Deux textes récemment publiés sont mis en cause par les associations : le décret pesticide et l'arrêté qui l’accompagne. Selon les ONG, ces textes ne protégeraient pas assez les travailleurs agricoles et les riverains, ainsi que la biodiversité, des effets néfastes de l’épandage de pesticides.
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Actu Environnement - Pesticides : huit ONG déposent un recours contre les textes définissant les zones de non traitement
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France Culture - Coronavirus : crise économique ou changement de modèle ?
Tourisme, transport, événementiel… Plusieurs secteurs de l’économie sont très fortement touchés par l’épidémie de Covid-19. Lundi, les bourses mondiales ont connu des chutes comparables à celles enregistrées en 2008, accentuées par la baisse des cours du pétrole. Pour aider les membres de l’Union européenne à surmonter les conséquences de la pandémie, le Conseil européen a annoncé mardi la création d’un fonds de 25 milliards d’euros. Et alors que la France se prépare au passage au stade 3 de la crise sanitaire, Bruno Le Maire, Ministre de l'Économie, a dévoilé une série de mesures à destination des entreprises. Quel sera l’impact de cette pandémie sur l’économie mondiale mais aussi sur la croissance française ? Faut-il revoir les règles de la mondialisation ?
Pour répondre à ces questions, nous recevons Jean-Hervé Lorenzi, président du Cercle des économistes, professeur émérite à l'université Paris-Dauphine, et Aurélie Trouvé, économiste, porte-parole d’ATTAC.
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La IIe Internationale et les socialistes français, allemands et italiens (1889-1915)
Elisa Marcobelli publie "L’internationalisme à l’épreuve des crises. La IIe Internationale et les socialistes français, allemands et italiens (1889-1915)" (Arbre Bleu éditions, décembre 2019), livre préfacé par Christophe Prochasson et reprenant sa thèse remarquée soutenue à l’EHESS. Pourquoi publier un nouvel ouvrage aujourd’hui sur les origines des partis socialistes européens ? Comment se vivait l’internationalisme ? Pourquoi ce choix de 1915, année de rupture ? Elle en débat avec Jean-Numa Ducange, maître de conférences à l’université de Rouen.
Étudier les socialistes français, allemands et italiens face aux crises internationales au temps de la IIe Internationale (1889-1915), c’est en fait revenir au problème lancinant de la catastrophe initiale, la Grande Guerre, et de l’impossibilité de l’empêcher dans laquelle se sont trouvés peuples, gouvernements et partis. De grands historiens, comme Jacques Droz, Madeleine Rebérioux et Georges Haupt, ont déjà travaillé ces questions, mais les recherches d’Elisa Marcobelli permettent aujourd’hui d’aller plus loin. Non seulement elle dispose de leur acquis qu’elle connaît et maîtrise excellemment, mais elle renouvelle et rafraîchit connaissance et compréhension par une approche transnationale active. Au couple classique du socialisme français et de la social-démocratie allemande, décisif dans la perspective d’une stratégie pacifiste, du moins anti-belliciste, des socialistes, elle ajoute le cas original de l’Italie qui permet un élargissement et un décalage fructueux. Nous obtenons ainsi une étude belle et puissante, appuyée sur la connaissance directe des meilleures sources pour le socialisme de chaque pays. La réflexion, attentive et nuancée, aborde les difficultés de la période, et sait les mettre à profit pour mieux saisir la signification pour les hommes et les femmes d’alors du socialisme, de la nation et de l’Internationale. Les mots, les attentes, les sociétés ont évolué, mais les problèmes alors posés n’ont pas disparu de notre horizon.
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Brut - Dans "Au nom de la terre", Edouard Bergeon raconte l'histoire de son père agriculteur
« Il y a un agriculteur chaque jour qui se donne la mort en France. Là, en 2019. » Dans « Au nom de la terre », Guillaume Canet joue le rôle d’un agriculteur à bout, qui ira jusqu’au suicide. C’est l’histoire du père du réalisateur, Edouard Bergeon. Il raconte. L’agriculteur joué par Guillaume Canet, n’est autre que le père du réalisateur.
Au coeur de la région Nouvelle-Aquitaine, la petite commune de Jazeneuil, où vivait Edouard Bergeon, lorsqu’il était enfant. Le père d’Edouard Bergeon était éleveur de chevreaux, il y avait jusqu’à 7000 bêtes dans son exploitation. Seize heures de travail par jour, six jours par semaine, le père du réalisateur travaillait souvent à perte, dépendant toujours des cours du marché lorsqu’il vendait ses bêtes.
Alors, certains mois, les parents d’Edouard Bergeon ne parvenaient qu’à un faible salaire, quand d’autres mois encore, ils n’avaient rien. Un premier incendie en 1989 puis un second en 1997 frappent l’exploitation. Ces évènements achèvent de plonger le père d’Edouard Bergeon dans la dépression, jusqu’à son suicide, deux ans plus tard. « Il n’y a pas de pays sans paysan » pour le réalisateur.
Avec son prochain film « Au nom de la terre », Edouard Bergeon renoue avec son enfance. Lui qui, enfant, rêvait de reprendre l’exploitation de son père, il veut aujourd’hui rendre hommage à celle qui nous donne tout, la terre.
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Ferrat-10 ans : Federico Garcia Lorca
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#LaMidinale « Les Italiens sont dépassés par le coronavirus parce qu'ils pratiquent l'austérité depuis 10 ans »
En pleine crise du COVID-19, les places financières vacillent. La Bourse de Paris a chuté de 8,39%. Du jamais vu depuis 2008. Thomas Porcher, économiste et auteur de Les Délaissés (Fayard) est l’invité de #LaMidinale.
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Coronavirus : pourquoi il est vital de relocaliser !
L'apparition du coronavirus a révélé les failles d'une mondialisation sauvage où la Chine a pris un rôle central. Selon Franck Dedieu, directeur adjoint de la rédaction de Marianne, il est plus que nécessaire de repenser la chaine de production pour produire en France ! Ecorama du 6 mars 2020
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C News | Réaction d'Olivier Faure à l'allocution d'Emmanuel Macron
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Coronavirus | Olivier Faure demande l'état d'urgence social
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La marque du consommateur C'est qui le patron ?! Incroyable soutien de la part de Guillaume Canet pour CQLP :)
Guillaume Canet, invité sur le plateau de Quotidien le mardi 15 octobre, est venu parler du film Au Nom de La Terre, qui cartonne actuellement au cinéma (+ d'un million d'entrées en 3 semaines) et explique pourquoi il est important de mettre en lumière à l’écran le mal-être qui ronge actuellement le monde agricole. Il partage aussi des solutions positives pour soutenir les producteurs et cite "C'est qui le Patron ?!" :)
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France Culture - Coronavirus : une épidémie de la peur ?
Le sociologue Gérald Bronner s'intéresse à l'épidémie comme à un"objet social total" révélateur, notamment, de nos modes de représentation. En outre, il compare les modes de lutte gouvernementale contre l'épidémie : basée sur la "vertu" en France, sur des moyens de coercition en Chine, aux des mesures, peut-être pas encore irrationnelles mais bien "maximalistes", en Italie... Spécialiste des croyances collectives et de la cognition humaine, il a participé à l'élaboration des centres de déradicalisation et est notamment l'auteur de "La démocratie des crédules" (PUF, 2013), "La planète des hommes. Réenchanter le risque" (PUF, 2014) ou encore de "La pensée extrême" (réed PUF, 2016).