Le livre passe en revue les alternatives à l’économie de marché et à la propriété privée qui s’opposent frontalement au capitalisme, alors que les critiques récentes de celui-ci s’attachent plutôt à des défauts spécifiques, liés souvent à la financiarisation, et aux moyens de les corriger. Plus ennuyeux, ce parti pris conduit l’auteur à légitimer à la fois l’emprise des marchés sur l’économie et celle du marché des actions sur les décisions des entreprises, en minimisant les critiques que l’on peut leur faire.
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