Le collapsologue Pablo Servigne (chercheur indépendant, auteur et conférencier) a présenté le le fruit de ses recherches gravitant autour du questionnement de notre mode de vie basé sur l’utilisation des énergies fossiles.
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Conférence P. Servigne / Un avenir sans pétrole?
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La Grande Librairie - Daniel Cohen publie « Il faut dire que les temps ont changé »
La société industrielle s’effondre. Elle laisse place à la société digitale. C’est le constat de Daniel Cohen. Dans son essai « Il faut dire que les temps ont changé » (Éditions Albin Michel), l’économiste s’interroge sur l’évolution de l’économie et des sociétés occidentales depuis cinquante ans, pour mieux comprendre la réalité d’aujourd’hui. Il ouvre également sa réflexion sur les enjeux de la révolution numérique, le transhumanisme ou encore l’avènement du populisme.
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Philippe Légé : « Macron veut dessaisir les corps intermédiaires de tout pouvoir de décision »
Les Economistes atterrés viennent de sortir leur dernier ouvrage, "Macron, un mauvais tournant" aux éditions Les Liens qui Libèrent. Pour en parler, le enseignant-chercheur en économie Philippe Légé était l'invité de la Midinale.
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Fondation Jean Jaurès - La frivolité est une chose sérieuse : débat avec Frédéric Beigbeder et Marlène Schiappa, le 29 novembre à 19h
Le romancier et réalisateur Frédéric Beigbeder n’a cessé de tourner en dérision le monde auquel il appartient. Aujourd’hui, il fait de la frivolité une forme de militantisme. Il présente son dernier livre, "La frivolité est une affaire sérieuse" (Éditions de l’Observatoire, octobre 2018) lors d’un débat avec Marlène Schiappa, secrétaire d’État chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations. La rencontre est animée par Jérémie Peltier, directeur des études à la Fondation Jean-Jaurès
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Boris Vallaud invité de Questions Politiques
Boris Vallaud, député PS des Landes, porte-parole du PS, est l'invité de « Questions Politiques » ce dimanche. Une émission présentée par Ali Baddou avec Carine Bécard (France Inter), Virginie Malingre (Le Monde) et Nathalie Saint-Cricq (France Télévisions).
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Olivier Faure - On n'est pas couché 24 novembre 2018 #ONPC
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Fondation jean Jaurès - Violences sexuelles et sexistes au travail : état des lieux, état d’urgence ? Seconde partie
Alors que près d’une femme sur trois a été victime d’une forme de harcèlement sexuel au travail, quel état des lieux dresser en France et en Europe ? Que prévoit le droit et comment le faire évoluer vers plus de prévention, de sensibilisation et de protection des victimes, notamment sur le plan international ? Quels leviers concrets pour combattre ces violences dans toutes les strates de la société ?
Un an après #MeToo et dans la perspective de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes du 25 novembre, un colloque co-organisé par la Fondation européenne d’études progressistes (FEPS) et la Fondation Jean-Jaurès réunit des universitaires, des responsables institutionnels, politiques et associatifs.
L'après-midi s'articule autour de deux tables-rondes : - Sensibiliser et former dans tous les secteurs d’activité - L’après #MeToo : lutter contre les violences faites aux femmes dans la société Avec : Marlène Schiappa, Pauline Carmona, Brigitte Grésy, Emmanuelle Le Texier, Béatrice Lestic, Emmanuelle Piet, Laeticia Thissen, François Kraus, Aleksander Mojsiejuk, Martine Storti, Giulia Zacchia, Gilles Finchelstein
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Violences sexuelles et sexistes au travail : état des lieux, état d’urgence ? Première partie
Alors que près d’une femme sur trois a été victime d’une forme de harcèlement sexuel au travail, quel état des lieux dresser en France et en Europe ? Que prévoit le droit et comment le faire évoluer vers plus de prévention, de sensibilisation et de protection des victimes, notamment sur le plan international ? Quels leviers concrets pour combattre ces violences dans toutes les strates de la société ?
Un an après #MeToo et dans la perspective de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes du 25 novembre, un colloque co-organisé par la Fondation européenne d’études progressistes (FEPS) et la Fondation Jean-Jaurès réunit des universitaires, des responsables institutionnels, politiques et associatifs.
La matinée s'articule autour de deux tables-rondes : - État des lieux des violences sexuelles et sexistes au travail - Le droit : que fait-il ? Que peut-il ? Avec : Henri Nallet, Jacques Toubon, Juliette Clavière, Sylvie Cromer, François Kraus, Isabella Lenarduzzi, Marilyn Baldeck, Anne Berriat, Philippe Lévêque, Laurence Rossignol, Bernard Thibault
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J'appelle au dialogue avec les Français et demande des Etats Généraux sur le pouvoir d'achat
La transition énergétique peut être financée autrement. Elle ne doit pas peser sur les Français, contrairement à ce que fait ce gouvernement des privilèges fiscaux. Par Olivier Faure, député, premier secrétaire du Parti Socialiste
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François Ruffin s'interroge sur les "gilets jaunes" : "Il faut chercher à comprendre.....
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L’autogestion en chantier : les gauches françaises et le « modèle » yougoslave (1948-1981)
Cinquante ans après Mai 68, Frank Georgi, maître de conférences HDR à l’université Paris 1 Panthéon Sorbonne, publie L’autogestion en chantier. Les gauches françaises et le « modèle » yougoslave (1948-1981) (éditions Arbre bleu, 2018), un ouvrage soutenu par la Fondation Jean-Jaurès et qui se propose de revenir sur l’une des utopies les plus emblématiques du printemps des barricades : l’autogestion. Il en débat avec Matthieu Tracol, docteur en histoire. Pendant plus d’une décennie, le mot « autogestion », longtemps cantonné aux marges, s’installe au cœur des débats de la gauche française.
Il s’invite dans les programmes des partis et des syndicats, nourrit les réflexions et les rêves d’un socialisme différent, fondé sur la démocratie intégrale, depuis l’entreprise jusqu’à la société tout entière. Il semble prendre corps à travers la grève des ouvriers de Lip en 1973, avant que l’engouement ne retombe à la veille de l’élection de François Mitterrand en mai 1981. Depuis quelques années, l’idée resurgit comme une réponse possible aux impasses du capitalisme contemporain. Frank Georgi, à partir d’une masse impressionnante d’archives inédites, de revues, d’ouvrages et de témoignages d’acteurs, reconstitue et explique cette fascination durable, parfois ambivalente et paradoxale, pour le « pays de l’autogestion », qui a touché nombre d’intellectuels et de chercheurs, de syndicalistes et de militants politiques, des trotskystes et des libertaires aux chrétiens de gauche, de la SFIO au PSU et à la CFDT.