Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Vidéo - Page 311

  • L'Homme, destructeur de la Terre | ARTE

    [Disponible jusqu'au 29 juin 2019]

    De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète. Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs... : en deux siècles, la course au progrès et à la croissance a durablement altéré la planète, la crise environnementale se doublant d’une rupture géologique, avec l’avènement de l’ère anthropocène. Portée par l’exploitation des énergies fossiles – du charbon de la révolution industrielle en Angleterre au tout-pétrole de la domination économique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraînent une exponentielle production de masse. Un processus qu’accélère la Première Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisées pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Alors que l’urbanisation s’étend, la voiture, qui sonne le glas du tramway, se généralise, et l’Amérique s’inspire du modèle autoroutier nazi. La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ère nucléaire de la guerre froide. Dans sa démesure, l’homme rêve déjà d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !). Le plastique et le béton deviennent les piliers de la consommation de masse, dévoreuse de matières premières et antidote à la contestation sociale, jusqu’à la révolution numérique.

    Documentaire de Jean-Robert Viallet (France, 2019, 1h39mn)

  • Campagne des Européennes : Raphaël Glucksmann à Châtellerault

    Raphaël Glucksmann et Olivier Faure, respectivement tête de liste PS-Place publique et 1er secrétaire du parti Socialiste ont passé le 1er mai à Châtellerault pour une opération séduction auprès d'un électorat populaire que les socialistes souhaitent retrouver.

  • Sylvie Guillaume (PS) : "Le mandat d’eurodéputée est extrêmement exigeant"

  • Colombie : le travail difficile de la Commission de la vérité

    Comment fonctionne la Commission de la vérité colombienne prévue dans l’accord de paix avec les Farc pour faire la lumière sur les crimes commis ? Deux membres extérieurs de cette Commission – Arancha Garcia del Soto, pour l’Espagne, et la journaliste Angélica Pérez, pour la France – en exposent les objectifs lors d’un entretien avec Jean-Jacques Kourliandsky, directeur de l’Observatoire de l’Amérique latine de la Fondation.

  • Fondation Jean Jaurès - Où est passée la gauche héritière du trotskisme ?

    La gauche héritière du trotskisme se trouve aujourd’hui paralysée, aphone, alors que cette école de pensée a durablement marqué la vie politique. Où a bien pu passer l’idéal du grand soir ? On en débat avec : • Laurent-David Samama, journaliste indépendant, auteur de Les Petits Matins rouges. Récit d’une trahison (Éditions de l’Observatoire, avril 2019), • Henri Weber, cofondateur de la Jeunesse communiste révolutionnaire, puis de la Ligue communiste révolutionnaire, ancien député européen et ancien sénateur.

  • Jean-Paul Jouary : Quelle alternative à la « crise de la représentation » ?

    Ce que nous appelons communément aujourd’hui démocratie est pour l’essentiel la « démocratie représentative », qui consiste pour les citoyens à élire une ou plusieurs personnes qui décideront du sort de tous pendant une certaine période. Une libre dépossession du pouvoir au profit de « représentants ». Mais que signifie « re-présenter » ? On sait ce que cela signifie à l’égard d’un absent, d’un enfant mineur ou d’un aliéné mental, mais pour un peuple ? Cette forme de démocratie est visiblement en crise, tandis que se développent diverses formes nouvelles d’existence du politique. Y a-t-il une alternative à la « démocratie représentative » ? Conférence de Jean-Paul Jouary, agrégé et docteur en philosophie, professeur de chaire supérieure, et auteur d’une trentaine d’ouvrages parmi lesquels Rousseau, citoyen du futur et Mandela, une philosophie en actes.

  • Après l'incendie de Notre-Dame, le coup de gueule de la Fondation Abbé Pierre

    "Cet épisode nous montre que ce n’est pas vrai, il n’y a pas une asphyxie fiscale, et il y a encore des très grandes fortunes qui peuvent faire quelque chose de leur argent." Après l’incendie de Notre-Dame, la Fondation Abbé Pierre rappelle que d'autres causes manquent cruellement de moyens.