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Vidéo - Page 124

  • Gilles Pialoux : "Depuis janvier, les décisions politiques n’ont aucune cohérence scientifique"

    Le professeur Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l'hôpital Tenon et membre de la cellule de crise, est l'invité du Grand entretien de la matinale de France Inter.

  • Lacaton & Vassal, prix Pritzker : "Arrêtez de démolir !"

    La plus importante distinction du monde de l'architecture a été décernée à des Français pour la troisième fois. Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, les nouveaux lauréats, viennent échanger sur leur travail qui place l'habitant au cœur de la pensée du bâtiment.

  • PS - TQA | Aurélia Troupel

    Aujourd’hui, nouveau #TQA ! Isabelle This Saint-Jean interroge Aurélia Troupel, politiste, sur les élections locales. Elle revient sur les enjeux de ces élections et sur les conséquences des différentes modifications du suffrage des élections régionales et départementales. 1️⃣ Pourquoi les prochaines élections locales sont importantes ? 2️⃣ Quelles sont les conséquences des modifications de 2015 ? 3️⃣ Quel bilan pour la représentativité ?

  • Jean Birnbaum : la nuance est-elle encore possible dans le débat public ?

    Jean Birnbaum publie "Le courage de la nuance", aux éditions du Seuil. Sonia Devillers : "Vous ouvrez votre livre avec Camus : La polémique consiste à considérer l’adversaire en ennemi, à le simplifier et à refuser de le voir. Devenu aux trois quarts aveugle par la grâce de la polémique nous vivons dans un monde de silhouettes… voilà qui caractériserait parfaitement le paysage médiatique comme machine à recycler les idées.

    Jean Birnbaum : "Cette phrase de Camus donne à réfléchir sur notre paysage médiatique et le rôle des Réseaux Sociaux qui composent tout un théâtre d’ombres. Chacun est rivé à un camp, je trouve cela effrayant. J’essaye de montrer que la facilité c’est l’arrogance comme disait Barthes qui a des pages magnifiques sur l’arrogance idéologique.

  • Fondation Jean Jaurès - Quand la gauche pensait la nation

    La gauche doit-elle défendre la nation ? Crise du projet européen, mises en cause des frontières, retour des nationalismes et xénophobie font chaque jour l’actualité. Le dépassement des frontières nationales, qui semblait un temps aller de soi, n’était-il pas une erreur de diagnostic ? Dans des sociétés plurielles, comment peuvent coexister des populations qui ne disposent pas, à l’origine, d’une histoire partagée ? Toutes ces interrogations furent débattues par la gauche européenne au cours de son histoire. Jean-Numa Ducange restitue ce grand débat qui occupa les têtes pensantes du socialisme, comme le quotidien des militants. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, les premiers partis socialistes durent se confronter à une évidence : l’extension du marché et du capitalisme, pas plus que les luttes des travailleurs à l’échelle internationale, n’ont conduit à la disparition des nations. Le Parti social-démocrate allemand n’est à l’époque pas seul à proposer des solutions, mais nul n’a alors plus d’influence à l’étranger : de Paris à Moscou, il fascine. Surtout, lui et son alter ego autrichien sont confrontés aux problèmes posés par la coexistence de multiples nationalités, tandis que la question coloniale s’impose sur le devant de la scène.

    Cet entretien de Jean-Numa Ducange, professeur des universités (université de Rouen), auteur de Quand la gauche pensait la nation. Nationalités et socialismes à la Belle époque (Fayard, mars 2021), avec Bastien Cabot, doctorant contractuel à l’EHESS, montre la tension permanente dans l’histoire de la gauche entre nation et internationalisme. Retrouvez le livre de Jean-Numa Ducange, "Quand la gauche pensait la nation. Nationalités et socialismes à la Belle époque" sur le site de Fayard : www.fayard.fr/histoire/quand-la-gauche-pensait-la-nation-9782213711393

  • Rembourser ou non la dette : le choix entre la peste et le choléra ? [Olivier Passet]

    La dette Covid fait l’objet de débats passionnés. Entre ceux qui voudraient la rembourser au prix du sang et de la sueur en réduisant les dépenses de l’État, ceux qui la considèrent indolore tant que les taux sont à zéro et ceux qui considèrent qu’il faut lui administrer un traitement d’exception : soit la rendre perpétuelle pour ne pas exposer les États à une obligation de remboursement, soit carrément l’annuler. [...]