau gouvernement - Le Café Rhétorique - Stream du 15/01/2024
16 janv. 2024 -
Alexandre Ouizille - L'inflation, phénomène antisocial
21 janv. 2024L’inflation est la préoccupation principale des français. La hausse des prix à la consommation grignotte sérieusement leur pouvoir d’achat. Dans cette vidéo, je vous explique pourquoi les français ont évidemment raison d’en faire le sujet de préoccupation numéro un. L’inflation que nous connaissons est triplement anti-sociale. D’abord, l’inflation que nous connaissons, c’est l’inflation importée.
C’est la hausse de l’énergie et des matières premières, qui augmente tous les prix mais les salaires ne sont pas indexés sur l’inflation. Ensuite, l’inflation est antisociale car elle est injuste : 10 % des français subissent 7 % d’inflation - les plus modestes - quant 10% des français - les plus riches - subissent seulement 3 % d’inflation de sa consommation effective. Troisiemement, l’inflation importée a donné lieu à une grande hausse de la dépense publique avec le bouclier tarifaire et au retour de la voracité des superprofits par les grands groupes.
Or, le Gouvernement a refusé de taxer les superprofits pour payer la dette générée par ce dispositif de protection. C’est donc la hausse des prix dans le futur et la hausse des taxes - dont celle de 10% en 2024 sur les prix de l’électricité - qui vont servir à payer la dette publique générée par les superprofits et la boucle prix-profits. Face à ce choc, nous, socialistes, défendons une idée simple mise en place dans plusieurs pays européens dont l’Espagne : une taxe sur les superprofits.
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Clément Viktorovitch - Enseignement : le théâtre est-il la clé de l’oralité ?