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Accompagnement des jeunes enfants placés - Alerte de Gisèle Biemouret
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Le Monde - Est-ce une bonne chose de rendre les transports gratuits ? (nov 2017)
Chateauroux, Niort, Aubagne et aujourdhui Dunkerque. Depuis les années 70, une vingtaine de villes ont décidé de rendre leurs transports publics gratuits. L’objectif : les rendre plus attractifs. Mais alors, pourquoi ne pas généraliser la mesure ? A première vue, elle parait séduisante. Avec la gratuité, les voyageurs prennent davantage les transports en commun et la ville économise sur la fabrication des tickets ou le salaire des contrôleurs. Pourtant, si toutes les villes ne passent pas au gratuit, c’est qu’il y a aussi des inconvénients. D’abord, les transports gratuits ne soient pas si gratuits que ça. Sans billetterie, les villes doivent trouver de l’argent pour entretenir leur réseau. Pour ça, elles comptent sur une taxe demandée aux entreprises, « le versement transport ». Mais comme cette taxe a un plafond, il faut parfois augmenter les impôts locaux, comme la taxe d’habitation ou la taxe foncière, pour compenser le manque à gagner de la gratuité. Autre inconvénient : rendre les transports gratuits ne diminuent pas forcément le nombre de voitures sur les routes. Ce sont en effet souvent les habitués qui prennent encore plus les transports en commun. Les automobilistes eux continuent d’utiliser leur voiture. Finalement, pour rendre les transports gratuits attractifs, il faudrait donner moins envie d’utiliser la voiture. Comment ? En mettant en place des péages urbains, en augmentant le stationnement payant ou en valorisant le covoiturage.
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Europe 1 - Après les européennes, "une période vitale" s'ouvre à gauche et au PS
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L'évolution du patrimoine des Français [Alexandre Mirlicourtois]
Début 2018, plus de 93 Français sur 100 détenaient un patrimoine immobilier, professionnel ou financier (autre qu’un compte chèque). Ce chiffre est quasiment stable depuis 20 ans. Mais c’est une stabilité de façade car les comportements patrimoniaux ont profondément changé, notamment depuis 2008 avec ce fil rouge : depuis la crise, l’aversion pour le risque s’est élevée au profit des produits les plus sécurisés. [...]
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Le Vent se lève - PRIVATISATION D'ADP : SCANDALE D’ÉTAT
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Les firmes françaises et allemandes à l'international : des enseignements [Olivier Passet]
Nouveau zoom sur la France offshore, celle des filiales implantées à l’étranger. On la regarde peu. Cet empire hors les murs est vécu comme une sorte de trahison au territoire, par la déperdition d’emplois et de matière fiscale qu’elle induit. [...]
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Le Monde - Réchauffement climatique : est-il déjà trop tard ?
Avons-nous déjà perdu la bataille du réchauffement climatique ? C'est la question au cœur des Idées Claires, notre programme hebdomadaire produit par France Culture et Franceinfo destiné à lutter contre les désordres de l'information, des fake news aux idées reçues.
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Des statistiques tronquées : 3 exemples significatifs [Alexandre Mirlicourtois]
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"Je m'adresse à la France qui ouvre ses portes" - L'interview #EuropeOrNot de Raphaël Glucksmann
Son admiration pour Marlene Dietrich, son italien (presque) parfait et son message à Theresa May : « What a mess ! » L’interview #EuropeOrNot de Raphaël Glucksmann
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Fondation Jean Jaurès - Le sens de l'Europe : introductions et état de l'opinion
Dans la perspective des élections européennes, alors que les démocraties du continent sont confrontées à la montée des populismes et du conservatisme, la Fondation Jean-Jaurès et la Fondation européenne d’études progressistes (FEPS) ont organisé, le 20 février 2019, une conférence sur les enjeux pour l’Union européenne en 2019. Retrouvez dans cette vidéo les mots d'accueil de Henri Nallet, président de la Fondation Jean-Jaurès, Alain Bloëdt, senior communication advisor à la Fondation européenne d’études progressistes (FEPS), et Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, ainsi qu'une présentation de l'état de l’opinion à trois mois des élections européennes par Laure Salvaing, directrice déléguée de Kantar Public France.
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« Est-ce que Christophe Castaner a bien pris la mesure de ce qu’est un ministre de l’Intérieur