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Quelques jours après que le tribunal des référés a jugé que la campagne d’Attac contre l’évasion fiscale d'Apple est « d’intérêt général », Mediapart invitait, le 28 février 2018, sur son plateau :
- Alma Dufour, chargée de campagne aux Amis de la Terre.
- Franck Lalieux, délégué syndical CGT-Apple Retail France.
La défaite récente du candidat soutenu par la gauche à la dernière élection présidentielle au Chili constitue un nouvel échec pour la gauche en Amérique latine. Si la gauche est multiple en Amérique latine, tant dans ses orientations idéologiques que dans ses pratiques du pouvoir, elle subit dans son ensemble depuis plusieurs années – l’Uruguay faisant exception – de nombreux revers électoraux (Argentine, Chili, Honduras – dans des conditions très contestables), mais aussi le « coup d’État constitutionnel » au Brésil, ou encore les grandes difficultés que rencontrent les autorités en place (Bolivie, Équateur, Venezuela). Quelles analyses et perspectives peut-on tirer de cette situation générale ? Un débat réunit : - Carlos Ominami, président honoraire de Chile 21 et ancien ministre, - Jean Mendelson, ancien ambassadeur, - Jean-Jacques Kourliandsky, directeur de l’Observatoire de l’Amérique latine de la Fondation.
La ville a été faite par et pour les hommes. Comment la repenser aujourd'hui pour qu'elle soit égalitaire ? Tel est l'objectif que Genre et Ville, plateforme de recherche et d'action s'est fixé avec le concours d'urbanistes, de sociologues, d'architectes, d'artistes en lien avec les collectivités territoriales. Retour en images avec Chris Blache, co-fondatrice et coordinatrice de Genre et ville qui nous présente les champs de réflexion et les actions concrètes menées sur le terrain, que ce soit à Paris ou à Villiers-le-Bel, par exemple.
Sur le plateau de Mediapart, ce mercredi 7 mars 2018, Donatella Alfonso, journaliste à La Repubblica, essayiste ; Camille Bedock, chercheuse en science politique à l'Université Libre de Bruxelles, auteure de « Reforming Democracy. Institutional Engineering in Western Europe » (Oxford University Press) ; Christophe Bouillaud, professeur en science politique, auteur d'un blog académique sur la vie politique italienne et Jérémy Dousson, directeur général adjoint de la coopérative Alternatives économiques, auteur d'« Un populisme à l'italienne ? Comprendre le mouvement 5 étoiles » (Les petits matins) analysent le scrutin italien du dimanche 4.
Aux commandes de Bercy de 2012 à 2014, c’est comme acteur de premier plan que Pierre Moscovici a vécu le quinquennat de François Hollande – ces cinq années à la fois baroques et chahutées. À l’occasion de la sortie de son livre, « Dans ce clair-obscur surgissent les monstres. Choses vues au cœur du pouvoir » (Plon, janvier 2018), il en dialoguera avec Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès.
Grand débat sur les stratégies des gauches européennes avec Guillaume Balas, député européen et membre de Génération.s ; Adrien Quatennens, député France insoumise ; et Maite Mola, vice-présidente du Parti de la Gauche Européenne. Présenté par Raphaëlle Martinez et Maximilien Dardel.
Au lendemain du débat des quatre postulants au poste de premier secrétaire du PS, l'essayiste et journaliste Gaël Brustier nous aide à y vois plus clair. Social-démocratie, macronisme, Wauquiez et Front National, Le Média, on en parle dans La Midinale.
Raymond ARON répond tout d'abord à une citation de Jean Louis MISSIKA le concernant "je suis au fond un sociologue qui a peu le sens du social". Puis Raymond ARON poursuit sur le mouvement social et les grèves de Mai 68 : le rôle joué par le parti communiste qui a organisé une grève générale pour parer à l'influence des gauchistes. Raymond ARON précise qu'à cette période, il y a eu des entrevues et des échanges secrets entre le parti communiste et le pouvoir, et il parle de l'échec des Accords de Grenelle, avec la poursuite de la grève. Il revient sur le rôle prédominant des rapports entre le parti communiste et les gauchistes, qui auraient pu être à l'origine d'une situation révolutionnaire. Il explique ensuite les positions du Général de GAULLE, qui envisageait de recourir aux moyens extrêmes, et celle de Georges POMPIDOU, plus nuancée, qui attendait que l'opinion, exaspérée par les grèves, devienne favorable au gouvernement. Il conclut sur les particularités du peuple et de la politique française, qu'il compare à celles des Anglais et des Américains, et considère que depuis Mai 68, la politique française est devenue d'un ennui extraordinaire, "c'est presque aussi sérieux que la politique anglaise".