La transition énergétique peut être financée autrement. Elle ne doit pas peser sur les Français, contrairement à ce que fait ce gouvernement des privilèges fiscaux. Par Olivier Faure, député, premier secrétaire du Parti Socialiste
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J'appelle au dialogue avec les Français et demande des Etats Généraux sur le pouvoir d'achat
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François Ruffin s'interroge sur les "gilets jaunes" : "Il faut chercher à comprendre.....
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L’autogestion en chantier : les gauches françaises et le « modèle » yougoslave (1948-1981)
Cinquante ans après Mai 68, Frank Georgi, maître de conférences HDR à l’université Paris 1 Panthéon Sorbonne, publie L’autogestion en chantier. Les gauches françaises et le « modèle » yougoslave (1948-1981) (éditions Arbre bleu, 2018), un ouvrage soutenu par la Fondation Jean-Jaurès et qui se propose de revenir sur l’une des utopies les plus emblématiques du printemps des barricades : l’autogestion. Il en débat avec Matthieu Tracol, docteur en histoire. Pendant plus d’une décennie, le mot « autogestion », longtemps cantonné aux marges, s’installe au cœur des débats de la gauche française.
Il s’invite dans les programmes des partis et des syndicats, nourrit les réflexions et les rêves d’un socialisme différent, fondé sur la démocratie intégrale, depuis l’entreprise jusqu’à la société tout entière. Il semble prendre corps à travers la grève des ouvriers de Lip en 1973, avant que l’engouement ne retombe à la veille de l’élection de François Mitterrand en mai 1981. Depuis quelques années, l’idée resurgit comme une réponse possible aux impasses du capitalisme contemporain. Frank Georgi, à partir d’une masse impressionnante d’archives inédites, de revues, d’ouvrages et de témoignages d’acteurs, reconstitue et explique cette fascination durable, parfois ambivalente et paradoxale, pour le « pays de l’autogestion », qui a touché nombre d’intellectuels et de chercheurs, de syndicalistes et de militants politiques, des trotskystes et des libertaires aux chrétiens de gauche, de la SFIO au PSU et à la CFDT.
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Fondation Jean Jaurès - Démocratie et droits de l’homme menacés en Amérique latine : débat avec Pedro Molina, le 22 novembre à 18h30
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Intervention de Laurent Baumel au Conseil National du Parti Socialiste du 13 octobre 2018
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J'appelle au dialogue avec les Français et demande des Etats Généraux sur le pouvoir d'achat
La transition énergétique peut être financée autrement. Elle ne doit pas peser sur les Français, contrairement à ce que fait ce gouvernement des privilèges fiscaux. Par Olivier Faure, député, premier secrétaire du Parti Socialiste
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F.Ruffin - "Rendez l'ISF d'abord !"
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Boris Vallaud (Ps) : Gilets jaunes, « le gouvernement dit comprendre, mais il n’entend pas »
Boris Vallaud, député socialiste des Landes, porte-parole du Parti socialiste et du groupe Socialistes et apparentés à l'Assemblée nationale, était ce mardi 20 novembre l'Invité du matin de RFI. Il répond aux questions de Frédéric Rivière. « Le choix qui est fait par le gouvernement aujourd’hui fait deux victimes. Le pouvoir d’achat des Français et la transition écologique… »
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Xerfi - Patrimoine des Français : gagnants et perdants depuis 10 ans [Alexandre Mirlicourtois]
Le patrimoine net des Français (c’est-à-dire une fois déduit l’endettement) a fortement été entamé par la crise de 2008-2009 et par les rechutes à répétions de la croissance qui ont suivi. Toutefois, dix ans après la grande récession le point haut de 2008 n’est plus très loin et devrait être rapidement dépassé
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France Culture - David Graeber : "Jamais la société humaine n'a passé autant de temps à remplir des formulaires"
Son article sur les « bullshit jobs » a fait l’effet d’une bombe en 2013. A l’occasion de la sortie de l’édition française de son livre éponyme, l’anthropologue David Graeber est l’invité de La Grande Table pour parler des « jobs à la con », ces emplois rémunérés inutiles, superflus et néfastes au point que même les salariés qui les occupent ne parviennent pas à en justifier l’existence.
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L’énergie, le facteur trop escamoté de la croissance [Adrien de Tricornot]
Quand le GIEC nous alerte sur le réchauffement climatique, il nous annonce aussi de mauvaises nouvelles pour l’économie. Si rien n’est fait pour développer davantage de nouvelles sources d’énergie, ou d’efficacité énergétique, en plus de brader le climat, on effondrera aussi l’économie. Evidence ? Pas pour tout le monde.