Sur le papier, le soutien de l'État a évité un asséchement de liquidité sans précédent et les défaillances en chaîne à laquelle la crise sanitaire condamnait inexorablement les entreprises. Compte tenu de l'effondrement des chiffres d'affaires, qui dans certains secteurs se solde par une perte sèche de plus de deux mois de recettes, l'appréciation que portent les entreprises sur leur situation de trésorerie en juillet tient du miracle. [...]
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Idées d'été - OFCE - L’économie au temps du COVID-19; 9 mars 2020 par Xavier Timbeau
Peut-on faire du calcul économique face à une crise sanitaire ? Poser la question semble obliger à répondre non. Pourtant, nous allons nous livrer à cet exercice morbide, espérant y trouver quelques éléments utiles à la réflexion pour les décisions difficiles à prendre dans les prochains jours.
Les épisodes passés analysés après le SARS-Cov de 2003
La première question est de savoir quelles peuvent être les conséquences économiques d’un scénario de pandémie grave (c’est-à-dire comparable à la grippe espagnole de 1918). Quelques études nous renseignent sur ce point. McKibbin et Fernando ont mis à jour des travaux de simulations macroéconomiques réalisés après l’épisode du SARS-Cov en 2003, repris dans un ebook publié par VoxEU très récemment et étoffé d’autres analyses économiques.
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Le Figaro - Le PS doit «s'emparer de l'écologie» et ne pas se rallier à Jean-Luc Mélenchon, dit François Hollande
«Je peux être utile à mon pays, par mes idées et mon expérience, dans la crise qu'il traverse», dit l'ancien président tout en assurant «ne rien chercher pour lui-même».
François Hollande estime que le Parti socialiste «a le devoir» d'être «la force centrale» à gauche, et ne doit «se rallier» ni à une candidature écologiste, ni à Jean-Luc Mélenchon pour 2022, dans un entretien à Ouest-France publié samedi 29 août.
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